L'Hôme-Chamondot

L'Hôme-Chamondot est une commune française, située dans le département de l'Orne en région Normandie, peuplée de 251 habitants[Note 1] (les Ulmois[1]).

L'Hôme-Chamondot

L'église Saint-Martin.
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Orne
Arrondissement Mortagne-au-Perche
Intercommunalité Communauté de communes des Hauts du Perche
Maire
Mandat
Patrice Michel-Flandin
2020-2026
Code postal 61290
Code commune 61206
Démographie
Gentilé Ulmois
Population
municipale
251 hab. (2018 )
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 35′ 24″ nord, 0° 42′ 57″ est
Altitude Min. 205 m
Max. 268 m
Superficie 15,92 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Tourouvre
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Normandie
L'Hôme-Chamondot
Géolocalisation sur la carte : Orne
L'Hôme-Chamondot
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L'Hôme-Chamondot
Géolocalisation sur la carte : France
L'Hôme-Chamondot

    Géographie

    Localisation

    La commune se situe dans le Perche au sud-est du département de l'Orne, et appartient au Perche ornais, non loin de la limite du département avec celui d'Eure-et-Loir.

    Voies routières

    Le tracé de la nationale 12 qui relie Paris à Brest longe le territoire communal au NO (les Chauffetières) et marque la limite de la commune avec le territoire de la commune de La Poterie-au-Perche. Le maillage routier structurant de la commune est également assuré par la D 291 sur un axe SO-NO allant de Malétable à Saint-Maurice-lès-Charencey et par la D 243 sur un axe WE desservant les communes de La Ventrouze et de Marchainville.

    Transports en commun

    Deux lignes du réseau inter urbain Cap'Orne organisées par le conseil départemental passe aux alentours de la commune :

    Équipement automobile des ménages

    94,6 % des 95 ménages ulmois possèdent au moins une voiture en 2009[4]. 44,6 % de ceux-ci ne possèdent qu'une voiture et 50,0 % deux voitures ou plus. 96.7 % des ménages disposent d'au moins un emplacement réservé au stationnement.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[7]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[5]

    • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 790 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Longny-Au-Perche », sur la commune de Longny les Villages, mise en service en 1970[11] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[12],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,4 °C et la hauteur de précipitations de 771,3 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Alençon - Valframbert », sur la commune d'Alençon, mise en service en 1946 et à 49 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 10,8 °C pour la période 1971-2000[15] à 10,9 °C pour 1981-2010[16], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[17].

    Urbanisme

    Typologie

    L'Hôme-Chamondot est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[18],[19],[20]. La commune est en outre hors attraction des villes[21],[22].

    Le territoire communal essentiellement agricole et forestier comprend le bourg ainsi que différents hameaux et écarts dont les principaux sont : les Chauffetières, les Grands Herbages, la Cellerie, le Mont-Huchet, l'Onglée ou encore Brotz.

    En 2009, la commune compte 162 logements dont 58,64 % constituent la résidence principale de leurs occupants. Les autres logements correspondent à des résidences secondaires, des logements occasionnels ou vacants[23]. Les types de logements sont à 97,4 % des maisons et 1,9 % des appartements[24].

    Parmi les 95 logements qui sont qualifiés de résidence principale, 32,6 % comptent cinq pièces et plus, 35,9 % quatre pièces, 23,9 % trois pièces, 5,4 % deux pièces et 2,2 % une seule pièce. Seuls le nombre de logements de deux pièces sont en diminution par rapport à 1999[25]. Le nombre moyen de pièces des résidences principales est de 4,3 pour les maisons[26].

    Les données qui concernent le statut d'occupation des résidences principales indiquent que 87,0 % des Ulmois sont propriétaires tandis que 12 % sont locataires ou logés gratuitement[27]. L'ancienneté d'emménagement dans la résidence principale est de dix ans et plus pour 65,2 % des Ulmois. Néanmoins, 18,5 % ont emménagé entre cinq et neuf ans, 9,8 % entre deux et quatre ans et 6,5 % depuis moins de deux ans[28].

