Lésigny (Vienne)

Lésigny est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Lésigny.

Lésigny
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Châtellerault
Intercommunalité Communauté d'agglomération Grand Châtellerault
Maire
Mandat
Frédéric Pierron
2020-2026
Code postal 86270
Code commune 86129
Démographie
Gentilé Lésinois
Population
municipale
532 hab. (2018 )
Densité 40 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 50′ 58″ nord, 0° 46′ 06″ est
Altitude Min. 47 m
Max. 138 m
Superficie 13,21 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Châtellerault
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Châtellerault-3
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Lésigny
Géolocalisation sur la carte : Vienne
Lésigny
Géolocalisation sur la carte : France
Lésigny
Géolocalisation sur la carte : France
Lésigny

    Géographie

    Situation

    La commune de Lésigny est située au nord-est de la Vienne et plus précisément au nord des Vals de Gartempe et Creuse.

    Lesigny se trouve située au carrefour des trois Provinces Poitou, Touraine et Berry.

    La commune est proche du parc naturel régional Loire-Anjou-Touraine.

    Communes limitrophes

    Les villes les plus proches sont :

    • La Roche-Posay à km, station thermale reconnue dans le domaine de la dermatologie.
    • Châtellerault, sous-préfecture de la Vienne, à 17 km .

    Géologie et relief

    La région de Lésigny présente un paysage de plaines vallonnées plus ou moins boisées et de vallées. Le terroir se compose [1] :

    • pour 22 % de calcaires dans les vallées et les terrasses alluviales,
    • pour 52 % de champagnes ou aubues (c’est un sol gris clair, argilo-limoneux, sur craie et donc calcaire) dans les collines,
    • pour 25 % de terres fortes et pour 1 % de bornais (ce sont des sols brun clair sur limons, profonds et humides, à tendance siliceuse) sur les plateaux du seuil du Poitou

    Hydrographie

    Le territoire communal est arrosé à l’est par la Creuse, important cours d’eau prenant sa source sur le plateau de Millevaches. Cet affluent de la Vienne forme une frontière naturelle avec l’Indre-et-Loire en dessinant de larges méandres. Plusieurs cours d’eau coulent du sud-ouest vers le nord-est, creusant des vallées encaissées avant de se jeter dans la Creuse. Le plus important est la Luire, dont la source se trouve à Pleumartin et qui se jette dans la Creuse près du bourg, au lieu-dit les Tourettes. Le ruisseau du Gué de la Reine, au nord, sert de frontière naturelle avec la commune de Mairé.

    La commune contient environ 11,5 km de cours d'eau, comprenant principalement :

    • La Creuse sur une longueur de 5,8 km,
    • Le Gué de la Reine sur une longueur de 2,8 km,
    • La Luire sur une longueur de 2,8 km.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 11,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 686 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Roche-Posay Cou », sur la commune de La Roche-Posay, mise en service en 1965[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,6 °C et la hauteur de précipitations de 719,4 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921 et à 46 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[12] à 11,7 °C pour 1981-2010[13], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[14].

    Sentiers de randonnée

    Nombreux sentiers de randonnée voir le site lesigny 86.fr

    Réseau routier

    La commune est desservie par les routes départementales D5 - D16 - D80. L'échangeur autoroutier le plus proche est la sortie  26 de l'A10 à Châtellerault Nord, située à environ 20 km.

    Desserte ferroviaire

    La gare SNCF la plus proche est la gare de Châtellerault.

    Bus

    La commune est desservie par la ligne 203 du réseau de bus Lignes en Vienne.

    Aéroport

    Les aéroports les plus proches de Lésigny sont ceux de :

    • Poitiers-Biard à 53 km ;
    • Tours Val de Loire à 78 km
    • Châteauroux-Centre à 84 km.

    Urbanisme

    Typologie

    Lésigny est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Châtellerault dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (69,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,2 %), forêts (24,5 %), zones agricoles hétérogènes (14,7 %), eaux continentales[Note 7] (4,2 %), prairies (2,4 %), zones urbanisées (2 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom du bourg dérive du nom Lezignaeum qui apparait au XIIe siècle. Il pourrait dériver de l’anthroponyme gallo-romain Lesinius avec le suffixe latin de propriété -acum devenu -ec puis et -y et signifiant domaine de. Le nom étant apparenté avec Lusignan, ces seigneurs de même nom ayant eu des droits sur la paroisse, l'appellation actuelle pourrait aussi en découler[21].

    Politique et administration

    Intercommunalité

    Lésigny est rattachée à la communauté de communes des Vals de Gartempe et Creuse.

    Depuis 2015, Lésigny est dans le canton de Châtellerault-3 (no 4) du département Vienne. Avant la réforme des départements, Lésigny était dans le canton no 20 de Pleumartin dans la 4e circonscription.

    Maires de Lésigny

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
      1909 Jules Savatier   magistrat catholique révoqué au moment des lois sur les congrégations
    1909 1929 Henri Savatier   fils du précédent,
    juriste, intellectuel catholique, chef de bataillon de territorial
    1929 1953 René Savatier droite catholique fils du précédent,
    professeur de droit, président du comité de libération de la Vienne
    1989 mai 2020 Daniel Tremblais PS  
    mai 2020 En cours Frédéric Pierron    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

    Services publics

    Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.

    Jumelages

    Village jumelé avec les communes de :

    Bibiche (Moselle).

    Babache (Nord).

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[23].

