Le Pin (Gard)
Le Pin est une commune française située dans le département du Gard, en région Occitanie.
Pour les articles homonymes, voir Le Pin.
Le Pin | |||||
![]() Le Pin vu du belvédère de la Gardie. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Occitanie | ||||
Département | Gard | ||||
Arrondissement | Nîmes | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Gard Rhodanien | ||||
Maire Mandat |
Patrick Palisse 2020-2026 |
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Code postal | 30330 | ||||
Code commune | 30196 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Pinins | ||||
Population municipale |
440 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 74 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 05′ 24″ nord, 4° 32′ 07″ est | ||||
Altitude | Min. 94 m Max. 261 m |
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Superficie | 5,96 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Bagnols-sur-Cèze (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Bagnols-sur-Cèze | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Gard
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Géographie
Le Pin est situé dans une région de transition entre les premiers contreforts du Massif central et la Vallée du Rhône, traversée d’est en ouest par les vallées de la Cèze et de la Tave, et qui se caractérise par une suite de plateaux de garrigues, vallées, bassins intérieurs.
Relief
La commune se situe sur les versants nord des plateaux de Valliguières, qui bordent la vallée de la Tave, vallée alluviale à fond plat qui s’étend en s’élargissant jusqu’au Rhône. Son territoire présente un aspect général vallonné plus accidenté au nord, au contact de la plaine de la Tave.
L'altitude moyenne de Le Pin est de 182 mètres environ. L’altitude de la commune se situe entre 100 et 250 m avec une progression du nord au sud :
- 100 m au nord, au niveau de la plaine agricole ;
- 180 m sur le plateau aux abords du village ;
- de 200 à 250 m au sud, sud/est et sud/ouest du village.
Le Pin appartient au canton de Bagnols-sur-Cèze et à l’arrondissement de Nîmes, 3e circonscription (Villeneuve-lès-Avignon), département du Gard (30330).
Géologie
Les terrains les plus anciens de la commune datent de la fin de l’ère secondaire (crétacé). Le Cénomanien inférieur y est présent sur tout le plateau de la Veyre au sud de la commune ; il s’agit du Barrémien à faciès Urgonien. Le Cénomanien moyen est représenté par l’Aptien, recouvert en partie par l’Albien. La crête rocheuse de la Tave est formée de quartzites très durs (Tavien), au-dessus de l’étage à lignite ou Paulétien au quartier du « Mas de Palisse » et sur le plateau du village. Les dépôts récents se trouvent sous forme d’alluvions au quartier du « Cros de Masse » et dans la vallée de la Tave. Formation éolienne, le lœss peut atteindre jusqu’à 20 mètres d’épaisseur sur la partie sud du plateau du village.
Hydrographie
La commune est traversée d’est en ouest par la Veyre et la Tave ; la première rejoignant la seconde sur la commune de Gaujac. Ces deux cours d’eau qui constituent en fait les limites administratives de la commune sont peu importants, calmes mais à caractère torrentueux. Ils débordent parfois dans la plaine, par fortes pluies, mais ces débordements n’affectent pas les secteurs urbanisés ou urbanisables. Sur le territoire de la commune, la Veyre ne coule qu’épisodiquement lors de longues périodes de pluies. Elle est essentiellement alimentée par les prés de Pougnadoresse et par de nombreuses résurgences. L’ensemble du territoire est drainé par des ruisseaux, vallats, qui se jettent principalement dans la Tave.
Végétation
Comme dans toute la zone méditerranéenne, le relief influence fortement l’utilisation des sols ; les collines sont plus souvent boisées que défrichées. On y trouve des zones de garrigues ou de bois composés de chênes verts, blancs hermès ou de pins.
Climat
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Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[1].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cavillargues », sur la commune de Cavillargues, mise en service en 1961[6] et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[7],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 825,1 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nîmes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à 31 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,8 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,6 °C pour 1991-2020[12].
Urbanisme
Typologie
Le Pin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[13],[14],[15].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bagnols-sur-Cèze, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[16],[17].
