Historial de la Vendée

L'Historial de la Vendée est un musée retraçant l'Histoire de la Vendée, de la Préhistoire au début du XXIe siècle. Il se trouve près du Mémorial de la Vendée au cœur de l'espace naturel de la vallée de la Boulogne, c'est-à-dire, plus précisément, aux Lucs-sur-Boulogne. Il a ouvert ses portes le après trois années de travaux, la première pierre ayant été posée le [1] par Philippe de Villiers, président du conseil général de la Vendée de 1988 à 2010. Le nouvel équipement muséographique réunit aujourd'hui une collection de près de 20 000 objets dont 3 000 sont exposés. De nombreuses acquisitions ont été réalisés depuis le lancement du projet, elles sont venues enrichir les collections de l'ancien écomusée du Puy du Fou qui a depuis fermé ses portes.

Historial de la Vendée, vue aérienne sur la toiture végétalisée

L'intégration paysagère de ce musée est totalement nouvelle et inspirée des musées nord-américains. Tout a commencé au début des années 2000 lorsque le conseil général de la Vendée, maître d'œuvre du musée, a fait de l'Historial de la Vendée une de ses demandes spécifiques pour le concours d'architecture. Le conseil général confie alors au collectif d'architectes Plan 01[2] la conception des plans. En juin 2002, Plan 01 remporte le concours lancé à l'échelle européenne en répondant à la principale contrainte qui était d'intégrer le bâtiment au paysage. Plan 01 a créé son projet autour de deux grands principes : celui d'enchâsser le bâtiment dans la pente et celui d'utiliser une toiture végétalisée.

Le musée, propriété du conseil départemental de la Vendée et géré par la Conservation départementale des musées de Vendée, a été labellisé musée de France.

Les motivations

Le portail du conseil départemental de la Vendée précise :

« Issue de l’ancien Bas Poitou, la Vendée dispose d’une histoire et d’un patrimoine d'une grande richesse. Mégalithes, églises romanes, forteresses médiévales, châteaux et demeures Renaissance en sont autant de témoignages. »

La motivation principale de la création de l'Historial de la Vendée était de préserver un patrimoine vendéen et une mémoire collective vendéenne en offrant la possibilité à chaque visiteur de découvrir, d'apprécier et de se rappeler ce pourquoi la Vendée est ce qu'elle est aujourd'hui. Le musée s'est donné pour objectif de rendre hommage à tous ceux qui ont œuvré pour la Vendée (département) au cours de l'histoire. Pour atteindre ce but et faire découvrir aux visiteurs l'histoire vendéenne ainsi que le patrimoine vendéen, l'équipement muséographique a combiné les archives du sol (dépôt archéologique départemental) et les collections pluridisciplinaires de type « musée » appartenant au conseil départemental de la Vendée. Quelque 17 000 objets des collections départementales sont donc accueillis dans des coulisses de plus de 800 m2 . Dès 2005, les archives du sol, qui avaient ouvert leur portes en juillet 1999, ont intégré l'Historial de la Vendée. La structure permet de réunir les collections archéologiques découvertes sur le sol vendéen durant les trente dernières années. Par conséquent, cette intégration suit la logique du projet du conseil départemental de la Vendée puisqu'elle permet de conserver le patrimoine afin de le transmettre aux générations futures.

Le deuxième objectif du projet était de faire du musée un lieu éducatif et interactif afin d'assurer la pérennité de l'histoire vendéenne de manière ludique. Christophe Vital, conservateur des musées départementaux, confirme cet aspect : « C’est un musée qui n’a pas d’équivalent en France puisque chaque objet sera mis en scène, qu’il sera évolutif et que les visiteurs seront actifs au fil de leurs découvertes »[1]. Par son côté interactif, le projet voulait que l'Historial soit un musée éducatif et attractif pour les visiteurs, parents comme enfants ; enfants qui peuvent s'intégrer et découvrir grâce à un musée qui leur est consacré.

La création de l'Historial de la Vendée a aussi été motivée par l'envie de stimuler un développement économique et touristique du département. Philippe de Villiers a confirmé cette dimension : « Un département ne vit que s’il accompagne son développement économique d’un développement culturel »[1]. La structure, de par son particularisme architectural et l'interaction mise en place à travers les dix espaces, se démarque des autres musées de France. Ceci permet d'attirer les touristes à l'intérieur des terres, dans une ville éloignée des centres touristiques habituels. Le Comité Départemental du Tourisme de Vendée promeut le site touristique à travers de nombreux évènements comme lors de sa présence au Salon des Voyages et du Tourisme de Limoges.

