Lupersat

Lupersat est une commune française située dans le département de la Creuse en région Nouvelle-Aquitaine.

Lupersat

Carte postale du vieux puits.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Creuse
Arrondissement Aubusson
Intercommunalité Communauté de communes Marche et Combraille en Aquitaine
Maire
Mandat
Jean-Michel Soulebot
2020-2026
Code postal 23190
Code commune 23113
Démographie
Gentilé Lupersatois, Lupersatoises
Population
municipale
300 hab. (2018 )
Densité 9,2 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 59′ 10″ nord, 2° 21′ 24″ est
Altitude Min. 461 m
Max. 706 m
Superficie 32,64 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Aubusson
Législatives Circonscription unique
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Lupersat
Géolocalisation sur la carte : Creuse
Lupersat
Géolocalisation sur la carte : France
Lupersat
Géolocalisation sur la carte : France
Lupersat

    Les habitants s'appellent les Lupersatois et les Lupersatoises.

    Géographie

    La commune de Lupersat – on écrivait autrefois Lupersac — est située dans la partie est du département de la Creuse. Le bourg de Lupersat se trouve à km du chef-lieu de canton Bellegarde-en-Marche, à 17km de la sous-préfecture Aubusson, et à 56 km de la préfecture Guéret.

    La superficie de la commune est de 3 264 hectares. Elle est traversée par le méridien de Paris. Elle affecte dans son ensemble la forme d’un ovale assez régulier. Le bourg est situé à peu près au centre de la commune, avec de nombreux hameaux dispersés tout autour (une cinquantaine).

    Relief

    Le sol de la commune est granitique et accidenté, avec de nombreuses collines qui portent le plus souvent le nom de « puy », comme le Puy du Bey, le Puy de Chaud ou le Puy d’Erouletas, point culminant à 706 mètres d’altitude.

    Lupersat est arrosée par de nombreux cours d’eau. Le plus important est la Tardes qui traverse la commune sur km à l’ouest et reçoit les ruisseaux du Monteil et de Chez-Latour, eux-mêmes alimentés par les étangs qu’ils traversent.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 9,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 934 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Auzances_sapc », sur la commune d'Auzances, mise en service en 1996[7] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,4 °C et la hauteur de précipitations de 894,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Clermont-Fd », sur la commune de Clermont-Ferrand, dans le département du Puy-de-Dôme, mise en service en 1923 et à 61 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 11,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Lupersat est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (72 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (59,1 %), forêts (25,7 %), zones agricoles hétérogènes (14,3 %), zones urbanisées (0,9 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    Toponymie

    Comme celui de la commune corrézienne Lubersac, le nom de Lupersat vient de Lupersacum : le domaine de Lupercus, très probablement un propriétaire gallo-romain local. Lupercus était un dieu romain, protecteur des troupeaux contre les loups et célébré à Rome le lors des lupercales. Lupercus est devenu un nom de personne latin, francisé en Luperque.

    Moyen Âge

    D’après la tradition populaire, la région aurait été évangélisée par un compagnon de saint Martial, premier évangélisateur de la Gaule centrale. On raconte que les restes de saint Oradoux (ou saint Adorateur) ont été déposés dans l’église de l’époque en 407. Ce saint aurait subi le martyre dans les environs du hameau de Gioux ou existe une petite fontaine en son honneur. C'est également en son honneur que la fête du village a lieu en juin. L'église actuelle, principal et plus ancien monument de Lupersat, date du XIe siècle. Dans son ensemble, elle est de style roman de proportions grandioses, et fut construite à l'emplacement d'un édifice datant du Ve siècle.

    En 1250, il existait au petit village de la Ribière une communauté de l’ordre de Saint-Benoît, dont on ignore les dates de fondation et de disparition.

    En 1283, l’évêque de Limoges éleva l’église de Lupersat au rang d’archiprêtré preuve de son importance dans la région.

    L’invasion anglaise du XIVe siècle a laissé des traces : la tradition parle d’une bataille livrée sur le Puy du Bey contre les troupes du Prince Noir avant ou après la ruine du château-fort de Sermur.

    Renaissance

    En août 1511, la foudre tombée sur le clocher provoqua un violent incendie qui consumât une grande partie de l’église et détruisit plusieurs maisons du bourg. Les ossements de saint Oradoux furent la proie des flammes : le peu qui en resta fut placé dans un petit coffret. Les habitants du bourg, généralement peu fortunés furent cruellement éprouvés par ce désastre. La restauration de l’église fut lente.Une ancienne tradition signale l’existence d’une communauté religieuse, d’une certaine importance, établie dans l’enceinte du bourg tout près de l’église. Cette communauté pourrait être à l’origine d’une société de prêtres communalistes qui y ont subsisté pendant plusieurs siècles jusqu’à la Révolution. On voyait encore au début du XXe siècle, au sud du bourg, quelques ruines des maisons qu’ils occupaient.

    Sur la butte dite du Coudert (en fait, Coudert de Saint-Allon) a existé pendant longtemps une chapelle dite de Saint-Allon. Les deux tilleuls qui y existent toujours se trouvaient en face du portail, à une courte distance. Cette chapelle était entourée d’un petit cimetière où étaient inhumés les morts de quelques villages qui en dépendaient, comme Boueix, Cornemule, la Caborne, Genétines haute et basse. Elle fut détruite en 1744 et ses pierres servirent à la construction de maisons d’habitation. Des pierres tombales gisaient encore sur le sol en 1846.

