Gypsy Rose Lee

Gypsy Rose Lee, née Rose Louise Hovick le et morte le , était une artiste de burlesque américaine et une vedette célèbre pour son numéro de striptease. Également actrice, autrice et dramaturge, elle a publié des mémoires en 1957, adaptées en comédie musicale avec Gypsy.

Pour les articles homonymes, voir Lee.
Gypsy Rose Lee
Gypsy Rose Lee
Nom de naissance Rose Louise Hovick
Naissance
Seattle, État de Washington, États-Unis
Décès
Los Angeles, Californie, États-Unis
Activité principale
Auteur
Langue d’écriture Anglais américain
Genres

Jeunesse

Gypsy Rose Lee à Los Angeles, v. 1937

Gypsy Rose Lee est née à Seattle (États-Unis) le [1],[2],[3],[note 1]. Cependant, elle a toujours donné le comme date de naissance[1],[3]. Elle était connue sous le nom de Louise auprès de sa famille. Sa soeur, l'actrice June Havoc, est née en 1912. Leur mère, Rose Thompson Hovick, a falsifié divers certificats de naissance pour chacune de ses filles. Elle les indiquait comme plus âgées si nécessaire pour échapper aux diverses lois nationales sur le travail des enfants, et plus jeunes si les billets de train étaient à prix réduits ou gratuits. Ses filles n'ont su que bien plus tard quelles étaient leurs véritables années de naissance[1],[4].

Leur mère avait épousé l'américano-norvégien John Olaf Hovick, un publicitaire dans la presse et journaliste dans le journal Seattle Times[5],[6],[7]. Ils se sont mariés le à Seattle[8]. Ils ont divorcé le [9]. Rose Thompson s'est mariée une deuxième fois avec Judson Brennerman, vendeur itinérant, le dans une église unitarienne de Seattle, avec pour officiant le révérend JDA Powers[10].

Après son divorce avec Brennerman, Rose décide d'utiliser les talents de sa fille June pour subvenir aux besoins de la famille. Elle la fait jouer dans des vaudevilles. June sera inscrite sur les programmes comme « La plus petite danseuse à orteils du monde». June avait seulement deux ans et demi[4]. Rose et June sont ensuite parties à Hollywood où June est apparue dans des courts métrages réalisés par Hal Roach[4]. Leurs premières expérience de la vie Hollywoodienne ont duré deux ans, puis elles ont décidé de partir en tournée, pendant que Louise restait à garder la maison. Elle a fait des études élémentaires, contrairement à June qui avait appris à lire sur scène grâce à des souffleurs[4]. Au grand dam de sa mère, June s'est enfuie pour se marier en avec Bobby Reed, un danseur dans leur numéro, et poursuit une brève carrière dans la danse marathon, une vocation plus rentable que les claquettes[4].

Carrière

Gypsy Rose Lee, la première «ecdysiaste».

Les talents de chanteuse et de danseuse de Louise étaient insuffisants pour soutenir le spectacle qu'avait montée Rose sans la présence de June. La mère la lance quand même sur scène sans grand succès mais un jour, dans son numéro l'une de ses bretelles sur sa robe cède, et elle se retrouve nue sur scène malgré ses efforts pour se couvrir; encouragée par la réaction du public, elle a ensuite fait de cette nouvelle astuce le point central de sa performance. En fait, il s'est avéré que Louise était plus douée pour gagner sa vie en faisant du burlesque qu'en dansant, ce qui lui valut son statut légendaire d'artiste de strip-tease élégante et pleine d'esprit[11].

Ses innovations dans le monde du strip-tease apportent un côté décontracté au spectacle par rapport aux styles saccadés de la plupart des strip-teaseuses burlesques de l'époque (elle soulignait toujours le "tease" dans "striptease"), et apporte avec elle un humour pointu dans son numéro.

Gypsy Rose Lee préférait la dénomination "ecdysiaste" (un néologisme plus accepté par la haute société[12] dont elle fut la commanditaire) à celui stripteaseuse pour qualifier son métier. C'est en effet à sa demande que H. L. Mencken suggéra cette manière "plus digne" de faire référence à cette profession jusque-là trop "honteuse" pour être avouée socialement. Elle devient aussi célèbre pour ses jeux d'esprit sur scène que pour son style de strip-tease et, changeant son nom de scène en Gypsy Rose Lee, elle est devenue l'une des plus grandes stars du burlesque de Minsky, où elle a joué pendant quatre ans. Elle a souvent été arrêtée lors de raids de la police des bonnes mœurs sur le cabaret des frères Minsky.