    Les données liées au confort des résidences principales indiquent que 96,7 % sont équipées de salle de bains avec baignoire ou douche. Les données liées au chauffage de ces résidences montrent que 51,1 % bénéficient d'un chauffage central individuel et 9,8 d'un chauffage individuel « tout électrique »[29].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (50,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (52,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,6 %), prairies (28,3 %), terres arables (17,9 %), zones agricoles hétérogènes (3,3 %)[30].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[31].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Ulmus vers 1272[32], Losme en 1793, L'Hosme en 1801[33].

    Hôme est ici une altération du latin ulmus, « orme »[34],[35].
    Pour Chamondot, René Lepelley émet l'hypothèse d'un nom de personne[36].

    Histoire

    En 1812, L'Hôme-Chamondot (374 habitants en 1806[33]) absorbe la commune de Brotz (65 habitants[37]) à l'est de son territoire.

    Le , le capitaine François Bouilhac, chef du secteur d'Alençon, est assassiné avec quatre autres responsables FFI (Jean Moreau, Fernand Chasseguet, Alfred Frémiot et Jean Mazeline[38]) au château de Brotz[39].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    1861[40] 1869 Auguste Bourgeois nc Entrepreneur verrier
    1875[41] 1879 Auguste Bourgeois (fils ? ) nc  ?
    1992[42] avril 2014 Didier Collin SE Agriculteur
    avril 2014[43] En cours Patrice Michel-Flandin[44] SE Entrepreneur de vente
    Les données manquantes sont à compléter.

    Le conseil municipal est composé de onze membres dont le maire et deux adjoints[44].

    Canton

    Depuis la réforme de 2014 mise en application aux élections départementales de 2015, la commune appartient au nouveau canton de Tourouvre qui est compris dans l'arrondissement de Mortagne-au-Perche.

    Intercommunalités

    La commune fait partie de la communauté de communes des Hauts du Perche depuis 2017 et de ce fait entre dans le périmètre du pays du Perche ornais, le pendant ornais du pays du Perche d'Eure-et-Loir.

    Population et société

    Démographie

    La commune appartient à une région où l'immigration vers le Canada a été importante. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[46].

    En 2018, la commune comptait 251 habitants[Note 7], en diminution de 4,92 % par rapport à 2013 (Orne : −2,51 %, France hors Mayotte : +1,78 %).L'Hôme-Chamondot a compté jusqu'à 653 habitants en 1876.

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1836 1841 1846 1851 1856
    410314374463563640535651637
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    617650606653652424416406343
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    330308285316268281271310335
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008 2013
    237176195182203213215216264
    2018 - - - - - - - -
    251--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[47].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution démographique de Brotz avant 1812
    1793 1800 1806
    696965
    (Sources : EHESS[37])

    Enseignement

    La commune appartient à l'académie de Caen et dépend de la circonscription de Mortagne-au-Perche de l'inspection académique de l'Orne (DSDEN).

    Médias

    La commune entre dans la zone de diffusion du journal hebdomadaire Le Perche du groupe Publihebdos.

    Culte

    La commune dépend du diocèse de Séez et appartient à la paroisse Sainte-Anne-du-Perche (relais de Longny-au-Perche) qui comprend les communes du nouveau canton de Tourouvre, ainsi que quatre communes du département de l’Eure.

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2009, la commune comptait 132 foyers fiscaux. Le revenu net déclaré moyen s'établissait à 19 676  et l'impôt sur le revenu moyen s'élevait à 404 . Dans le détail, 50,8 % des foyers fiscaux étaient imposables avec un revenu déclaré moyen qui s'établissait à 29 099  et 49,2 % des foyers fiscaux[48] ne l'étaient pas avec un revenu déclaré moyen de 9 963 .

    Emploi, population active

    En 2009, la population active représente 71,0 % des 136 individus de 15 à 64 ans[49]. La même année, le taux de chômage des 15-64 ans s'élève à 15,1 % soit 15 personnes contre 12 en 1999 (14,3 %). En 2009, il touche principalement les femmes avec un taux de 20,0 % contre 11,3 % pour les hommes. Néanmoins, le chômage des femmes est en recul sur 1999 (23,1 %) mais en augmentation pour les hommes (6,7 %)[50].

    Sur les 82 actifs de la commune en 2009 possédant un emploi, 63,3 % sont salariés et 36,7 % non salariés. Les emplois salariés à temps partiel représentent 14,0 % des emplois et sont occupés à 48,0 % par des femmes. 27,6 % des femmes actives[51] possédant un emploi sont non salariées.

