Montcabrier (Lot)

Montcabrier est une commune française située dans le département du Lot, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Montcabrier.

Montcabrier

Mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Cahors
Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée du Lot et du Vignoble
Maire
Mandat
Didier Doriac
2020-2026
Code postal 46700
Code commune 46199
Démographie
Gentilé Cabrimontains
Population
municipale
352 hab. (2018 )
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 32′ 33″ nord, 1° 04′ 30″ est
Altitude 191 m
Min. 103 m
Max. 271 m
Superficie 21,75 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Puy-l'Évêque
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Montcabrier
Géolocalisation sur la carte : Lot
Montcabrier
Géolocalisation sur la carte : France
Montcabrier
Géolocalisation sur la carte : France
Montcabrier
Liens
Site web Site officiel

    Géographie

    Commune située dans le Quercy en Bouriane sur la Thèze et sur l'ancienne route nationale 673, entre Fumel et Gourdon.

    Communes limitrophes

    Montcabrier est limitrophe de six autres communes dont une en Dordogne et une autre en Lot-et-Garonne.

    Carte de la commune de Montcabrier et de ses proches communes.

    Hydrographie

    La commune est arrosée par la Thèze un affluent rive droite du Lot.

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 2 175 hectares ; son altitude varie de 103 à 271 mètres[1].

    Voies de communication et transports

    Accès avec la route départementale 673. Sur la Via Arvernha chemin contemporain du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 12,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 893 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Anglars », sur la commune d'Anglars-Juillac, mise en service en 1989[7]et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[8],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 796,6 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961 et à 33 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[13].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14],[15].

    Un espace protégé est présent sur la commune : les « falaises lotoises (rapaces) », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 6,6 ha[16].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 3] est recensée sur la commune[17] : les « coteaux de Montcabrier » (161 ha)[18].

    Urbanisme

    Typologie

    Montcabrier est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[19],[20],[21]. La commune est en outre hors attraction des villes[22],[23].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (63,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (63,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (63,2 %), zones agricoles hétérogènes (31,3 %), prairies (5,5 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le toponyme Montcabrier, en occitan Montcabrièr, est basé les mots occitan mont issu du latin montem qui désigne un endroit élevé[25] et sur cabrièr pour une étable ou un parc à chèvres[26].

    Histoire

    La bastide de Montcabrier fut fondée en 1298 par le sénéchal du Périgord et du Quercy, Guy de Caprary, sous le règne de Philippe le Bel.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze[27],[28].

    Rattachements administratifs et électoraux

    Commune faisant partie de l'arrondissement de Cahors de la communauté de communes de la Vallée du Lot et du Vignoble et du canton de Puy-l'Évêque.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[29]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1840 1843 Jean Laborde    
    1843 1848 Jean Austry    
    1848 1855 Chery Ballande    
    1855 1882 François Laporte    
    1882 1885 Jean Jauffrau    
    1885 1888 Denat    
    1888 1893 Jean Jauffrau    
    1893 1895 François Amouroux    
    1895 1902 Pierre Denuc    
             
    avant 1981  ? Michel Delmas    
             
    2001 2008 Pierre Oulières    
    2008
    (réélu en mai 2020)
    En cours Didier Doriac    

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

    En 2018, la commune comptait 352 habitants[Note 5], en augmentation de 2,62 % par rapport à 2013 (Lot : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1841 1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876
    5601 1421 0631 1221 0721 036991953914
    1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926
    845844849855786663626524530
    1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990
    513485449511403426380352403
    1999 2005 2010 2015 2018 - - - -
    385391351353352----
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[34] 1975[34] 1982[34] 1990[34] 1999[34] 2006[35] 2009[36] 2013[37]
    Rang de la commune dans le département 61 83 87 85 93 103 121 131
    Nombre de communes du département 340 340 340 340 340 340 340 340

    Enseignement

    Montcabrier fait partie de l'académie de Toulouse.

    Culture et festivités

    Comité des fêtes, salle des fêtes, festival 8 de Montcabrier, musée Le Livre et de La Lettre[38],

    Activités sportives

    Football, chasse, pétanque, randonnée pédestre], gymnastique, pêche[39],

    Écologie et recyclage

    La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre du SYDED[40].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La bastide est bien implantée, avec ses rues parallèles qui s'organisent autour d'une place carrée bordée de façades médiévales avec arcades et cornières en encorbellement.

    À noter :

    • des escaliers dans les entremis séparant les habitations.
    • L'église Saint-Louis du XIIIe siècle a été construite à l'emplacement d'une chapelle romane, à l'initiative de Philippe IV, en l'honneur de la canonisation de saint Louis. Elle fut reconstruite en partie au XIVe siècle. Les parties hautes de la nef et de la sacristie en chevet datent du XVIIIe siècle. L'église fut amputée d'une travée à l'ouest, à la suite d'un incendie, et la façade a été reconstruite à la fin du XIXe siècle[41] Elle domine la place de toute la hauteur de son clocher-mur à six arcatures et son portail rayonnant intégrant une rosace ; curieuse porte latérale ornée d'un arc ployé en contrecourbe ; l'édifice est inscrit au titre des monuments historiques, d'abord partiellement en 1925, puis intégralement en 2003[42].
    • Le presbytère surmonté de sa mitre de cheminée ajourée.
    • La maison dite de la cour de justice avec son échauguette du XVIe siècle.
    • L'ancienne maison de la jugerie avec sa fenêtre Renaissance date du XVIe siècle. Sa façade est inscrite au titre des monuments historiques en 1925[43].
    • Vestiges de l'enceinte, remparts, porte fortifiée, tour d'angle.

    À proximité :

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason
    De gueules au bouc bondissant par-dessus un chêne posé au sommet d'une montagne, le tout d'argent, au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs de lis d'or.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Anglars - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Montcabrier et Anglars-Juillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Anglars - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Montcabrier et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    15. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    16. « les « falaises lotoises (rapaces) » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « Liste des ZNIEFF de la commune de Montcabrier », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « ZNIEFF les « coteaux de Montcabrier » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    21. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    25. Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy : Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127 p. (ISBN 2-910540-16-2), p. 117.
    26. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 2, Librairie Droz, , 1380 p., p. 1171
    27. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    28. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Municipales/elecresult__MN2014 (consulté le ).
    29. « Les maires de Montcabrier », sur Site francegenweb, (consulté le ).
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    34. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    35. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    36. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    37. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    38. http://www.lelivreetlalettre.com/
    39. « Vie Locale », sur Montcabrier (consulté le ).
    40. « Accueil », sur SYDED du Lot (consulté le ).
    41. Fondation du Patrimoine.
    42. « Église Saint-Louis », notice no PA00095171, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 18 septembre 2014.
    43. « Maison du 16e siècle », notice no PA00095173, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    44. « Ruines de l'église et château de Pestillac », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    45. Patrimoines Midi-Pyrénées : église paroissiale Saint-Martin
    46. « Église paroissiale Saint-Martin », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    47. Midi-Pyrénées : église paroissiale Notre-Dame
    48. « Eglise Notre-Dame de Pestillac », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    49. Patrimoines Midi-Pyrénées : église Saint-Caprais ; demeure dite repaire
    • Portail du Lot
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.