Lagarde-Paréol

Lagarde-Paréol est une commune française située dans le département de Vaucluse, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Pour les articles homonymes, voir Lagarde.

Lagarde-Paréol

Château Fonsalette,
un des plus prestigieux domaines
des Côtes du Rhône.

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Vaucluse
Arrondissement Carpentras
Intercommunalité Communauté de communes Aygues Ouvèze en Provence
Maire
Mandat
Fabrice Leaune
2020-2026
Code postal 84290
Code commune 84061
Démographie
Gentilé Paréolais, Paréolaises
Population
municipale
328 hab. (2018 )
Densité 35 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 13′ 44″ nord, 4° 51′ 06″ est
Altitude 125 m
Min. 84 m
Max. 253 m
Superficie 9,29 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Orange
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bollène
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Lagarde-Paréol
Géolocalisation sur la carte : Vaucluse
Lagarde-Paréol
Géolocalisation sur la carte : France
Lagarde-Paréol
Géolocalisation sur la carte : France
Lagarde-Paréol

    Situées à l'est du massif d'Uchaux, en bordure de la vallée de l'Aygues, les terres de la commune sont une alternance de bois et de vignes. La viticulture joue d'ailleurs un rôle important dans l'économie locale.

    Géographie

    La commune de Lagarde-Paréol est une commune de Nord Vaucluse, située à la limite de la Drôme, la commune est à proximité de la ville de Bollène (au nord) et la ville d'Orange plus au sud.

    Communes limitrophes de Lagarde-Paréol
    Rochegude
    Drôme
    Uchaux Sainte-Cécile-les-Vignes
    Sérignan-du-Comtat

    Accès

    La route départementale 65 traverse la commune et le bourg sur un axe nord-sud (petite déviation au nord vers Rochegude à l'ouest). La route départementale 168 en provenance de la commune voisine de Sainte-Cécile-les-Vignes la rejoint au nord du bourg.

    L'autoroute la plus proche est l'autoroute A7, à un peu moins d'une vingtaine de kilomètres à l'ouest.

    Relief

    Vue depuis le sommet du village.

    Le village est construit sur un pic rocheux faisant face au massif d'Uchaux.

    Le point le plus bas, à 84 mètres d'altitude, se situe au sud-est de la commune. Le point le plus haut, à 253 mètres d'altitude, se situe à l'ouest du village, à proximité du sommet de la Roquette (284 mètres d'altitude, commune voisine de Uchaux).

    Géologie

    Le massif d'Uchaux constitue une unité anticlinale dissymétrique axée est-ouest, à cœur crétacé, avec deux synclinaux, l'un au sud et l'autre au nord. Les sols de la partie ouest de la commune, au bord est du massif, sont principalement composés de calcaires quartzeux, ainsi que des formations résiduelles ou faiblement remaniées, indifférenciées. Les sols de la partie est de la commune sont quant à eux composés d'alluvions ainsi que quelques sables et grès jaunes[1].

    Fontaine publique.

    Sismicité

    Les cantons de Bonnieux, Apt, Cadenet, Cavaillon, et Pertuis sont classés en zone Ib (risque faible). Les autres cantons du département de Vaucluse sont classés en zone Ia (risque très faible). Ce zonage correspond à une sismicité ne se traduisant qu'exceptionnellement par la destruction de bâtiments[2].

    Hydrographie

    Plusieurs fontaines publiques récupèrent les eaux d'une source du massif qui se situe au lieudit de Volonge, où les anciens ont construit un canal souterrain en pierre pour amener l'eau par gravité jusqu'au village pour ensuite alimenter les fontaines et les lavoirs.

    La commune est traversée sur un axe nord-sud, à l'est du village, par le Béal et la Ruade, deux ruisseaux affluents de l'Eygues.

    Climat

    Le climat de ce terroir est soumis à un rythme à quatre temps : deux saisons sèches (une brève en hiver, une très longue et accentuée en été), deux saisons pluvieuses, en automne (pluies abondantes et brutales) et au printemps[3]. Sa spécificité est son climat méditerranéen qui constitue un atout exceptionnel :

    • le mistral assainit le vignoble ;
    • la saisonnalité des pluies est très marquée ;
    • les températures sont très chaudes pendant l'été.
    Données météorologiques d'Orange de 1961 à 1990
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 1,3 2,6 4,4 7,2 10,8 14,4 17 16,3 13,8 9,7 4,9 1,9 8,7
    Température moyenne (°C) 5,4 6,9 9,4 12,5 16,4 20,2 23,3 22,5 19,4 14,7 9,1 5,7 13,8
    Température maximale moyenne (°C) 9,4 11,3 14,4 17,8 22,1 26,1 29,6 28,8 25 19,7 13,3 9,5 18,9
    Ensoleillement (h) 132 137,1 192,5 230,4 264,6 298,9 345,3 310,7 237,6 187,1 135,2 123,8 2 595,3
    Précipitations (mm) 44,4 57,5 61,1 58,9 72,4 43,6 27,8 56,3 67,6 97,4 57,7 48,9 693,4
    Source : [4]
    Diagramme climatique
    JFMAMJJASOND
     