    Le taux d'emploi salarié s'élève à 75,0 % chez les femmes contre 55,3 % pour les hommes. 65,6 % d'entre elles sont titulaires de la fonction publique ou de contrats à durée indéterminée contre 51,1 % pour les hommes. Le taux d'emploi non salarié s'élève en revanche à 44,7 % chez les hommes contre 25,0 % chez les femmes[52]. Sur les 82 actifs possédant un emploi, 34,2 % travaillent dans la commune et 65,8 % dans une autre commune[53].

    Passé industriel

    Dans le passé, la commune abritait sur son territoire différentes industries :

    • Verrerie de la Cellerie (hameau de la commune) exploitée par M. Bourgeois[54] à partir de 1835[55] produisant des cristaux pour éclairage, gobeletterie unie et moulée, etc.[56].
    • Le hameau des Chauffetières, sur la commune, abritait l'une des plus importantes tuileries-briqueteries du département de l'Orne[57] qui était doté d'un four semi-continu[58]. La briqueterie des Chauffetières existe depuis 1760 et était la propriété du marquis de Gontaud-Biron avant de passer dans les mains de la famille Fontaine en 1890. L'argile était extraite sur place et la fabrication de briques moulées à la main pouvait atteindre environ 1 000 briques par jour. La capacité du four était de 17 000 briques. Les briques flammées produites aux Chauffetières sont essentiellement destinées aux chantiers de restauration des Monuments historiques.

    Lieux et monuments

    • Ruines du château de Gannes inscrites au titre des monuments historiques depuis le [59]. La tradition locale dit qu'il a été brûlé par les Anglais[60] en 1428. Quesnay de Beaurepaire, dans La Normandie monumentale, op. cit., p. 211-218, a rapporté longuement le siège et la destruction de ce château et l'existence de la Dame blanche de Gannes[61]. Élevé sur une motte et défendu par des marécages qui l'isolaient, le château, qui d'après la légende était imprenable, dut sa destruction à la félonie de la fille du châtelain : éperdue d'amour pour un capitaine anglais, trahissant les siens, la « Dame blanche » ouvrit la poterne à l'ennemi.
    • Château de Miserai.
    • Briqueterie des Chauffetières. Les deux pièces de séchage, ainsi que le four subsistant, font l'objet d'une inscription au titre des Monuments historiques depuis le [62].
    • Église Saint-Martin d'origine romane, reconstruite au XVIIIe siècle. Un aigle-lutrin du XVIIIe siècle est classé à titre d'objet[63].
    • Chapelle de Brotz, du XVe siècle.

    Personnalités liées à la commune

    • Jean-René-Joseph Le Boulleur, seigneur de Brotz, conseiller du roi, maître particulier de la maîtrise des eaux et forêts du Perche à Mortagne[64] (1714- 1774). Il épouse le Anne-Catherine Angélique Nicole du Plessis[65].
    • M. Le François, ancien curé de la paroisse, député du clergé du Perche aux États généraux, membre de la Légion d'honneur, mort curé à la basilique Notre-Dame d'Alençon le [66].
    • Auguste Bourgeois, 1789-1872, né à Hodeng-au-Bosc (Seine-Inférieure), mort le à la Cellerie[67]. Maire de la commune de 1861 à 1869, propriétaire de la verrerie Bourgeois à la Cellerie.
    • Théodomir Geslin, né à l'Hôme-Chamondot le [68], huissier à Sées. Il a publié La Littérature contemporaine en province, portraits biographiques et littéraires, mouvement littéraire en 1873 puis réédité en 1876; Voix perdues d'un paysan (poésie) en 1878 ; Sans honneur (roman) en 1890; Maternité cruelle (étude de mœurs contemporaines).
    • Jean Mazeline (1920 - 1944 à l'Hôme-Chamondot), résistant français, responsable départemental des FFI.

    Héraldique

    Blason
    D'or à la fasce crénelée de sable maçonnée du champ, adextrée en chef d'une croisette partie de gueules et du second, et senestrée d'une feuille d'orme de sinople posée en bande ; la fasce soutenue de trois flammes de gueules en pointe.
    Détails
    Armoiries adoptées par la municipalité le 13 octobre 2011.

