Sanvensa

Sanvensa (Sant Vensan en occitan) est une commune française située dans le département de l'Aveyron, en région Occitanie.

Sanvensa

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Aveyron
Arrondissement Villefranche-de-Rouergue
Intercommunalité Ouest Aveyron Communauté
Maire
Mandat
Suzette Clapier
2020-2026
Code postal 12200
Code commune 12259
Démographie
Gentilé Sanvensacois
Population
municipale
655 hab. (2018 )
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 17′ 36″ nord, 2° 02′ 58″ est
Altitude Min. 230 m
Max. 534 m
Superficie 25,48 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Villefranche-de-Rouergue
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aveyron et Tarn
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Sanvensa
Géolocalisation sur la carte : Aveyron
Sanvensa
Géolocalisation sur la carte : France
Sanvensa
Géolocalisation sur la carte : France
Sanvensa

    Ses habitants sont appelés les Sanvensacois.

    Géographie

    Localisation

    Réseau hydrographique

    Réseaux hydrographique et routier de Sanvensa.

    La commune est drainée par l'Aveyron, la Serène, le ruisseau de Marmont, le ruisseau des millets, le ruisseau d'Aubugues, le ruisseau de Campal, le ruisseau de Gourgnés, le ruisseau de Roumanelle, le ruisseau des Andissacs, le ruisseau des Combes, le ruisseau de Souillens et par divers petits cours d'eau[1].

    L'Aveyron, d'une longueur totale de 290,6 km, prend sa source dans la commune de Sévérac d'Aveyron et se jette dans le Tarn à Baraqueville, après avoir arrosé 60 communes[2].

    La Serène, d'une longueur totale de 32,2 km, prend sa source dans la commune de Le Bas Ségala et se jette dans l'Aveyron à Saint-André-de-Najac, après avoir arrosé 8 communes[3].

    Gestion des cours d'eau

    La gestion des cours d’eau situés dans le bassin de l’Aveyron est assurée par l’établissement public d'aménagement et de gestion des eaux (EPAGE) Aveyron amont, créé le , en remplacement du syndicat mixte du bassin versant Aveyron amont[4],[5],[6].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1970-2000
    • Moyenne annuelle de température : 12 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 982 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,4 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique altéré », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type, qui concerne la moitié ouest du département de l'Aveyron, constitue une transition entre le climat océanique franc et le climat océanique dégradé. La température moyenne annuelle est assez élevée (12,5 °C) avec un nombre de jours froids faible (entre 4 et 8 par an)[7].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[8]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[7]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[9]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Rodez-Marcillac, qui se trouve à 42 km à vol d'oiseau de la commune[10], où la température moyenne annuelle évolue de 10,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 10,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[13].

    Sites Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[14].

    Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[15] :

    • Les « Vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou », d'une superficie de 17 144 ha, s'étendent sur 136 communes dont 41 dans l'Aveyron, 8 en Haute-Garonne, 50 dans le Tarn et 37 dans le Tarn-et-Garonne. Elles présentent une très grande diversité d'habitats et d'espèces dans ce vaste réseau de cours d'eau et de gorges. La présence de la Loutre d'Europe et de la moule perlière d'eau douce est également d'un intérêt majeur[16] ;

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal de Sanvensa comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2],[17], la « Rivière Aveyron » (3 500 ha), couvrant 63 communes dont 38 dans l'Aveyron, 5 dans le Tarn et 20 dans le Tarn-et-Garonne[18] , et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[17], la « Vallée de l'Aveyron » (14 644 ha), qui s'étend sur 68 communes dont 41 dans l'Aveyron, 5 dans le Tarn et 22 dans le Tarn-et-Garonne[19].

    Urbanisme

    Typologie

    Sanvensa est une commune rurale[Note 4],[20]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[21],[22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Villefranche-de-Rouergue, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[23],[24].

    Infrastructures et occupation des sols de la commune de Sanvensa.

    Occupation des sols


    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (82,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (32,9 %), terres arables (28,5 %), prairies (18,3 %), forêts (17,4 %), zones urbanisées (2,8 %)[25].

    Planification

    La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document essentiel d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCoT du Centre Ouest Aveyron approuvé en février 2020. La structure porteuse est le Pôle d'équilibre territorial et rural Centre Ouest Aveyron, qui associe neuf EPCI, notamment Ouest Aveyron Communauté, dont la commune est membre[26].

    La commune disposait en 2017 d'une carte communale approuvée et un plan local d'urbanisme était en élaboration[27].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Sanvensa est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à deux risques particuliers, les risques radon et minier[28],[29].

    Risques naturels

    Zones inondables de la commune de Sanvensa.

