Le Martinet

Le Martinet est une commune française située dans le département du Gard en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Martinet.

Le Martinet

Vue générale de la commune du Martinet.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Alès
Intercommunalité Alès Agglomération
Maire
Mandat
Michel Mercier
2020-2026
Code postal 30960
Code commune 30159
Démographie
Population
municipale
745 hab. (2018 )
Densité 72 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 15′ 14″ nord, 4° 05′ 09″ est
Altitude Min. 234 m
Max. 692 m
Superficie 10,35 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Alès
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Rousson
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Le Martinet
Géolocalisation sur la carte : Gard
Le Martinet
Géolocalisation sur la carte : France
Le Martinet
Géolocalisation sur la carte : France
Le Martinet

    Géographie

    Localisation

    La commune est située à une dizaine de kilomètres de la ville d'Alès, au début des Cévennes.

    Communes limitrophes

    Portes, Robiac-Rochessadoule, Saint-Florent-sur-Auzonnet, Laval-Pradel.

    Hydrographie et relief

    Le territoire du village est situé dans la zone de contact entre la partie des Cévennes paléozoïques, cristallines et schisteuses, et la bordure secondaire sous-cévenole, constitutive de la Basse Cévenne. La partie ouest est intégrée aux Cévennes schisteuses, composées de roches métamorphiques formant de longues crêtes (les « serres ») et des vallées étroites et profondes. Cet ensemble constitue la montagne, ou massif, du Rouvergue, horst d'orientation générale nord-sud, dont le point culminant s'élève à 695 mètres d'altitude. Les terrains métamorphiques le composant sont des gneiss, gneiss amygdalaires et des micro-gneiss, qui se trouvent au Carteau, au Felgas et à Cessous. Le nom ce cette montagne provient du mot rouvre, nom de lieu ou de famille, de l'occitan rove, signifiant chêne rouvre. Ces formations géologiques siliceuses, situées entre sept cents et trois cents mètres d'altitude sont le domaine de taillis de chênes-verts, sur les pentes raides, avec sous-bois de houx, buis, bruyère, ciste à feuilles de sauge, fougère. Le châtaignier apparaît sur les pentes douces recouvertes de sols profonds et frais, notamment aux alentours du mas de Ribes.

    Le terrain houiller s'étale entre le Rouvergue et la bordure sous-cévenole, à l'est, dominée par la montagne de Lachamp. Il fait partie du bassin Stéphanien de la bordure orientale des Cévennes schisteuses. Les terrains primaires carbonifères se situent à Trélys, l'Arbousset, Le Martinet, Crouzoul, la Bayte, Gournier et Mercoirol. Sur les grès et schistes du Houiller, le pin maritime constitue de vastes pinèdes d'origine humaine (utilisation pour le boissage dans les mines). Au pied de la montagne de Lachamp, les dépôts anthropiques, déblais produits par l'exploitation minière, entre l'Arbousset et les Esteyrains, constituent des terrils (ou « crassiers »), formés de schistes charbonneux, colonisés par les pins.

    Dans la vallée, la rivière l'Auzonnet fait partie du réseau hydrographique de la Cèze, dont elle est un affluent de la rive droite. Son nom est un hydronyme préceltique, signifiant « rivière », à l'origine de nombreux toponymes de la Gaule. L'Auzonnet est réputée rivière aurifère. Elle traverse en effet dans sa partie amont des terrains conglomératiques, susceptibles de donner des paillettes, comme ceux traversés par la Ganière, rivière aurifère célèbre.

