Nompatelize

Nompatelize est une commune française située dans le département des Vosges en région Grand Est.

Nompatelize

Vue d'ensemble depuis le Petit Jumeau.

Blason
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Vosges
Arrondissement Saint-Dié-des-Vosges
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Saint-Dié-des-Vosges
Maire
Mandat
Annie Gerardin
2020-2026
Code postal 88470
Code commune 88328
Démographie
Gentilé Norpadien(ne)s
Population
municipale
541 hab. (2018 )
Densité 78 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 19′ 33″ nord, 6° 51′ 13″ est
Altitude 372 m
Min. 301 m
Max. 520 m
Superficie 6,91 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saint-Dié-des-Vosges
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Dié-des-Vosges
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Raon-l'Étape
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Nompatelize
Géolocalisation sur la carte : Vosges
Nompatelize
Géolocalisation sur la carte : France
Nompatelize
Géolocalisation sur la carte : France
Nompatelize

    Les habitants de souche ancienne s'appelaient les Nompateliziens ou Nompatelizois. Le conseil municipal, réuni le 25 mars 2013, a décidé que, désormais, les habitants seraient appelés les Norpadiens.

    Géographie

    Localisation

    La commune occupe un plateau de roches volcaniques recouverts à ses extrémités par des dépôts gréseux âgés du Permien, qui deviennent très épais au sud et à l'est dans le bassin permien de Saint-Dié[1]. Le centre de Nompatelize est sur une bouche du volcan permien, autrefois dans un milieu torride crachant une lave siliceuse déjà fortement pétrifiée. Cette rhyolite ignimbrite venue des chambres magmatiques en profondeur par de fins couloirs de remontée s'est amassée au voisinage méridional d'une bande fine de schistes et de diorites de l'Ordovicien supérieur[2] qui ont subi un fort écrasement et un intense métamorphisme sous la chaine de montagne formée au Carbonifère. Le village est situé à l'ouest de Brehimont, hameau de Saint-Michel-sur-Meurthe situé sur un autre cône volcanique.

    La situation dominante de ce plateau entre les vallées de la Meurthe et de la Valdange, aujourd'hui traversé par la route entre Saint-Dié et le col du Haut du Bois, offre des points de vue remarquables au septentrion, en particulier vers Raon-l'Étape, mais aussi à l'orient vers Saint-Dié-des-Vosges.

    Le point culminant du territoire communal est le moins élevé des deux petits massifs gréseux nommés Jumeaux qui prolongent la partie nord du vaste massif de la Madeleine qui se poursuit au sud au-delà du Haut-Jacques. Cette contrée s'est autrefois appelée Agne. La commune de Nompatelize dont la communauté d'origine, patronne du Haut-Ban, a longtemps utilisé et entretenu une vieille route de débardage des bois des montagnes gréseuses du Sud, se prolonge au nord de Saint-Michel-sur-Meurthe par le hameau de Biarville atteint la Meurthe au lieudit Bourmont, ancien port sur la Meurthe dont l'altitude n'est que de 301 mètres.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Nompatelize est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Dié-des-Vosges, une agglomération intra-départementale regroupant 16 communes[6] et 41 161 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[7],[8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Dié-des-Vosges dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 47 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9],[10].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (63,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (48 %), forêts (31,1 %), prairies (13,5 %), zones urbanisées (7,3 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].

    Toponymie

    Attestée sous la forme Norpardi ecclesiae en 1140.

    Histoire

    Vue d'ensemble depuis la roche du Chemont.

