Livet-et-Gavet
Livet-et-Gavet est une commune française située dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes à 30 minutes (en voiture) au sud de Grenoble.
Livet-et-Gavet | |||||
Village de Livet | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Isère | ||||
Arrondissement | Grenoble | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de l'Oisans | ||||
Maire Mandat |
Gilbert Dupont 2020-2026 |
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Code postal | 38220 | ||||
Code commune | 38212 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Livetons, Gavetons, Riouperuchons | ||||
Population municipale |
1 300 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 28 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 05′ 31″ nord, 5° 54′ 11″ est | ||||
Altitude | 630 m Min. 366 m Max. 2 792 m |
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Superficie | 46,5 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Grenoble (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de l'Oisans-Romanche | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Géolocalisation sur la carte : Isère
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | mairie-livetgavet.fr | ||||
Ses habitants sont appelés Livetons (Livetones) ou Gavetons (Gavetones)[1].
Géographie
Situation et description
Livet-et-Gavet est situé en Oisans sur la Romanche à mi-distance entre Grenoble et les stations de sports d'hiver de l'Alpe d'Huez et des Deux Alpes (25 km). La commune est également à mi-distance entre Vizille et Bourg-d'Oisans (environ 15 km).
La commune est située entre le massif de Belledonne et le massif du Taillefer, et est desservie par la route départementale 1091 (ex-RN 91).
Le territoire communal possède une dénivellation importante entre la vallée de la Romanche (366 à 709 m au-dessus du niveau de la mer) et les sommets de Belledonne (2 741 m à la Grande Lauzière) et du Taillefer (2 792 m près du sommet du Taillefer). Les pentes des versants sont fortes et des pentes de plus de 45° sur 1 000 mètres de dénivelé existent des deux côtés de la Romanche[2].
Le lac du Poursollet et son village situé à 1 649 m d'altitude, font partie de la section Gavet-Clavaux de la commune de Livet-et-Gavet et offrent de nombreux départs de randonnées dans un environnement naturel sensible et préservé.
- Vue du plateau du Poursollet depuis le petit Taillefer. La commune de Livet-et-Gavet s'arrête en haut du versant rocheux du plateau de Chamrousse.
- Petite Vaudaine, vue en direction du sud-ouest.
- Petite Vaudaine vue du col de la Passure. En face, massif du Taillefer.
- Vallée de la Romanche au niveau de Livet-et-Gavet.
Sites géologiques remarquables
Le barrage naturel de l'Infernet et de Vaudaine, deux ruisseaux de Livet-et-Gavet, est un site géologique remarquable de 63,06 hectares. En 2014, ce site d'intérêt géomorphologique est classé « deux étoiles » à l'Inventaire du patrimoine géologique[3].
Le plateau du Taillefer étend ses prairies humides sur plusieurs kilomètres carrés et recèle de nombreux lacs, dont le lac Fourchu.
Le massif de Belledonne, chaîne cristalline des Alpes, est une chaîne montagneuse sauvage, peu parcourue et donc préservée.
Communes limitrophes
Climat
Voies de communication et transports
La communes est traversée par la route départementale 1091 qui est un axe majeur d'accès à l'Oisans et au nord du département des Hautes-Alpes, notamment Briançon via le col du Lautaret.
La commune est desservie par la ligne 3000 (Grenoble - Vizille - Bourg d'Oisans) du réseau Transisère.
Urbanisme
Typologie
Livet-et-Gavet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Grenoble, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 204 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[7],[8].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (96,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (97 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (64,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (16,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (15,2 %), zones urbanisées (1,8 %), prairies (1,3 %)[9].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].
Lieux-dits
La topographie du site a conduit à la formation de plusieurs hameaux :
- Les Clavaux
- La Salinière
- Les Clots
- Les Ponants
- Les Roberts
- Le Poursollet
- Livet-et-Gavet. De bas en haut : villages de Gavet, Salignière, Rioupéroux et Les Clots (en hauteur).
- Rioupéroux et Les Clots (au-dessus) vus du rocher de l'Homme.
- Hameau des Roberts (Livet-et-Gavet) vu du Rocher de l'Homme.
- Livet vu du rocher de l'Homme.
Les trois villages principaux qui composent la commune de Livet-et-Gavet sont :
- Livet, village en amont (proche du Bourg-d'Oisans)
- Rioupéroux, village central
- Gavet, village aval (proche de Vizille)
Risques sismiques
L'ensemble du territoire de la commune de Livet-et-Gavet est situé en zone de sismicité n°3 (sur une échelle de 1 à 5), non loin la zone n°4 qui se situe au centre du département de l'Isère (vers Vizille et Grenoble)[11].
