Saint-Cyprien (Dordogne)
Saint-Cyprien est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Cyprien.
Saint-Cyprien | |||||
Le bourg de Saint-Cyprien. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Sarlat-la-Canéda | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Vallée de la Dordogne et Forêt Bessède (siège) |
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Maire Mandat |
Christian Six 2020-2026 |
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Code postal | 24220 | ||||
Code commune | 24396 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Cypriotes | ||||
Population municipale |
1 554 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 72 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 52′ 14″ nord, 1° 02′ 40″ est | ||||
Altitude | Min. 55 m Max. 240 m |
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Superficie | 21,50 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de la Vallée Dordogne (bureau centralisateur) |
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Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | saintcyprien24.fr | ||||
Chef-lieu du canton de Saint-Cyprien de 1790 à 2015, la commune est devenue à cette date le bureau centralisateur du canton de la Vallée Dordogne.
Géographie
Généralités
Saint-Cyprien fait partie du Périgord noir et se situe en rive droite de la vallée de la Dordogne. Elle est implantée au flanc d'un coteau.
Communes limitrophes
Saint-Cyprien est limitrophe de six autres communes. Au sud, son territoire communal est distant d'une centaine de mètres de celui de Marnac.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Belves », sur la commune de Pays de Belvès, mise en service en 1988[7] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,9 °C et la hauteur de précipitations de 895,6 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, dans le département du Lot, mise en service en 1961 et à 30 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Saint-Cyprien est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (47,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (47,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (47,4 %), prairies (21,1 %), zones agricoles hétérogènes (17,4 %), zones urbanisées (7,3 %), terres arables (5,8 %), eaux continentales[Note 5] (0,8 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Prévention des risques
À l'intérieur du département de la Dordogne, un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2011 pour la Dordogne amont et ses rives, qui concerne donc les zones basses du territoire de Saint-Cyprien[20],[21].
Toponymie
Le nom du lieu se réfère à l'ermite Cyprien, fondateur sur place d'un monastère[22].
Histoire
Petite ville née autour d'une abbaye de chanoines réguliers de Saint-Augustin, qui aurait été bâtie sur la tombe d'un ermite appelé Cyprien. Cet ermite se serait installé en l'an 620 dans les grottes de Fages qui surplombent l'actuel village. Il y aurait fondé un monastère. Les invasions barbares, à partir de 848, obligent les religieux à s’entourer de remparts, dont le clocher-donjon est un vestige.
En 1076, le monastère, rattaché à l’ordre des Augustins, devient si florissant que Bertrand de Got, archevêque de Bordeaux et futur pape Clément V, le place sous sa juridiction en tant que seigneur de Bigaroque, d'abord en franc-alleu, avant que l'archevêque Blaise Régnier de Gréelle en face hommage au roi. Le , l'archevêque de Bordeaux, François d'Escoubleau de Sourdis a aliéné ses droits sur Saint-Cyprien au profit de Jean-Jacques de Montesquiou de Saint-Colombe. Le , Henri d'Escoubleau de Sourdis a obtenu du Grand conseil d'être rétabli dans la propriété de Saint-Cyprien à condition de rembourser le propriétaire du lieu de la somme de 9 000 livres. Ce qui n'a pas été fait avant 1660 par manque de moyens. Le , les habitants de Saint-Cyprien ont permis à l'archevêque de Bordeaux de racheter ses droits sur Saint-Cyprien en lui offrant 4 900 livres[24].
Pendant la guerre de Cent Ans, Saint-Cyprien va souffrir de sa position avancée sur la frontière entre l’Aquitaine d'Aliénor et le royaume de France.
Le château des Fages et le prieuré sont incendiés par les armées calvinistes pendant les guerres de Religion, en 1568. En 1685, le monastère est reconstruit. Déclaré « bien national », il est vendu le à la commune pour la somme de 8 125 francs. En 1871, la Régie française des tabacs le transforme en entrepôt après avoir abattu le cloître et fait murer les portes de communication avec l’église qui était devenue « temple de la Raison consacré à l'Être suprême » en 1792.
La commune porta, au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792 – 1795), le nom de Cyprien-sur-Dordogne[25].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Dès 1790, la commune de Saint-Cyprien est le chef-lieu du canton de Saint-Cyprien qui dépend du district de Sarlat jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton est rattaché à l'arrondissement de Sarlat (devenu l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda en 1965)[25].
Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[26]. La commune est alors rattachée au canton de la Vallée Dordogne, dont elle devient le bureau centralisateur.
