Lédignan

Lédignan est une commune française située dans le département du Gard en région Occitanie. Ancien chef-lieu de canton, elle est membre de la Communauté de communes du Piémont Cévenol.

Lédignan

Vue sur la Grand Rue et le temple protestant

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Le Vigan
Intercommunalité Communauté de communes du Piémont Cévenol
Maire
Mandat
Bernard Cauvin
2020-2026
Code postal 30350
Code commune 30146
Démographie
Gentilé Lédignanais
Population
municipale
1 472 hab. (2018 )
Densité 212 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 59′ 22″ nord, 4° 06′ 26″ est
Altitude Min. 102 m
Max. 167 m
Superficie 6,93 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nîmes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Quissac
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Lédignan
Géolocalisation sur la carte : Gard
Lédignan
Géolocalisation sur la carte : France
Lédignan
Géolocalisation sur la carte : France
Lédignan

    Géographie

    Localisation

    Cette commune du Gard se trouve entre les garrigues nîmoises et les Cévennes.

    Communes limitrophes

    Hydrographie et relief

    Le village est articulé autour d'une crête Est/Ouest avec au Nord une plaine haute et au Sud une plaine basse, son point haut culmine à environ 150 m.

    Le Ruisseau du Bay est un ruisseau non-permanent qui traverse à l'Est et au Sud le territoire communal, il fait partie du bassin versant du fleuve Le Vidourle. Un autre cours d'eau également non-permanent, l'Allarenque, contourne le village à l' Est avant l'aller se jeter dans le Gardon d'Anduze.

    Seule une petite partie d'un ruisseau, au Nord de la commune, hors de la zone urbanisée, est concerné par le Plan de prévention du risque inondation (PPRI)La commune est proche du parc national des Cévennes à environ 18 km.

    La terre est argilo-calcaire.

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 13,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 17,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 17,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 940 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 6,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 3,2 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[1].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cardet », sur la commune de Cardet, mise en service en 1969[6] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[7],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 14,3 °C et la hauteur de précipitations de 951,3 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nîmes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à 26 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,8 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,6 °C pour 1991-2020[12].

    Catastrophes naturelles passées

    • Tempête :
      • 6 au .
    • Inondations et coulées de boue :
      • 21 au .
      • 22 au .
      • 3 au .
      • 13 au .
      • au .
      • 6 au .
      • 8 au .
      • 6 au .
      • .
    • Catastrophe naturelle sécheresse :
      • 1er juillet au arrêté publié le 01 nov 2017
      • 1er juillet au , arrêté publié le

    Axes routiers

    Le village est situé sur une crête entourée de terres agricoles au carrefour de deux routes dont les tracés sont relativement anciens. La première (D 907), qui relie Nîmes à Anduze, suit de façon permanente cette crête entre Aigremont et Lézan : certains la nomment « ancienne route d'Anduze », d'autres le « grand chemin ». La deuxième (D 6110) est l'axe Alès - Sommières qui se prolonge vers Montpellier. Lédignan se situe à 25 km de l'entrée de Nîmes, environ 80 km de Montpellier et une quinzaine de km d'Anduze.

    Urbanisme

    Typologie

    Lédignan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[13],[14],[15].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 92 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16],[17].

    Lédignan fait partie de l'Espace urbain Grand Delta Méditerranéen et de la Zone d'emploi Alès-La-Grand-Combe. La commune est considérée comme un village de zone rurale.

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (52,5 %), zones agricoles hétérogènes (29 %), zones urbanisées (10,2 %), prairies (4,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4 %)[18].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Morphologie urbaine

    Organisé autour d'un centre bourg dense, le village s'est progressivement étiré le long des différents axes routiers. La construction, au Sud du village, de l'ensemble scolaire (école primaire, collège), des équipements sportifs (stade et gymnase) et de la caserne des pompiers a sensiblement modifié la notion de cœur de village.

    Logement

    200820102012
    Nombre de Logements631--
    Part des résidences principales84,5 %--
    Part des résidences secondaires3,9 %--
    Part des logements vacants11,6 %--
    Part des propriétaires64,6 %--
    Source : Insee[19]

    Projets d'aménagement

    • Bibliothèque communale a été ouverte au public en 2016, elle est située au 3 place Georges Dumas, dans la cour de la mairie, partenaire de la Direction du Livre et de la Lecture du Conseil départemental du Gard, elle fait partie du réseau Lecture publique de la Communauté de communes du Piémont Cévenol.
    • La commune s'agrandit avec la construction de lotissements résidentiels. Le lotissement l'Orée du Village se situe au Nord de la place Georges Dumas le long de la route d'Alès (RD 6110), il comporte 26 lots viabilisés. Le lotissement du Castagno se situe entre la montée du Castagno et la rue Guiraud, il comprend 9 lots. Le lotissement de l' Anduzette est situé au Nord, en haut de la montée du Castagno et comprend 5 lots.

    Toponymie

    Provençal Ledignan, du roman Ladinhan, du bas latin Ladinanum, Ledinhanum, Ledinianum[20].