    Nompatelize apparaît être une villa ou grand domaine, vieux lieu du pouvoir économique au milieu d'un plateau cultivé bien avant le XIe siècle. La contrée est déjà peuplée et administrée sous le Bas-Empire. Bien avant la fondation du ban d'Étival au VIIe siècle ou la donation religieuse de sainte Richarde au chapitre d'Étival, elle est parsemée de hameaux modestes dont certains subsistent et d'autres ont disparu. Les récents travaux dans les archives strasbourgeoises ont permis de retrouver trace de Norpardi cellae ou Norpard ecclesia au IXe siècle[13]. Ces études d'histoire locale amènent à modéliser le territoire précocement autonome de Nompatelize en grand domaine, les hameaux seraient des manses libres ou serviles, les Feignes issus du terme fines, désignant les fins, c'est-à-dire les terres aux limites du terroir agraire, seraient ainsi aux limites du vaste domaine forestier d'Agne qui devient après le XIIe siècle les bois de Mortagne au sud et de la Madeleine au nord. L'extension serait optimale sur le plateau vers La Salle, La Bourgonce et Bréhimont. Ce grand domaine et sa grange sont intégrés au chapitre d'Étival, tel qu'il est créé par la charte de l'impératrice Richarde en 886.

    Les chanoines réguliers prémontrés, appelés par les chanoinesses d'Andlau s'installent sur le ban d'Étival en chassant à Autrey les anciens chanoines en 1146. Les moines blancs prémontrés dépendants de Flabémont assument sous la conduite de Gilbert après 1147 leur mission apostolique, en particulier disent la messe et attirent des hommes d'art et de nombreux convers. Les habitants, constamment encadrés par les moines blancs sous un régime quasi militaire, édifient des habitats en dur, pierre, brique et bois, couverts de toit en tuile plus que de chaume, développent les cultures végétales, tracent des routes en pierre nécessaires à l'aménagement planifié du paysage, à l'essor du bâtiment et du transport par chariot et par flotte. Le port de Bourmont permet de faire glisser sur la Meurthe tronces et planches issues des forêts de Mortagne.

    Ne se contentant plus d'une chapelle trop modeste, les chanoines décident d'y implanter une église en l'honneur de leur premier fondateur, le pieux Norbert de Xanten. Ils reconnaissent par intérêt politique la vieille assemblée des hommes vivant sur cette partie haute de leur ban et semblent habilement confondre Norpardi ecclesia et Norberti ecclesia, l'assemblée de Norbert. Il est probable que l'apparente homophonie entre Norpardi et Norberti soit propice à l'œuvre évangélique et à la reconnaissance locale du pouvoir sacré des chanoines blancs. Nompatelize est aussi momentanément reconnue comme une hiérophanie incontournable et un pôle humain du territoire abbatiale.

    Les grains s'accroissent, les granges se multiplient au XIIIe siècle. L'exemple des techniques et des compétences des moines blancs prémontrés a déjà servi de modèle à toute la montagne. L'exploitation des bois de Mortagne permet d'exporter les planches au port de Bourmont, sur la Meurthe. Le lieu déjà promu chef-lieu du haut-ban jadis implanté le long d'un ancien chemin, est devenu un diverticule de la route qui relie Rambervillers à Colmar.

    Aussi, après s'être émancipés de la tutelle des suzeraines chanoinesses d'Andlau qui, à l'origine, possèdent les deux tiers du ban, en acceptant un lourd paiement de redevances seigneuriales en argent, le chapitre et l'abbé qui dépendent toujours de Flabémont décident de s'adonner à la vie contemplative que son abbaye-mère recommande. Ils se cloîtrent dans leur belle abbaye à Étival pour ressortir après quelques décennies, ruinés par les seigneurs co-traitants qui ont accaparé une grande part des biens et revenus. Les religieux démunis entrent alors dans une phase de décadence religieuse qui leur font perdre renommée et réputation, d'abord parmi les gens du peuple puis auprès des puissants et des responsables du pouvoir civil après une excommunication du chapitre.

    Un redressement est entrepris par l'abbé, les chanoines empruntent à la collégiale de Saint-Dié, aux marchands de Bruyères et de Rambervillers, de Raon-L'Étape et lentement, étape par étape, rachètent les parts féodales, reprennent le contrôle de la fabrique de Nompatelize et des chapelles des environs. Ils retrouvent une puissance seigneuriale et exercent leur justice souveraine au cours du XVe siècle.

