Marguerite-Marie Alacoque

Marguerite Alacoque, en religion sœur Marguerite-Marie, née le à Verosvres, petit village de Bourgogne et morte le à Paray-le-Monial, était une religieuse de l’ordre de la Visitation, mystique et inspiratrice du culte du Sacré-Cœur de Jésus et reconnue sainte par l'Église catholique. Elle a été béatifiée en 1864, puis canonisée en 1920, et sa fête est le 16 octobre.

Sainte Marguerite-Marie Alacoque

Vision de Marguerite-Marie, par Armand Cambon Cathédrale de Montauban.
apôtre du Sacré-Cœur
Naissance 22 juillet 1647
Verosvres, royaume de France
Décès 17 octobre 1690 (à 43 ans) 
Paray-le-Monial, royaume de France
Nom de naissance Marguerite Alacoque
Nationalité Française
Ordre religieux Visitation de Sainte-Marie
Vénéré à Paray-le-Monial chapelle des apparitions, rue de la visitation
Béatification 18 septembre 1864
par Pie IX
Canonisation 13 mai 1920
par Benoît XV
Vénéré par l'Église catholique romaine
Fête 16 octobre
Attributs Habit de visitandine avec l'image du sacré-cœur en main ou agenouillée devant l'apparition du Sacré-Cœur.

Biographie

Enfance

Blason de la famille Alacoque, notamment Chrysostome Alacoque, frère ainé de Sainte Marguerite-Marie
Blason de la famille Lamyn, famille maternelle de Sainte Marguerite-Marie

Marguerite Alacoque est le cinquième enfant de Claude Alacoque et Philiberte Lamyn, qui jouissent d’une bonne position sociale dans leur paroisse. Dès sa prime enfance, Marguerite fait preuve d’une dévotion particulière envers le Saint-Sacrement, et elle préfère le silence et la prière aux jeux de son âge.

À cinq ans, lors d’un séjour chez sa marraine, dont la fille est religieuse, elle entend parler des vœux religieux et, à l’insu de tous, elle fait sa première consécration à la messe en prononçant ces mots : « Ô mon Dieu, je vous consacre ma pureté et vous fais vœu de perpétuelle chasteté ».

À l’âge de neuf ans, après sa première communion, elle pratique en secret des mortifications sévères de son corps, avant que la paralysie ne la cloue au lit pendant quatre ans.

À la fin de cette période, ayant fait le vœu à la Vierge de se consacrer à la vie religieuse, elle se serait retrouvée guérie sur-le-champ. En reconnaissance, le jour de sa confirmation par Mgr Jean de Maupeou, elle ajoute le prénom « Marie » à son prénom de baptême.

Adolescence

Église Saint-Nicolas de L'Hôpital (Moselle) : vitrail de sainte Marguerite-Marie Alacoque et Jésus.

Devenue orpheline de père, elle est recueillie avec sa mère chez des parents qui les tourmentent, leur ôtant tout contrôle de leurs biens et de leurs actes. Marguerite-Marie trouve son réconfort dans la prière, et c'est alors qu'elle aurait ses premières visions de Jésus-Christ. Il lui apparaissait d'habitude sur la croix ou lors de l'épisode de l’Ecce Homo et elle ne s’en étonnait pas, pensant que d'autres recevaient aussi ces visions.

Quand elle a dix-sept ans, sa famille peut récupérer son bien et sa mère lui confie son désir de l’établir dans le monde. Alors, bien que régulièrement meurtrie par les pénitences qu’elle s’impose, elle commence à participer aux activités mondaines.

Une nuit, alors qu’elle revient d’un bal, elle aurait une vision du Christ pendant la flagellation : il lui reproche son infidélité après qu’il lui a donné tant de preuves d'amour. Pendant le reste de sa vie, Marguerite-Marie pleura deux « fautes » qu’elle avait commises en ce temps-là : avoir porté quelques ornements et mis un masque au carnaval pour faire plaisir à ses frères.

Entrée en religion

Elle visite plusieurs couvents, et en entrant dans celui de la Visitation de Paray-le-Monial, elle affirme qu’une voix intérieure lui dit « C’est ici que je te veux ».

Le , à l'âge de 24 ans, elle entre au monastère et, en , elle prononce ses vœux perpétuels. De santé fragile, elle n'en continue pas moins ses flagellations, ainsi que les macérations les plus extrêmes, voire les plus répugnantes, qu'elle mentionne elle-même dans ses Mémoires[1].

Les apparitions

Église Saint-Brice à Hombourg (Belgique) : vitrail de sainte Marguerite-Marie Alacoque et Jésus.

