Montignac (Hautes-Pyrénées)
Montignac est une commune française située dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.
Pour les articles homonymes, voir Montignac.
Montignac | |||||
![]() Paysage dans les environs du village de Montignac | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Occitanie | ||||
Département | Hautes-Pyrénées | ||||
Arrondissement | Tarbes | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Tarbes-Lourdes-Pyrénées | ||||
Maire Mandat |
Rémi Carmouze 2020-2026 |
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Code postal | 65690 | ||||
Code commune | 65321 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Montignacois | ||||
Population municipale |
142 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 133 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 11′ 06″ nord, 0° 09′ 03″ est | ||||
Altitude | Min. 364 m Max. 486 m |
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Superficie | 1,07 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Tarbes (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton du Moyen-Adour | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Ses habitants sont appelés les Montignacois.
Géographie
Localisation
La commune de Montignac se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[1].
Elle se situe à 8 km à vol d'oiseau de Tarbes[2], préfecture du département, et à 3 km de Barbazan-Debat[3], bureau centralisateur du canton du Moyen Adour dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Tarbes[1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Angos (1,1 km), Fréchou-Fréchet (1,4 km), Mascaras (1,7 km), Barbazan-Dessus (2,3 km), Allier (2,4 km), Calavanté (2,4 km), Barbazan-Debat (2,8 km), Oueilloux (2,8 km).
Sur le plan historique et culturel, Montignac fait partie de l’ancien comté de Bigorre, comté historique des Pyrénées françaises et de Gascogne créé au IXe siècle puis rattaché au domaine royal en 1302, inclus ensuite au comté de Foix en 1425 puis une nouvelle fois rattaché au royaume de France en 1607. La commune est dans le pays de Tarbes et de la Haute Bigorre[5].

Hydrographie
Le ruisseau de Rioubaré traverse la commune du sud au nord et forme une partie de la limite est avec les communes de Mascaras et Fréchou-Fréchet.
Le ruisseau de Lassarens, affluent gauche de l'Arrêt-Darré, forme une partie de la limite ouest avec les communes d’Angos, Barbazan-Dessus et Allier.
Climat
Le climat est tempéré de type océanique, dû à l'influence proche de l'océan Atlantique situé à peu près 150 km plus à l'ouest. La proximité des Pyrénées fait que la commune profite d'un effet de foehn, il peut aussi y neiger en hiver, même si cela reste inhabituel.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 0,6 | 1,3 | 2,7 | 5,2 | 8,3 | 11,6 | 14,1 | 13,9 | 11,7 | 8 | 3,6 | 1,3 | 6,9 |
Température moyenne (°C) | 5,3 | 6,1 | 7,8 | 10 | 13,3 | 16,7 | 19,3 | 19 | 17,2 | 13,3 | 8,5 | 5,8 | 11,9 |
Température maximale moyenne (°C) | 9,9 | 11 | 12,9 | 14,8 | 18,3 | 21,7 | 24,5 | 24 | 22,6 | 18,6 | 13,4 | 10,4 | 16,8 |
Ensoleillement (h) | 108,8 | 118,8 | 155,6 | 157,2 | 181,3 | 191,5 | 215,5 | 196,4 | 194,5 | 164,4 | 124,4 | 104,4 | 1 912,8 |
Précipitations (mm) | 112,8 | 97,5 | 100,2 | 105,7 | 113,6 | 80,7 | 57,3 | 70,3 | 71 | 85,2 | 93 | 112,1 | 1 099,4 |
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[8],[9],[10].
Urbanisme
Typologie
Montignac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[11],[12],[13].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tarbes, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 153 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (67,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (67,8 %), forêts (32,2 %)[16].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
- Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
- Carte orthophotogrammétrique de la commune.
Logement
En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 50[17].
Parmi ces logements, 92,3 % sont des résidences principales, 0,0 % des résidences secondaires et 7,7 % des logements vacants.
Voies de communication et transports
Cette commune est desservie par la route départementale D 85.
Toponymie


On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[18] qui rapporte les dénominations historiques du village :
Dénominations historiques :
- De Montinhaco, latin (1313, Debita regi Navarre ; 1379, procuration Tarbes) ;
- De Montignaco, latin (1342, pouillé de Tarbes) ;
- Montinhac (1429, censier de Bigorre) ;
- Montignac (fin XVIIIe siècle, carte de Cassini).
Étymologie : nom de domaine antique, du nom d'homme Montinius et suffixe -acum qui donne ac en gascon (= propriété de Montinius).
Nom occitan : Montinhac.
Histoire
Monographie
La commune de Montignac située sur le 2°10 de longitude Ouest et 43°environ de latitude Nord est limitée au Nord par la commune d’Angos, à l’Est par les communes de Mascaras et de Fréchou, au Sud par la commune de Barbazan-Dessus et à l’Ouest par celle d’ Allier et d’Angos.