Durant la Grande Dépression, Lee a pris la parole lors de diverses réunions syndicales pour soutenir les travailleurs de New York. Selon l'activiste Harry Fisher, ses interviews ont été parmi celles qui ont attiré le plus grand nombre de spectateurs[13].

En 1937 et 1938, sous le nom de Louise Hovick, elle est apparu dans cinq films à Hollywood[14]. Mais son jeu d'actrice est mal vue par la critique qui descend ses performances, donc elle décide de retourner à New York, où elle entretient par la suite une liaison tapageuse avec le producteur Michael Todd. En 1942 elle co-produit et joue dans une revue musicale, Star and Garter[15].

Son style d'exposé intellectuel au moment où elle interprete son strip-tease a été parodié dans le numéro "Zip!" dans Pal Joey de Rodgers et Hart, une comédie musicale dans laquelle sa propre soeur June Havoc est castée à Broadway, avec une co-star en la personne de Gene Kelly. Lee a interprété une version abrégée de son numéro (exposé intellectuel et tout le reste) dans un film de 1943, Le Cabaret des étoiles. Son numéro commence à environ 1 heure 29 minutes après le début du film et dure six minutes[16].

En 1941, Lee a écrit un roman policier à suspens appelé The G-String Murders (publié en français sous le titre de Mort aux femmes nues! en 1950) qui a été intégré au film expurgé de 1943, L'Etrangleur, avec Barbara Stanwyck. Bien que certains prétendent qu'il s'agissait en fait d'un texte écrit par Craig Rice comme prête-plume, il y a cependant suffisamment de preuves écrites sous forme de manuscrits et de la propre correspondance de Lee pour prouver qu'elle a écrit elle-même une grande partie du roman avec l'aide de Rice et d’autres personnes, notamment son rédacteur en chef George Davis, son ami et mentor[17],[18].

Le deuxième roman policier de Lee, Mother Finds a Body et publié en France sous le titre Madame Mère et le Maccabée en 1950, a été publié en 1942 dans sa version originale. En , Dorothy Wheelock, rédactrice en chef de Harper's Bazaar[19] dépose devant la Cour suprême des documents préliminaires alléguant une rupture de contrat, alléguant qu'en , elle et Gypsy avaient conclu ce que Wheelock décrivait comme "un accord oral de collaboration sur une entreprise commune impliquant la conception, la construction, le développement, l'écriture et l'exploitation d'une œuvre littéraire avec un fond burlesque". Mlle Wheelock y explique que l'accord prévoyait un partage à parts égales entre tous les revenus tirés de la vente du livre. Elle a affirmé avoir mis en rang un éditeur pour le livre quand, en , Gypsy a annulé la collaboration... Lee a déclaré qu'elle avait remis des notes et d'autres documents à Mlle Wheelock et que cette dernière avait alors écrit «un exemple de livre». Cependant, cet exemple de livre n'est pas celui qui a été publié, a déclaré Gypsy. Elle a nié toute ressemblance entre le livre de Mlle Wheelock et le livre publié sous son propre nom, à l'exception des similitudes pouvant découler des notes que Gypsy a remises à Mlle Wheelock. Simon & Schuster a accepté de publier le livre, a déclaré Gypsy, après la présentation des trois premiers chapitres par Janet Flanner, écrivaine new-yorkaise[20]. L'affaire a été réglée à l'amiable.

Vie privée

À Hollywood, elle a épousé Arnold "Bob" Mizzy le , à la suite des pressions du studio de cinéma. Elle a obtenu le divorce en 1941, en clamant la cruauté de son mari, bien que le biographe Noralee Frankel suggère que les époux s'étaient mis d'accord pour que Lee forge de fausses accusations afin que le divorce se passe sans encombre[21]. En 1942, elle épouse William Alexander Kirkland. Ils divorcent en 1944. Quand elle était mariée à Kirkland, elle a donné naissance le à un fils qu'elle a eu d'Otto Preminger. Son fils s'appelait Erik Lee, mais a depuis été depuis successivement connu sous les noms d'Erik Kirkland, Erik de Diego et Erik Lee Preminger. Gypsy s'est marié une troisième fois en 1948 avec Julio de Diego, mais cette union s'est également soldée par un divorce[22].