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2018.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[8].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    • Altitudes, coordonnées, superficie : IGN[69].
    1. « Ouest-france.fr - Mairie de L'Hôme-Chamondot » (consulté le ).
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
    3. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
    4. LOG T9 - Équipement automobile des ménages - Insee, RP1999 et RP2009 exploitations principales
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    6. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    7. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    8. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    9. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    10. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    11. « Station Météo-France Longny-Au-Perche - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    12. « Orthodromie entre L'Hôme-Chamondot et Longny les Villages », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station Météo-France Longny-Au-Perche - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    14. « Orthodromie entre L'Hôme-Chamondot et Alençon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique d'Alençon - Valframbert - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie - Insee, RP1968 à 1990 dénombrements - RP1999 et RP2009 exploitations principales
    24. LOG T2 - Catégories et types de logements - Insee, RP1999 et RP2009 exploitations principales
    25. LOG T3 - Résidences principales selon le nombre de pièces - Insee, RP1999 et RP2009 exploitations principales
    26. LOG T4 - Nombre moyen de pièces des résidences principales - Insee, RP1999 et RP2009 exploitations principales
    27. LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation - Insee, RP1999 et RP2009 exploitations principales
    28. LOG T6 - Ancienneté d'emménagement dans la résidence principale en 2009 - Insee, RP2009 exploitation principale
    29. LOG T8M - Confort des résidences principales - Insee, RP1999 et RP2009 exploitations principales
    30. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    31. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    32. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations non-romanes ; formations dialectales, Droz, , p. 1252.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
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    39. Le Prix de la liberté, par Raymond Ruffin, p. 145.
    40. Annuaire des cinq départements de la Normandie publié par l'Association normande de 1861 à 1869
    41. Annuaire des cinq départements de la Normandie publié par l'Association normande 1875, 1876, 1877, 1878, 1879
    42. « Patrice Michel-Flandin nouveau maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
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    45. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    46. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    47. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    48. REV T1 - Impôts sur le revenu des foyers fiscaux - DGFiP, Impôt sur le revenu des personnes physiques
    49. EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité - Insee, RP1999 et RP2009 exploitations principales
    50. EMP T4 - Chômage (au sens du recensement) des 15-64 ans - Insee, RP1999 et RP2009 exploitations principales
    51. ACT T1 - Population de 15 ans ou plus ayant un emploi selon le statut en 2009 - Insee, RP2009 exploitation principale
    52. ACT T2 - Statut et condition d'emploi des 15 ans ou plus selon le sexe en 2009 - Insee, RP2009 exploitation principale.
    53. ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la zone - Insee, RP1999 et RP2009 exploitations principales
    54. Les verreries de la Normandie, les gentilshommes & artistes verriers… par O. Le Vaillant, p. 265.
    55. Les verreries de la Normandie, les gentilshommes & artistes verriers, par O. Le Vaillant, p. 376.
    56. Dictionnaire topographique, statistique et postal de la France… par A. Peigné, p. 411.
    57. Bulletin de la Société historique et archéologique de l'Orne.
    58. Les arts du feu en Normandie : actes du 39e congrès, par Jean-Paul Hervieu, Éric Barré, Gilles Désiré, p. 112.
    59. « Ruines du château de Gannes », notice no PA00110823, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    60. Le département de l'Orne archéologique et pittoresque, par Léon de La Sicotière.
    61. Trésor des légendes du Perche, Marie-Rose Simoni-Aurembou, Corinne Widmaier-Bouillin, Association des amis du Perche, page 101.
    62. « la Tuilerie des Chauffetières », notice no PA00135522, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    63. « Aigle-lutrin », notice no PM61000392, base Palissy, ministère français de la Culture.
    64. Grands notables du Premier Empire : Orne par Louis Bergès, Guy Chaussinand-Nogaret p. 92.
    65. Bulletin de la Société historique et archéologique de l'Orne, volume 121, numéros 1 à 4, p. 33.
    66. Le département de l'Orne archéologique et pittoresque, par Léon de La Sicotière, p. 187.
    67. Les Patrons du Second Empire : Anjou, Normandie, Maine par Dominique Barjot, p. 197.
    68. Livre d'or de Rémy Belleau par Belleau, Rémi, p. 23.
    69. « L'Hôme-Chamondot sur le site de l'Institut géographique national » [archive du ] (archive Wikiwix)

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