Son étendue est de 108 hectare, 7 ares, 23 centiares.
La distance qui la sépare de Tarbes, son chef-lieu de canton, d’arrondissement et de département est de 10 kilomètres, d’après l’annuaire.
Montignac se trouve bâti à l’extrémité d’un petit coteau. Au pied de ce coteau s’ouvre sur une longueur de 18 à 20 kilomàtres une étroite vallée qui va rejoindre la plaine de l’Adour au delà de Rabastens.
Couvert de terres labourables, de vigne et de bois le territoire forme une espàce de mamelon limité par deux ruisseaux qui lui forment, presque en entier, une ceinture. Ces deux ruisseaux sont le Lassarère et le Rieubarré. Le premier prend sa source dans le bois de Lassarère (Commune de Barbazan-Dessus) et le second, dans le territoire de la commune.
Les terres sont argileuses, assez fertiles, cinq puits et cinq fontaines fournissent de l’eau potable.
L’altitude de Montignac est de 300 mètres environ, le climat est assez doux et très sain, les vents y soufflent, la température est très variable et les précipitations abondantes.
Le dernier recensement a donné le chiffre de 126 pour la population de la commune de Montignac, surpassant de 5 unités le chiffre donné par le recensement de 1881 ; et aujourd’hui il est dépassé : l’année 1881 comptant 3 naissances et pas de décès, pas d’immigration.
La commune compte 25 feux. Elle est administrée par un conseil municipal composé d’un maire , d’un adjoint et de 8 conseillers.
Le seul fonctionnaire municipal est l’instituteur.
Pour le service religieux, elle est annexée à la commune d’Angos.
Elle fait partie de la perception de Soues, et elle est desservie par le bureau de Tarbes pour les postes et télégraphes.
Valeur du centime le franc 0f ,488. Revenus ordinaires 803f.,42.
III
Les principales productions du territoire sont :
- 1- Graines alimentaires : froment, seigle, méteil, orge, avoine, maïs
- 2- Tubercules et racines : pommes-de-terre, betteraves, (pour l’alimentation du bétail seulement) carottes, raves
- 3- Fourrages annuels : trèfle incarnat, luzerne
- 4- Prairies naturelles : foin et regain
- 5- Plantes textiles et oléagineuses : Lin
- 6- Cultures arborescentes : poiriers, pommiers, abricotiers, pruniers, figuiers, pêches, cerisiers, châtaigniers
- 7- Vignes : produisant du vin blanc . Si elles ne sont pas phylloxérées, elles sont atteintes depuis deux ans par le mildiou
- 8- Bois et forêts (non soumis au régime forestier) : chênes, châtaigniers, hêtres, bouleaux, etc.…
Les cultures principales sont le froment, le maïs et les pommes-de-terre.
Procédés de culture : Peu ou point de jachères. Au champ qui a donné une récolte en froment ou autres céréales on plante du maïs, des pommes-de-terre, un peu de betteraves et vice versa. Les instruments de travail sont tous primitifs.
Animaux : Les principaux animaux qu’on élève sont : les chevaux, les ânes, les bœufs, les vaches, les veaux, les cochons, les poules, les oies, les canards, les dindons et les pigeons.
Chasse et pêche : Principales espèces de gibier : le lièvre, la perdrix rouge, la caille, la palombe, la grive et la bécasse. Pêche inconnue
Voies de communication :
Chemin d’intérêt commun n° 25 d’un côté au chemin de grande communication n° 5 de Rabastens à Bagnères-de -Bigorre et de l’autre au chemin départemental de Tarbes à Bagnères. Ce chemin traverse, en outre, la route nationale de Tarbes à Toulouse.
Un chemin vicinal partant de Montignac et appartenant à la commune d’Angos et de Barbazan Debat, aboutit également à la même route à Piétat (hameau de cette dernière commune). Les seuls moyens de transport sont les voitures privées et surtout les bêtes de somme.
Commerce local
Il n’y a pas de commerce local. Les échanges ou ventes ont lieu pour le bétail dans les foires et marchés de Tarbes, Bagnères, Rabastens et Tournay.
Pour les grains, légumes etc. Tarbes, Tournay et Bagnères.
Mesures locales
Pour les matières sèches : le quarteron (25 hl) le demi quarteron (12 hl) et le quart de quarteron (6hl 25).
Pour les liquides : le char de vin (840 litres) et la mesure 52 litres.
IV
Le nom de Montignac dérive probablement de la position sur un monticule, Monti (Je monte) GNAC (un peu), d’après l’expression du pays. En effet, si l’on arrive du Nord, de l’Est ou de l’Ouest, il faut monter pour arriver à Montignac.