En 1940, elle a acheté une maison située à l’est de la 63e rue à Manhattan, avec une cour privée, 26 chambres et sept salles de bain[23]. Sa mère Rose a continué à exiger de l'argent de la part de Lee et Havoc. Lee a loué un appartement de 10 pièces sur la West End Avenue à Manhattan pour Rose, qui a ouvert une pension pour femmes à cet endroit. Une fois dans les années 1930, Rose aurai abattu d'une balle une femme qui était soit une résidente dans cette pension de famille ou une résidente à la ferme de Highland Mills, dans le comté d’Orange (New York), qui appartenait à Rose. Un site Web historique pour lesbiennes cite divers rapports contradictoires sur le lieu du crime[24]. Selon le fils de Gypsy, Erik Lee Preminger, auteur de plusieurs livres, la victime du meurtre était la maîtresse de Rose, qui aurait tenté quelque chose avec Gypsy. L’incident violent a fait l’objet d’une enquête et aurait été requalifié en suicide. Rose n'a pas été poursuivie[25]. Le biographe de Rose réfute fermement l'idée que cette femme, Genevieve Augustine, était l'amante de Rose, et met en doute la complicité de Rose dans sa mort à la lumière des tentatives de suicide précédentes d'Augustine[26]. Rose Thompson Hovick est décédée en 1954 d'un cancer du côlon.

Maturité

Gypsy Rose Lee en 1956

Après la mort de leur mère, les sœurs se sont senties libres d'écrire sur son propos sans risquer un procès. Le livre Gypsy: A Memoir a été publié en 1957 et a inspiré la comédie musicale de 1959 par Jule Styne, Stephen Sondheim et Arthur Laurents appelée Gypsy. Sa soeur cependant n'apprécia pas la façon dont elle était décrite dans la pièce, mais on la persuada (et rémunéra) pour qu'elle ne s'oppose pas à la production pour le bien médiatique de sa sœur[réf. nécessaire]. Le spectacle et l' adaptation du film de 1962 ont assuré à Gypsy un revenu stable. Les sœurs se sont éloignées pendant un certain temps mais elles se sont ensuite réconciliées. June, à son tour, a écrit Early Havoc et More Havoc pour raconter sa propre version de l'histoire. Gypsy Rose Lee a ensuite animé Gypsy, une émission-débat télévisée du matin sur la chaîne KGO-TV de San Francisco. Des portraits de Joan Miró, Pablo Picasso, Marc Chagall, Max Ernst et Dorothea Tanning, qui lui auraient prétendûment été donné-es par les artistes eux-lles mêmes, ornaient les murs de sa maison de Los Angeles[réf. nécessaire]. Elle est aussi apparu brièvement dans la série des années 60 de Batman.

Comme de nombreux autres Américains et artistes connus tels que Pablo Picasso et Ernest Hemingway, Gypsy Rose Lee était une partisane du mouvement du Front populaire dans la guerre civile espagnole et a collecté des fonds pour une œuvre de charité afin d'aider les enfants espagnols pendant le conflit. Elle est devenue politiquement active et a soutenu les Loyalistes Espagnols pendant la guerre civile en Espagne. Elle est également devenue membre des réunions du Front communiste unifié et un comité a enquêté sur elle dans le cadre du Comité des activités non américaines[27]. Lee était une démocrate qui avait soutenu la campagne d'Adlai Stevenson lors de l'élection présidentielle de 1952[28].

Tombe de Gypsy Rose Lee au cimetière Inglewood Park (avec une mauvaise année de naissance)

Mort

Lee est décédée d'un cancer du poumon à Los Angeles en 1970, à l'âge de 59 ans. Elle est inhumée dans le cimetière Inglewood Park à Inglewood, en Californie. Sa tombe porte cependant la mauvaise année de naissance[29].

Héritage

L'étoile de Lee sur le Hollywood Walk of Fame.
  • La chanson "Zip" de la comédie musicale "Pal Joey" (écrite par Richard Rodgers et Lorenz Hart) imagine les pensées et les réflexions qui traversent l'esprit de Gypsy Rose Lee pendant qu'elle se déshabille sur scène, racontée par l'intermédiaire d'une intervieweuse qui raconte sa rencontre en chanson avec Miss Lee, et que c'est d'après elle "la plus grande réussite" qu'il-elles aient eues. Elaine Stritch a régulièrement interprété cette chanson (en tant qu’intervieweuse) pendant de nombreuses années[30].
  • Le groupe punk The Distillers a écrit "Gypsy Rose Lee", une chanson de leur premier album en 2000.
  • En 1973, Tony Orlando et Dawn ont enregistré " Say, Has Anybody Seen My Sweet Gypsy Rose " de WM Irwin Levine & L. Russell Brown. (La chanson utilise son nom et sa profession, mais elle s'inspire d'une ancienne vie fictive)
  • En , Seattle Theatre Writers (un groupe de critiques d’art pour diverses publications) a décerné les premiers "Gypsy Rose Lee Awards" le prix Gypsy Lee Rose, qui fêtent l’excellence dans le théâtre local[31].