     
     
    9,4
    1,3
    44,4
     
     
     
    11,3
    2,6
    57,5
     
     
     
    14,4
    4,4
    61,1
     
     
     
    17,8
    7,2
    58,9
     
     
     
    22,1
    10,8
    72,4
     
     
     
    26,1
    14,4
    43,6
     
     
     
    29,6
    17
    27,8
     
     
     
    28,8
    16,3
    56,3
     
     
     
    25
    13,8
    67,6
     
     
     
    19,7
    9,7
    97,4
     
     
     
    13,3
    4,9
    57,7
     
     
     
    9,5
    1,9
    48,9
    Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm
    Vaucluse Massif d'Uchaux moyenne nationale
    Ensoleillement 2 595 h/an 2 800 h/an 1 973 h/an
    Pluie 693 mm/an 700 mm/an (sur 80 jours) 770 mm/an
    Neige j/an 15 j/an 14 j/an
    Vent 110 j/an, essentiellement du mistral
    Orage 23 j/an 22 j/an
    Brouillard 31 j/an 40 j/an
    Mois Janv. Fév. Mars Avril Mai Juin Juil. Août Sept. Oct. Nov. Déc.
    Records de températures minimales °C (Année) -13,4 (1985) -14,5 (1956) -9,7 (2005) -2,9 (1970) 1,3 (1979) 5,7 (1984) 9,0 (1953) 8,3 (1974) 3,1 (1974) -1,1 (1973) -5,4 (1952) -14,4 (1962)
    Records de températures maximales °C (Année) 20,3 (2002) 23,0 (1960) 27,2 (1990) 30,7 (2005) 34,5 (2001) 38,1 (2003) 40,7 (1983) 42,6 (2003) 35,1 (1966) 29,6 (1985) 24,6 (1970) 20,2 (1983)
    Source: https://www.linternaute.com/ville/ville/climat/25721/orange.shtml

    Histoire

    Antiquité

    Un oppidum romain somme le haut du village, les fouilles ont permis de mettre au jour sépultures et poteries. Aujourd'hui appelé Castellas, ce fut à l'origine un poste de garde surveillant les vallées du Lez et de l'Eygues[5].

    Moyen Âge

    Territoire des domaines du comte de Toulouse, il fut donné en fief, en 1237, à la maison des Baux. Il resta dans cette famille jusqu'en 1398[5].

    Le prieuré bénédictin fondé en 960, et devenu église paroissiale, sous l'invocation de saint Marti, fut gravement endommagée lors des guerres de religion. Sa seule chapelle subsistante fut démolie peu avant 1789. L'actuelle église paroissiale Saint-Antoine fut édifiée au cours du XVIe siècle, puis remaniée au XVIIIe siècle[6].

    À partir du , cette seigneurie eut pour Dame foncière la Révérende Chambre Apostolique d'Avignon, qui possédait un quart du fief, et des barons de Sérignan-du-Comtat, l'autre quart. La moitié restante était partagée en huit coseigneuries[7].

    Période moderne

    Le fut créé le département du Vaucluse, constitué des districts d'Avignon et de Carpentras, mais aussi de ceux d'Apt et d'Orange, qui appartenaient aux Bouches-du-Rhône, ainsi que du canton de Sault, qui appartenait aux Basses-Alpes.

    Vignoble sur le terroir de Fonsalette.

    Période contemporaine

    En 1937, une partie du vignoble de la commune obtient l’appellation côtes-du-rhône. Ce terroir est aujourd'hui classé en Massif-d'uchaux, appellation Côtes-du-rhône-villages. En dépit de cette appellation, le château Fonsalette, appartenant à la même famille qui possède Château Rayas (en), à Châteauneuf-du-Pape, commercialise toujours ses vins en côtes-du-rhône. Ce vin prestigieux, est considéré à l'égal de son cousin châteaunevois[8].

    Toponymie

    Cité en 1137 « Guarda » et en 1281 « Castrum Garde Pareoli »[7], le nom de la commune dérive de pareriorum (parioù en provençal) qui a donné pariers en vieux français, puis pairs, terme désignant des seigneurs possédant un lieu en commun où le partage de l'autorité se faisait équitablement[5].

    Mais le nom pourrait aussi venir du poste de garde (castellas) qui a donné Lagarde, ce poste était gardé par le dieux Éole, dieu du vent et en particulier du mistral qui a donné Paréol.

    Héraldique

    Les armes peuvent se blasonner ainsi :

    D'azur à la clef d'or et à la clef d'argent passées en sautoir, au chef cousu de sable chargé d'une étoile de seize rais aussi d'argent.

    Politique et administration

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1981  ? Yves Arnaud PS  
    mars 2001 En cours
    (au 26 juin 2020)
    Fabrice Leaune [9]
    Réélu pour le mandat 2020-2026
       
    Les données manquantes sont à compléter.