    La partie Est du territoire communal s'intègre à la « bordure sous-cévenole », composée de terrains secondaires, trias, jurassique et crétacé inférieur. Elle est limitée au sud par la « faille des Cévennes » ; c'est la « montagne de Lachamp » ou « Lacham », dont l'altitude est d'environ 625 mètres. Son nom d'origine gauloise, calmis, provient de l'occitan calm qui désigne un plateau rocheux ou une lande couverte de bruyère. Ce sont des terrains sédimentaires secondaires du Trias, marnes bariolées, dolomies, grès, marnes noires et calcaires dolomitiques, du Lias et du Jurassique moyen, calcaire argileux gris clair, dolomie et calcaire gris-bleu à chaille. Cet adret est couvert d'une végétation méditerranéenne typique. La zone de contact entre Carbonifère et Secondaire, notamment à Trélys, à l'Arbousset et aux Esteyrains, est de géologie et de structure complexes. Cette bordure cévenole calcaire est couverte par une série végètale mixte de chênes-verts sur les affleurements rocheux, et de chênes pubescents méditerranéens sur les sols plus légers, accompagnés par le buis, le thérébinthe, l'érable de Montpellier, le genèvrier, le thym, etc. L'arbousier et la bruyère poussent sur les sols calcéro-siliceux (Trélys, le Tauty, l'Arbousset...)[1].

    • La rivière l'Auzonnet qui contient quelques paillettes d'or.

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 15,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 17 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 354 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 7,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3,9 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[2].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Salindres », sur la commune de Salindres, mise en service en 1915[7] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[8],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 1 068,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Lanas Syn », sur la commune de Lanas, dans le département de l'Ardèche, mise en service en 1990 et à 40 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour la période 1971-2000[11], à 13,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,9 °C pour 1991-2020[13].

    Voies de communication et transports

    L'aménagement de la grande route traversant la localité est d'abord réalisé, tandis que la ligne de chemin de fer, Saint-Julien - Le Martinet, autorisée le , est construite en cinq ans; la gare du Martinet est inaugurée officiellement le . La ligne de la compagnie P.L.M. est ouverte à l'exploitation le . Jusqu'alors la production minière de Trélys était envoyée par l'embranchement Robiac-Rochessadoule de la ligne de Bassèges à Alais, livré en 1858[1].

    Le village est proche des grands axes routiers menant vers Alès, Uzès et Nimes ou les Vans.

    Urbanisme

    Typologie

    Le Martinet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Alès, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 64 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (92,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (95,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (92,4 %), zones urbanisées (7,6 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom du village vient de l'occitan « martinet », grue à monter les matériaux, atelier ou usine où l'on se sert d'un gros marteau ("marteau de forge"). Ce nom est tributaire de l'exploitation de l'énergie hydraulique de la rivière pour le fonctionnement de « marteaux de forge » ou « martinets ». Au moins un « martinet », le « martinet de Crozoul », a fonctionné au lieu-dit « plan de Crozoul »[20].

    Histoire

    Ancien régime

    Le Martinet était autrefois un hameau du village de Saint-Florent[21] situé à l'est dans la même vallée.

    Époque contemporaine

    Jusqu'en 1921, Le Martinet n'est qu'un hameau de la commune de Saint-Florent-sur-Auzonnet. Outre le « hameau du Martinet », anciennement « martinet de Crouzoul », et le « hameau de Crouzoul » (ou « Crozoul »), la population se répartit entre divers hameaux et mas, notamment : mas de la Bayte, mas du Chambon, mas de Trescouhaut (ou mas Mourier), mas du Tauty, hameau de Trélys, mas de Courcoulouze et château de la Plane (ou de la Plaine). L'expansion de l'exploitation minière va conduire progressivement à son émancipation. A partir de 1820, le village a son cimetière particulier. Entre 1820 et 1850 la population est d'environ 450 habitants. A partir du dernier quart du XIXe siècle, l'expansion démographique, liée au développement de la production de charbon est très importante. La mine est à l'origine de ce « village-usine », comme d'autres quartiers ou agglomérations créés au sein de communes préexistantes (Rochebelle, Rochessadoule, La Jasse) , ou de villages créés ex nihilo La Grand'Combe, La Vernarède, Molière-sur-Cèze. L'emprise territoriale des installations minières et des possessions immobilières de la « Compagnie » est très vaste. Dans le village la « Compagnie » contrôle la vie locale, et peu d'éléments de la vie privée des mineurs y échappent[22].