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (54,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (54,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (53,1 %), cultures permanentes (34,7 %), zones urbanisées (6,8 %), zones agricoles hétérogènes (4,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,2 %)[18].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Histoire
Accrochées au flanc sud d’une colline les maisons du village s’étagent depuis le modeste château du XVIIe siècle jusqu’aux jardins en contrebas où une fontaine fut peut-être à l’origine du village.
Terre de transition, entre le sillon rhodanien et l’arrière-pays, qui confronte l'Uzège d’une part et la Lussanenque d’autre part, déjà pré-cévenole. Le Pin est par conséquent une terre de contrastes.
En 1382, les chroniques de la Révolte des Tuchins citent le village du Pin comme étant celui d'un certain Étienne Augier, dit Ferragut qui serait allé se battre dans les Alpilles.
À mi-chemin entre Uzès et Bagnols, cette localité fut de tout temps un important lieu de passage. Des voies protohistoriques, coupant au plus court ou courant au sommet des crêtes situées au sud du village, favorisent le passage des personnes ou des marchandises avec des variantes selon les situations et les époques. Ainsi en fut-il du tracé gallo-romain repris des siècles plus tard par le Chemin du Haut d’Allemagne vers Saint Jacques de Compostelle. Aujourd’hui il est courant de voir des pèlerins traverser Le Pin.
Au XIXe, pour la commune du Pin où les services aux personnes étaient inexistants l’entretien des chemins vicinaux était vital. Le chemin le plus important était celui qui mène à Cavillargues, car les principaux services de l’époque (médecin, notaire ou commerces en tous genres) étaient situés dans ce village. Dès 1865, la commune s’inquiète d’établir la communication entre ces deux communes. Jusque-là, la Tave était franchie à gué. Alors qu’un premier pont avait été créé, il est emporté vers 1874 par une crue de la rivière, et ne fut reconstruit que 15 ans plus tard, en 1889. Plus loin, sur ce même chemin, un deuxième pont fut édifié en 1924, pour traverser cette fois-ci, la Brive (un petit « Riou »), qui elle aussi était franchie à gué. Lors de forts orages en , la crue a emporté le pont. Grâce à une subvention de 60 % du montant des travaux accordée par le Conseil général aux communes du Pin et de Cavillargues, le pont fut reconstruit très rapidement.
La commune compte encore un dolmen, le dolmen du « Traves de l’Aven », probablement unique exemple dans notre région, de l’époque mégalithique, qui malheureusement ne demeure plus en intégralité, car lors de fouilles récentes, il a été fortement dégradé.
Au XIXe siècle, la plupart des maisons possédaient leur puits pour l’alimentation en eau. Puis en 1839, la municipalité décida de faire creuser un puits communal, à cette époque la commune ne possédait encore aucune fontaine publique. Au milieu des années 1800, devant les besoins croissants en eau, la municipalité envisage la création d’une fontaine publique, située, au « quartier bas » alimentant le lavoir, déjà existant, ainsi qu’un abreuvoir pour les bêtes de travail. Pour augmenter le débit en eau de cette fontaine, la commune a acheté à un particulier, une source passant dans son pré au Sud-Ouest du village. Cette fontaine est aujourd’hui toujours en état de marche et est appelée « La Font Basse ».
La Font Basse ne suffisant plus à assumer les besoins quotidiens en eau de la population, alors que les périodes de sécheresse survenaient fréquemment dans l’année, une autre source, suffisante pour alimenter le village, fut recherchée. Les bêtes de travail devaient aller boire dans un ruisseau à 500 mètres du village, l’Illaud (appelé Liot aujourd’hui). En 1885, après des « fouilles d’eau » aux quartiers du « Brugas » et de « Pied sans Peile », la commune construit une nouvelle fontaine publique sur la place du village, qui desservirait les quartiers hauts. Une statue en Bronze représentant une nymphe avec une cruche surmonte cette fontaine, qui a assouvi les besoins en eau de la population, jusqu’à la fin des années 1960, date à laquelle l’adduction en eau potable a pris le relais.
