Lamonzie-Montastruc

Lamonzie-Montastruc est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Lamonzie-Montastruc

Le village de Lamonzie-Montastruc.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté d'agglomération Bergeracoise
Maire
Mandat
Jean-Michel Dreuil
2020-2026
Code postal 24520
Code commune 24224
Démographie
Population
municipale
702 hab. (2018 )
Densité 34 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 53′ 44″ nord, 0° 35′ 37″ est
Altitude Min. 48 m
Max. 162 m
Superficie 20,66 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Bergerac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bergerac-2
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Lamonzie-Montastruc
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Lamonzie-Montastruc
Géolocalisation sur la carte : France
Lamonzie-Montastruc
Géolocalisation sur la carte : France
Lamonzie-Montastruc

    Géographie

    Au sud du département de la Dordogne, en Périgord pourpre, et située dans l'aire urbaine de Bergerac, la commune de Lamonzie-Montastruc est arrosée par un affluent de la Dordogne, le Caudeau qui marque la limite avec Saint-Sauveur sur deux kilomètres et par deux affluents du Caudeau : la Seyze qui lui sert de limite à l'ouest avec Queyssac sur deux kilomètres, et la Louyre qui vient de l'est et conflue avec le Caudeau une centaine de mètres à l'ouest du village de Lamonzie-Montastruc.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    L'altitude minimale, 48 mètres, se trouve au sud-ouest du lieu-dit Landrevie Basse, là où le Caudeau quitte la commune pour servir de limite entre celles de Lembras et Saint-Sauveur. L'altitude maximale, avec 162 (ou 163 mètres[1]), est localisée à l'extrême nord, en bordure de la commune de Saint-Georges-de-Montclard, à l'ouest du lieu-dit le Garry.

    Entouré d'une végétation boisée, une centaine de mètres à l'est de la route départementale 21, le village de Lamonzie-Montastruc se situe, en distances orthodromiques, dix kilomètres au nord-est de Bergerac et treize kilomètres à l'ouest-nord-ouest de Lalinde.

    La commune est également desservie par la route nationale 21 sur toute sa bordure ouest ainsi que par les routes départementales 32 au sud-est et 21E1 au sud-ouest.

    Communes limitrophes

    Carte de Lamonzie-Montastruc et des communes avoisinantes.

    Lamonzie-Montastruc est limitrophe de six autres communes dont Liorac-sur-Louyre à l'est sur environ 200 mètres. Au sud-ouest, le territoire communal de Creysse n'est distant que d'environ 120 mètres de celui de Lamonzie-Montastruc.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 12,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 853 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988[8] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[10], à 13,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Lamonzie-Montastruc est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[13],[14],[15].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16],[17].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (65,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (64,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (62,2 %), prairies (19,8 %), zones agricoles hétérogènes (11,5 %), terres arables (3,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,3 %)[18].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Prévention des risques

    Un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2015 pour le Caudeau, impactant les rives de ce cours d'eau qui traverse la commune du nord au sud puis la borde au sud-ouest[19],[20].

    Toponymie

    Les premières mentions du village de « Lamonzie » remontent au XIIIe siècle sous les formes La Monzia puis La Monsia. Tiré de l'occitan « mongia » qui représente un couvent de moniales, le nom du village atteste de l'existence d'un ancien établissement religieux[21]. Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de la Mongie[22].

    « Montastruc » est également relevé au XIIIe siècle sous les formes Montastrucus et Rappayrium de Monte Astruco (repaire de Montastruc), qui indiquent la position surélevée du lieu (en occitan mont, provenant du latin mons). Astruc peut se référer soit à un nom de personne chanceuse, soit à la position favorable du lieu[21].

    En occitan, la commune porte le nom de La Móngia de Mont Astruc[23].

    Histoire

    Grottes au pied du château de Montastruc.

    Des traces de présences acheuléenne[21] et moustérienne ont été découvertes dans la grotte du Gué de la Roque[24].

    Des habitats troglodytiques sont présents sur le site du château de Montastruc.

