Le Chalard

Le Chalard est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Le Chalard

La mairie du Chalard.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Limoges
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Saint-Yrieix
Maire
Mandat
Annick Huchet
2020-2026
Code postal 87500
Code commune 87031
Démographie
Population
municipale
311 hab. (2018 )
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 32′ 57″ nord, 1° 07′ 51″ est
Altitude Min. 237 m
Max. 369 m
Superficie 12,42 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Yrieix-la-Perche
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Yrieix-la-Perche
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Le Chalard
Géolocalisation sur la carte : Haute-Vienne
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Le Chalard
Liens
Site web www.lechalard.fr

    Ses habitants s'appellent les Peyrouliers[1], nom du métier qui consistait à former des ébauches en cuivre à la forge du village, ces formes étaient ensuite destinées à devenir divers ustensiles dont des casseroles[2].

    Géographie

    Généralités

    Situation de la commune du Chalard en Haute-Vienne.

    À l'extrême sud du département de la Haute-Vienne, la commune du Chalard est limitée par l'Isle, principal affluent de la Dordogne, qui la sépare à l'est de Saint-Yrieix-la-Perche et au sud de Jumilhac-le-Grand, dans le département de la Dordogne. La commune est également arrosée à l'est par un petit affluent de l'Isle, le ruisseau Noir (ou ruisseau du Moulin de Busseix).

    L'altitude minimale, 237 mètres, se trouve au sud-ouest, là où l'Isle quitte la commune pour entrer sur celle de Jumilhac-le-Grand. L'altitude maximale avec 369 mètres est localisée au nord, en forêt du Chalard[3], à quelques dizaines de mètres du territoire communal de Ladignac-le-Long.

    Le village du Chalard s'est développé sur un éperon rocheux au-dessus des gorges de l'Isle. À l'intersection des routes départementales 59a2 et 901, il se situe, en distances orthodromiques, sept kilomètres au nord-ouest de Saint-Yrieix-la-Perche et seize kilomètres au sud-sud-ouest de Nexon.

    Communes limitrophes

    Le Chalard est limitrophe de trois autres communes, dont une dans le département de la Dordogne.

    Carte du Chalard et des communes avoisinantes.

    Environnement

    En bordure nord du parc naturel régional Périgord-Limousin, la commune présente sur 240 hectares une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II, la « vallée de l'Isle au Chalard »[5].

    Dans une vallée resserrée et boisée s'épanouissent des plantes rares dans la région : la Jacinthe des bois (Hyancinthoides non-scripta), la Balsamine des bois (Impatiens noli-tangere) et la Scille printanière (Scilla verna).

    Au niveau de la faune, la qualité du site autorise la présence de deux espèces, un insecte, le Galéruque à 4 taches (Phyllobrotica quadrimaculata), peu fréquent sur le territoire français du fait de la raréfaction des zones humides et un oiseau, le Cincle plongeur (Cinclus cinclus), dont la technique de pêche, immergé dans les cours d'eau, est unique.

    À la frontière avec la commune de Jumilhac-le-Grand se trouve l'ancienne mine aurifère du Bourneix, exploitée jusqu'en 2002 par Areva, aujourd'hui sous surveillance environnementale[6] pour le traitement de eaux. Cette ancienne mine inquiète les associations environnementales locales qui redoutent des pollutions diffuses des eaux de l'Isle par des métaux lourds (résidus de l'exploitation de la mine)[7].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[8]

    • Moyenne annuelle de température : 11,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 1 088 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Yrieix la Pe », sur la commune de Saint-Yrieix-la-Perche, mise en service en 1994[14] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[15],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,6 °C et la hauteur de précipitations de 1 164,2 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, mise en service en 1973 et à 35 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[18] à 11,4 °C pour 1981-2010[19], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[20].

    Urbanisme

    Typologie

    Le Chalard est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[21],[22],[23].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Yrieix-la-Perche, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[24],[25].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (57,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (42,4 %), prairies (28,1 %), zones agricoles hétérogènes (26,1 %), terres arables (3,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,3 %)[26].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    En occitan, la commune porte le nom de Lu Chaslar.

    Histoire

    Au Ve siècle av. J.-C., les Gaulois commencèrent à exploiter plusieurs mines d'or au Chalard. On peut encore aujourd'hui observer des creux et les haldes dans certaines forêts de la commune. La société des mines du Bourneix exploita de 1982 à 2002 une des dernières mines d'or de France, sur le site d'une de ces mines antiques[27],[28].