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de l'Aveyron. Un plan des surfaces submersibles (PSS), premier document cartographique réglementant l'occupation du sol en zone inondable pour les cours d'eau domaniaux, a été établi en 1964. Compte tenu du peu d’enjeux exposés à ces inondations, aucun plan de prévention du risque d’inondation n’a été prescrit[28]. Néanmoins la loi Barnier du confère aux PSS un statut de plan de prévention des risques (PPR ), les rendant par conséquent opposables au tiers et faisant entrer le territoire des la commune dans le champ d'application de l'obligation d'information des acquéreurs locataires[30].

    Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité faible[31].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés au retrait-gonflement des argiles[28], conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[32]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. La carte de zonage de cet aléa peut être consultée sur le site de l'observatoire national des risques naturels Georisques[33]

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic et une ligne de chemin de fer. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[34].

    Risques particuliers

    La commune est concernée par le risque minier, principalement lié à l’évolution des cavités souterraines laissées à l’abandon et sans entretien après l’exploitation des mines[35].

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon le dossier départemental des risques majeurs du département établi en 2013, la commune de Sanvensa est classée à risque moyen à élevé[36]. Un décret du a modifié la terminologie du zonage définie dans le code de la santé publique[37] et a été complété par un arrêté du portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français. La commune est désormais en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[38].

    Histoire

    Son nom vient de "Saint Vincent", ancien patron de l'église paroissiale, dont les formes anciennes étaient "Sanctus Evantus" puis "San Vensa". L'église, autrefois liée à la basse cour du château dont elle fermait un côté, a été déplacée et reconstruite en 1757, puis fortement remaniée en 1839 et 1879.

    Les dîmes de cette église primitive étaient inféodées au XIIe siècle par l'évêque de Rodez à Jean de Morlhon dont les descendants furent seigneurs de Sanvensa jusqu'à Charles III, marquis de Sanvensa et baron de Castelmary, dont le mariage fut cassé pour impuissance en 1718. Son château fut pris en 1369 par un capitaine anglais, attaqué, repris et pillé l'année suivante par une expédition des habitants de Najac. Il fut reconstruit au XVIe siècle par Jean de Morlhon, sénéchal du Rouergue, mort assassiné en 1595 à Villefranche. Son donjon avait été rabaissé et deux tours rondes construites. Le vieux village, dont la forme est ovoïde, s'est développé autour de la basse cour du château.

    Héraldique

    Blasonnement :
    Blason de la Famille de Sanvensa.
    Commentaires : D'azur, au pairle d'argent accompagné en chef d'une merlette d'or.

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune de Sanvensa est membre de la Ouest Aveyron Communauté[39], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Villefranche-de-Rouergue. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[40].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Villefranche-de-Rouergue, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[39]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton d'Aveyron et Tarn pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[39], et de la deuxième circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[41].

    Élections de 2020

    Le conseil municipal de Sanvensa, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[42] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[43]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 15. La totalité des quinze candidats en lice[44] est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 57,68 %[45]. Suzette Clapier, maire sortante, est réélue pour un nouveau mandat le [46].

    Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[47]. Un siège est attribué à la commune au sein de la Ouest Aveyron Communauté[48].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1981 2008 Roger Bedel    
    mars 2008 en cours Suzette Clapier[49],[50]   Ancien artisan, commerçant ou chef d'entreprise
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[52].

    En 2018, la commune comptait 655 habitants[Note 6], en diminution de 0,3 % par rapport à 2013 (Aveyron : +0,55 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7307241 6941 9662 1571 1371 1701 2021 215
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3851 3411 4851 5921 5631 6521 5591 5081 544
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 3751 2761 2481 003961914902903808
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    716649625558563506599612651
    2017 2018 - - - - - - -
    654655-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[53] puis Insee à partir de 2006[54].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    Bibliographie

    • (oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf. Bernard Vidal), Najac : La Folhada, Lunac, Montelhs, Sant-Vensa, Sent-Andriu, Vòrs e Bar / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton de Najac, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 389 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-46-7, ISSN 1151-8375, notice BnF no FRBNF38977008)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    4. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Fiche communale de Sanvensa », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    2. Sandre, « l'Aveyron »
    3. Sandre, « la Serène »
    4. « EPAGE Aveyron amont », sur https://www.banatic.interieur.gouv.fr/ (consulté le )
    5. « Aveyron amont », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    6. site officiel du SMB2
    7. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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    10. « Orthodromie entre Sanvensa et Rodez », sur https://fr.distance.to/ (consulté le ).
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    12. « Station météorologique de Rodez-Marcillac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rodez-Marcillac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    54. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    55. Notice no PA00094181, base Mérimée, ministère français de la Culture
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