Type de zone | Niveau | Définitions (bâtiment à risque normal) |
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Zone 3 | Sismicité modérée | accélération= 1,1 m/s2 |
Toponymie
Le village de Livet est attesté sous la forme Linet sur des vieilles cartes de France à Florence.[réf. nécessaire]
Histoire
La commune a été créée entre 1790 et 1794, par la fusion de Livet et Gavet. En 1909, le chef-lieu de la commune fut transféré de Livet à Rioupéroux, situé entre les deux villages.
Véritable cité industrielle durant le XXe siècle, créée en grande partie par Charles-Albert Keller, très riche passé industriel avec des papeteries, vaste production hydroélectrique et industrie de métallurgie et sidérurgie, elle était alors desservie par la ligne de Jarrie à Bourg-d'Oisans, une ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique exploitée par les Voies ferrées du Dauphiné (VFD) de 1894 à 1946. Le chimiste suisse Jaubert y établit notamment vers 1905 une usine d'oxylithe, pour la fabrication des masques à gaz[13].
La Résistance a été très forte et meurtrière dans l'Oisans et particulièrement dans la vallée de la Romanche, cette vallée est un accès principal et stratégique pour se rendre en Italie, les usines tournaient à plein régime pour fournir des obus afin d'alimenter les champs de batailles. Le maquis de l'Oisans a lutté sans relâche au cœur de ces montagnes et résiste aux attaques ennemies. Un monument sur le pont de l'Infernet à Livet rend hommage à ces hommes et femmes morts pour leur pays.
Une cérémonie se déroule chaque année début juin au monument de l'Infernet, à proximité du village de Livet, réunissant de nombreuses personnalités, maires, préfet de l'Isère, combattants, anciens combattants…[réf. nécessaire]
Puis au XXe siècle se sont développées autour de la Romanche plusieurs centrales hydroélectriques ce qui a généré non seulement beaucoup d'emplois mais aussi toute une cité industrielle avec des chemins de fer, des logement, des écoles, des parcs, un cinéma…
À la fin de l'ère industrielle, les usines ferment les une après les autres, ce qui a laissé des vestiges au alentours de la Romanche. Puis le chemin de fer est devenu une route nationale et la population connut un lent déclin[14].
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[16].
En 2018, la commune comptait 1 300 habitants[Note 3], en augmentation de 5,35 % par rapport à 2013 (Isère : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
La baisse de la population depuis les années 1960 s'explique par la désindustrialisation observée dans cette vallée, à l'image de nombreuses autres vallées alpines.
Enseignement
La commune est rattachée à l'académie de Grenoble. Elle dispose d'une école primaire et d'une école maternelle.
Économie
Développement
Livet-et-Gavet est une commune du département de l'Isère habitée depuis les temps antiques, passage presque obligé pour traverser les Alpes.
Au XXe siècle, plusieurs centrales hydroélectriques et usines sont créées le long de la Romanche entraînant la création de nombreux emplois et le développement d'une cité industrielle avec logements, chemins de fer, cinéma, écoles, parcs. La commune connaît son apogée économique entre les années 1920 et 1950.
À la fin des années 1970, les usines ferment une à une, laissant de nombreuses friches industrielles le long de la Romanche. La ligne de Jarrie à Bourg-d'Oisans ferme et la population subit un lent déclin. En même temps, les stations de ski internationales se développent, laissant pour compte ce territoire pour de nombreuses années.
À partir des années 1980, la commune, avec le soutien de l'État, du conseil régional et du conseil départemental de l'Isère, entreprend une mutation économique. Ainsi un musée est créé pour valoriser l'histoire de la vallée de la Romanche. La route d'accès à la commune est élargie. Des déviations routières de contournement de Gavet et de Livet permettent de désengorger les centres-villes ; la commune fournit également des efforts importants d'embellissement.
Les usines, comme Pechiney à Gavet, devenu FerroPEM, réussissent leur diversification et leur modernisation pour rester compétitives, même si des craintes pèsent sur l'avenir de l'usine de production de silicium des Clavaux[19].
Services
La commune dispose d'un médecin, d'une pharmacie[20] et d'un dispensaire, d'une poste[21], d'une caserne de sapeurs-pompiers, d'une ancienne gendarmerie, d'un club du 3e âge et d'une bibliothèque.
On y trouve aussi des commerces tels qu'une alimentation, un kebab (La Liberta)[22], un restaurant (Le Taillefer)[23].
Hydroélectricité
Depuis la fin du XIXe siècle, six centrales produisent de l'électricité à partir de l'énergie hydraulique fournie par la Romanche[24] :
- 1898-1905 - les centrales de Livet I et II ;
- 1918 - la centrale des Vernes, classée au titre des monuments historiques depuis 1994 ;
- 1915 - la centrale des Roberts ;
- 1917 - la centrale de Rioupéroux ;
- 1905-1931 - la centrale des Clavaux ;
- 1924 - la centrale de Pierre-Eybesse.
