Marnhagues-et-Latour

Marnhagues-et-Latour est une commune française, située dans le département de l'Aveyron en région Occitanie.

Marnhagues-et-Latour

Château de Latour
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Aveyron
Arrondissement Millau
Intercommunalité Communauté de communes Larzac et Vallées
Maire
Mandat
Jérôme Thibault-Laurent
2020-2026
Code postal 12540
Code commune 12139
Démographie
Gentilé Bernagols et Latounains.
Population
municipale
139 hab. (2018 )
Densité 6,3 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 52′ 24″ nord, 3° 01′ 50″ est
Altitude Min. 396 m
Max. 762 m
Superficie 21,92 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Affrique
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Causses-Rougiers
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Marnhagues-et-Latour
Géolocalisation sur la carte : Aveyron
Marnhagues-et-Latour
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Marnhagues-et-Latour
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Marnhagues-et-Latour

    Géographie

    Localisation

    Site

    Cette commune se compose du village de Latour et des hameaux de Marnhagues et de la Roquaubel. Elle se situe au centre de la vallée de la Sorgues, à 425 mètres d'altitude à mi chemin entre Cornus et Saint-Affrique.

    Hydrographie

    Réseaux hydrographique et routier de Marnhagues-et-Latour.

    La commune est drainée par la Sorgues, le ruisseau d'Annou, le ravin de Callongue, le ruisseau de Marnhagues, le ruisseau de Mas Calvi, le ruisseau de Rebouisses, le ruisseau de Rose, le ruisseau du Bruel, le ruisseau du Congrou, le ruisseau du Matas, le ruisseau du Vern et par divers petits cours d'eau[1].

    La Sorgues, d'une longueur totale de 46,4 km, prend sa source dans la commune de Cornus et se jette dans le Dourdou de Camarès à Vabres-l'Abbaye, après avoir arrosé 7 communes[2].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1970-2000
    • Moyenne annuelle de température : 12,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 10,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 165 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 4,4 j

    La commune bénéficie d’un « climat semi-continental », ou de marge de montagne, selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type, qui concerne l'est et le sud-est aveyronais, constitue une transition entre les climats de montagne et le climat océanique altéré[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[3]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[5]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Millau-Soulobres, qui se trouve à 25 km à vol d'oiseau de la commune[6], où la température moyenne annuelle évolue de 10,7 °C pour la période 1971-2000[7], à 10,9 °C pour 1981-2010[8], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[9].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[10]. Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé, le Parc naturel régional des Grands Causses, créé en 1995 et d'une superficie de 327 937 ha, s'étend sur 97 communes. Ce territoire rural habité, reconnu au niveau national pour sa forte valeur patrimoniale et paysagère, s’organise autour d’un projet concerté de développement durable, fondé sur la protection et la valorisation de son patrimoine[11],[12],[13].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal de Marnhagues-et-Latour comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2],[14], les « Prairies et pelouses de Lalric » (360,9 ha), couvrant 3 communes du département[15] , et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[14], le « Rougier de Camarès » (56 714 ha), qui s'étend sur 33 communes dont 32 dans l'Aveyron et 1 dans l'Hérault[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Marnhagues-et-Latour est une commune rurale[Note 4],[17]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Affrique, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 16 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20],[21].

    Infrastructures et occupation des sols de la commune de Marnhagues-et-Latour.

    Occupation des sols


    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (77,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (79,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (58 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (19,4 %), zones agricoles hétérogènes (18,7 %), prairies (2,8 %), terres arables (1,2 %)[22].

    Planification

    La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document essentiel d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCoT du Parc naturel régional des Grands Causses, approuvé le vendredi par le comité syndical et mis à l’enquête publique en décembre 2019. La structure porteuse est le Pôle d'équilibre territorial et rural du PNR des Grands Causses, qui associe huit communautés de communes, notamment la communauté de communes Larzac et Vallées, dont la commune est membre[23].

    La commune disposait en 2017 d'un plan local d'urbanisme en révision[24]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[25].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Marnhagues-et-Latour est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier, le risque radon[26],[27].

    Risques naturels

    Zones inondables de la commune de Marnhagues-et-Latour.

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de la Sorgues. Les dernières grandes crues historiques, ayant touché plusieurs parties du département, remontent aux 3 et (dans le bassin du Lot, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn) et au (bassins de la Sorgues et du Dourdou)[28]. Ce risque est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du Plan de prévention du risque inondation (PPRI) du bassin du bassin de la « Sorgues et du Dourdou de Camarès aval »[29], approuvé le 23 mai 2017[30].

    Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité très forte[31].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés à la présence de cavités souterraines localisées sur la commune[32],[33].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon le dossier départemental des risques majeurs du département établi en 2013, la commune de Marnhagues-et-Latour est classée à risque moyen à élevé[34]. Un décret du a modifié la terminologie du zonage définie dans le code de la santé publique[35] et a été complété par un arrêté du portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français. La commune est désormais en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[36].

    Histoire

    Le village de Latour est construit sur l'emplacement d'un oppidum romain. Du haut Moyen Âge jusqu'à la Révolution, il est le siège d'un fief considérable dirigé par les seigneurs locaux successifs, à l'abri dans leur château de Latour. Le hameau de Marnhagues, appelé anciennement "Villa de Marcellanicus" était aussi peuplé que le village voisin de Latour.

    La commune abrite, dans la vallée de l'Annou, l'abbaye de Nonenque, ancienne et puissante abbaye de moniales cisterciennes, fondée par Sylvanès au XIIe siècle. Démantelée à la Révolution, elle devient exploitation agricole. En 1927, une communauté de moniales de l'ordre des Chartreux s'y installe et redonne aux bâtiments leur fonction première. À l'extrémité de la vallée, près de la chapelle romane de Saint-Amans, un lieu-dit "Métairie de France", ancienne Grange de Nonenque, témoigne, avec beaucoup d'autres, du passé cistercien de la région.

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune de Marnhagues-et-Latour est membre de la communauté de communes Larzac et Vallées[37], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Cornus. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[38].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Millau, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[37]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton des Causses-Rougiers pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[37], et de la troisième circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[39].

    Élections de 2020

    Le conseil municipal de Marnhagues-et-Latour, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[40] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[41]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. La totalité des onze candidats en lice[42] est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 72,14 %[43]. Jérôme Thibault-Laurent, maire sortant, est réélu pour un nouveau mandat le [44].

    Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[45]. Un siège est attribué à la commune au sein de la communauté de communes Larzac et Vallées[46].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1995 en cours Jérôme Thibault-Laurent[47],[48]   Ancien cadre
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[50].

    En 2018, la commune comptait 139 habitants[Note 6], en augmentation de 13,01 % par rapport à 2013 (Aveyron : +0,55 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1841 1846 1851 1856 1861 1866 1872
    203194300315320286248402402
    1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921
    398372425404331294295278201
    1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
    176247230179155128144146132
    1990 1999 2006 2007 2012 2017 2018 - -
    102132142144125139139--
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[51] puis Insee à partir de 2006[52].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Marnhagues

    • La chapelle romane de Marnhagues et celle de Saint-Amans, bâtie au bord de la Sorgues.

    Latour

    • Le vieux village de Latour qui a gardé un fort caractère médiéval.
    • L'église Saint-Armand de Latour.
    • Le château de Latour. Tours avec leur chemin de ronde, plafond peint du XVIe siècle. Il abrite également la reconstitution d'une cellule de moniales de l'abbaye voisine de Nonenque, ainsi que des expositions temporaires.

    Abbaye de Nonenque

    Abbaye de Cisterciennes[53] fondée en 1146 par Guiraud, abbé de Sylvanès, placée sous la protection d'Alphonse de Poitiers et des comtes de Rodez, ce qui n'empêcha pas son incendie par les Protestants au XVIe siècle. Reconstruite au XVIIe siècle, elle fut supprimée à la Révolution. Ses bâtiments conventuels abritent depuis 1927 une communauté de moniales chartreuses.

    Bibliographie

    • Camille Couderc et Jean-Louis Rigal, Cartulaire et documents de l'abbaye de Nonenque, Rodez, Commission des archives historiques du Rouergue, coll. « Archives historiques du Rouergue » (no 18), , 754 p., in-4° (ISSN 1245-9747, notice BnF no FRBNF34103672)
    • (oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf. Jean Geniez), Cornus : Lo Clapièr, Fondamenta-Montpao(n), La Panosa, Senta-Aularia, Sent-Baulise, Sent-Jan-Sent-Paul, La Tor-Marn(h)agas, Lo Vialar / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton de Cornus, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 239 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-32-7, ISSN 1151-8375, notice BnF no FRBNF36694302)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    4. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Fiche communale de Marnhagues-et-Latour », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    2. Sandre, « la Sorgues »
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Orthodromie entre Marnhagues-et-Latour et Millau », sur https://fr.distance.to/ (consulté le ).
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    8. « Station météorologique de Millau-Soulobres - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    9. « Station météorologique de Millau-Soulobres - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    50. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    51. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    52. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    53. (notice BnF no FRBNF14410063)
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