    Au début de la Révolution, l'ancienne commune du Quartier de Villebois fusionne avec celle de Lamonzie-Montastruc[25].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune de Lamonzie-Montastruc a, dès 1790, été rattachée au canton de Liorac qui dépendait du district de Bergerac. En 1800, le canton de Liorac est supprimé, de même que les districts, et la commune est rattachée au canton de Bergerac dépendant de l'arrondissement de Bergerac. En 1973, le canton de Bergerac est scindé en deux et Lamonzie-Montastruc est désormais rattachée au canton de Bergerac-2[26].

    Intercommunalité

    En 2002, Lamonzie-Montastruc intègre la communauté de communes des Trois Vallées du Bergeracois. Cette structure intercommunale fusionne avec deux autres pour former au la communauté d'agglomération bergeracoise. Celle-ci fusionne avec la communauté de communes des Coteaux de Sigoulès au pour former la nouvelle communauté d'agglomération bergeracoise.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[27],[28].

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1792 1802 Lescot Gay    
    1802 1808 Jean Pech Peyrière    
    1808 1814 Charles de Vassal    
    1814 1815 Jean Rabier    
    1815 1815 Jean Lescot    
    1815 1817 Charles de Vassal    
    1817 1819 Jean Rabier    
    1820 1832 François Joseph d'Abzac    
    1832 1835 Lescot Gay    
    1835 1840 Jean Rabier    
    1840 1846 Élie Géraud    
    1846 mai 1852 Philippe Henry Montaud[Note 6]    
    août 1852 1854 Jean Jacques Loreilhe    
    décembre 1854 1864 Pierre Durand    
    1865 1870 Philippe Henry Montaud    
    1871 décembre 1871 Chord    
    décembre 1871 avril 1879 Philippe Henry Montaud    
    avril 1879 février 1882 Jean Gay-Lescot    
    février 1882 mars 1885 Étienne Arnouil    
    mars 1885 mai 1892 Jean Gay-Lescot    
    mai 1892 mai 1896 Pierre Alary    
    mai 1896 1923 Gabriel de Lostanges   Retraité
    décembre 1923 décembre 1934 Désiré Mourot[Note 7]    
    décembre 1934 mai 1935 Frut   Adjoint faisant fonctions de maire
    mai 1935 mai 1945 Max Begouën    
    mai 1945 avril 1967 Camille Dousset[Note 7]   Instituteur
    mai 1967 décembre 1996 Pierre Broussoles[Note 7]   Agriculteur
    janvier 1997[29] mai 2020 Alain Monteil SE[30] puis DVG Retraité
    mai 2020 En cours Jean-Michel Dreuil    

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Lamonzie-Montastruc relève[31] :

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].

    En 2018, la commune comptait 702 habitants[Note 8], en augmentation de 1,15 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 027652735892982905968983998
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0021 007912840833796744694634
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    601684607530548522511522448
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    415351377407539531557632707
    2018 - - - - - - - -
    702--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    En 2012, Lamonzie-Montastruc est organisée en regroupement pédagogique intercommunal (RPI)[35] avec la commune de Saint-Sauveur au niveau des classes de maternelle et de primaire. La commune assure le cours préparatoire et la maternelle, les classes de cours élémentaire et de cours moyen s'effectuant à Saint-Sauveur[36].

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête locale le .

    Économie

    La carrière de calcaire du Gué de la Roque.

    Emploi

    En 2015[37], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 328 personnes, soit 45,9 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (quarante-sept) a plus que doublé par rapport à 2010 (vingt-deux) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 14,2 %.

    Établissements

    Au , la commune compte soixante-cinq établissements[38], dont trente-trois au niveau des commerces, transports ou services, seize relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, huit dans la construction, six dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et deux dans l'industrie[39].

    Entreprises

    La « SA Carrières de Thiviers » exploite une carrière de calcaire crétacé au lieu-dit le Gué de la Roque. La capacité d'extraction est de 350 000 tonnes par an[40].