    Histoire

    Antiquité

    Le territoire de l'actuelle commune est occupé par une garnison romaine. La découverte dans les années 1930 d'une plaque romaine[Note 5] dans le jardin d'une maison au centre du village témoigne de l'existence d'un oppidum.

    Moyen Âge

    Au Moyen Âge, en raison de sa position géographique stratégique au carrefour des routes, sur un léger promontoire, Lédignan a statut de ville de foire et les marchands se succèdent aux abords de son château. Dès le XIIe siècle, la seigneurie de Lédignan fait partie des terres du domaine des Bermond, baron de Sauve. Sous le règne de Saint Louis, une partie des seigneuries de Bermond de Sauve furent confisquées et attachées au domaine royal. La juridiction de Lédignan est cédée en 1344 par le roi de France à Imbert Dauphin du Viennois, devenu comte d'Alès, dont Françoise était devenue la continuatrice par la mort de son mari François de Lorraine, duc de Joyeuse.

    En 1530, la seigneurie de Lédignan fut acquise par Guillaume Desroys alias, Rey alias de Roys de Beaucaire, avec ses droits de justice. C'est de cette date que son hôtel de Beaucaire, qui lui venait de la famille d'Arlot sera nommé Hôtel de Lédignan. Les fonds notariaux des Archives du Gard possèdent la liste des emphytéotes des terres de Lédignan qui relevaient du seigneur du lieu. Après Guillaume qui sera le premier seigneur de Lédignan, 4 degrés directs se succédèrent comme seigneur de Lédignan, et propriétaire du château : Jean, Guillaume, Marc Antoine et le dernier seigneur de Lédignan, aîné de cette famille, Jacques de Roys de Lédignan de la Roche Saint Angel. La seigneurie de Lédignan se trouve indivise entre les Rochemore d'Aigremont et les représentants des autres branches beaucairoises de la famille de Roys, qui continuent à en porter le nom jusqu'à ce jour. L'un d'eux mort pour la France au camp d'extermination d'Ellrich-Buchenwald sera fait, avec sa femme, Juste parmi les nations.

    Époque moderne

    En 1620, Lédignan obtient de Louis XIII le droit de faire 3 foires : le pour la Saint-Laurent, le et le lundi saint. Les foires se tiennent sur un champ de mûriers, les habitants pratiquant à cette époque l'élevage du ver à soie. Dans cette foire se vendent essentiellement des animaux, des porcs et des bœufs entre autres. Elle est communément appelée marché aux bestiaux ou marché aux bœufs. En 1629, la paix d'Alès entre catholiques et Huguenots est signée à Lédignan, dans le temple protestant du village. Guillaume de Rochemore Baron d'Aigremont et son beau-frère Guillaume de Roys de Lédignan, font partie de la suite du cardinal de Richelieu.

    En 1776, le peuple de Lézan arrête les forains en route pour la foire de Lédignan, leur proposant de faire la foire de Lézan moins chère que celle de Lédignan. De nombreux forains acceptent. Les consuls de Lédignan déposent alors plainte au sénéchal de Nîmes, demandant trois mille livres de dédommagement.

    À la veille de la Révolution, le château et ses dépendances sont loués à l'armée.

    Époque contemporaine

    En 1881, la législation scolaire rendant l'enseignement primaire obligatoire, gratuit et laïque, est promulguée. L'école communale publique de Lédignan ouvre en 1885. On y lit sur son fronton "ECOLES COMMUNALES - 1885 - RF". Les filles sont alors à droite du bâtiment, les garçons à gauche, et les logements des instituteurs à l'étage. La cour également est séparée par un mur.

    En 1939, la fête de Lédignan donne lieu, pour la première fois, à un défilé de char. Les gendarmes, les pompiers et la mule corbillard sont présents.

    Durant la seconde guerre mondiale à partir de , le village passe sous contrôle allemand. Il devient cependant un appui pour les résistants du maquis de Saint-Jean-du-Gard, quelques-uns de ses habitants ayant même caché des Juifs malgré la présence de la Wehrmacht. Quatre d'entre eux seront, par la suite, nommés Juste parmi les nations. Au retrait des troupes allemandes, Lédignan est épargné grâce aux résistants et les troupes allemandes passent par le village d'Aigremont.

    Le professeur Georges Dumas médecin psychiatre, membre de l'Académie des sciences morales et politiques et de l'Académie nationale de médecine, séjournait chaque été à Lédignan dans la maison où il est né en 1866 et mort en 1946. Une rue et une place du village portent son nom.

    Le , un bus scolaire britannique de Sant-Alban est victime d'un accident de la route sur la route de Montpellier entre Lédignan et Aigremont. Le chauffeur meurt d'une hémorragie cérébrale. Au total, il y a 6 victimes dont 4 adolescents, le professeur et le chauffeur[21].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1925 1940 Auguste Béchard PCF Député du Gard (1936-1940)
    2001 2002 Gérard Soustelle    
    2002 2009 Marie-Line Tamagna-Monjiols UMP Clerc de notaire
    2010 2014 Grégoire Diamantidis SE Général armée de l'air
    2014 En cours Bernard Cauvin SE retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[23].