    En 1478, frère Didier Moyen, curé des granges (c'est-à-dire de Nompatelize) crée en accord avec le couvent d'Étival une fondation pour préserver la maison, la chapelle et la fontaine de Bouilly. Cette chapelle dédiée à la Vierge, au-dessus de Nompatelize qui compte alors des grosses fermes ou exploitations agricoles, est au cœur des préoccupations de ce riche chanoine. Il donne pour l'entretien de la chapelle, en particulier son luminaire et sa toiture, veut qu'une messe y soit dite chaque semaine, et surtout qu'aux fêtes Notre-Dame, au lundi de Pâques et au premier de l'an, prieur et chapitre s'y déplacent, en plus d'y organiser un pèlerinage en portant la lourde croix le lundi de Pentecôte. L'abbé Gérard d'Essey s'oppose à ce qu'il prend sans doute pour une lubie, mais le chapitre a bel et bien signé. À partir de ce moment symbolique, la communauté cumule à nouveau l'essentiel des pouvoirs sacrés sur le haut ban d'Étival qui compte aussi les communautés de l'Hoste du Bois (La Salle), La Bourgonce et Saint-Michel. Elle préserve aussi son rôle économique clef, avec ses cultures végétales, son élevage et le contrôle du transport du bois.

    L'apogée de l'abbaye stivalienne arrive au début du XVIe siècle, alors que la tutelle de Flabémont s'évanouit. L'abbaye traverse les aléas du froid XVIIe siècle alors que sa direction adopte la réforme de Servais de Lairuelz[14]. Le plateau est dévasté après 1633, mais se repeuple vite à la fin du siècle.

    Au milieu du XVIIIe siècle, le plateau est intensément cultivé et densément peuplé. Les habitants du Haut Ban continue à assister aux plaids d'Étival jusqu'en 1747, date à laquelle la mense abbatiale passe en commende à l'évêque de Toul monseigneur Bégon. Le Haut Ban semble rattacher à la prévôté de Saint-Dié et l'entité stivalienne disparaît définitivement avec l'érection de l'évêché de Saint-Dié en 1776. Nompatelize devient une commune à la Révolution. Elle achète un coffre pour mettre sous clef ses archives et subit les affres des réquisitions de guerre.

    Monument aux morts 1870.
    Monument aux morts 1870.

    En 1786, il existait au sommet des Jumeaux, une pierre levée connue de tout le pays sous le nom de pierre à cheval. C'était une énorme table druidique de 8 mètres de long et 5 de large, placée sur deux piliers très élevés. Elle fut détruite en cette année pour servir à la construction de l'église de Nompatelize.

    Le plateau de Nompatelize est par trois fois un champ de bataille ou un lieu de combat.

    • Le , la bataille de la Bourgonce et de Nompatelize se déroule aussi sur une vaste partie du plateau de Saint-Rémy à Saint-Michel-sur-Meurthe en passant par La Salle. Elle laisse 1500 morts français, principalement des mobiles du 34e régiment des Deux-Sèvres sous les ordres du général Dupré et du 32e de marche de ligne du colonel Hocédé. Les Badois du général Degenfeld, un moment dépassés par les assauts français dès l'après-midi, mais appuyés par une artillerie positionnée efficacement au-dessus du ravin de Saint-Michel pour neutraliser les quelques canons français sur le flanc des Jumeaux, accusent le tiers de pertes. Le manque de réalisme du commandement et l'impréparation de la troupe française expliquent la déroute de l'après-midi après la survenue des renforts d'infanterie badois. Le général Dupré, blessé puis remplacé par Hocédé fauché mortellement, a permis d'effectuer en quelques jours le déblayage des Vosges par une partie de la nouvelle treizième armée allemande créée après la capitulation de Strasbourg, car le général Cambriels, apprenant la nouvelle à Épinal, ordonne le retrait[15].
    • Du 25 août au , la vaste bataille de la Mortagne à la Chipotte était décisive pour l'armée française de l'Est au début de la Première Guerre mondiale. Résistante plus que victorieuse, les unités peuvent contribuer à colmater la défense française ébranlée à la suite de l'offensive allemande en Champagne une fois que les Allemands s'étaient repliés par précaution.
    La commune a été décorée le 16 juin 1921 de la croix de guerre 1914-1918[16].