Intercommunalité
Fin 1994, Saint-Cyprien intègre dès sa création la communauté de communes de la Vallée de la Dordogne dont elle est le siège. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes Vallée de la Dordogne et Forêt Bessède dont elle est également le siège.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 1 500 et 2 499 habitants au recensement de 2017, dix-neuf conseillers municipaux ont été élus en 2020[27],[28].
Liste des maires
Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Saint-Cyprien relève[33] :
- du tribunal de proximité et du tribunal paritaire des baux ruraux de Sarlat-la-Canéda ;
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes et du tribunal de commerce de Bergerac ;
- de la cour d'appel de Bordeaux.
Politique environnementale
Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[34].
Le , le bourg a fait son entrée parmi les Petites Cités de caractère de France pour une période de cinq ans[35].
Population et société
Démographie
Les habitants de Saint-Cyprien sont appelés les Cypriotes.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[37].
En 2018, la commune comptait 1 554 habitants[Note 6], en diminution de 3,96 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Économie
Emploi
En 2015[40], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 591 personnes, soit 37,0 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (136) a augmenté par rapport à 2010 (113) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 23,0 %.
Établissements
Au , la commune compte 253 établissements[41], dont 156 au niveau des commerces, transports ou services, quarante-six relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, vingt-cinq dans la construction, quatorze dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et douze dans l'industrie[42].
Entreprises
Parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, trois sociétés implantées à Saint-Cyprien se classent parmi les cinquante premières de leur secteur d'activité en termes de chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016 :
- dans l'agroalimentaire, Péchalou (fabrication de lait liquide et de produits frais), 25e avec 3 795 k€[43] ;
- dans le commerce, la Société Bopredis (supermarché), 45e avec 14 182 k€[44] ;
- dans le BTP, Cypriote travaux publics - V.R.D. (travaux de terrassement courants et travaux préparatoires), 45e avec 2 607 k€[45].
Péchalou, laiterie artisanale bio, est implantée à Saint-Cyprien où elle emploie seize personnes en 2014[46].
Culture locale et patrimoine
Patrimoine civil
- Château de Fages, XVe et XVIe siècles, non ouvert au public, dont la chapelle et les ruines du château sont inscrits au titre des monuments historiques en 1933, alors que le pavillon Renaissance est classé monument historique en 1965[47].
- Château de Saint-Cyprien, XVIIIe et XXe siècles, inscrit en 1949, et son parc inscrit en 2002[48].
- Le bâtiment de l'ancienne justice de paix : devenu un lieu artistique avec des expositions d’arts durant l’été.
- Les quartiers hauts de Montmartre : point de vue sur la vallée de la Dordogne.
- De nombreuses maisons des XVIe et XVIIe siècles en contrebas de l'abbaye.
- La truffière de Péchalifour.
- Domaine de la voie blanche : vignoble.
- Pont du Garrit : pont métallique construit en 1892-1894 par l'entreprise Hachette et Driout de Saint-Dizier. Il permettait à un chemin vicinal d'une seule voie de franchir la Dordogne, entre Berbiguières et Saint-Cyprien. Le pont à une longueur de 176,3 m. Il n'est plus utilisé aujourd'hui que par les piétons.
Le château de Fages. Le château de Saint-Cyprien. La chartreuse de Monsieur du Plassial. Maison du XVIIIe siècle. Maison du XVIIe siècle dans la rue de l'Abbaye des Augustins.
Patrimoine religieux
- Église Saint-Cyprien, XIIIe et XIVe siècles, avec son clocher-donjon, réputée pour ses qualités acoustiques, classée monument historique en 1923[49]. Une grande partie de son remarquable mobilier intérieur des XVIIe et XVIIIe siècles : buffet d'orgue[50], maîtres-autels[51],[52] et leurs statues en bois polychrome, stalles[53], chaire[54], est classé monument historique. Le clocher se visite pendant les Journées du Patrimoine. Les quatre vitraux de la façade sud ont été réalisés en 1965 par Henri Guérin, peintre et verrier (1929 – 2009) dans un style contemporain (verre teinté et béton armé).
- Presbytère du XVIe siècle, inscrit en 1965[55].
L'église Saint-Cyprien. Son clocher-donjon. L'ancien presbytère.
Patrimoine naturel
- Source naturelle à Saint-Cyprien.
Personnalités liées à la commune
- Joséphine Baker était la marraine de Saint-Cyprien Athletic club » (SCAC) rugby
- Bertrand de Got (1264-1314), archevêque de Bordeaux, futur pape Clément V, place le monastère de Saint-Cyprien sous sa juridiction.
- Christophe de Beaumont du Repaire (1703-1781), prélat français dont le cœur repose dans une chapelle de Saint-Cyprien.
