Laurens (Hérault)
Laurens [lɔ.ʁɛ̃s] (en occitan, Laurenç [law.'rens]) est une commune française située dans le département de l'Hérault, en région Occitanie.
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Laurens | |||||
Vue générale du village. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Hérault | ||||
Arrondissement | Béziers | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Les Avant-Monts | ||||
Maire Mandat |
François Anglade 2020-2026 |
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Code postal | 34480 | ||||
Code commune | 34130 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Laurentiens | ||||
Population municipale |
1 737 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 106 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 31′ 27″ nord, 3° 11′ 52″ est | ||||
Altitude | 140 m Min. 117 m Max. 228 m |
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Superficie | 16,39 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Béziers (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Cazouls-lès-Béziers | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Géographie
Le Libron prend sa source à Laurens sous le pont à la confluence de la Naubine et du Sauvanès.
Communes limitrophes
Climat
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Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[1].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Les Aires », sur la commune des Aires, mise en service en 1995[6]et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[7],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 128,5 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Sete », sur la commune de Sète, mise en service en 1949 et à 42 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 15 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,4 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,8 °C pour 1991-2020[12].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[13],[14],[15].
Urbanisme
Typologie
Laurens est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[16],[17],[18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Béziers, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 53 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19],[20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (65,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (56,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (23,1 %), zones urbanisées (8,3 %), forêts (5,9 %), zones agricoles hétérogènes (4,2 %), prairies (1,6 %)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Attestée sous les formes parrochia de Laurencs en 1139,ecclesie de Laurencs en 1146, castro de Laurentiis en 1270, de Laurenchis en 1351, Laurens en 1529, Laurens en 1585, de Laurenciis au XVIe siècle, Laurent en 1622[22].
Ce toponyme est issu du nom de personne romain Laurencius[22], Le nom est latin et signifie « l'homme de Laurentum », Laurent « celui qui est couronné de lauriers »[réf. nécessaire].
Frank R. Hamlin propose le nom latin Laurum + suffixe occitan -enc[23].
Histoire
Un relais de poste et de transports à LAURENS au XVIIIe siècle:
En 1690, la famille FUSIES crée à LACAUNE un relais de poste. Au début du XVIIIe siècle, elle crée une ligne de transport BEZIERS-LACAUNE-CASTRES avec des relais à LAURENS, SAINT GERVAIS, MURAT, BRASSAC.... Chaque relais compte de 10 à 20 chevaux pour remplacer les montures. A SAINT GERVAIS, des chevaux sont loués aux voituriers en plus de leurs propres montures pour monter LA CROIX DE MOUNIS. Au sommet, les chevaux sont relâchés et reviennent seuls à l'écurie. A SAINT PONS, c'est la même chose pour monter le Col du CABARETOU. Au début du XIXe siécle, la famille FUSIES avait plus de 300 chevaux. Mais avec le chemin de fer et l'apparition des premiers camions à pneus pleins, le début du XXe siècle signe la fin des véhicules à chevaux. Les bâtiments du relais de LAURENS a priori situés à proximité de l'actuelle piste de Karting vont être abandonnés et ne reprendre vie que très récemment. La famille FUSIES continue d'exploiter l'hôtel restaurant qui porte son nom à LACAUNE. Cet établissement garde sur ses murs des fresques de 1930 retraçant le passé de diligences.
