Méry-sur-Oise

Méry-sur-Oise est une commune française située dans le département du Val-d'Oise en région Île-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Méry.

Méry-sur-Oise
Mairie de Méry-sur-Oise
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Val-d'Oise
Arrondissement Pontoise
Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée de l'Oise et des Trois Forêts
Maire
Mandat
Pierre-Édouard Eon
2020-2026
Code postal 95540
Code commune 95394
Démographie
Gentilé Mérysiens, Mérysiennes
Population
municipale
9 900 hab. (2018 )
Densité 886 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 03′ 42″ nord, 2° 11′ 13″ est
Altitude 38 m
Min. 22 m
Max. 96 m
Superficie 11,17 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Saint-Ouen-l'Aumône
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Méry-sur-Oise
Géolocalisation sur la carte : Val-d'Oise
Méry-sur-Oise
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Méry-sur-Oise
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Méry-sur-Oise
Liens
Site web http://www.merysuroise.fr

    Ses habitants sont appelés les Mérysiens.

    Géographie

    Localisation

    Méry-sur-Oise est située à km au nord-est de Pontoise et à km au sud de L'Isle-Adam.

    hydrographie

    • Rivière l'Oise en bordure nord de la commune.
    • Ru du Montubois en bordure nord-est de la commune (source dans la forêt de Montmorency).

    Hameaux

    • La Bonneville
    • Vaux
    • La Haute-Borne
    • Sognolles

    Lieux-dits

    • L'Île de Vaux
    • Montjaret
    • Montarcy
    • La butte de Montarcy
    • La butte à Mondion

    Transports en commun

    La ville est desservie par la gare de Méry-sur-Oise sur la ligne Paris - Persan-Beaumont ().

    Urbanisme

    Typologie

    Méry-sur-Oise est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[4] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[7],[8].

    Toponymie

    Les formes anciennes de Méry-sur-Oise sont : Madriacus 862[9], Mairi v. 1205, Meriacum 1214, Mery 1358[10],[11],[12].

    Pour M.-Th. Morlet, la juste étymologie de Madriacus ne provient pas de Materius, « matériaux, bois, madrier », erreur ancienne régulièrement ressortie, mais plus vraisemblablement d'un dérivé de Mater, -tris, « Mère »[10] ; dans le même sens, E. Negre fait dériver de Matrius, forme issue de Matres, « les Mères »[13]. Ce qui correspond parfaitement avec le site géographique de Méry au bord d'une zone riche en eaux (ruisseaux, mares...) dont la déesse mère est tutélaire au cœur de l'antique territoire de la Culture Seine-Oise-Marne remontant à - 3000 av. J.-C.

    Histoire

    La seigneurie de Méry, propriété d'Henry de Milly, fut vendue en 1375 à Pierre d'Orgemont, conseiller de Charles V et chancelier de France.

    Elle fut ensuite vendue en 1597 par la descendante des Orgemont à Antoine du Pescher, comte de Saint-Chamans. En 1696, le comté de Méry fut érigé en marquisat au profit de François de Saint-Chamans. La fille de François de Saint-Chamans épousa en 1720 le financier Samuel Bernard. Ce dernier, après avoir racheté le domaine en 1728, l'offrit à la fille issue de cette union, Bonne-Félicité Bernard, qui épousa le président Mathieu-François Molé, président à mortier au Parlement de Paris. Méry entra alors dans la famille Molé.

    Charles V, Charles VII, Henri IV et Gabrielle d'Estrées, Louis XIV, Buffon, Saint-Just et Charles X y ont séjourné.

    Le baron Haussmann souhaitait fermer tous les cimetières parisiens intra muros dans un but d'hygiène et édifier en contrepartie une immense nécropole à Méry qui accueillerait tous les défunts de la capitale (il pensait que l'agglomération parisienne n'atteindrait jamais cette commune). Une voie ferrée dédiée aurait relié Paris à Méry. L'opposition de l'opinion publique entraîna l'échec de ce projet et de celui du préfet Ferdinand Duval qui l'avait repris après la chute du Second Empire[14]. Toutefois, sur les terres acquises par la ville de Paris pour ce premier projet, fut en fait créée la ferme modèle de la Haute-Borne, très moderne pour l'époque, qui devint un laboratoire de développement du maraîchage pour toute la France.

    Pendant la Seconde Guerre mondiale, la carrière Beslier a été aménagée en base militaire allemande comprenant une gare souterraine et un site de stockage et d'assemblage de missiles V2. En conséquence, Méry-sur-Oise a été la cible de trois missions de bombardement alliées en 1944[15]. Elle avait déjà subi un bombardement allemand le .