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    Le château de Bellegarde, implanté à 300 mètres au sud du village, sur une hauteur, a été construit au XIVe siècle et restauré aux XIXe et XXe siècles. Il comporte une porte médiévale et un pavillon Renaissance. Il est inscrit au titre des monuments historiques depuis 2006[41].

    Le château de Montastruc est situé 200 mètres au nord-ouest du village. C'était au XIVe siècle l'un des fiefs de la famille d'Abzac de la Douze. Rasé en 1438, le château fut reconstruit en 1471 moyennant la soumission de la veuve de Bertrand d'Abzac à l'autorité royale. Après une inscription partielle en 1973 au titre des monuments historiques, il a été inscrit en totalité en 2001[42].

    À plus d'un kilomètre au nord-est du village, le château de Lescot (ou manoir de Lescot) date du XVIIe siècle[43].

    Le manoir de Monsac[44] et la chartreuse de la Fourtonie [45] ont été construits au XVIIIe siècle.

    Patrimoine religieux

    L'église romane Notre-Dame de l'Assomption présente un portail à voussures du XIIe siècle et une coupole à la croisée du transept. À l'intérieur de l'église sur le sol git une clé de voûte qui pourrait être l'ancienne clé datant d'avant la reconstruction du clocher dans la première moitié du XXe siècle. Hormis le clocher, l'église a été inscrite aux monuments historiques en 1974[46],[47].

    Patrimoine naturel

    Au sud-est de la commune, un petit secteur d'une cinquantaine d'hectares situé au sud de la route départementale 32 fait partie d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II : la forêt de Liorac, refuge de la grande faune[48],[49].

    Héraldique

    Blason
    D'argent à la bande et à la bordure d'azur chargées de neuf besants d'argent, la bande accompagnée en chef d'une épée haute de gueules adextrée d'une étoile du même et, en pointe, d'un renard de gueules les pattes antérieures emportant un oiseau du même.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Démissionnaire.
    7. Décédé en fonctions.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Altitude 163 » sur Géoportail (consulté le 9 mars 2011)..
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station météofrance Bergerac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Lamonzie-Montastruc et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    19. PPR inondation - 24DDT20130002 - Le Caudeau, DREAL Aquitaine, consulté le 21 mars 2019.
    20. [PDF] Rivière le Caudeau – Lamonzie-Montastruc - Plan de prévention du risque inondation p. 5, DREAL Aquitaine, consulté le 21 mars 2019.
    21. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, p. 188, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2).
    22. « la Mongie » sur Géoportail (consulté le 9 mars 2011)..
    23. Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 4 mars 2014.
    24. Jean-Luc Aubarbier, Michel Binet, Guy Mandon, Nouveau guide du Périgord-Quercy, p. 97, Ouest-France, 1987, (ISBN 2-85882-842-3).
    25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Le Quartier de Villebois », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 5 septembre 2020.
    28. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 29 octobre 2020.
    29. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 20 août 2014.
    30. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 5.
    31. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    35. École primaire publique à Lamonzie-Montastruc sur le site de l'académie de Bordeaux, consulté le 10 mai 2012.
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    38. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
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    40. Carrière de Lamonzie-Montastruc (archive) sur le site des Carrières de Thiviers, consulté le 28 septembre 2015.
    41. « Château de Bellegarde », notice no PA24000053, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 13 avril 2010.
    42. « Château de Montastruc », notice no PA00082601, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 13 avril 2010.
    43. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, p. 158, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X).
    44. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, p. 182, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X).
    45. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, p. 122, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X).
    46. « Église de Lamonzie-Montastruc », notice no PA00082602, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 13 avril 2010.
    47. Marquis de Fayolle, L'église de La Monzie-Montastruc, dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1897, tome 24, p. 51-54 (lire en ligne)
    48. Forêt de Liorac, sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 30 mars 2017.
    49. Carte de localisation de la Forêt de Liorac sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 30 mars 2017. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, dans la « Légende » (en bas à gauche), ouvrir la couche « Référentiels » et barrer la couche « Photographie IGN ».
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