Localisation et architecture

Le bâtiment de l'Historial de la Vendée est situé sur un espace de 19 hectares, le long de la rivière Boulogne. Le collectif d'architectes, Plan 01[2], qui s'est vu accorder le design, avait pour volonté de créer un musée innovant qui soit en harmonie avec le cadre géographique. L'Historial, d'une superficie de 6 500 m2 SHON (surface hors œuvre nette), présente une toiture végétalisée de 8 000 m2, ce qui fait que du ciel, il est difficile de distinguer le musée qui fait partie intégrante de la prairie alentour. La volonté de faire de ce musée un lieu respectueux de l'environnement vient du fait qu'il se trouve dans un milieu rural, dans un site préservé et classé espace naturel sensible. Le cabinet Plan 01 a su répondre à cette exigence du conseil départemental de la Vendée en enchâssant le bâtiment dans la pente et en utilisant une toiture végétale.

Localisation du site

C'est aux alentours de Les Lucs-sur-Boulogne qu'il est possible de visiter l'Historial de la Vendée, un musée innovant puisqu'il se fond totalement avec le paysage de la vallée de la Boulogne. C'est sur les rives de la Boulogne que le collectif d'architectes, Plan 01[2], a élu domicile pour construire l'Historial, avec la volonté de dissimuler le parc dans le paysage naturel. En sortant du musée, un petit sentier engage les visiteurs à se promener le long de la rivière pour aboutir au Mémorial puis, un peu plus loin, à la chapelle du Petit-Luc. il a fallu tout penser pour que l'Historial échappe aux éventuelles inondations de la Boulogne, sans pour autant changer quoi que ce soit au paysage boisé de la vallée.

Sur le site Internet de Plan 01, dans la rubrique consacrée au site de l'Historial de la Vendée, il est possible de retracer toutes les étapes du projet, le choix de l'emplacement géographique, des matériaux utilisés et ce jusqu'à la construction du site, par le biais de témoignages de la part des architectes. Leur choix d'implanter l'Historial sur son emplacement actuel n'a rien d'anodin. Le cadre naturel a été un élément majeur puisque « la vue est particulièrement dégagée et offre un large panorama sur la Boulogne, rivière qui serpente au creux de la colline, véritable incitation à la promenade ». Le fait que le Mémorial de la Vendée avait déjà été construit à proximité a également fait pencher la balance, permettant ainsi d'envisager le site dans sa totalité. Les architectes semblent avoir été particulièrement séduits par la complexité du terrain, avec d'un côté les champs typiquement vendéens agrémentés de zones boisées et de l'autre, un espace plus bucolique avec la rivière creusant la prairie de la Boulogne. Un espace, donc, naturel et bocager qui colle parfaitement à l'image de l'Historial.

Architecture du musée

Entrée de l'Historial

Le site Internet de l'Historial de la Vendée consacre une partie sur les trois principaux matériaux utilisés pour confectionner le bâtiment futuriste :

  • L’acier : matériau résistant et malléable qui permet de traiter de grandes surfaces et des portées importantes tout en gardant une légèreté au niveau des structures.
  • Le verre : matériau de transparence par excellence, il permet aux visiteurs de découvrir l’intérieur de l’Historial dès l’extérieur du bâtiment, et à l’inverse, d’ouvrir largement l’Historial sur le paysage alentour. Les façades vitrées du grand hall, de la boutique et de la cafétéria représentent une surface de près de 1 000 m2.
  • Le béton : matériau résistant et massif, le béton assure une forte densité du bâtiment aussi bien au niveau technique que visuel. Il est utilisé en contrepoids de la légèreté du verre et de l’acier.