Filmographie

Films

Télévision

  • Think Fast (1949)
  • What's my Line? (épisode perdu 4 de 1950, saison 1)[32]
  • Le show de Gypsy Rose Lee (1958)
  • Fractured Flickers (1963 épisode 3 — entretien)
  • Who has Seen The Wind? (1965)
  • Gypsy (1965)
  • Batman (1966)
  • The Pruitts of Southampton (1966)
  • The Over-The-Hill Gang (1969)
  • The Hollywood Squares (1969)

Œuvre littéraire

Romans

  • The G-String Murders (New York : Simon & Schuster, 1941), publié en français sous le titre Mort aux femmes nues !, Paris, S.E.P.E., coll. Soir-Police, 1950 ; réédition, Paris, Fayard, coll. L'Aventure criminelle no 147, 1963 ; réédition, Paris, Librairie des Champs-Élysées, coll. Le Masque no 1893, 1987 ; rééd. Le Masque 2021.
  • Mother Finds a Body (New York : Simon & Schuster, 1942), publié en français sous le titre Madame mère et le macchabée , Paris, S.E.P.E., coll. Soir-Police, 1950 ; réédition, Paris, Fayard, coll. L'Aventure criminelle no 147, 1963 ; réédition, Paris, Librairie des Champs-Élysées, coll. Le Masque no 1893, 1987.

Mémoire

  • Gypsy: A Memoir (New York: Harper & Bros., 1957)

Pièce

  • The Naked Genius (1943) (filmé et diffusé sous le titre Doll Face en 1946). Son titre original pour la pièce était Le fantôme dans le tas de bois[33]

Remarques

  1. Abbott (2012) presents a photocopy of an apparently non-certified certificate of live birth with some handwritten parts, from the King County Health Department, Record# 193, File # 1388, indicates January 8, 1911, although Lee always gave January 9 as her date of birth.

