J. Paul Getty Museum
Le J. Paul Getty Museum est un musée américain situé à Los Angeles en deux sites distincts, le Getty Center et la villa Getty.
Collections
Il abrite la plus grande collections des États-Unis.
Peinture
- Saint Jean-Baptiste avec les prophètes Élie et David, de Luca di Tommè[1]
Objet d'art
- Meuble sculpté dans les années 1880 par Émile Bernard et Paul Gauguin[2].
Galerie
- Pontormo, Portrait d'un hallebardier (1529-1530).
- Parmigianino, La Vierge et l'Enfant, Saint Jean Baptiste et Marie Madeleine, vers 1530.
- Titien, Portrait d'Alfonso d’Avalos, Marchese del Vasto, 1533.
- Pierre Paul Rubens, La Mise au tombeau, 1612.
- Rembrandt, Rembrandt riant, 1628
- Rembrandt, Un vieil homme en costume militaire, 1630.
- Rembrandt, Le Bain d'Europe, 1632.
- Nicolas Poussin, Paysage en temps calme, 1651.
- Jean-Antoine Watteau, Les Comédiens italiens, 1720.
- Giambattista Pittoni, Le Sacrifice de Polyxena, 1733
- Canaletto, Le grand Canal de Venise, vers 1738.
- Jacques-Louis David, Les sœurs Zénaïde et Charlotte Bonaparte, 1821.
- Édouard Manet, Portrait de Madame Brunet, 1867.
- Auguste Renoir, La Promenade, 1870.
- Claude Monet, Soleil levant (marine), 1872 ou 1873.
- Édouard Manet, La Rue Mosnier aux drapeaux, 1878.
- Édouard Manet, Le Printemps, 1881.
- Vincent van Gogh, Les Iris, 1889.
- Paul Gauguin, Arii Matamoe (La fin royale), 1892.
- Paul Cézanne, Nature morte aux pommes, 1893.
- Paul Cézanne, Jeune femme italienne à table, 1895.
Controverse
Les journalistes Jason Felch et Ralph Frammolino publient une enquête dans le Los Angeles Times, pour laquelle ils ont été finalistes 2006 du prix Pulitzer. Ils y « révèlent que la moitié des plus belles pièces antiques du musée sont issues du trafic international ». Parmi les œuvres que dût restituer le musée, il y a l'Aphrodite de Morgantina, acquise pour dix-huit millions de dollars et le cratère d'Astéas, revenu en Italie en 2005[3],[4].
Notes et références
- Carlo Falciani et Pierre Curie (dir.), La Collection Alana : Chefs-d'œuvre de la peinture italienne, Bruxelles, Fonds Mercator, , 216 p. (ISBN 978-94-6230-154-2)Ouvrage publié à l'occasion de l'exposition au musée Jacquemart-André du 13 septembre 2019 au 20 janvier 2020, article de Fabiana Carelli, Luca di Tommè , p.87
- Sylvain Alliot, « À la recherche du Paradis Perdu », La Gazette de l'hôtel Drouot, n°44, 7 décembre 2001, p.19.
- (en) Jason Felch et Ralph Frammolino, « The Getty’s troubled goddess », sur www.latimes.com, (consulté le )
- Pascal Corazza, « Un trafic d'experts », Le Monde Diplomatique, no 808, , p. 27 (lire en ligne).
Annexes
Liens externes
- Notices d'autorité :
- Fichier d’autorité international virtuel
- International Standard Name Identifier
- CiNii
- Bibliothèque nationale de France (données)
- Système universitaire de documentation
- Bibliothèque du Congrès
- Gemeinsame Normdatei
- Bibliothèque nationale de la Diète
- Bibliothèque nationale d’Espagne
- Bibliothèque nationale d’Israël
- Bibliothèque universitaire de Pologne
- Bibliothèque nationale de Catalogne
- Réseau des bibliothèques de Suisse occidentale
- Bibliothèque apostolique vaticane
- Bibliothèque nationale d’Australie
- Base de bibliothèque norvégienne
- Bibliothèque nationale tchèque
- Bibliothèque nationale de Lettonie
- WorldCat
- Portail des musées
- Portail des arts
- Portail de Los Angeles
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.