Mais la partie la plus surprenante du musée reste sans aucun doute sa toiture végétalisée de 8 000 m2 qui, vue du ciel, est difficile à distinguer du reste de la prairie avoisinante. Les tapis végétaux préalablement cultivés en Forêt-Noire n'ont pas été simplement posés sur le toit : de longues heures d'études ont été nécessaires pour trouver comment couvrir toute la toiture d'herbe naturelle, tout cela à l'aide de maquettes et de modélisation 3D. Il a d'abord fallu mettre en place tout un mécanisme pour faire tenir l'herbe, grâce à la superposition sur la charpente d'une couverture en acier, puis de bacs en acier triangulaires où ont été disposés les tapis végétaux composés de graminées, de fleurs sauvages et d'herbes folles qui sont fauchés à l'automne.

Pour coïncider avec le toit végétal, le reste du bâtiment est d'une couleur monochrome vert bronze. Le musée entier est enchâssé dans le terrain naturel, à l'emplacement exact d'une ligne mouvante qui délimite le paysage inondable de la Boulogne et les terres cultivables du bocage vendéen. Non seulement du ciel le musée a un effet caméléon, mais en plus, du haut du terrain, le visiteur ne voit que le gazon du toit : il ne découvre l'ensemble du musée qu'au fur et à mesure qu'il descend sur le sentier qui mène au musée.

Le bâtiment est donc le fruit des avancées technologiques, mais sa toiture n'est qu'une facette de la particularité de l'Historial.

Son autre singularité est qu'il s'agit du premier musée en France à être doté d'un gril technique, situé à plus de six mètres de hauteur, à l'instar de ceux qu'on retrouve dans les studios de télévision et de cinéma. Cela permet au musée de garder son aspect évolutif et de changer l'éclairage au gré des expositions temporaires établies dans les salles du musée[3]. Dans l'Historial, tout est tourné autour des nouvelles technologies et l'interactivité, y compris les salles qui sont des espaces modulables et muséographiques, conçues comme des plateaux de cinéma.

Les dix espaces

On retrouve à l'intérieur de ce musée de près de 3 000 m2, 10 salles au total, c'est-à-dire sept espaces présentant les sept grandes étapes de l'Histoire sur une période de 7000 ans, ainsi qu'une salle géologie, un musée pour les enfants et une salle d'exposition temporaire. Chacune de ces salles est accessible à partir du grand hall où une grande frise chronologique donne à chaque salle sa couleur, indiquant ainsi la marche à suivre aux visiteurs en libre circulation. Ils se retrouvent au fil de leur visite face à des collections, des décors retraçant les grandes périodes, ainsi que des spectacles ou des projections documentaires d'une durée de 7 à 15 minutes[4].

Hall de l'Historial, 2015

Les salles :

  • La géologie : salle d'introduction présentant l'histoire à travers les couches du sol.
  • La Préhistoire présente des objets tels que des outils, des parures ou des poteries provenant des terres vendéennes afin de présenter les habitudes et les façons de vivre des premiers Vendéens en se fondant sur des découvertes réalisés in situ.
  • L'Antiquité se découvre par la présentation de quelques pièces phares provenant du fonds de l'Abbé Baudry, notamment des objets trouvés dans un des puits de Troussepoil. Cette partie propose également une découverte des vestiges gallo-romains du Département à travers une attraction : les visiteurs montent à bord d'un hélicoptère afin de traverser et de découvrir, par un film captivant, la Vendée durant la période gallo-romaine.
  • Le Millénaire Médiéval propose des bornes interactives pour découvrir l'histoire politique et religieuse de cette époque, ainsi que des objets tels que des épées, des sceaux, des incunables, des objets de la vie quotidienne retrouvés lors de fouilles sur le territoire du Département.
  • L'Époque Moderne, bassin de la Renaissance, est évoquée à travers le cardinal Richelieu et la découverte de grands mathématiciens ou écrivains vendéens, particulièrement à Fontenay-le-Comte par le biais d'un courant intellectuel fort de l'Histoire. C'est dans cette partie que sont exposés quelques-uns des chefs d'œuvre du musée provenant de la collection Rochebrune : l'orant de marbre de Suzanne Tiraqueau (statue de marbre du début du XVIIe siècle) et trois tapisseries du XVIe siècle, provenant du Château de Chaligny, et qui ont été réalisées à Bruxelles sur le modèle de la suite du Triomphe des Dieux pour le pape Grégoire XIII.
  • La Guerre de Vendée, temps fort de la culture vendéenne, occupe une place majeure dans le musée. L'originalité de son approche repose sur la confrontation entre, d'un côté, les objets contemporains de la Guerre et leur mise en contexte et d'un autre côté, la présentation d'œuvres réalisées a posteriori et qui revisitent l'histoire, avec souvent un arrière-plan idéologique. Cette seconde partie repose essentiellement sur des peintures exposées dans les Salons officiels du XIXe siècle. La muséographie tente de restituer leur décor avec de hautes cimaises de couleur rouge grenat sur lesquelles prennent place les peintures.
  • Le XIXe et le début du XXe : cette salle expose des reconstitutions d'échoppes d'époque remontées entièrement dans le musée, comme celle d'un cordonnier, ainsi qu'un salon de coiffure datant du XIXe siècle. Elle présente également des pièces de mobilier, des costumes et instruments de musique et rappelle, à travers des bannières et vêtements liturgiques la permanence religieuse dans ce département. Le développement industriel vendéen est évoqué à travers les usines de filature (et notamment une machine à vapeur des établissements Piguet de Hucheloup à Cugand (1908, elle pèse 12 tonnes !), les conserveries notamment. Le navire "Bise-Dur", un film et des objets retracent l'épopée des campagnes de pêche et l'importance de cette activité dans les ports du littoral vendéen. Enfin, un espace évolutif est dévolu aux arts graphiques du XXe siècle. Il jouxte la présentation de quelques œuvres-phares des frères Martel, sculpteurs vendéens à qui l'on doit notamment le monument à Debussy érigé à Paris ou la Damoiselle au luth dont l'Historial conserve le plâtre original.
  • La dernière salle qui clôt le parcours chronologique abrite un auditorium de 129 places qui permet de diffuser des films sur l'actualité ou en lien avec les expositions temporaires. Il permet aussi d'organiser des colloques ou de programmer des spectacles. Une vitrine évolutive présente quelques objets des XXe et XXIe siècles.