    En 1883, la commune de Saint-Florent, étant divisée en une partie agricole et une partie industrielle, l'administration décide son sectionnement : la première section, le Saint-Florent agricole, compte 1880 habitants et 19 conseillers municipaux, la deuxième section, Le Martinet, a 1006 habitants et 7 conseillers municipaux. La création de la commune du Martinet survient en 1921, à la suite d'un référendum. Adopté par la Chambre des députés, un projet de loi « tendant à distraire de la commune de Saint-Florent-sur-Auzonnet, la section du Martinet pour l'ériger en municipalité distincte » est adopté par le Sénat le . La loi du 18 et un arrêté pris en conseil d'Etat, divisent la commune de Saint-Florent-sur-Auzonnet en deux : Saint-Florent et Le Martinet. La population communale s'élève alors à 2348 habitants. Le premier conseil municipal est élu le , et le , Isidore Michel, déjà maire de Saint-Florent depuis 1919, devient maire de la « première mairie communiste [élue]de France ». En effet quelques mois plus tôt, après la scission de Tours, Isidore Michel, élu socialiste, rejoint la nouvelle « section française de l'Internationale communiste ». Le jeune Parti communiste conserve alors vingt-deux municipalités, dont celles de Saint-Denis et de Bobigny.

    Entre les deux guerres le Parti communiste le Martinet est devenu un « bastion du mouvement ouvrier ». C'est alors que le mineur Victorin Duguet (1905-1989) commence une carrière de militant syndicaliste qui le conduira à la tête de la Fédération nationale des Travailleurs du sous-sol, et en 1946 à la présidence des Charbonnages de France nationalisés. L'affirmation de l'hégémonie locale communiste, et de la C.G.T-U. organisation satellite du P.C.F., s'accroit encore avec la réunification syndicale de 1935 et le succès électoral communiste de mai-[23].

    Lors de sa création en 1921, la commune du Martinet a été la première commune communiste de France.

    Le village du Martinet est une ancienne cité ouvrière de la mine de Trélys, située dans la continuité du bassin des mines de houille d'Alès. L'économie actuelle est désormais tournée vers le tourisme vert.

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Depuis sa création en 1921, la commune n'a connu que des maires communistes[24],[25], cas unique en France[réf. souhaitée].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1922 1939 Isidore Michel[26] PCF Mineur
    1939 1944 Clovis Dugas[27]    
    1945 1953 Isidore Michel PCF  
    1953 1983 Marcel Diet PCF  
    1983 2001 Charles Diet PCF Conseiller général du Canton de Saint-Ambroix (1983-2001)
    2001 2008 André Deleuze PCF  
    2008[28] En cours Michel Mercier PCF[29] Architecte
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1926. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[31].

    En 2018, la commune comptait 745 habitants[Note 5], en diminution de 12,04 % par rapport à 2013 (Gard : +1,67 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
    2 5162 5122 5052 2272 2972 0261 7051 300953
    1990 1999 2006 2007 2012 2017 2018 - -
    844764789793840750745--
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Culture locale et patrimoine

    Édifices civils

    • Château de Crouzoul construit par la famille Despeisses
    • Dolmen de Trélis

    Édifices religieux

    Patrimoine naturel

    • Montagne du Rouvergue avec sa table d'orientation.
    • Montagne de Lachamp avec sa chapelle.

    Personnalités liées à la commune

    • Jean Coin, secrétaire de la Région Gard-Lozère du PCF en 1945, secrétaire général de l'Humanité
    • l'abbé Albouy
    • Isidore Michel, premier maire du Martinet en 1921, autodidacte et leader de la corporation ouvrière
    • Élie et Victorin Duguet, secrétaire général de la Fédération nationale des travailleurs du sous-sol CGT et premier président des charbonnages de France à la libération.
    • Marius Tour
    • Marcel Cachin en .
    • Yves Delset, footballeur professionnel, né au Martinet le , champion de France de D2 avec l'Olympique d'Alès.
    • Robert Siatka, footballeur professionnel, né au Martinet le , 4 fois champion de France avec le Stade de Reims, 1 fois avec le FC Nantes, international A (1 sélection).