    Politique et administration

    L'ancienne mairie de Méry-sur-Oise, tableau du peintre contemporain Dominique Jurie.

    Rattachements administratifs et électoraux

    Rattachements administratifs

    Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[16], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Pontoise, après un transfert administratif effectif au .

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de L'Isle-Adam de Seine-et-Oise, année où elle est intégrée au canton de Pontoise. Lors de la mise en place des Hauts-de-Seine, elle rejoint en 1967 le canton de Taverny, puis, en 1985, celui de Saint-Ouen-l'Aumône|[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Rattachements électoraux

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Saint-Ouen-l'Aumône

    Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription du Val-d'Oise.

    Intercommunalité

    La commune faisait partie de la communauté de communes de la Vallée de l'Oise et des impressionnistes. Toutefois, dans le cadre de l'achèvement de la coopération intercommunale prévue par la loi de modernisation de l'action publique territoriale et d'affirmation des métropoles, cette intercommunalité disparait en 2016 et la commune intègre la communauté de communes de la Vallée de l'Oise et des Trois Forêts[18],[19],[20].

    Tendances politiques

    Lors du premier tour des élections municipales de 2020, la liste menée par le maire sortant Pierre-Édouard Éon (LR) a remporté la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 64,97 % des suffrages exprimés, devançant largement les listes menées par Jérôme Durieux (DVG, 22,55 %) et par Claudie Violette (LREM, 12,53 %), lors d'un scrutin marqué par 35,06 % d'abstention[21].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1946 mars 1983 Marcel Perrin PCF  
    mars 1983 juin 1995 Pierre David PCF  
    juin 1995 avril 2014[22] Jean-Pierre Pernot PS puis MDC
    puis MRC puis LREM[23]
    Ingénieur commercial
    Député du Val-d'Oise (2e circ.) (1999 → 2002)
    Président de la CCVOI (2004 → 2008)
    avril 2014[24],[25],[26] En cours
    (au 21 juillet 2020)
    Pierre-Édouard Éon UMPLR Chef d'entreprise
    Conseiller départemental de Saint-Ouen-l'Aumône (2015 → )
    Vice-président de la CCVOTF (2017 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026[21]

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[28].

    En 2018, la commune comptait 9 900 habitants[Note 3], en augmentation de 7,18 % par rapport à 2013 (Val-d'Oise : +3,67 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    579609618628678689708805800
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9101 2141 4631 3901 4781 5571 5871 6001 839
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 8492 1192 1562 1952 3862 6302 5662 3862 785
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    3 2753 4694 7085 7416 1798 9299 1789 1909 320
    2017 2018 - - - - - - -
    9 8929 900-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Méry était l'un des principaux lieux de la culture du champignon en Île-de-France, grâce à la présence de plusieurs carrières souterraines et à la relative proximité de l'hippodrome de Chantilly, qui alimente les cultures en fumier. Face à la concurrence des pays de l'Est, cette culture traditionnelle a progressivement disparu durant les années 1980. En 2007, un Mérysien a néanmoins redémarré une exploitation privilégiant les petites quantités et la qualité de la production[30], les « Champignons La Marianne »[31].

    La commune compte un supermarché et son commerce de proximité est en recul constant.

    Depuis septembre 2019, un marché alimentaire se tient chaque samedi matin sur la place de la mairie.