Peu après son entrée au monastère, elle reçoit, d'après son propre témoignage, plusieurs apparitions privées du Christ.

La plus célèbre de ces apparitions est celle de  : Jésus lui montre son cœur en disant « Voici ce Cœur qui a tant aimé les hommes, […] jusqu’à s’épuiser et se consumer pour leur témoigner son amour. Et pour reconnaissance, je ne reçois de la plupart qu'ingratitude ».

Une autre fois, il lui dit « Mon divin Cœur est […] passionné d’amour pour les hommes, et pour toi en particulier ». Dès lors, Marguerite-Marie se dit investie par le Christ de la mission d'établir une dévotion particulière envers le Sacré-Cœur.

Selon elle, Il lui confie une autre mission : le , il demande au roi de France Louis XIV la "consécration de la France à son Sacré-Cœur et sa représentation sur les étendards du royaume.

Tout comme la demande de consécration de la Russie au Cœur immaculé de Marie, cette demande est restée lettre morte. Certains auteurs (notamment l'abbé Émile Bougaud dans son Histoire de la Bienheureuse Marguerite-Marie, Poussielgue, 1874, ou le Chanoine Crépin, dans un article du Bulletin de l'Œuvre du Sacré-Cœur de Montmartre, ) ont observé que c'est exactement 100 ans plus tard, le 17 juin 1789, que le Tiers état se proclame Assemblée nationale, créant ainsi la rupture avec la France de Clovis[2],[3].

À l'inverse, le cardinal Billot, dans Le Figaro du , tout en rappelant l'excellence de la dévotion au Sacré-Cœur, fait part de ses doutes sur l'authenticité de cette demande particulière adressée à Louis XIV et surtout expose les obstacles théologiques et pratiques qu'elle impliquerait selon lui[4]. Et pourtant la Vierge Marie fera une référence explicite lors de l'apparition d' à ce refus par la France de consécration au Sacré-Coeur de Jésus .

La vénération du Sacré-Cœur

Ces manifestations lui valurent d'être mal considérée par le reste des membres de la communauté, qui la traitaient de « visionnaire », au point que sa supérieure lui donna l'ordre de se plier à la vie commune. Cependant, son obéissance, son humilité et sa charité envers ceux qui la persécutaient finirent enfin par l’emporter et sa mission vint à être reconnue par ceux-là même qui lui avaient montré la plus forte opposition.

Avec l’aide du père Claude La Colombière, son « vrai et parfait ami », Marguerite-Marie fera connaître le message que Jésus lui aurait adressé. C’est le début du culte du Sacré-Cœur. Marguerite-Marie établit la pratique de l'Heure Sainte, qui pour elle consiste à prier, étendue par terre, le visage contre le sol depuis onze heures du soir jusqu'à minuit le premier jeudi de chaque mois, afin de partager la tristesse mortelle qu'avait supportée le Christ, quand il fut abandonné à son agonie par ses Apôtres (Gethsémani), puis à recevoir le lendemain la Communion[5].

Selon elle, le Christ lui aurait confié désirer que soit célébrée une fête en l'honneur de son Cœur le vendredi qui suit l'octave de la fête de son Corps ; et il aurait appelé la religieuse « disciple bien-aimée du Cœur Sacré » et héritière de tous Ses trésors.

La pratique de la dévotion des neuf premiers vendredis du mois (le premier vendredi du mois, neuf mois d'affilée) tient son origine de la “grande promesse de Jésus à sainte Marguerite-Marie Alacoque“ :

« Je te promets dans l’excessive miséricorde de mon Cœur, que son amour tout-puissant accordera à tous ceux qui communieront les premiers vendredis du mois, neuf mois consécutifs, la grâce de la pénitence finale, ne mourant point dans ma disgrâce, ni sans recevoir les sacrements, mon divin Cœur se rendant leur asile assuré à ce dernier moment ».

À une époque où la communion sacramentelle des fidèles était très rare, la pratique des neuf premiers vendredis du mois contribua d’une manière significative à la reprise de la pratique plus fréquente des sacrements de la Pénitence et de l’Eucharistie.