    Une tradition veut que Roger, vicomte de Limoges, ait fondé en 801 un premier monastère en ce lieu et que celui-ci ait été détruit par les Vikings lors de leur incursion en Limousin, en 846. Vers l’an mil, ses descendants dressent sur cet épaulement naturel une tour appelée en langue romane « castellare » qui se transforma en Chalard.

    En 1088, un prêtre avec ses deux compagnons vint s’installer sur les ruines de l’ancien monastère. Du nom de Geoffroy, il serait né près du village de Noth, à l'est de La Souterraine. Il fit des études assez poussées à Tours, et vint ensuite enseigner à Limoges. Sur les conseils d'un riche marchand chez qui il logeait, Pierre Brun, il se fit ordonner prêtre à Périgueux vers 1087. Lors de son voyage d'ordination, il avait remarqué la forêt de Courbefy qu'il traversait ; c’est à son retour qu’il prit la décision d'y vivre en ermite. En 1100, Geoffroy construisit une petite église dédiée à la Vierge grâce aux subsides d’un archidiacre de Limoges, Pierre Bruchard. C’est l’évêque de Périgueux, Renaud de Thiviers, qui consacra l’édifice. Le prélat conseilla à l’ermite de créer une communauté de chanoines obéissant à la règle de saint Augustin et le vicomte de Limoges et sa mère lui firent cadeau du site. Geoffroy mourut en 1125 et fut inhumé dans l’abbatiale près de son ancien oratoire ; quelques années plus tard, son grand ami, Gouffier de Lastours, héros de la première croisade, fut enterré dans une tombe aux armes des Lastours, dans l'église, contre son tombeau. Le Gouffier de Lastours enterré avec son épouse, Agnès d'Aubusson dans la salle capitulaire est celui qui vivait environ cent ans plus tard.

    Le prieuré subit des ravages lors de la guerre de Cent Ans. En 1419, un certain Beauchamp à la tête d'une bande armée se retranche dans le prieuré. Une armée menée par les seigneurs du voisinage les en déloge le  ; mais le prieuré est en piteux état, la nef de l’abbatiale ayant été totalement détruite. À la fin du XVIIe siècle, les derniers chanoines quittent l’abbaye qui est vendue comme bien national à la Révolution.

    À la Révolution française, la paroisse devient une commune mais fusionne presque aussitôt avec celle de Ladignac-le-Long. Ce n'est qu'en 1867 que Le Chalard redevient une commune indépendante[29].

    Blasonnement

    Les armoiries de Le Chalard se blasonnent ainsi :
    De gueules à l'église romane fortifiée d'argent, essorée d'or, posée dans un ancien cimetière aussi d’argent, au franc-canton cousu d'azur semé de fleurs de lys aussi d'or chargé de trois tours d'argent brochant sur le tout.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs [30]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1936 1945 Jacques Boutard SFIO Médecin
             
    mars 1995 mars 2001 Philippe Chabassier UMP  
    mars 2001 avril 2010 Marcel Bonnaud[Note 7]    
    juin 2010 mars 2014 Bruno Deluret    
    mars 2014 mai 2020 Michel Andrieux UDI  
    mai 2020 En cours Annick Huchet    

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[32].

    En 2018, la commune comptait 311 habitants[Note 8], en diminution de 0,96 % par rapport à 2013 (Haute-Vienne : −0,71 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
    454482527517570614611606637
    1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
    634527511506436400356353320
    1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014 2018 -
    283225234246276302316311-
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Remarque

    Depuis la fin du XVIIIe siècle jusqu'en l'an 1867, la commune avait fusionné avec celle de Ladignac-le-Long.

    Économie

    Pommeraies au Chalard.

    De 1982 à 2002, l'or fut exploité dans les mines du Bourneix[35]. L'économie actuelle du village est surtout tournée vers l'agriculture : l'élevage de bovins ; il existe plusieurs dizaines d'hectares de pommeraies, la commune faisant partie de la zone d'AOC[36] et d'AOP [37] « Pomme du Limousin ».