Pour asseoir l'idée d'une histoire en marche et conserver sa mémoire vivante, le hall du musée abrite des bornes interactives permettant d'écouter les interviews de "Grands Témoins". Dans ces témoignages, des Vendéens racontent leurs activités ou leurs actions ayant eu un impact important sur l'histoire de la Vendée. Ce sont autant de clés pour la compréhension de cette histoire en devenir.

  • Le musée des enfants, destiné aux enfants de 2 à 7 ans, sur une surface de 280 m2 composé de décors, d'activités, d'objets conçus pour correspondre à la taille et aux besoins des enfants. Cette salle propose différentes activités pour découvrir l'histoire à travers le divertissement. Les espaces sont renouvelables tous les 3 ans, après les Animaux de la ferme, la nouvelle thématique retenue portera sur La Mer[5].
  • Une salle d'expositions temporaires de 500 m² propose en général deux à trois fois par an des expositions sur des sujets d'une grande diversité, allant des sujets de société, aux sujets historiques, en passant par des expositions type Beaux-Arts ou des expositions scientifiques ou techniques[6].

Le personnel de l'Historial consacre une grande partie de son temps à la gestion des réserves, à la conservation des œuvres, à leur étude et à leur enrichissement. Chaque nouvelle œuvre passe par des salles de transit équipées de matériel performant pour permettre leur inventaire et un conditionnement efficient. Les collections sont ensuite renouvelées régulièrement et leur conservation est facilitée par leur place dans des compactus, des meubles à plans et un palettier.

L'Historial est aussi un lieu de recherches. Les équipes comprennent également des scientifiques, pour la plupart historiens de l'art, qui sont chargés de l'étude historique des collections et qui assurent le commissariat des expositions temporaires. Ces équipes sont localisées à La Roche-sur-Yon. Une archéologue travaille à demeure à l'Historial. Une école départementale du patrimoine historique et naturel est également présente[5] pour mettre en place des contenus élaborés et adaptés pour les scolaires de la Maternelle au lycée. Des équipes de médiatrices contribuent également à la diffusion des savoirs en proposant de nombreuses visites guidées, animations à partir des espaces permanents ou dans le cadre des expositions temporaires.

L'Historial, un musée en mouvement

Programmation culturelle

L'Historial propose un programme culturel riche et diversifié qui permet la mise en valeur des collections permanentes et qui suit l'actualité des expositions. Des visites guidées pour adultes et enfants, des visites sensorielles pour personnes en situation de handicap, des animations pour les enfants et un large panel de spectacles, projections, ateliers sont proposées au public.