À partir de 1820, l’exploitation du lignite, amène au Pin une population de mineurs. Le lignite, le meilleur du bassin de la Tave, alimente les usines de la région, en particulier les filatures. Dès lors, la population de la commune s’accroît pour atteindre 364 habitants en 1881. Au début du XXe siècle, les mines sont abandonnées, à cause de leur faible rendement. De toute cette activité minière, il ne reste plus rien d’autre que quelques crassiers
La sériciculture déclinant, les filatures cessent toute activité vers la fin du XIXe siècle, l’exploitation des mines s’en trouve réduite et épisodique. La population ne cesse de décroître, 140 habitants seulement peuplent le village en 1975 avec menace de fermeture de l’école.
À partir de 1980, le village connaît un redressement démographique spectaculaire de 140 habitants à plus de 350. Cet accroissement est dû principalement à une population d’employés et d’ouvriers venue des sites de Marcoule et de l’Ardoise où se situent respectivement un important complexe atomique et des usines de ferro-alliages. Le relief vallonné a permis la construction d’une centaine de maisons, dans un respect quasi-total de l’environnement.
Politique et administration
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[20].
En 2018, la commune comptait 440 habitants[Note 5], en augmentation de 15,18 % par rapport à 2013 (Gard : +1,67 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Enseignement
Une école primaire au sein d’un regroupement pédagogique (2 classes sur Le Pin et deux à Saint-Pons-la-Calm pour un total de 90 élèves), donc 53, en 2015, sur la commune du Pin. Les classes dépendent de l'académie de Montpellier[23].
Divers services
- Une bibliothèque,
- Un terrain multisports avec une aire de jeux pour les plus petits,
- Une salle des fêtes,
- Un terrain de pétanque,
Économie
Les zones planes plus accessibles sont cultivées ; la viticulture est largement prépondérante sur toute la commune avec quelques cultures fruitières. Ces vignes produisent un vin de bonne qualité. À noter que pratiquement la totalité du territoire bénéficie du classement Côtes du Rhône (AOC).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Deux cimetières (route d’Uzès et chemin du Mas d’Agathe).
- Un lavoir alimenté par une fontaine, la « Font Basse ».
- Une fontaine sur la place de la mairie.
- Le belvédère-observatoire de la Gardie sur la commune de Saint-Pons-la-Calm.
- Le château du Pin (derrière l'église) : il appartient, en 1586, à Domergue des Micheaux, qui l'apporte en dot à M d'Entraigues, habitant d'Uzès, dont la famille a une origine marchande. En 1814, lors du décès de Jeanne Marie d'Entraigues du Pin, le château passe à son fils Ernest de Rossel, baron de Fontarèche.
- L’église Notre-Dame-de-la-Salette du Pin : les plans de l’édifice dressés par l’architecte Bègue d’Uzès datent du . L’implantation de cette nouvelle église était prévue sur l’emplacement de l’édifice primitif en y incluant l’ancien cimetière et l’ancienne sacristie qui fut ainsi sauvée de la démolition. Des travaux de réfection et d’aménagement furent lancés en 1992. Les murs latéraux des travées furent décroûtés et laissés en pierres apparentes après réfection des joints. La voûte fut repeinte, les fonts baptismaux rénovés, les vitraux réparés, le carrelage et l’électricité refaits et les bancs changés et un chauffage fonctionnel au gaz a été mis en place. Le bâtiment fut inauguré en 1993.
- Les bois et forêts : la commune du PIN est recouverte de nombreux bois et bosquets communaux ou privés. La commune reste essentiellement verte sur la majorité de sa surface. Des coupes de bois sont régulièrement réalisées sous le contrôle de l’ONF afin d’en assurer l’entretien. Et le belvédère de la Gardie sur la commune de Saint-Pons-la-Calm.
- Les capitelles : une quinzaine de cabanes en pierre sèche, ou « capitelles », parsèment le territoire de la commune ; de forme conique et parfaitement étanches à la pluie, elles servaient autrefois d’abris aux paysans dans leurs champs éloignés.
Héraldique
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Blason | D'azur à la bande losangée d'argent et de gueules. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Personnalités liées à la commune
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Notes de type "Carte"
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Cavillargues - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Le Pin et Cavillargues », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Cavillargues - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Le Pin et Nîmes », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- école primaire du Pin
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Le Pin sur le site de l'Institut géographique national
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