La Vérité (Kenshin le vagabond)

Dans le quartier des parias, Oiboré rapporte de l’essence de prunier blanc. Kenshin, pour la première fois depuis son arrivée là-bas, parle, et demande d’éloigner ce parfum qui lui rappelle sa femme Tomoe.

Retrouvant Tsubamé après son entraînement matinal, Yahiko tente de la réconforter pour ne pas la voir souffir, sans pouvoir lui dire que Kaoru est vivante.

Au commissariat du quartier, Kujiranami se rebelle soudain, détruit sa cellule et récupère une arme lance-grenade pour son bras droit.

Devant la force de Kujiranami, la police est impuissante. Les policiers alertent la population, demandant aux habitants de s'enfuir. Mais Yahiko décide de faire face, malgré les craintes de Tsubamé, arguant qu’il n’y a que lui pour empêcher cet homme de faire des dégâts ou blessés.

Assisté de plusieurs policiers, Yahiko fait face à Kujiranami et réussit à le blesser au bras droit d’une technique imitée de Kenshin.

Mais soudain un petit enfant en pleurs arrive sur le champ de bataille à la recherche de son père. Sans hésiter Kujiranami tourne son arme vers lui.

Pour protéger cet enfant, Yahiko est soufflé par l'explosion d'une grenade. Mais il se relève, décidé à continuer le combat.

Tsubamé, effarée, comprend que Yahiko va mourir et décide d’aller chercher la seule personne capable de le sauver, Kenshin.

Au même moment Aoshi et Hajimé éliminent les sbires de Enishi dans leur repaire, et apprennent où se trouvent leur patron.

Yahiko parvient à mettre son adversaire en difficulté en combinant les arcanes de l’école Kamiya et une technique de Kenshin. Ceci renforce la colère de Kujiranami, qui frappe violemment Yahiko.

Malgré les avertissements des parias, Tsubamé rentre dans rakunin mura, à la recherche de Kenshin. Celui-ci, sentant l'essence de prunier blanc, ressasse des souvenirs de tueries, sa rencontre avec ses amis, ses luttes contre Sanosuké, Chapeau Noir, Aoshi, Makoto.

Tsubamé explique à Kenshin la situation, lui demandant d’aider Yahiko. En larmes, elle tombe à genoux, sous les yeux des parias stupéfaits. Oiboré demande à un de ses amis, Kuma, de la raccompagner, puis resté seul avec Kenshin s'assied à côté de lui.

Il lui fait prendre conscience que même s’il dit avoir renoncé à tout, il tient fermement son sabre, sa seule et unique vérité. Kenshin alors se relève, et brise la chaîne scellant son arme.

À Kuma qui voit Kenshin parti, Oiboré explique que celui-ci, sourd à l’appel de la vengeance, ne peut pas résister à une petite voix appelant au secours.

Oiboré annonce alors son intention d’aller à Kyōto pour quelque temps, se recueillir sur la tombe de sa fille. Il répond à l’interrogation de son ami Kuma en disant que Kenshin arrivera à temps, lui le mari de sa fille Tomoe qu’il a vue rendre son dernier soupir.

Alors que Kujiranami va achever Yahiko, Kenshin intervient et frappe le géant de son « dragon à neuf têtes »

Sans hésitation, Kenshin fait face au géant qui est toujours debout, et d’une technique aérienne lui coupe son arme au bras droit. Mais il refuse de tuer son adversaire, tout comme leur de leur premier affrontement. Kujiranami menace de tout faire sauter en faisant exploser ses munitions, mais Yahiko lui tient un ferme discours sur l’honneur des samourais qui lui fait réaliser qu’il a tort de continuer le combat. Remerciant Yahiko et Kenshin, il se rend à la police.

Apprenant la nouvelle du retour de Kenshin, Enishi devient à moitié fou de rage, décidé à envoyer le meurtrier de sa sœur en enfer pour de bon, de ses propres mains.

Au dōjō Kamiya, Yahiko et Kenshin, blessés, se reposent.

Quelque part dans la région de Shinshū, Sanosuké se retrouve mêlé à une dispute entre une jeune fille et un yakuza.

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