    Politique et administration

    Finances locales

    En 2015, les finances communales était constituées ainsi[17] :

    • total des produits de fonctionnement : 382 000 , soit 650  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 273 000 , soit 464  par habitant ;
    • total des ressources d’investissement : 191 000 , soit 326  par habitant ;
    • total des emplois d’investissement : 47 000 , soit 81  par habitant ;
    • endettement : 82 000 , soit 140  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d'habitation : 20,44 % ;
    • taxe foncière sur le bâti : 10,47 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 23,90 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 38,75 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 16,25 %.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
      mars 1983 Colin    
    mars 1983 mars 1989 François Henlé    
    mars 1989 mars 2001 Claude Bernard    
    mars 2001 mars 2008 Raymond Forterre    
    mars 2008 mars 2014 Didier Barret    
    mars 2014 En cours Pascal Mohr    

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[19].

    En 2018, la commune comptait 541 habitants[Note 3], en diminution de 3,39 % par rapport à 2013 (Vosges : −2,43 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1856
    353360475547635684684688620
    1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
    616651612537503515503465477
    1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
    420389397368381287272270291
    1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008 2013 2018
    319391463522551555558560541
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    • Ferme biologique
    • Usine automobile Faurecia (site fermé en décembre 2015)[22].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Èvre avec son clocher a été construit en 1786 et sa nef reconstruite en 1930,
    et son orgue[23].
    • Cimetière militaire franco-allemand[15].
    • Monuments commémoratifs[24].

    Nompatelize dans les arts et la culture

    Emile Gridel, né à Baccarat en 1839 et mort en 1902, capitaine au deuxième bataillon de la garde mobile de la Meurthe, a peint à partir des souvenirs du 6 octobre 1870, une huile sur toile en 1874 intitulée "Le combat de Nompatelize". L'œuvre appartient au Musée lorrain de Nancy.

    Personnalités liées à la commune

    • Marie Camille Idoux, prêtre, historien[25].

    Héraldique

    Blason
    D'or à la grenade d’azur à dextre et au sapin arraché de sinople à senestre; au chef-pal de gueules chargé d'une crosse d'or accostée en chef d’un cristal de neige d'argent et à senestre d’une colombe en vol du même.
    Détails
    Création Robert André Louis adoptée le 4 octobre 2016.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Sans doute le sont-ils sous la couche de roches volcaniques de Nompatelize-La Salle, faute de forage dans cette roche dure pourtant intensément fracturé par le graben alsacien formé au Tertiaire.
    2. Notice de la Carte Géologique BRGM 1/50000e de St Dié (page 13)
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 de Saint-Dié-des-Vosges », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Dié-des-Vosges », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    13. Le groupe d'histoire locale de Nompatelize animé par le persévérant Alain Preghenella a effectué ces remarquables travaux.
    14. C'est une période baroque où le pouvoir religieux s'apparente plus au monde de vie jésuite qu'au premier ordre des Prémontrés du XIIe siècle.
    15. Aux morts de la Bataille de Nompatelize
    16. Communes décorées de la Croix de guerre 1914-1918
    17. « Les comptes de la commune » [archive du ], sur alize2.finances.gouv.fr (consulté le ).
    18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    22. Orgue de l'église
    23. Monument aux Morts, Monument aux Morts 1870-1871, Plaque commémorative 1870-1871 - Maison des Dernières Cartouches, Stèle commémorative franco-allemande 1914-1918, Monument commémoratif 1870-1871, Plaque commémorative, Carré militaire franco-allemand 1870-1871, Tombe de corps restitué à la famille
    24. « Biographie de Marie Camille Idoux », sur le site personnel de Bernard Visse (consulté le ).
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