    En 2018, la commune comptait 532 habitants[Note 8], en diminution de 1,3 % par rapport à 2013 (Vienne : +1,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    645735737729706903961988972
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    947888871793826847822759741
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    748724655674628644596622641
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    536531431471516520534529549
    2018 - - - - - - - -
    532--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 2008, selon l’Insee, la densité de population de la commune était de 41 hab./km2 contre 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

    Les dernières statistiques démographiques pour la commune de Lésigny ont été fixées en 2009 et publiées en 2012. Il ressort que Lésigny administre une population totale de 535 personnes. À cela il faut soustraire les résidences secondaires (trois personnes) pour constater que la population permanente sur la commune de Lésigny est de 532 habitants.

    La répartition par sexe de la population était :

    • en 1999 : 50,9 % d'hommes et 49,1 % de femmes.
    • en 2005 : 51,9 % d'hommes et 48,1 % de femmes.
    • en 2010 : 48,4 % d'hommes pour 51,6 % de femmes.

    En 2005 :

    • Le nombre de célibataires était de : 38,2 % dans la population.
    • Les couples mariés représentaient 49,3 % de la population et les divorcés 3,9 %.
    • Le nombre de veuves et veufs était de 8,6 %.

    L'évolution des naissances et décès de 2000 à 2009 est la suivante (INSEE):

    • en 2009 : 2 naissances et 7 décès.
    • en 2008 : 5 naissances et 9 décès.
    • en 2007 : 8 naissances et 5 décès.
    • en 2006 : 6 naissances et 6 décès.
    • en 2005 : 8 naissances et 3 décès.
    • en 2004 : 9 naissances et 4 décès.
    • en 2003 : 4 naissances et 7 décès.
    • en 2002 : 6 naissances et 1 décès.
    • en 2001 : 11 naissances et 4 décès.
    • en 2000 : 5 naissances et 8 décès.

    Enseignement

    La commune de Lésigny dépend de l'académie de Poitiers (rectorat de Poitiers) et son unique école primaire dépend de l'inspection académique de la Vienne.

    Économie

    Agriculture

    Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[26], il n'y a plus que 9 exploitations agricoles en 2010 contre 15 en 2000.

    Les surfaces agricoles utilisées ont augmenté de 13 % et sont passées de 905 hectares en 2000 à 1 026 hectares en 2010[26]. Ces chiffres indiquent une concentration des terres sur un nombre plus faible d’exploitations. Cette tendance est conforme à l’évolution constatée sur tout le département de la Vienne puisque de 2000 à 2007, chaque exploitation a gagné en moyenne 20 hectares[27].

    40 % des surfaces agricoles sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement pour 64 % mais aussi orge et maïs), 15 % pour les oléagineux (du colza et surtout du tournesol), 30 % pour le fourrage et 8 % reste en herbes. En 2000, deux hectares (zéro en 2010) étaient consacrés à la vigne[26].

    Sept exploitations en 2010, comme en 2000, abritent un élevage de bovins (848 têtes en 2010 contre 527 têtes en 2000). L'élevage de volaille a disparu en 2010 (130 têtes sur quatre fermes en 2000)[26].

    La transformation de la production agricole est de qualité et permet aux exploitants d’avoir droit, sous conditions, aux appellations et labels suivants :

    • Sainte-Maure de Touraine (AOC)
    • Beurre Charente-Poitou (AOC)
    • Beurre des Charente (AOC)
    • Beurre des Deux-Sèvres (AOC)
    • Veau du Limousin (IGP)
    • Agneau du Poitou-Charentes (IGP)
    • Volaille du Berry (IGP)
    • Bœuf du Maine (IGP)
    • Jambon de Bayonne (IGP)
    • Rillettes de Tour (IGP)

    Activité et emploi

    Le taux d'activité était de 75,2 % en 2005 et 71,2 % en 1999.

    Le taux de chômage en 2005 était de 8,1 % et en 1999 il était de 8,4 %.

    Les retraités et les pré-retraités représentaient 30,3 % de la population en 2005 et 27,9 % en 1999.

    Nombre de demandeurs d'emploi de catégorie A (personnes sans emploi et recherchant activement un emploi), B (personnes recherchant un emploi et ayant exercé une activité de 78 h ou moins au cours du mois), C (personnes recherchant un emploi et ayant exercé une activité de plus de 78 h au cours du mois) au de l'année :

    • 2009 : 22
    • 2010 : 35

    Culture locale et patrimoine

    Vestiges préhistoriques et antiques

    • Carrières de meules de moulin.
    • Sépultures mérovingiennes.

    Patrimoine religieux

    Équipement culturel

    Le Centre de Cri, établi dans l'ancienne minoterie. Lieu culturel de création, d'invention et de recherche.

    Patrimoine naturel

    Selon l'Inventaire des arbres remarquables de Poitou-Charentes[28], il y a un arbre remarquable sur la commune qui est un murier blanc.

    Personnalités liées à la commune

    • Chaval, dessinateur humoristique, y avait sa maison de campagne au lieu-dit la Mauvaise Foi.
    • Mose, dessinateur humoristique, y a résidé dans la dernière période de sa vie.

    Tous les deux étaient des amis du médecin Simon Rouzié.

    La famille Savatier[29], qui a longtemps joué un rôle important à Lésigny, a acquis au XVIIIe siècle le domaine de Pâtrières et est depuis présente sur la commune.

    Voir aussi

    Articles de Wikipédia

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Chambre Régionale d'agriculture de Poitou-Charentes - 2007
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Roche-Posay Cou - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Lésigny et La Roche-Posay », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Roche-Posay Cou - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Lésigny et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Châtellerault », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes – Édition FLOHIC – 2002 – (ISBN 2-84234-128-7).
    22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    26. Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
    27. Agreste – Enquête Structure 2007
    28. Poitou-Charentes Nature, 2000
    29. Les grandes familles de Poitiers - Les Savatier: Au nom de la loi - L'express
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