- Joseph Prunis (1742-1816), clerc et homme politique, fut maire de Saint-Cyprien et y est décédé[56]
- Pierre Boissel (1872-1939), médecin à Saint-Cyprien et poète occitan, il exerçait autrefois son activité dans les communes du canton. Ses poèmes écrits en patois périgordin ont été édités dans le recueil : Lou Ser ol Contou (« Le soir devant la cheminée »)[57].
- Alberte Sadouillet-Perrin (1899-1999), historienne et écrivain local. A publié Mémoires d’une centenaire en Périgord sarladais[58] et Saint-Cyprien, sa plaine et ses coteaux.
- Jean-Pierre Bouchard (1955-), psychologue, criminologue et acteur, a suivi le premier cycle d’études secondaires au collège d’enseignement général de Saint-Cyprien. Il a été licencié au « Saint-Cyprien Athletic club » (SCAC) rugby ainsi qu'aux clubs de handball et de cyclisme de Saint-Cyprien.
- Arthur Cobalet (1855-1901), chanteur d'opéra, né à Saint-Cyprien.
- Élie Marty (1930-2003), homme politique français, né à Saint-Cyprien.
- Louis de Carbonnier de Marzac (1810-1875), homme politique français, né à Saint-Cyprien.
- (Antoine) Georges Escande (1847-1928), homme politique français, conseiller général du canton de Saint-Cyprien, il devient maire de Saint-Cyprien de 1878 à 1884.
Héraldique
Blason | Parti de gueules à la croix pattée d'or et d'azur à saint Cyprien debout mitré, tenant de sa dextre une crosse contournée, le tout d'argent. |
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Détails | Blason officiel présent sur le site internet de la commune. |
Devise
La devise de Saint-Cyprien est : Quid sucitabit telum qui signifie littéralement « qui osera tirer un trait » et que l'on peut traduire par « qui osera me défier »[59].
Associations culturelles
L'association du Pont du Garrit se mobilise pour préserver, réhabiliter et animer le patrimoine du Pont du Garrit, qui traverse la Dordogne, entre les communes de Berbiguières et de Saint-Cyprien, ainsi que son environnement. Elle est aidée par Georges Pernoud ou Francis Cabrel[réf. nécessaire].
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Belves - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Cyprien et Pays de Belvès », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Belves - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Cyprien et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- PPR inondation - 24DDT20090002 - Dordogne Amont, DREAL Aquitaine, consulté le 14 février 2019.
- [PDF] Saint-Cyprien - Plan de prévention du risque inondation p. 24, DREAL Aquitaine, consulté le 14 février 2019.
- Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 122-124.
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- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
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- « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 20.
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- « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Franck Delage, « La fine fleur du Périgord », Sud Ouest édition Dordogne, 26 juin 2018, p. 25.
- Dossier complet - Commune de Saint-Cyprien (24396) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 25 décembre 2018.
- « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
- Dossier complet - Commune de Saint-Cyprien (24396) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 25 décembre 2018.
- « Agroalimentaire », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 34.
- « Commerce », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 40.
- « BTP », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 37.
- Eurydice Baillet, « Il croit en Péchalou », Sud Ouest édition Périgueux du 8 décembre 2014, p. 11.
- « Château de Fages », notice no PA00082822, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 17 février 2011.
- « Château de Saint-Cyprien », notice no PA00082824, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 17 février 2011.
- « Église Saint-Cyprien », notice no PA00082823, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 17 février 2011.
- « Buffet d'orgue », notice no PM24000321, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 17 février 2011.
- « Autel, tabernacle (autel secondaire, tabernacle à ailes et dais d'exposition) », notice no PM24000315, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 17 février 2011.
- « Autel, tabernacle (maître-autel, tabernacle à dais d'exposition) », notice no PM24000314, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 17 février 2011.
- « Stalles », notice no PM24000319, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 17 février 2011.
- « Chaire à prêcher », notice no PM24000317, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 17 février 2011.
- « Presbytère de Saint-Cyprien », notice no PA00082825, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 17 février 2011.
- Fiche de Joseph Prunis sur le site de l'Assemblée nationale, consulté le 12 juin 2012.
- Docteur Boissel, Lou Ser ol Contou, 1936, éditions Michelet, Sarlat.
- Alberte Sadouillet-Perrin, Mémoires d’une centenaire en Périgord saraladais, Éditions du Roc de Bourzac, 1998 (ISBN 2-87624-102-1).
- Selon la bannière sous le blason sur le site officiel de la commune, consulté le 1er juillet 2012.
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