    Révolution

    Avant la Révolution de 1789, le territoire de la paroisse de Lupersat comptait un assez grand nombre de familles nobles ou se disant telles. Certains propriétaires, même modestes, accolaient souvent à leur nom patronymique la particule « de » suivie du nom de leur ferme. C'est ainsi, qu'en 1618, on trouve un de Laroche, sieur de Fumade, un de Beaufort, sieur du Montel ou un de Saint-Julien, sieur de la Chezotte. Sur le territoire de la paroisse, ont existé plusieurs châteaux qui ont progressivement perdu leur image aristocratique avec l'extinction des familles. On peut citer les châteaux de Maison-Neuve, près du bourg, qui a longtemps servi de presbytère, du Montel-Sugnet, de la Chezotte, de Lavaud-Graton, et de Saint-Martin. Celui de Saint-Martin avait une chapelle qui a été démolie au début du XIXe siècle. Les réformes profondes amenées par la Révolution furent accueillies avec faveur par les habitants et le curé-archiprêtre de Lupersat prononça le serment exigé par le décret du .Toutes les fêtes civiques y furent célébrées. Un arbre de la Liberté y fut élevé. Au moment des guerres révolutionnaires , (1re coalition de 1792 à 1997 et deuxième coalition de 1798 à 1801) Lupersat contribua à l'aide demandée : d'abord, deux hommes furent tués à l'ennemi, fils de Léonard Deneufville, puis le montant de la vente des objets qui garnissaient l'église (637F) fut offert à la Nation, enfin, les cloches furent descendues et acheminées vers Aubusson, où elles furent fondues et converties en balles et en boulets. L'église devint alors un atelier de salpêtre.

    Seconde partie du XIXe siècle

    Des travaux importants ont eu lieu : ouverture de plusieurs chemins vicinaux pour faciliter les communications, amélioration de la place centrale qui a été débarrassée d'une maison et d'arbres qui l'encombraient,entre 1887 et 1888, construction de la maison commune qui comprit la mairie et le groupe scolaire. En 1890 et 1891, le cimetière qui entourait l'église est déplacé à l'extérieur du bourg. La plupart des maisons subissent des améliorations, sont restaurées ou rebâties.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2012 en cours Marie-Thérèse Agabriel SE Retraitée Fonction publique
    mars 1971 mars 2012 Michel Moreigne PS Conseiller général
    Sénateur
    1959 1971 Fernand Mazeron    
    1945 1959 Gabriel Parry    
    1945 1959 Alphonse Bellegy    
    1935 1944 Gabriel Parry    
    1925 1935 Jean Lenoir    
    1884 1925 François Félix Mazet    
    1871 1884 Jules Mourellon    
    1870 1871 Pierre Michel Lenoir    
    1865 1870 Charles Petit    
    1858 1865 Raoul de la Celle    
    1837 1858 Gilbert Parry    
    1835 1837 Michel Bittard Ducluzeau    
    1832 1835 Philippe Blanc    
    1831 1832 Charles Degeorge    
    1816 1830 Michel Bittard Ducluzeau    
    1799 1816 Gaspard Alexandre Mourellon    
    1794 1799 Jean Degeorge    
    1793 1794 Etienne Morellon    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[21].

    En 2018, la commune comptait 300 habitants[Note 5], en diminution de 8,26 % par rapport à 2013 (Creuse : −2,79 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 7401 5171 5641 8762 3202 1272 1842 2462 127
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 9571 8351 8181 7191 7001 6221 5691 5331 537
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5901 5291 520968954884814773629
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    569505413401375354334331330
    2017 2018 - - - - - - -
    302300-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    L'église

    Église romane du XIe siècle, de grandes dimensions avec nef et collatéraux. Elle mesure 30 m de long sur 20 m de large. Elle a trois nefs, un transept et une abside. C'est une des plus vastes du département. La nef principale est séparée des bas-côtés par deux rangées de piliers d'une architecture lourde mais imposante. Le transept se termine par deux chapelles latérales.

    La tour du clocher est placée sur le transept. Elle est carrée et surmontée d'une charpente octogonale en forme de dôme, se terminant par une flèche aiguë s'élevant à 33 m. Cette tour fut renversée par la foudre en 1511 et tomba en partie sur la branche gauche du transept, la chapelle Saint Jean. D'importants travaux de reconstruction furent nécessaires. Une avancée en saillie, qui existe encore, était munie de créneaux et de mâchicoulis, pour défendre la fenêtre du pignon, vraisemblablement pour faire de l'église un refuge contre les attaques possibles des huguenots.

    À l'extérieur porte et clocher à bulbe du XVIIIe siècle, pignon ouest de droite à portail. Le chœur rectangulaire à chevet est percé de quatre fenêtres hautes, les chapiteaux sont sculptés ou ornementés, retable du XVIIe siècle. L'église est classée "monument historique".

    Cartes postales anciennes

    Personnalités liées à la commune

    • Pierre Mourellon, instituteur à Lupersat puis à Chénérailles, né le 13/11/1863, décédé après 1914. Il est l'auteur d'une monographie scolaire, écrite en 1914, dans la Collection de la Société nationale de "L'Histoire à l'école".

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Auzances_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Lupersat et Auzances », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Auzances_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Lupersat et Clermont-Ferrand », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Clermont-Fd - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Clermont-Fd - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Clermont-Fd - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.

    Liens externes

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