La dévotion des premiers vendredis du mois est censée apporter les fruits spirituels relatifs aux 12 promesses suivantes de Jésus-Christ :

Peinture de la bienheureuse Marie du Divin Cœur et de sainte Marguerite-Marie Alacoque, les deux en adoration au Sacré-Cœur de Jésus.
  1. Je leur donnerai toutes les grâces nécessaires à leur état.
  2. Je mettrai la paix dans leur famille.
  3. Je les consolerai dans toutes leurs peines.
  4. Je serai leur refuge assuré pendant la vie et surtout à la mort.
  5. Je répandrai d'abondantes bénédictions sur toutes leurs entreprises.
  6. Les pécheurs trouveront dans mon Cœur la source et l'océan infini de la miséricorde.
  7. Les âmes tièdes deviendront ferventes.
  8. Les âmes ferventes s'élèveront à une grande perfection.
  9. Je bénirai moi-même les maisons où l'image de mon Sacré-Cœur sera exposée et honorée.
  10. Je donnerai aux prêtres le talent de toucher les cœurs les plus endurcis.
  11. Les personnes qui propageront cette dévotion auront leur nom écrit dans mon Cœur, où il ne sera jamais effacé.
  12. Je te promets, dans l'excès de la miséricorde de mon Cœur, que son amour tout-puissant accordera à tous ceux qui communieront les premiers vendredis du mois, neuf fois de suite, la grâce de la pénitence finale, qu'ils ne mourront point dans ma disgrâce, ni sans recevoir leurs Sacrements, et que mon divin Cœur se rendra leur asile assuré à cette dernière heure.

Par l'insertion intégrale de cette promesse dans la Bulle de canonisation de Sainte Marguerite-Marie[6], en date du , le pape Benoît XV a encouragé la pratique des communions réparatrices des neuf premiers vendredis du mois, en l'honneur du Sacré-Cœur.

Au cours de sa dernière maladie, elle refuse tout soulagement, ne cessant de répéter « Ce que j’ai dans le Ciel et ce que je désire sur la terre, c’est toi seul, ô mon Dieu » et elle meurt en prononçant le nom de Jésus.

Le procès en canonisation

L'ouverture de l'enquête diocésaine en vue d'une béatification a lieu le 15 octobre 1714[7] sous le pontificat du pape Clément XI.

La discussion au sujet de la mission et des vertus de Marguerite-Marie se poursuit pendant des dizaines d'années. On soumet à l’examen la totalité de ses actions, de ses révélations, de ses maximes spirituelles et de son enseignement concernant la dévotion au Sacré-Cœur, qu’elle avait exposé et dont elle était l'apôtre.

À terme, la Sacrée congrégation des rites émet un vote favorable et le  ; cent trente-quatre ans après sa mort, le pape Léon XII la proclame "Vénérable".

Le , à la suite de la reconnaissance par l'Église de trois miracles, le bref de béatification est signé sous le pontificat de Pie IX. La cérémonie de béatification a lieu le à Rome.

Marguerite-Marie Alacoque est canonisée par Benoît XV le [8].

Ses restes reposent dans la chapelle de la Visitation à Paray-le-Monial.

En 1901, en hommage à Marguerite-Marie Alacoque, la religieuse mexicaine, Maria Guadalupe Garcia Zavala, fonda, avec son directeur spirituel, le Père Cipriano Iñiguez, la congrégation des Servantes de Sainte Marguerite-Marie et des pauvres. En 1925, l'église Santa Margherita Maria Alacoque dans le quartier de l'Esquilin à Rome près de la basilique Sainte-Croix-de-Jérusalem lui est dédiée.

Critiques

Marguerite-Marie Alacoque est un personnage controversé par sa vie et par les révélations qu'elle aurait reçues, des apologètes se sont opposés à ces révélations, aussi bien dans le catholicisme[9],[10], que dans l'orthodoxie[11].

Les récits où Marguerite-Marie Alacoque prend en bouche du vomi et des excréments[12] sont souvent utilisés par ceux qui s'y opposent pour affirmer que cette forme de sainteté n'existe pas dans le premier millénaire et qu'il s'agit plutôt d'une illusion spirituelle (en) :

Et une fois que j'avais fait quelque soulèvement de coeur en servant une malade qui avait la dysenterie, il m'en reprit si fortement, que je [me] vis contrainte, pour réparer cette faute... d'y tremper ma langue... Après cela, il me dit : « Tu es bien bonne de faire cela. »[13]

Une certaine vision de la mortification et du dolorisme est poussée à l'extrême chez Marguerite-Marie Alacoque. Elle ira jusqu'à s'entailler la poitrine avec un canif afin de se montrer digne de recevoir l'amour de Jésus-Christ :

[...] il me fit une donation, me la faisant écrire de mon sang, selon qu'il me la dictait, puis je la signai sur mon cœur avec un canif, duquel j'écrivis son sacré nom de Jésus.[14]