Références

  1. Karen Abbott (2010) American Rose: Une nation mise à nu, La vie et l'époque des gitans Rose Lee, New York: Random House;
  2. Date de naissance donnée le 8 janvier, legacy.com; consulté le 16 septembre 2015.
  3. Karen Abbott, American Rose : A Nation Laid Bare : The Life and Times of Gypsy Rose Lee, Random House, , 422 p. (ISBN 978-0-8129-7851-3, lire en ligne), p. 405
  4. Laura Jacobs (mars 2003) "Enlever tout", Vanity Fair, Vol. 511, p. 198.
  5. "Voici l'histoire de trois femmes dont les rêves se sont heurtés" (16 juillet 1980), Boston Globe, p. 1.
  6. Noralee Frankel (2009) Stripping Gypsy: The Life of Gypsy Rose Lee, Oxford University Press US; (ISBN 0-19-536803-7); (ISBN 978-0-19-536803-1)
  7. Erik Lee Preminger (2004) My G-string mother: and home and backstage with Gypsy Rose Lee, Frog Books; (ISBN 1-58394-096-0), (ISBN 978-1-58394-096-9), p. 186.
  8. Département des services exécutifs du comté de King, division des archives et des licences, actes de mariage, 1891-1947, certificats de mariage, 1855-1990, bureau du secrétaire d'État, Archives de l'État de Washington, archives numériques, Source: King County Auditor, certificats de mariage, 1855 -1969; Retour de mariage, 1891-1947. Archives du comté de King, Seattle, WA.
  9. Archives nationales et administration des archives (NARA); Washington DC; Série NARA: demandes de passeport, du 2 janvier 1906 au 31 mars 1925; Rouleau #: 2708; Volume #: Roll 2708 - Certificats: 513300-513899, 12-14 février 1925; Ancestry.com (demandes de passeport américain, 1795 à 1925)
  10. Ancestry.com. Washington, Actes de mariage, 1865-2004 des Archives de l'État de Washington. Olympia, Washington: Archives de l'État de Washington.
  11. Helen Welshimer (14 février 1937) "Les strip-teaseuses de Burlesque passent à Broadway", Laredo Times (Texas), p. 13
  12. http://bibliotheques.agglo-annecy.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=1204:legends-marie-baronnet&catid=187:archives-nous-avons-aime-ou-pas&Itemid=366
  13. Fisher, Harry (1998) Comrades: Tales of a Brigadista in the Spanish Civil War, p. 10, University of Nebraska Press: Lincoln (ISBN 978-0-80322-006-5)
  14. "Gypsy Rose Lee", IMDb.
  15. Profil, historylink.org; consulté le 7 août 2014.
  16. Stage Door Canteen disponible sur Amazon.com ; consulté le 11 août 2015.
  17. Tippins, Sherill. February House: The Story of W. H. Auden, Carson McCullers, Jane and Paul Bowles, Benjamin Britten, and Gypsy Rose Lee, Under One Roof in Brooklyn. New York: Houghton Mifflin Company Publishing, 2005. (ISBN 9780618711970)
  18. Hubin, Allen J. Crime Fiction, 1749–1980: A Comprehensive Bibliography. New York: Garland Publishing Inc., 1984, p. 243 (ISBN 0824092198)
  19. Nevada State Journal, 24 décembre 1942
  20. (New York) Daily News, 24 décembre 1942
  21. Noralee Frankel, Stripping Gypsy : The Life of Gypsy Rose Lee, Oxford University Press, , 320 p. (ISBN 978-0-19-970978-6 et 0-19-970978-5, lire en ligne), p. 68
  22. Noralee Frankel (2009) Stripping Gypsy: La vie de Gypsy Rose Lee, New York: Oxford University Press, p. 62, 68, 121-2, 147, 154–66, 195–6.
  23. Zemeckis, Leslie (2013). Behind The Burly Q Check, Delaware, US: Skyhorse Publishing; (ISBN 978-1-62087-691-6)
  24. Anonymous, « Lost Womyn's Space: Rose's Lesbian Boarding House », (consulté le )
  25. Jacobs, « Taking It All Off », Vanity Fair,
  26. Quinn, C., Mama Rose's Turn : The True Story of America's Most Notorious Stage Mother, University Press of Mississippi, , 311 p. (ISBN 978-1-61703-853-2, lire en ligne), pp. 152–64.
  27. « The Monday Interview with Karen Abbott »,
  28. Film et télévision, novembre 1952, page 33, Éditeurs idéaux
  29. Wilson, Scott. Resting Places: Les sites funéraires de plus de 14 000 personnes célèbres, ed 3ème: 2 (Kindle Locations 27219-27220). McFarland & Company, Inc., Éditeurs. Édition Kindle.
  30. (en) « A Guide to Rodgers & Hart's 'Zip' », Playbill, (consulté le )
  31. Amador, « The First Annual Gypsy Rose Lee Awards Have Arrived », The Seattle Star, (consulté le )
  32. TV.com, « What's My Line?: EPISODE #4 », TV.com (consulté le )
  33. Oakland Tribune, 4 novembre 1943

Lectures complémentaires

  • Erik Lee Preminger, Gypsy & Me : At Home and on the Road with Gypsy Rose Lee, Boston, Little, Brown, (ISBN 0-316-71776-2, OCLC 10877424) Réimprimé sous le titre My G-String Mother : At Home and Backstage with Gypsy Rose Lee, Berkeley, Calif., Frog, , 288 p. (ISBN 1-58394-096-0, OCLC 671810568, lire en ligne)
  • Noralee Frankel, Stripping Gypsy : The Life of Gypsy Rose Lee, Oxford; New York, Oxford University Press, (ISBN 978-0-19-536803-1 et 0-19-536803-7, OCLC 223876642, lire en ligne)
  • Karen Abbott, American Rose : A Nation Laid Bare : The Life and Times of Gypsy Rose Lee, New York, Random House, , 422 p. (ISBN 978-1-4000-6691-9 et 1-4000-6691-3, OCLC 608296594)
  • Robert Strom, Lady of Burlesque : The Career of Gypsy Rose Lee, Jefferson, NC, McFarland & Co., , 235 p. (ISBN 978-0-7864-3826-6 et 0-7864-3826-6, OCLC 601050289)

Liens externes

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