    Famille Despeisses

    Armorial de la
    famille Despeisses.

    Cette figure réunit les blasons de la famille Despeisses et ceux de leurs épouses : Jeanne de Valette, Catherine de Causse, Anne de Ribeyrol, Isabeau de la Fare, Catherine de Ribeyrol.

    Les Armes de la maison Despeisses, Seigneurs de Crouzoul, de la Plane et autres lieux.
    Devise : Aux armes ne saurait faillir.

    • Au centre : la maison Despeisses - d'argent à la bande d'azur, chargé de trois têtes et cols de licorne d'or.
    • Au 1er : Ribeyrol d'Entremaux
    • Au 2e : de Causse - d'azur au tournesol d'or regardant un soleil du même, à la bordure de gueules
    • Au 3e : de Valette - d'azur au lion armé et lampassé de gueules, accosté de deux croissants adossés du même, au chef cousu d'azur chargé de trois étoiles d'or
    • Au 4e : de la Fare - d'azur à trois falots d'or allumés de gueules, posés en pal, accompagnés d'un lambel de trois pièces d'argent

    Héraldique

    Blason
    D'argent aux quatre fasces ondées d'azur, mantelé ployé de gueules semé de clous d'or[34].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Le blason de la commune du Martinet a été créé en l'an 2000. Les ondées d'azur évoquent la rivière de l'Auzonnet qui traverse la commune. Les clous d'or évoquent le travail des nombreux cloutiers qui achetaient les tiges de fer produites dans les martinets, avec lesquelles ils fabriquaient des clous dans leurs ateliers familiaux. Spécialités de la vallée de l'Auzonnet, ces clous étaient vendus dans les foires de la région, en particulier à Beaucaire.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Jean-Paul Vénobre, « Le Martinet. Petite histoire d'un « village-usine » cévenol. », Patrimoine 30, n° 36, , p. 10-22 (ISSN 1624-5695).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Salindres - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Le Martinet et Salindres », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Salindres - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Le Martinet et Lanas », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Lanas Syn - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Lanas Syn - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Lanas Syn - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. Jean-Paul Vénobre, « Le Martinet. Petite histoire d'un « village-usine » cévenol. », Patrimoine 30, , p. 10-22 (ISSN 1624-5695).
    21. Eugène Germer-Durand, Ministère de l'instruction publique (Éditeur scientifique) et Comité des travaux historiques et scientifiques (dir.), Dictionnaire topographique du département du Gard : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Impr. impériale, , XXXVI-298 p., in-4 (notice BnF no FRBNF30500934), p. 124 et 206
    22. Jean-Paul Vénobre, « Le Martinet. Petite histoire d'un "village-usine" cévenol. », Patrimoine 30, n° 36, , p. 10622 (ISSN 1624-5695).
    23. Journal Officiel du 10 juillet 1921.
    24. Didier Micoine, « Ce village qui a toujours été communiste », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
    25. Boris De La Cruz, « Le Martinet, communiste depuis quatre-vingt-sept ans », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le ).
    26. Jean-Michel Gaillard, « MICHEL Isidore, François », sur Le Maitron.
    27. http://www.st-florent-passe-present.fr/?page_id=1972
    28. Eloïse Levesque, « FAIT DU JOUR Coupes budgétaires : la mairie du Martinet fait de la résistance », sur objectifgard.com, (consulté le ).
    29. « Les maires communistes du Gard », sur PCF.fr (consulté le ).
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    34. « Banque du Blason »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?), sur www.labanquedublason.com.
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