En octobre 2020, la centrale hydroélectrique de Romanche Gavet est mise en service après une dizaine d'années de chantier. Ce projet à 400 millions d'euros permet de remplacer les six anciennes usines par une centrale moderne souterraine de 97 MW située à Gavet. Cette centrale est reliée par un tunnel de 9,3 km au barrage-prise d'eau de Livet.
À l'horizon 2024, trois des six anciennes centrales électriques seront détruites[25]. Ces sites seront réaménagés de façon à développer l’activité touristique verte sur la commune de Livet-et-Gavet : voie verte reliant Vizille à Bourg d'Oisans[26], pratique des sports en eau vive, etc.
Une réflexion sur la valorisation du patrimoine industriel de la vallée est en cours, portée par l'association Patrimoine d'avenir.
Culture locale et patrimoine
Patrimoine religieux
- L'église Saint-Antoine à Livet et ses vitraux ont été labellisés Patrimoine en Isère[27].
- La chapelle de Rioupéroux
- La mosquée de Rioupéroux [28]
- Le clocher.
- La façade.
Patrimoine civil
- La Centrale des Vernes, à Livet, est une centrale hydroélectrique construite par Charles-Albert Keller entre 1917 et 1918, encore en activité, alliant performance et esthétique, classée au titre des monuments historiques par arrêté du [29] (seule centrale hydroélectrique en France classée) et labellisée « Patrimoine du XXe siècle » de l'Isère en 2003.
- Curiosité : Tête de Louis XVI à Rioupéroux, imposant rocher en forme de tête au bord de la RD 1091.
- Le pavillon Keller est la maison sur pilotis de Charles Albert Keller, labellisé Patrimoine en Isère et conçue par les architectes Jean Benoit et Marius Jean Bonnat. Une partie de la maison est construite en pierre : elle est haute de quatre étages et dotée d'un toit à pans coupés, typique du début du XXe siècle ; elle porte l'inscription « Établissements Keller et Leleux ». La seconde partie de la maison est construite en béton armé sur de grands pilotis et en position dominante au-dessus de la Romanche ; elle contenait le bureau de Charles-Albert Keller, depuis lequel il pouvait observer l'ensemble de ses ateliers et usines situés de part et d'autre de la rivière[27].
- Centrale EDF de Bâton (limitrophe avec la commune d'Allemond): Usine hydroélectrique construite dans la roche au début du XXe siècle.
- Le mémorial du maquis de l'Oisans, à Livet, au bord de la route départementale 1091.
- La centrale hydroélectrique des Vernes.
- Le pavillon Keller.
Personnalités liées à la commune
- Charles Albert Keller : fondateur d'un empire industriel dans la vallée de la Romanche, il a su utiliser la force de l'eau de la Romanche pour alimenter les nombreuses centrales hydroélectriques de la vallée, mais aussi alimenter la Ville de Grenoble pour la première fois en transport d'électricité.
Films tournés dans la commune
- Les Rivières pourpres, thriller policier français de Mathieu Kassovitz sorti en 2000 Des scènes ont été tournées à Livet dans l'ancienne maison de Charles Albert Keller.
Héraldique
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Livet-et-Gavet possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles. |
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Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- Gentilé sur le site habitants.fr (consulté le ).
- D'après les cartes topographiques IGN sur le site du Géoportail (www.geoportail.gouv.fr) et l'outil de mesure du site
- Inventaire du patrimoine géologique : résultats, ministère de l'Environnement, de l'Énergie et de la Mer - DREAL Auvergne-Rhône-Alpes, 24 janvier 2014 (mis à jour le 31 mars 2015), accès le 23 septembre 2016.
- « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
- Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance
- L. Guillet, L'industrie de la soude, Gauthier Villars, Masson et Cie, , « X. L'industrie du sodium et du peroxyde de sodium », p. 133.
- « Mairie de Livet et Gavet. La commune », sur mairie-livetgavet.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Voir sur franceculture.fr.
- « Pharmacie de La Romanche Riouperoux - Pharmacie (adresse) », sur pagesjaunes.fr (consulté le ).
- « La Poste Riouperoux Livet et Gavet (38220) », sur horaireslaposte.com (consulté le ).
- « La Liberta - Alimentation », sur Oisans Tourisme FR (consulté le ).
- « Restaurant Le Taillefer », sur annuaire-horaire.fr (consulté le ).
- « Les centrales hydroélectriques de la vallée de la Romanche », sur Isère Culture (consulté le ).
- Sophie Chanaron, « Hydroélectricité : construction et déconstructions dans la vallée de la Romanche », sur Actumontagne (consulté le ).
- lessor38.fr, « 2021/2024 : Faire disparaître les ouvrages anciens », sur L'Essor Isère (consulté le ).
- « Les labels patrimoine en Isère », sur isere-patrimoine.fr, Conseil Général de l'Isère (consulté le ).
- « Les mosquées à Rioupéroux - Trouve ta mosquée » (consulté le ).
- « Centrale hydroélectrique des Vernes », notice no PA00117374, base Mérimée, ministère français de la Culture.