Selon certains détracteurs, s'appuyant sur des propos à l'interprétation douteuse, Marguerite-Marie Alacoque a ainsi des visions sexualisées[15],[16],[17],[18],[19],[20],[21] comme le fait recevoir des « caresses » de la Vierge ou du Christ [12],[22]:

Car la très-sainte Vierge, ma bonne Mère, m'ayant gratifiée de sa présence, me fit de grandes caresses [...][23]

Une telle interprétation fait évidemment abstraction du sens qu'a le mot « caresse » à l'époque, ainsi la définition qu'en donne Antoine Furetière dans son dictionnaire publié en 1690[24] :

« Démonstration d'amitié ou de bienveillance qu'on fait à quelqu'un par un accueil gracieux, par quelque cageollerie. Il se dit des hommes, & de quelques animaux. Ce Prince a fait bien des caresses à cet Envoyé. Les caresses des femmes sont trompeuses. Les chiens font des caresses à leurs maistres.»

Tous ces éléments poussent de nombreux apologètes, notamment gallicans[9] qui cherchèrent même à interdire légalement en France l'institution de ce culte[25], à s'opposer à sa canonisation et au dogme qu'elle a poussé à être promulgué par l'intermédiaire des jésuites.[26],[27]

Notes et références

  1. Monastère de la Visitation, Paray-le-Monial, 1962, p. 71-73.
  2. Jacques Benoist, 'Le Sacré-Cœur de Montmartre de 1870 à nos jours', Paris, Les Éditions Ouvrières, , p.713
  3. Alain Denizot, 'Le Sacré-Cœur et la Grande Guerre', Paris, Nouvelles Éditions Latines, , 282 p. (ISBN 2-7233-0489-2, lire en ligne), p.75
  4. "Chimères! Chimères! Chimères! Qui ont le grand tort de donner le change sur une dévotion admirable, tout entière orientée vers l'acquisition et l'union des vertus surnaturelles, et vitam venturi saeculi"
  5. Marguerite-Marie Alacoque, Sainte Marguerite-Marie Alacoque : Sa vie par elle-même, Paris-Fribourg, Saint-Paul, , 152 p. (ISBN 2-85049-153-5)
  6. Acta Apostolicæ Sedis 1920, p. 503.
  7. Jean Ladame, Marguerite-Marie, La sainte de Paray, p. 343, Éd. Résiac, 1994, (ISBN 2-85268-118-8).
  8. Jean Ladame, Marguerite-Marie, La sainte de Paray, p. 354, Éd. Résiac, 1994 (ISBN 2-85268-118-8).
  9. Matthieu-Mathurin Tabaraud, Des Sacrés-Cœurs de Jésus et de Marie, précédés de quelques observations sur la nouvelle édition du bréviaire de Paris, Paris, Igonette, (lire en ligne)
  10. (la) Benoît XIV, De servorum dei beatificatione et beatorum canionizatione, Rome,
  11. René-François-Wladimir Guetté, La papauté hérétique exposé des hérésies : erreurs et innovations de l'Église romaine depuis sa séparation de l'église catholique au IX. siécle, Paris, Sandoz et Fischbacher, (lire en ligne), p. 71
  12. Michel Coddens, « Otage d'un absent », L'en-je lacanien, (lire en ligne)
  13. Marguerite-Marie Alacoque, Vie et révélations de sainte Marguerite-Marie Alacoque écrites par elle-même, Paris, Librairie saint Paul, (lire en ligne), p. 114
  14. Marguerite-Marie Alacoque, Vie et révélations de sainte Marguerite-Marie Alacoque écrites par elle-même, Paris, Librairie saint Paul, (lire en ligne), p. 129
  15. Georges Torris, « Coprophagie, psychopathologie », sur https://www.universalis.fr (consulté le )
  16. Éléonore Reverzy et Nicolas Bourguignat, Les Goncourt historiens, Strasbourg, Presses Universitaires de Strasbourg, , p. 129 : « Les troubles extatiques de cette dernière sont à la fois sexualisés et médicalisés »
  17. Dr. R. von Krafft-Ebing, Psychopathia Sexualis avec recherches spéciales sur l'inversion sexuelle, Good Press, réedition,
  18. Alfred Maury, Les mystiques extatiques et les stigmatisées, Paris, Annales médico-psychologiques, , p. 228
  19. Eric Bidaud, « Mystique, sexualité et vérité », Figures de la psychanalyse, (lire en ligne)
  20. Nazi Kendja, La femme mal accueillie et sa pulsion de mort, Université Paris Diderot / Université Mohammed V, (lire en ligne), p. 171 : « Marguerite-Marie Alacoque, Rabia AlAdaouya ou encore Thérèse de Lisieux, toutes sont des femmes qui symbolisent l’essence même du mystère de la mystique et son lot de pulsions sublimées. »
  21. Jacques-Alain Miller, L'a-graphe, l'inconscient et le corps, Paris / Rennes, Département de psychanalyse - Université Paris VIII - Section clinique de Rennes, 2012-2013, p. 76 : « Lacan s’arrête là. Il va considérer les mystiques, mais il recule quand même devant ces saintes femmes qui faisaient porter l’amour sur le réel, sur l’objet déchet de la jouissance de l’Autre (Marie Alacoque). Il considère que c’est plutôt du côté de la perversion que du mysticisme. »
  22. Marguerite-Marie Alacoque, Vie et révélations de sainte Marguerite-Marie Alacoque écrites par elle-même, Paris, Librairie saint Paul, (lire en ligne), p. 81 : « Des plus spéciales caresses et union d'amour que je recevais de ce bien-aimé de mon âme, et que je ne décris pas ici [...] »
  23. Marguerite-Marie Alacoque, Vie et révélations de sainte Marguerite-Marie Alacoque écrites par elle-même, Paris, Librairie saint Paul, (lire en ligne), p. 75
  24. « Caresse définition ancienne (17e siècle) », sur Le Robert Dico en ligne
  25. André-Marie-Jean-Jacques Dupin, Libertés de l'Eglise Gallicane : manuel du Droit Public Ecclésiastique, Paris, Henri Plon, , p. 257
  26. (la) Kasper Drużbicki, Meta cordium – Cor Jesu, Rome
  27. Jean Croiset, La dévotion au Sacré-Cœur de notre-seigneur Jésus-Christ avec la Bulle de Clément XI, l'abrégé de la vie de Marie Alacoque, l'office de l'Église pour cette dévotion, & ceux de la Divine Providence, & de la divine Miséricorde, Lyon,