    En 2018, la commune comptait 1 472 habitants[Note 6], en augmentation de 2,87 % par rapport à 2013 (Gard : +1,67 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    622678661655735694698722731
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    697701655685655624638606682
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    754788804731750780755777782
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    7707528128158509951 1831 4171 430
    2018 - - - - - - - -
    1 472--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    • École primaire et maternelle ouverte en 2009.
    • Collège ouvert en 2005.

    Santé

    • Centre de secours ouvert en 2007.

    cabinets médicaux, (2), Dentistes (3), Kinésithérapeutes (2), Infirmières, Ostéopathes, Pharmacie, Opticien, EPHAD (Maison de retraite),

    Manifestations culturelles et festivités

    Lédignan connait l'influence de la tradition camarguaise, la commune a pour habitude de célébrer son saint patron, saint Laurent, à travers sa fête votive (fête religieuse devenue civile) qui se déroule autour du .

    Sports

    La commune compte deux stades (le stade Eric Laffont et le stade du collège) un gymnase ainsi qu'un City Stade, installation multisports.

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    2009
    Revenu net déclaré moyen par foyer fiscal19 810
    Foyers fiscaux imposables en % de l'ensemble des foyers fiscaux42,6
    Médiane du revenu fiscal des ménages par unité de consommation en Euros15 137
    Sources : DGFiP : Impôt sur le revenu des personnes physiques / Insee / DGFiP : Revenus fiscaux localisés des ménages.

    Emploi

    2008
    Emploi total (salarié et non salarié) au lieu de travail417
    Part de l'emploi salarié au lieu de travail83,1
    Variation de l'emploi total au lieu de travail : taux annuel moyen entre 1999 et 2008 en %3,2
    Taux d'activité des 15 à 64 ans en %74
    Taux de chômage des 15 à 64 ans en %15,3
    Nombre de demandeurs d'emploi de catégorie ABC au 147
    Source : Insee, Recensements de la population 2008 et 1999 exploitations principales.

    Entreprises de l'agglomération

    2009
    Nombre d'établissements actifs139
    Part de l'agriculture, en %22,8
    Part de l'industrie, en %5,9
    Part de la construction, en %16,9
    Part du commerce, transports et services divers, en %37.5
    Part de l'administration publique, enseignement, santé et action sociale, en %16,9
    Source : Insee, CLAP (connaissance locale de l'appareil productif).
    • Cave coopérative vinicole.

    Agriculture

    • Viticulture

    Culture locale et patrimoine

    Édifices civils

    • Ancienne école communale de 1885 aux abords de l'ancien emplacement du vieux château aujourd'hui disparu. Ce bâtiment a été réhabilité, il est l'actuelle mairie et héberge la bibliothèque communale.

    Édifices religieux

    Patrimoine culturel

    • Musée privé, ayant une riche collection d'outils et d'objets des guerres et du XXe siècle.

    Patrimoine naturel

    Juchée sur un promontoire établissant la limite des bassins versants du Vidourle et des Gardons, la commune dispose d'une vue panoramique sur le piémont cévenol à la sortie du village en direction d'Anduze.

    Personnalités liées à la commune

    • Auguste Béchard (1883-1965), homme politique, maire de Lédignan
    • Georges Dumas (1866-1946), médecin et psychologue, né et mort à Lédignan.
    • Roger Chabalier, une place porte son nom.
    • Daniel Rouveyran ( - ), pilote automobile
    • Nabil El Zhar (), joueur de Football
    • Roubaud Lucienne, épouse Miolan, Juste parmi les Nations,
    • Miolan Ismaël, Juste parmi les Nations,
    • Balmer Esther, épouse Muller, Juste parmi les Nations,
    • Muller Roger, Juste parmi les Nations.

    Héraldique

    Blason
    De gueules au soleil d'or, au chef cousu de sinople chargé d'une colombe essorante d'argent accostée de deux croisettes du même.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Pierre Béraud, Histoire de Lédignan (Reprod. en fac-sim. de l'éd. de 1933), Nîmes, C. Lacour, coll. « Rediviva », , 106 p.-7 p. de pl. : couv. ill. ; 21 cm (ISBN 2-86971-234-0, ISSN 0989-4616, notice BnF no FRBNF35281062)
    • Daniel Arnal, Daniel Rouveyran (1939-1973), Alès, D-A Édition, 2016, 168p (ISBN 978-2-7466-9536-8)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Cette plaque se trouve aujourd'hui au musée archéologique de la ville de Nîmes
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France Cardet - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Lédignan et Cardet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station Météo-France Cardet - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Lédignan et Nîmes », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    19. Insee - Chiffres clés.
    20. (oc + fr) Frédéric Mistral et Jules Ronjat, Lou Trésor dou Félibrige ou Dictionnaire provençal-français : embrassant les divers dialectes de la langue d'oc moderne..., Raphèle-lès-Arles, M. Petit, , 1179 p., 2 vol. ; 25 cm (ISBN 84-499-0563-X, notice BnF no FRBNF37258238), p. 198, t. 2
    21. (en) « St. Albans Tragedy 1985 », sur www.stalbanshistory.org (consulté le ).
    22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
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