    Culture locale et Patrimoine

    Lieux et monuments

    Le château de Méry-sur-Oise.
    L'église Saint-Denis.
    Il a été édifié par les Buffé, premiers seigneurs du lieu connus, à partir des années 1220 sur un domaine appartenant précédemment à l'abbaye de Saint-Denis. Une « maison de campagne » est érigée en 1375 par Pierre d'Orgemont, conseiller du roi Charles V. Des modifications sont apportées par Claude d'Orgemont en 1583, puis celles apportées par François de Saint-Chamans donnent l'apparence que possède le château au début du XXIe siècle. Les jardins sont réaménagés à partir de 1735 selon des dessins de Buffon. Durant la Révolution, le domaine est pillé mais l'ensemble est remis en état en 1845 par l'héritière des Orgemont, la vicomtesse de Ségur-Lamoignon. Le château et son vaste parc, un temps propriété de la multinationale Vivendi, a été racheté par la municipalité en 2004. Le château accueille un hôtel de conférences et de séminaires, et le parc est ouvert à la promenade pour tous, avec toutefois des horaires d'ouverture restreints et un jour de fermeture hebdomadaire hors saison estivale[33].
    Elle a été reconstruite à partir de 1485 sur ordre de Charles d'Orgemont à l'emplacement d'un édifice primitif détruit durant la guerre de Cent Ans. Il n'en subsiste que le mur du chevet du XIIIe siècle ainsi que les fonts baptismaux en pierre. Le nouvel édifice a été consacré le comme l'atteste la pierre de dédicace située dans la chapelle latérale. L'église a subi plusieurs remaniements durant les siècles qui ont suivi[35].
    • La chapelle Saint Jean-de-Bosco, 90 avenue Marcel-Perrin : Elle se situe entre la gare et le centre-ville et est toujours utilisée par la paroisse. La maison attenante sert de presbytère et de maison paroissiale[36].
    • Les anciennes écuries du château, impasse du château[35] : Leur partie réhabilitée accueille des logements et l'école municipale de musique, alors que l'ancienne remise est toujours à l'état d'abandon.
    • Calvaire devant l'église.
    • Monument aux morts, devant la mairie.
    • L'usine des eaux traite l'eau de l'Oise afin de la rendre potable et alimente plusieurs dizaines de communes. Elle a été la première usine à expérimenter la nanofiltration[37].

    Personnalités liées à la commune

    Patrimoine culturel

    Ont été partiellement tournés au château de Méry-sur-Oise :

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. Chart. de Saint-Denis
    10. MORLET (M.-Th.) Les Noms de personne sur le territoire de (1968), t. 3, p. 136.
    11. NEGRE (Ernest), Toponymie générale de la France. (1990), t. 1, p. 571.
    12. COCHERIS (Hippolyte) Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
    13. NEGRE (E.) Errata & Addenda. Toponymie générale de la France (1998), t.4, p, 1861.
    14. Philippe Ariès, Essais sur l'histoire de la mort en Occident du Moyen Âge à nos jours, Éd. du Seuil, Paris, 1977 (ISBN 2-02-004736-5).
    15. « Carrière Hennocque », sur Rue des lumières - histoire de carrières (consulté le ).
    16. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
    17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    18. Arrêté du Préfet de la région Île-de-France no 2015063-0002 du 4 mars 2015.
    19. « Compte-rendu sommaire du conseil communautaire du 14 octobre 2014 » [PDF], sur http://www.ccvoi.fr (consulté le ).
    20. « L'agglo de la Vallée de l'Oise vit ses derniers mois », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne).
    21. Thomas Hoffmann, « Municipales à Méry-sur-Oise : un second mandat pour Pierre-Édourd Éon : Le maire (Lr) sortant de Méry-sur-Oise, Pierre Édouard Éon, a été réélu dès le premier tour des élections municipales avec 64,97 % », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ) « Avec 64,97% des voix, ce dernier a largement devancé ses deux adversaires Jérôme Durieux (Dvg) avec 22,55% des voix et Claudie Violette (Lrem), avec 12,53% des voix ».
    22. Alexandre Porcu, « A Méry-sur-Oise, la gauche peine à s’entendre … la droite part divisée : 10 000 habitants à Méry, et beaucoup de prétendants à la mairie. D’abord à gauche où MRC, EELV, PCF et PS peinent à s’entendre. La droite part aussi divisée. », VO News 95, (lire en ligne).
    23. Eric Bureau, « A gauche aussi les candidats se bousculent », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne).
    24. « Pierre-Édouard Eon (UMP) », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne).
    25. « Edouard Eon (UMP) fait basculer la ville », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne).
    26. « « Méry vit au-dessus de ses moyens » : Pierre-édouard Eon, maire UMP de Méry-sur-Oise », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne).
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    30. « Méry-sur-Oise : la culture des champignons relancée », sur VO News, (consulté le ).
    31. « « Champignons La Marianne », site du producteur » (consulté le ).
    32. « Château de Méry-sur-Oise », notice no PA00080124, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    33. « Le château » et « Les horaires d'ouverture du parc » sur le site « Méry-sur-Oise (site officiel) » (consulté le ).
    34. « L'église Saint-Denis », notice no PA00080125, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    35. Claude Adam, M. Murschler, M. Remondet et Mme Saghaar-Bessière, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Méry-sur-Oise », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. II, , p. 785-787 (ISBN 2-84234-056-6).
    36. « Lieux de culte », sur Paroisse de Méry-sur-Oise (consulté le ).
    37. SEDIF - Usine de Méry.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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