Pour approfondir

Bibliographie

  • Abbé Émile Bougaud, Histoire de la bienheureuse Marguerite-Marie et des origines de la dévotion au Sacré-Coeur de Jésus : pour faire suite à l'Histoire de sainte Chantal, Poussielgue Frères, Paris, 1874
  • Père Jean Croiset, s.j., La dévotion au Sacré-Cœur de notre-seigneur Jésus-Christ avec la Bulle de Clément XI, l'abrégé de la vie de Marie Alacoque, l'office de l'Église pour cette dévotion, & ceux de la Divine Providence, & de la divine Miséricorde, Lyon, Les frères Bruyset,
  • Père Jean Croiset, s.j., La Dévotion au Sacré-Coeur de N.-S. Jésus-Christ (et la Vie de la Sœur Marguerite-Marie Alacoque), par un père de la Compagnie de Jésus, publié par le Père Marie Xavier de Franciosi, 1895 (d'après l'édition définitive de 1694)
  • Père Charles Daniel, s.j., Histoire de la bienheureuse Marguerite-Marie religieuse de la Visitation Sainte Marie et des origines de la dévotion au Cœur de Jésus, Éd. Lecoffre, Paris, 1865
  • Le message du Cœur-Sacré de Jésus, Association Pour la Miséricorde Divine, 2014
  • Édouard Glotin, La Bible du Cœur de Jésus, Éd. Presses de la Renaissance, , (ISBN 978-2-7509-0306-0)
  • Jean Ladame, Marguerite-Marie, La sainte de Paray, Éditions Résiac, 1994, (ISBN 2-85268-118-8)
  • Jean Ladame, Les faits mystiques de Paray, Éd. Résiac, 1991, (ISBN 2-85268-215-X)
  • Mgr Languet de Gergy, Vie de la Vénérable Mère Marguerite-Marie, religieuse de la Visitation Sainte Marie du monastère de Paray-le-Monial en Charolais, morte en odeur de sainteté en 1690, Éd. Vve Mazières et J.B. Garnier, Paris, 1729
  • Pie XII, Encyclique Culte et dévotion au Sacré-Cœur (Haurietis aquas in Gaudio), Éd. Pierre Téqui, 1956
  • Jacques Le Brun, Le Christ imaginaire au XVIIe siècle, Éditions Jérôme Millon, 2020
  • Clémentine Beauvais, Sainte Marguerite-Marie et moi, Quasar éditions, , 248 p. (ISBN 9782369690894, présentation en ligne)

Articles connexes

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