Les Reines du ring
Les Reines du ring est un film français réalisé par Jean-Marc Rudnicki, sorti en 2013.
Réalisation | Jean-Marc Rudnicki |
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Acteurs principaux | |
Sociétés de production |
Karé Productions WWE Studios La Petite Reine Orange studio |
Pays d’origine | France |
Genre | Comédie |
Sortie | 2013 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution
Synopsis
Dans une ville du Nord, Rose, 30 ans, est embauchée comme caissière dans un supermarché à sa sortie de prison. Mais par-dessus tout, elle souhaite renouer avec son fils Mickaël qu'elle n'a pas vu depuis quelques années et qui la rejette. Découvrant que le jeune garçon se passionne pour le catch, elle décide de monter une équipe avec ses collègues : Colette, une femme mariée et mère de deux enfants ; Jessica, une jeune femme sexy qui enchaîne les conquêtes et Viviane, une bouchère au look gothique. Elles sont entraînées par Richard Cœur de Lion, un vétéran du catch.
Fiche technique
- Titre : Les Reines du Ring
- Réalisation : Jean-Marc Rudnicki
- Scénario : Manon Dillys, Hélène Le Gal, Marie Pavlenko
- Production : Karé Productions, WWE Studios, La Petite Reine, Orange studio
- Budget : 10 906 743 euros[1]
- Photographie : Antoine Monod
- Montage : Antoine Vareille
- Pays d'origine : France
- Langue : français
- Format : couleur
- Genre : comédie
- Date de sortie : ( France)
Distribution
- Marilou Berry : Rose / Rosa Croft
- Nathalie Baye : Colette / Wonder Colette
- André Dussollier : Richard Cœur de Lion
- Audrey Fleurot : Jessica / Jessie D puis Calamity Jess
- Corinne Masiero : Viviane / Kill Biloute
- Isabelle Nanty : Sandrine Pedrono
- Jacques Frantz : Tonio
- Cyril Gueï : Jonathan
- Hugo Fernandes : Mickaël
- Nicky Naudé : Enriquo
- Éric Savin : Laurent, le mari de Colette
- Biyouna : Fadela
- Agathe Dronne : Catherine, la mère d'accueil
- Émilie Gavois-Kahn : Evelyne
- Clément Michel : Le dragueur en boîte
- The Miz : Lui-même
- CM Punk : Lui-même
- Eve Torres : Elle-même
- Philippe Chereau : Lui-même (commentateur catch)
- Christophe Agius : Lui-même (commentateur catch)
- Freddy Fontana : L'arbitre
- Nathalie Renoux : Elle-même
- Jean-Marie Paris : L'entraineur Mexicain
- Djibril Gueye : L'ami boxeur
- Véronique Barrault : La référente ASE
- Éric Laugérias : Un client
Bande originale
Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section proviennent du générique de fin de l'œuvre audiovisuelle présentée ici.
Musiques pour le film
- Thème Repassage - Étienne Charry
- Niveau 0 - Germain Boulay
- Happy Market - Germain Boulay
- Do you want me - Frédéric Sana
Musiques préexistantes
- Hey Sexy Lady - Shaggy
- The Final Countdown - Europe
- Eye of the Tiger - Survivor
- La Cucaracha – chantée a cappella par André Dussollier
- Easy - Lionel Richie
- Mariachi mexicain : Cumbias - Mexican Institute of Sound (en) - (Camilo Lara & Holger Beier)
- Touch Me (I Want Your Body) - Samantha Fox
- Maria Bonita - Pham
- Jungle Fever (en) - Les Chakachas
- So' Belie Li Campagne (A' Primavera) - I Cimarosa (nap)
- Qui peut me stopper ? - La Fouine
- Ring of Fire - Johnny Cash
- The Wonder Woman theme - Charles Fox & Norman Gimbel
- La Petite Maison dans la prairie - thème - David Rose
- Il cielo in una stanza (en) - Gino Paoli
- Tchunga Ya - Etienne Perruchon
- Bang Bang - Mani
- Le Lac des Cygnes - Acte I n°9 : Finale - Tchaïkovsky
- Wham Bam - Andrew Bojanic & Elizabeth Hooper (Wizardz of Oz (en)) et Jim Marr & Wendy Page (Skin Games (en))
- Bavarian Kermess - Pierre Carrier & Jacques Flecheux[2]
- Like Dis, Like Dat - Jack Doyle
- Una nuova storia - Eric Gemsa & Elisabeth Conjard
- Do Right - Cut One
- La Mia Vita - Brice Davoli
- Tchang Fou - Eric Mallet & Dominique Guiot
- Jarabe tapatío - Jesús González Rubio (en) - arrangé par Jeremy Sweet & Marc Ferrari
La musique du film comporte des variantes de thèmes cultes comme celui de La Marche impériale de L'Empire contre-attaque (lorsque Colette emprunte le sabre-laser de son fils et se prend pour « Colette Vador ») ou encore l'introduction d'Eye of the Tiger de Rocky 3 (à l'entrée des trois anciennes catcheuses).
Accueil
Lors de sa sortie, le film s'avère être un échec commercial avec un budget proche des 11 000 000 d'euros il n'est vu que par 266 285 spectateurs durant les quatre semaines d'exploitation[3],[4],[5]. De plus, le film n'est vendu que dans sept pays[6].
Analyse
Références à d'autres œuvres
Le film reprend principalement le concept de The Full Monty. Ici une jeune maman, qui sort de prison, a l'idée de monter un projet insensé par amour pour son fils. Elle recrute des personnes ordinaires pour former une équipe mais connaît, au passage, quelques brouilles avec ses camarades au point de rompre le contact. Finalement, alors qu'elle s'apprête à renoncer, elle change d'avis au dernier moment.
On relève également une certaine similitude avec Rocky : Les « reines » se donnent à fond sur leur entraînement et courent sur la plage. À la fin du film, elles perdent le match mais reçoivent une ovation pour leur volonté et leur courage.
Autour du film
- La salle d'entraînement servant aux actrices principales est au nom de René Ben Chemoul.
Notes et références
- [xls] Liste de films agréés sur le site du CNC (onglet 2012, case E219).
- PENCIL Park, « CDM - CDM Music Search :Soundesign et illustration sonore pour les médias publicité, tv, cinéma, documentaires, institutionnel et web. Musique d'illustration : Moteur de recherche musical pour les médias, publicité, tv, cinéma, documentaires, institutionnel et web. », sur CDM MUSIC SEARCH (consulté le )
- Jacques Mandelbaum, « "Les Reines du ring" : de quoi souffre la comédie populaire française ? », sur Le Monde, (consulté le ).
- « Les chiffres du Box Office, semaine par semaine, pour le film "Les Reines du ring" », sur Allo Ciné (consulté le ).
- JP, « Les Reines du ring (2013)- JPBox-Office », sur www.jpbox-office.com (consulté le )
- « Les Reines du ring (2012) », sur www.unifrance.org (consulté le )
Liens externes
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