    Fiscalité

    L'imposition des ménages et des entreprises à Lagarde-Paréol en 2009[10]
    TaxePart communalePart intercommunalePart départementalePart régionale
    Taxe d'habitation (TH)9,51 %0,00 %7,55 %0,00 %
    Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB)17,95 %0,00 %10,20 %2,36 %
    Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB)59,70 %0,00 %28,96 %8,85 %
    Taxe professionnelle (TP)21,88 %*0,00 %21,51 %3,84 %

    La part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.

    La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET) qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 2010[11]).

    Urbanisme

    Typologie

    Lagarde-Paréol est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[12],[13],[14].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Orange, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 10 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

    L'habitat est peu diffus.

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (59,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (56,5 %), forêts (40,8 %), zones agricoles hétérogènes (2,7 %)[17].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[18].

    Jumelages

    La commune ne semble pas être une commune jumelée.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[20].

    En 2018, la commune comptait 328 habitants[Note 3], en augmentation de 5,47 % par rapport à 2013 (Vaucluse : +1,79 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    211185219239222213221241265
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    280283278234227233223192165
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    160164151151126124116115105
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    116130135255279297274304312
    2018 - - - - - - - -
    328--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    L'économie de la commune s'articule principalement autour de deux pôles, la vigne et le tourisme.

    Vignoble et oliveraie, sur la commune de Lagarde, séparés par un chemin pédestre.

    Tourisme

    Tourisme viticole (plusieurs caves de dégustation) et tourisme de randonnées (plusieurs circuits pédestres et vélo à proximité), le village est traversé par le GR4. On trouve sur la commune plusieurs gîtes et chambres d'hôtes qui permettent l'accueil des touristes[23].

    Agriculture

    Le vignoble produit des vins classés en Côtes-du-rhône et côtes-du-rhône villages avec nom géographique. Les vignes classées en appellation Massif d'Uchaux se trouvent sur un sol très caillouteux, sont positionnées en coteaux, banquettes et sur de petits plateaux, la taille des parcelles est donc minime (<1 ha - 2 ha). Les vins qui ne sont pas en appellation d'origine contrôlée peuvent revendiquer, après agrément, le label vin de pays de la Principauté d'Orange.

    Équipements ou Services

    La commune propose les services d'une bibliothèque municipale[24].

    Enseignement

    La commune possède une école primaire publique[24]. Par la suite, les élèves vont au collège Victor-Schœlcher à Sainte-Cécile-les-Vignes[25].

    Sports

    Le Centre socio-culturel propose des cours de yoga et de danse de salon, un club de tennis de table. On trouve aussi sur la commune un club de randonnées[26].

    Santé

    Les services médicaux et paramédicaux les plus proches se trouvent sur la commune de Sérignan.

    Vie locale

    Cultes

    L'église et le calvaire.

    La paroisse catholique fait partie de l'archidiocèse d'Avignon, doyenné d'Orange Bollène[27]. Église paroissiale Saint-Antoine[24], située au sommet du rocher sur lequel est construit le village.

    Environnement

    Entre autres, la communauté de communes a des missions de gestion de l'assainissement collectif, la collecte et le traitement des déchets des ménages et déchets assimilés, la lutte contre les nuisances sonores, le contrôle de la qualité de l'air et la protection, et la mise en valeur de l'environnement.

    La déchèterie intercommunale est située à Camaret sur Aigues[24].

    Lieux et monuments

    • Église et calvaire au sommet du village.
    • Le château de Fontsalette au nord du village.
    • Le château Saint-Pierre à l'est du village.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Notes

      Références

      1. [PDF] Ministère de l'Industrie et de l'aménagement du territoire - étude préliminaire d'un gisement de sable dans le massif d'Uchaux (Vaucluse).
      2. Zonage sismique réglementaire de la France, classement des cantons (découpage fin 1989) de la région PACA, page 48
      3. La climatologie du Vaucluse
      4. Relevés météorologiques d'Orange, (Vaucluse), de 1961 à 1990
      5. Robert Bailly, op. cit., p. 225.
      6. Robert Bailly, op. cit., p. 226.
      7. Jules Courtet, op. cit., p. 176.
      8. Château Fonsalette
      9. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le )
      10. « Impôts locaux à Lagarde-Paréol », taxes.com.
      11. Loi n° 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 (Légifrance)
      12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
      14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Orange », sur insee.fr (consulté le ).
      16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
      17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
      18. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
      19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
      20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
      21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
      22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
      23. tourisme sur le site de la commune.
      24. Vie locale sur le site de la commune
      25. Éducation en Vaucluse
      26. animations sur le site de la commune
      27. doyenné d'Orange-Bollène

      Bibliographie

      • Robert Bailly, Dictionnaire des communes du Vaucluse, A. Barthélemy, Avignon, 1986, , 475 p. (ISBN 2-903044-27-9)
      • Jules Courtet, Dictionnaire géographique, géologique, historique, archéologique et biographique des communes du département de Vaucluse, Avignon, Seguin Ainé, , 400 p. (lire en ligne)

      Pour approfondir

      Articles connexes

      Liens externes

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