    Lieux et monuments

    • L'église de l'Assomption, XIIe siècle : de l'église originelle ne subsistent que le transept et le chœur, la nef ayant été détruite au cours de la guerre de Cent Ans. D'architecture romane, elle conserve quelques chapiteaux sculptés ; l'église abrite le tombeau de saint Geoffroy recouvert par un buffet en bois de style gothique. Elle est classée monument historique depuis 1910[38].
    • Les vestiges du prieuré Notre-Dame, XIe siècle : propriété privée, le prieuré est accessible lors des journées européennes du patrimoine et aussi lors du festival de musique et de théâtre musical, le festival 1001 notes fin juillet et début août. La salle capitulaire en est la plus belle partie, elle renferme plusieurs tombes dont celle de Gouffier de Lastours. Il est inscrit au titre des monuments historiques depuis 1997[39].
    • Le cimetière des moines[40] : au pied du chevet de l'abbatiale, se pressent des pierres tombales romanes et gothiques qui recouvraient les tombes des moines.
    • La maison des Anglais, XIIIe siècle : seule demeure ancienne du village n'ayant subi aucune transformation majeure, elle a conservé de magnifiques baies gothiques. Sa façade est inscrite depuis 1987[41].
    • Le pont médiéval de la Tour, XIVe siècle : au pied de l'éperon rocheux sur lequel s'élève l'abbaye, un pont médiéval enjambe l'Isle à proximité des ruines du château des vicomtes de Limoges. Partagé avec les communes de Jumilhac-le-Grand en Dordogne et Saint-Yrieix-la-Perche en Haute-Vienne, il est classé depuis 1984[42].
    • La forge de Bessous : sa porcherie date de 1850 et est classée par arrêté du [43].

    Personnalités liées à la commune

    Vie locale

    Enseignement

    Le Chalard possédait une école, qui n'est plus utilisée à ce jour. Le village est relié à l'école de Ladignac-le-Long.

    Équipements ou services

    La commune possède une salle des fêtes, nommée du nom d'un maire. Elle est régie par le comité des fêtes du Chalard qui organise différentes manifestations tout au long de l'année.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[11].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Décédé en fonctions
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Nom des habitants », sur www.habitants.fr (consulté le ).
    2. Le Chalard sur le site de la communauté de communes du Pays de Saint-Yrieix, consulté le 10 novembre 2010.
    3. « Borne 369 (Forêt du Chalard) » sur Géoportail (consulté le 11 novembre 2010)..
    4. Carte IGN sur Géoportail
    5. ZNIEFF 40007680 - Vallée de l'Isle au Chalard sur le site de l'INPN, consulté le 11 novembre 2010.
    6. Le Bourneix : un site aurifère épuisé sur le site d'Areva, consulté le 10 août 2014.
    7. Rumeurs autour de l'ancienne mine d'or de Jumilhac-le-Grand (24) sur Sud Ouestdu 3 novembre 2010, consulté le 10 août 2014.
    8. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    9. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    10. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    11. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    12. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    13. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    14. « Station Météo-France Saint-Yrieix la Pe - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    15. « Orthodromie entre Le Chalard et Saint-Yrieix-la-Perche », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station Météo-France Saint-Yrieix la Pe - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    17. « Orthodromie entre Le Chalard et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    18. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    23. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « Liste des communes composant l'aire d'attraction duSaint-Yrieix-la-Perche », sur insee.fr (consulté le ).
    25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    27. Béatrice Cauuet, L'Or des Celtes du Limousin, Limoges : Culture et patrimoine en Limousin, coll. Archéologie, 2004, (ISBN 2-911167-37-6), p. 23-25.
    28. Site de l'Office de tourisme de Saint-Yrieix, consulté le 10 novembre 2010.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Le Chalard », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    30. « Les maires de la commune » (consulté le ).
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    35. Le Bourneix : un site aurifère épuisé sur le site d'Areva, consulté le 23 novembre 2010.
    36. Décret relatif à l'AOC « Pomme du Limousin » (doc pdf), consulté le 11 novembre 2010.
    37. Cahier des charges de l'AOP « Pomme du Limousin » (doc pdf), consulté le 11 novembre 2010.
    38. « Église de l'Assomption », notice no PA00100265, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 12 mars 2011.
    39. « Ancien prieuré Notre-Dame du Chalard », notice no PA87000007, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 12 mars 2011.
    40. Marion Durier, Le prieuré du Chalard. Le cimetière médiéval, dans Congrès archéologique de France, 172e session, Haute-Vienne romane et gothique. L'âge d'or de son architecture. 2014, Société française d'archéologie, 2016, p. 369-374, (ISBN 978-2-901837-61-9) (lire en ligne)
    41. « Maison dite des Anglais », notice no PA00100266, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 12 mars 2011.
    42. « Pont dit de la Tour », notice no PA00100267, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 12 mars 2011.
    43. « Forge de Bessous », notice no PA87000026, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 12 mars 2011.
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