Politique et administration
Les Premiers Magistrats depuis 1790
Période | Identité | Etiquette | Qualité | |
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février 1790 * | 13 novembre 1791 | Adrien GEPT | ||
13 novembre 1791* | 24 décembre 1792 | Jean LEVERE | ||
24 décembre 1792* | 9 novembre 1794 | Adrien GEPT | ||
9 novembre 1794 | 8 novembre 1795 | Pierre Adrien GEPT (fils) | ||
8 novembre 1795 | 11 décembre 1795 | Joseph BAYLE | Agent Municipal | |
11 décembre 1795* | 21 ou 30 mars 1798 | Adrien GEPT (père) | Agent Municipal | |
21 ou 30 mars 1798* | 21 avril 1800 | Jean GIBBAL | Agent Municipal | |
21 avril 1800* | 18 juin 1800 | Jean GIBBAL | Maire provisoire | |
18 juin 1800 | 26 décembre 1814 | Joseph BAYLE | Maire | |
26 décembre 1814 | 19 avril 1815 | Jacques Adrien GEPT | ||
19 avril 1815 | juillet 1815 | Joseph BAYLE | ||
juillet 1815 | 19 septembre 1830 | Jacques Adrien GEPT | ||
19 septembre 1830 | 5 avril 1835 | Jean BASSET | ||
5 avril 1835 | 18 novembre 1840 | Jean LEVERE | ||
18 novembre 1840* | 20 août 1848 | Pierre RÉVEILLE | ||
20 août 1848 | 18 juillet 1859 | François GIBBAL | ||
9 août 1859 | 7 septembre 1870 | Jean CADENAT | ||
7 septembre 1870 | fin septembre 1870 | Théodore BROUE | ||
10 octobre 1870 | 21 juin 1871 | Agramant PORTAL | Président de la Commission Municipale | |
21 juin 1871 | 3 mars 1874 | Agramant PORTAL | Maire | |
3 mars 1874 | 25 mai 1876 | Théodore BROUE | ||
25 mai 1876 | 8 octobre 1876 | Agramant PORTAL | ||
8 octobre 1876 | 9 octobre 1877 | Paulin BASSET | ||
13 octobre 1877 | 2 janvier 1878 | Théodore BROUE | Maire de la Commission Provisoire | |
2 janvier 1878 | 23 janvier 1878 | Paulin BASSET | Maire de la Commission Provisoire | |
23 janvier 1878 | 18 mai 1884 | Paulin BASSET | Maire | |
18 mai 1884 | 14 juin 1884 | Charles PORTAL | ||
22 juin 1884 | 7 juillet 1885 | Jean Frédéric AUGÉ | ||
30 août 1885 | 19 mai 1912 | Charles PORTAL | ||
19 mai 1912 | 17 mai 1925 | Marc GLEIZES | ||
17 mai 1925 | 19 mai 1935 | Charles PORTAL | ||
19 mai 1935 | 11 janvier 1945 | Marius VÉZIAC | ||
11 janvier 1945 | 5 mai 1945 | Maurice BERTHOMIEU | Président de la Délégation Spéciale | |
5 mai 1945 | 27 mars 1971 | Camille CALMEL | Proche du PCF | Maire |
27 mars 1971* | 24 mars 1989 | Pierre COUDERC | Proche du PS | Maire |
24 mars 1989* | 16 mars 2008 | Alain BERTHEZÈNE | DVG | Maire |
16 mars 2008* | En cours | François ANGLADE | UMP puis LR | Maire |
Les dates correspondent à l'entrée en fonctions des maires, agents municipaux, présidents ; celles qui correspondent à leur élection ou à leur nomination sont suivies d'un * (Source : "Commune de Laurens - Les Municipalités depuis 1789", pages 112 et 113, disponible et consultable à la Médiathèque municipale https://laurens-pom.c3rb.org/
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[25].
En 2018, la commune comptait 1 737 habitants[Note 5], en augmentation de 11,92 % par rapport à 2013 (Hérault : +6,12 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Activité économique
- L'économie locale a longtemps reposé sur la viticulture et l'exploitation de gisements de marbre noir.
- Le marbre : la commune comptait les carrières de marbre Anglade et Roustan qui, à leur apogée, employaient chacune plus de 50 salariés. Les débouchés du marbre noir s'étant progressivement réduits, la diversification des activités est devenue une nécessité. Pour cela, les deux entreprises ont judicieusement opté pour la transformation de la matière brute et la fusion avec des organismes de rang national. Aujourd'hui, l'extraction du marbre qui se poursuit n'assure plus que peu d'emplois.
- La viticulture : Laurens est dans la zone d'appellation du cru AOC Faugères et produit un vin d'excellente qualité. En 1938, les vignerons de Laurens qui ont décidé de se réunir et d'assurer leur production en coopérative, font construire la cave commune. Progressivement, la quasi-totalité des producteurs du village va rejoindre la coopérative. Les premières bouteilles étiquetées au nom des producteurs apparaissent vers 1970 avec un classement en VDQS. La prospérité du vignoble va progresser avec le classement en AOC Faugères. Cette prospérité conduira ensuite nombre de producteurs à se retirer de la coopération et à vendre directement leur vin en bouteilles.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Château de Grézan est la reconstitution d'une forteresse féodale de fantaisie, due à l'architecte Louis Garros (inscrit MH).