Montignac possédait il y a vingt ans un joli château aujourd’hui démoli et dont il ne reste que quelques vestiges.
On ne sait pas au juste à qui il a appartenu à l’origine et les archives communales sont muettes à cet égard.
Ces archives, du reste, ne remontent qu’à l’année 1793 et ne contiennent que des actes de l’état civil.
On y voit qu’en 1810 Duffourc d’Antist était maire de la commune de Montignac ; il était propriétaire du château. Il est probable que c’est vers cette époque que le sus-nommé était commandant du fort de Lourdes. Un Duffourc d’Antist, fils du précédent était général ; il était né à Tarbes et est mort à Jurançon (Basses-Pyrénées). D’apràs les vieillards de la commune, avant les Duffourc d’Antist, le château aurait appartenu à une famille de Nodrest.
On raconte même qu’à l’époque de la Terreur une demoiselle propriétaire du château aurait été envoyée par des individus étrangers à la localité dans un étang voisin de l’église.
Le langage des habitants est le patois de Bigorre à peu près le même partout, à part certaines nuances. Le chant patois tend à disparaître.
Les mœurs à Montignac y sont assez paisibles ; on y pratique le culte catholique ; les costumes ne présente aucune particularité, et l’alimentation se compose de légumes et fruits, confits, porc salé. Peu de viande de boucherie.
Enseignement
Les documents manquent encore à cet égard. Les plus vieux racontent que les instituteurs étaient choisis, par le conseil municipal ; quelquefois par les habitants réunis et que s’il se présentait deux candidats, à la fois, on le choisissait par acclamation, ou bien si les deux aspirants instituteurs avaient chances égales, on avait recours à l’élection. On votait.
L’enseignement consistait dans la lecture, l’écriture et un peu de calcul, et il se donnait quelquefois dans une chambre mal éclairée, le plus souvent dans une grange ou sous un hangar.
À cette époque, on se faisait instituteur, pour échapper à la conscription. Bien souvent, deux communes voisines étaient desservies par le même instituteur.
Aujourd’hui, cet état de chose a partout disparu. La commune de Montignac possède une jolie petite salle d’école bien disposée, bien éclairée, bien aérée. Malheureusement, on ne peut pas en dire autant du logement de l’instituteur qui est très malsain.
La commune possède une école mixte qui est fréquentée assez régulièrement mais le matériel scolaire (surtout les tables) laisse beaucoup à désirer, les tables auraient besoin d’être renouvelée.
La commune n’ayant que ses revenus ordinaires, se trouvant au nombre des plus imposés, (0f,488 par franc), ne peut faire aucun sacrifice pour réaliser les améliorations que réclament soit la maison d’école, soit le logement de l’instituteur dont le traitement est de 1200 francs.
Il faut compter au nombre des créations nouvelles une caisse des écoles et une caisse d’épargne scolaire.Cadastre napoléonien de Montignac
Le plan cadastral napoléonien de Montignac est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[20].
Politique et administration
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Liste des maires
Historique administratif
Pays et sénéchaussée de Bigorre, quarteron de Tarbes, canton de Tarbes puis de Bernac-Debat (1790), Tarbes-Sud (1801), de Séméac (1973)[21].
Intercommunalité
Montignac appartient à la Communauté d'agglomération Tarbes-Lourdes-Pyrénées créée en et qui réunit 86 communes.
Services publics
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24]. En 2018, la commune comptait 142 habitants[Note 4], en augmentation de 30,28 % par rapport à 2013 (Hautes-Pyrénées : +0,14 %, France hors Mayotte : +1,78 %). |
Population et société
Enseignement
La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2016[27].
Culture locale et patrimoine
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Lieux et monuments
- Église de l'Assomption de Montignac.
Héraldique
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Blasonnement :
D'azur au mont isolé d'argent accompagné de trois étoiles d'or rangées en chef[28].
Commentaires : Ce blason est officiel (vérifié auprès de la mairie). |
Voir aussi
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Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Montignac sur le site de l'Insee
- Montignac sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Métadonnées de la commune de Montignac », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Montignac et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Montignac et Barbazan-Debat », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Montignac », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 287-289.
- Carte IGN sous Géoportail
- « Climatologie mensuelle à Tarbes », sur le site de l'association InfoClimat (consulté le ).
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Montignac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Montignac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune de Montignac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Tarbes », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Insee : Rapport statistique communal pour la commune de Montignac
- Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Conseil Général des Hautes Pyrénées, 2000.
- Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Monographie de Montignac en 1887
- Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de Montignac en 1819
- Archives départementales des Hautes-Pyrénées
- « Liste des juridictions compétentes pour Montignac (Hautes-Pyrénées) », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Annuaire : Résultats de recherche », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
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