Mons-en-Montois

Mons-en-Montois est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Mons (homonymie).

Mons-en-Montois

La mairie.
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Provins
Intercommunalité Communauté de communes de la Bassée - Montois
Maire
Mandat
Bruno Demaegdt
2020-2026
Code postal 77520
Code commune 77298
Démographie
Gentilé Montoyens
Population
municipale
449 hab. (2018 )
Densité 72 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 29′ 20″ nord, 3° 08′ 50″ est
Altitude Min. 66 m
Max. 146 m
Superficie 6,23 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Donnemarie-Dontilly
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Provins
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Mons-en-Montois
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Mons-en-Montois
Géolocalisation sur la carte : France
Mons-en-Montois
Géolocalisation sur la carte : France
Mons-en-Montois

    Géographie

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte avec les communes environnantes

    Localisation

    La commune est située à environ 20 kilomètres au nord-est de Montereau-Fault-Yonne[Carte 1].

    Communes limitrophes

    Meigneux Cessoy-en-Montois
    N Thénisy
    O    Mons-en-Montois    E
    S
    Donnemarie-Dontilly Sigy

    Géologie et relief

    La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1].

    Réseau hydrographique

    Carte des réseaux hydrographique et routier de Mons-en-Montois.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose d'un seul cours d'eau référencé : le ruisseau de Mons, 4,11 km[2], affluent de l’Auxence.

    Par ailleurs, son territoire est également traversé par l’Aqueduc de la Voulzie.

    La longueur linéaire global de cours d'eau sur la commune est de 1,45 km[3].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[4].

    La commune fait partie du SAGE « Bassée Voulzie », en cours d'élaboration en décembre 2020. Le territoire de ce SAGE concerne 144 communes dont 73 en Seine-et-Marne, 50 dans l'Aube, 15 dans la Marne et 6 dans l'Yonne, pour une superficie de 1 710 km2[5],. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par Syndicat Mixte Ouvert de l’eau potable, de l’assainissement collectif, de l’assainissement non collectif, des milieux aquatiques et de la démoustication (SDDEA), qualifié de « structure porteuse »[6].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,7 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 4,5 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,6 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 710 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : -4,2 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : -2,1 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[7].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[8]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[7]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[9]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 37 km à vol d'oiseau[10], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[11] à 11,6 °C pour 1991-2020[12].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[13],[14],[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Mons-en-Montois est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[16],[17],[18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Donnemarie-Dontilly, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[19] et 3 284 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[20],[21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire regroupe 1 929 communes[22],[23].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    La commune compte 72 lieux-dits administratifs[Note 4] répertoriés[24].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (72,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (69,7% ), forêts (19,7% ), zones urbanisées (7,7% ), zones agricoles hétérogènes (2,9 %)[25].

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[26],[27],[Carte 2]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].

    Planification

    La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Grand Provinois, dont le projet a été arrêté le , porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) du Grand Provinois, qui regroupe les Communautés de Communes du Provinois et de Bassée-Montois, soit 82 communes[28].

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[29]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 4].

    Logement

    En 2017, le nombre total de logements dans la commune était de 223 dont 98,7 % de maisons et 0,9 % d'appartements[Note 5].

    Parmi ces logements, 85,2 % étaient des résidences principales, 9,6 % des résidences secondaires et 5,2 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 89,3 % contre 8,6 % de locataires et 2,1 % logés gratuitement[30].

    Toponymie

    Le nom de la localité est mentionné sous les formes « Villa que vocatur Mons in pago Miliduno » en 862[31] ; Mons, villa in pago Milidunensi en 919[32] ; Mons in pago Militunensi en 938[33] ; Mons villa en 978[34] ; Munz vers 1150[35] ; Montes juxta Dominam Mariam en 1250[36] ; Les Mons vers 1250[37] ; Monz en 1275[38] ; Mons en Montois en 1581[39] ; Mons-en-Montois (Décret du ).

    Du latin mons, « colline ».

    Le Montois est une région naturelle d'Île-de-France.

    Histoire

    Le , les Anglo-Bourguignons massacrent 234 habitants, les faisant brûler vifs dans l'église.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1992 2020 Jean-Marie Minost[40]   Retraité
    2020 en cours Bruno Demaegdt   Agriculteur

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [41],[42].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la commune de Mons-en-Montois gère le service d’assainissement collectif (collecte, transport et dépollution) en régie directe, c’est-à-dire avec ses propres personnels[43].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[44]. La communauté de communes de la Bassée - Montois (CCBM) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[43],[45].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la commune qui gère le service en régie[43],[46].

    Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Bassée Montois[47].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[49].

    En 2018, la commune comptait 449 habitants[Note 6], en diminution de 6,07 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +3,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    507480539701502500515523489
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    469454348438405346346318316
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    282285269252263260227269269
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    271245245264326390424473476
    2018 - - - - - - - -
    449--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[50] puis Insee à partir de 2006[51].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Agriculture

    Mons-en-Montois est dans la petite région agricole dénommée le « Montois », une petite région à l'est du département, en limite sud de la Brie[Carte 5]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 7] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[52].

    Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[53]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 6 en 1988 à 3 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 60 ha en 1988 à 148 ha en 2010[52]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Mons-en-Montois, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Mons-en-Montois entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[52],[Note 8]
    Nombre d’exploitations (u) 6 4 3
    Travail (UTA) 7 5 4
    Surface agricole utilisée (ha) 360 318 444
    Cultures[54]
    Terres labourables (ha) 360 318 444
    Céréales (ha) 295 206 s
    dont blé tendre (ha) 189 147 179
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 69 s s
    Tournesol (ha) s
    Colza et navette (ha) 23 s 92
    Élevage[52]
    Cheptel (UGBTA[Note 9]) 3 0 0

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Martin, des XIIIe et XVIe siècles, classée monument historique par arrêté du [55].
    • Depuis , le cimetière de Mons-en-Montois accueille entre ses murs Momtomb, œuvre de l'artiste franco-italien Wolfgang Natlacen[56].

    Cinéma associatif

    La ville abrite un cinéma associatif d’une cinquantaine de sièges qui en fait la plus petite salle de cinéma de France. La salle est classée « Arts et Essais », doté des labels « Recherche et Découverte » et « Patrimoine et Répertoire »[57].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations, un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    5. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    7. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    8. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    9. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Localisation de Mons-en-Montois » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2018)..
    2. « Mons-en-Montois - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    3. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    4. « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

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    3. Site SIGES - Seine-Normandie consulté le 21 juin 2018
    4. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
    5. « SAGE Bassée Voulzie - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le ).
    6. « Ile SDDEA et sa régie », sur www.sddea.fr, (consulté le ).
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    10. « Orthodromie entre Mons-en-Montois et Melun-Villaroche », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
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    14. « Liste des ZNIEFF de la commune de Mons-en-Montois », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    15. « Liste des espaces protégés sur la commune de Mons-en-Montois », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    30. Statistiques officielles de l'Insee, section Logement consulté le 12 août 2020
    31. D. Martène, Ampliss. coll., I, col. 163.
    32. D. Martène, Ampliss. coll., E, col. 274.
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    34. Henri Stein et Jean Hubert, Dictionnaire topographique du département de la Seine-et-Marne, Paris, (lire en ligne), p. 371.
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    56. Le Parisien "Le Parisien - 21/08/2010 - Une tombe en forme de table de pique-nique".
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