- Gare de Laurens (ancienne gare de la commune)
Héraldique
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Les armoiries de Laurens se blasonnent ainsi : |
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Personnalités liées à la commune
Valentin Duc (Beziers 1858-1915), fort ténor de l'opéra, fut l'ami de personnages ayant en leur temps une certaine célébrité dont Gustave Eiffel. Entre deux tournées, il aimait venir se reposer dans l'antique château de Laurens, sa propriété où il aimait tant recevoir ses amis de théâtre.
Les maires :
Camille Calmel (...-1971) et son équipe municipale se sont attachés à goudronner la plupart des chemins ruraux pour faciliter les travaux d'exploitation des vignes, la viticulture étant alors la principale activité économique de la commune. Durant ses mandats, un bâtiment de douches publiques a été construit en surplomb de la rivière, sur la place du Village. Ce bâtiment a été détruit et il ne reste que le plancher sur lequel a été installée une fontaine.
Maire durant 18 ans, Pierre Couderc (1971-1979) a eu pour premier objectif, dès son élection en 1971, d'assurer avec son équipe municipale l'assainissement du village qui ne disposait toujours pas de tout-à-l'égout. Il a terminé cette action en achevant le cimentage des lits des cours d'eau qui contribue à lutter contre les crues. Durant son troisième mandat, il a procédé à l'acquisition du château pour y installer la mairie.
Les mandats d'Alain Berthezene (1979-2007), qui a également dirigé la commune durant 18 années, ont été marqués par un fort développement de l'urbanisme. L'aménagement des abords du château en supprimant ruines et maisons insalubres et l'acquisition d'un vaste terrain planté en vigne situé à proximité des écoles qui va permettre de doter le village d'une maison de retraite, d'une salle polyvalente, d'un boulodrome couvert, de terrains de tennis et d'agrandir l'espace de vie des écoliers sont à souligner. S'agissant de l'expansion du village, l'élargissement de la voirie et sa mise aux normes des temps présents pour faciliter la desserte de certaines zones d'habitat n'a pas toujours suivi le tempo de la réalisation des projets.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Les Aires - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Laurens et Les Aires », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Les Aires - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le Date invalide (s aires)).
- « Orthodromie entre Laurens et Sète », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Laurens », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Laurens », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune de Laurens », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Ernest Nègre - Toponymie générale de la France, page 658, (ISBN 2600028838).
- Frank R. Hamlin et abbé André Cabrol, Les noms de lieux du département de l'Hérault : Dictionnaire Topographique et Étymologique, , 415 p. (ISBN 2-904624-00-7, lire en ligne), p. 204
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
Annexes
Bibliographie
- Louis Anglade, « La source de Laurens », Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers, 9e série, no 2, , p. 87-90
- Louis Anglade, « Les moulins de Laurens », Les Moulins de l'Hérault, no 16, , p. 153-169
- Émile Bonnet, Les bijoux wisigoths de la trouvaille de Laurens (Hérault), Montpellier, Impr. générale du Midi, , 12 p.
- Marcel Gouron et André Gouron, « Un affranchissement de serfs à Laurens (1270),... : études médiévales languedociennes offertes en hommage par ses anciens collègues, élèves et amis G. Barruol, J. Caille, M. Chalon, J. Combes... [etc.] », dans Hommage à André Dupont (1897-1972), Montpellier, Fédération historique du Languedoc méditerranéen et du Roussillon, , p. 157-166
- Dominique Perrin, « Quelques habitants de Laurens et de sa région en 1600 et 1601 : d'après une table de minutes notariales », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 19, , p. 61-71
Fonds d'archives
- Fonds : Archives communales de Laurens (1815-1896) [0,09 ml]. Cote : 130 EDT. Montpellier : Archives départementales de l'Hérault (présentation en ligne).
Articles connexes
Liens externes
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- Ressource relative aux organisations :
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