Visites et ateliers à destination du public scolaire

Le musée propose également un large éventail de visites pédagogiques dont le contenu est mis en œuvre et suivi par l'Ecole Départementale des Arts et du Patrimoine[7]. Les visites, construites par des professionnels de l'Education nationale en lien avec les programmes scolaires, ciblent des cycles particuliers.

Conférences, colloques et journées d'études

L'Historial propose également des conférences tout au long de l'année, soit de manière ponctuelle, soit sous forme de colloque (comme ce fut le cas du colloque Clemenceau et les arts en partenariat avec le musée national des arts asiatiques-Guimet les 20 et ) ou de journée d'études (Clemenceau et l'Asie, [8]). Une convention signée avec le Centre Vendéen de Recherches Historiques permet également la tenue de colloques comme celui consacré à l'Empreinte de la Guerre de Vendée (24-)[9].

Expositions temporaires passées et à venir

  • 2006-2007 - La Mer pour mémoire
  • 2007 - L'Ile d'Yeu, des toiles et des voiles
  • 2007-2008 - Les portraits et les nus de Paul Baudry
  • 2008 - La Légende de Richelieu
  • 2008-2009 - Dieux, rois et peuples du Bénin
  • 2009 - L'Envers du décor
  • 2009 - Benjamin Rabier, Gédéon, la vache qui rie et compagnie
  • 2009-2010 - Soldats du feu, les sapeurs pompiers de la Vendée
  • 2010 - Vendée Madagascar, ces liens qui nous unissent
  • 2010-2011 - L'agriculture en terre vendéenne, de l'Empire à la Seconde Guerre mondiale
  • 2011-2012 - Georges Simenon, de la Vendée aux quatre coins du monde
  • 2012 - Charles Milcendeau, le maître des regards
  • 2013 - Félicie de Fauveau, l'amazone de la sculpture (en partenariat avec le musée d'Orsay à Paris)
  • 2013 - De Chaissac à Fabrice Hyber, parcours d'un amateur vendéen
  • 2013-2014 - Clemenceau et les artistes modernes, Manet, Monet, et Rodin (exposition d'intérêt national au titre de l'année 2013)
  • 2014 - La Nature pour passion
  • 2014-2015 - Clemenceau, le Tigre et l'Asie (en partenariat avec le musée national des arts asiatiques-Guimet à Paris, label de la Mission du centenaire de la Première guerre mondiale)
  • 2015 - Culture TV, saga de la télévision française (en partenariat avec le CNAM à Paris)
  • 2015-2016 - 1914-1918, 1939-1945 Artistes en guerre
  • 2016 - Richard Coeur de Lion, entre mythe et réalités
  • 2017 - Destination vacances
  • 2017-2018 - La Vendée des cathédrales (1317-2017)
  • 2018 - A bicyclette !
  • 2018-2019 - La Vendée, de la grande Guerre à la paix
  • 2019 - UniverSEL

Notes et références

  1. Les Lucs-sur-Boulogne : début des travaux de l’Historial…, publié le 23/09/2003
  2. Collectif d'architectes Plan 01 - PLAN01 rassemble 10 associés - Jean Bocabeille, Anne Cécile Comar, Philippe Croisier, Christophe Ouhayoun, Stéphane Pertusier, Ignacio Prego, Dominique Vitti, Anne Charlotte Zanassi, Julien Zanassi et Nicolas Ziesel - issus des agences Atelier du Pont, [BP] Architectures, Ignacio Prego Architectures, KOZ et Philéas
  3. Un point majeur du musée : le gril technique
  4. Historial de la Vendée sur L'internaute
  5. L'Historial de la Vendée sur L'internaute Nantes
  6. Pour avoir un aperçu de la programmation actuelle, on se reportera au site de l'Historial dédié à cette rubrique : http://historial.vendee.fr/Le-Musee/Les-expositions-temporaires
  7. « Site Internet de l'EDAP »
  8. « Colloque Clemenceau et les arts, Historial de la Vendée - Musée Guimet, 20-21 mars 2014 »
  9. « Colloque Empreintes de la Guerre de Vendée, CVRH - Historial de la Vendée » [archive du ], sur CVRH

Voir aussi

Liens externes

  • Portail des musées
  • Portail de l’histoire
  • Portail de la Vendée
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.