Gizia

Gizia est une commune française située dans le département du Jura en région Bourgogne-Franche-Comté.

Pour les articles homonymes, voir Gizia (rivière).

Gizia

Vue du village de Gizia

Blason
Administration
Pays France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Jura
Arrondissement Lons-le-Saunier
Intercommunalité Communauté de communes Porte du Jura
Maire
Mandat
Michel Nicod
2020-2026
Code postal 39190
Code commune 39255
Démographie
Population
municipale
235 hab. (2018 )
Densité 32 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 31′ 42″ nord, 5° 25′ 16″ est
Altitude Min. 220 m
Max. 633 m
Superficie 7,35 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Lons-le-Saunier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Amour
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Gizia
Géolocalisation sur la carte : Jura
Gizia
Géolocalisation sur la carte : France
Gizia
Géolocalisation sur la carte : France
Gizia

    Géographie

    La commune actuelle présente un territoire composite comprenant :

    Vue de la reculée de Gizia
    • La reculée, longue de km, ouverte à l'ouest sur la Bresse et fermée à l'est par une spectaculaire falaise (dénivelé de 220 m) dans laquelle se sont installés différents hameaux, chacun à proximité d'un moulin. D’amont en aval, on trouve Gizia proprement dit, le Petit-Gizia, les Pachots et les Bretonneaux. Elle présente la particularité d’être perpendiculaire à la direction générale du relief environnant, le faisceau de plis de Lons-le-Saunier, qui constitue le Revermont, et la Petite Montagne du Jura.

    Cette orientation Est-Ouest lui vaut d'avoir un versant exposé plein sud, l'autre plein nord et d’offrir ainsi des micro-climats particulièrement différenciés. Le versant exposé plein sud s'est avéré particulièrement favorable à la culture de la vigne et lui valait aux foires d'Orgelet (au XVIIIe siècle) une renommée comparable à celles de L'Étoile, d'Arbois ou de Château-Chalon.

    La vallée est parcourue par une rivière appelée la Gizia par les cartographes actuels, mais auparavant nommée la Salle ou Saale (voir la notice hydrologique). Elle est alimentée par la résurgence des eaux du synclinal de Lamarre, appelée la Doye de Gizia et située au pied de la roche. Un important réseau souterrain a fait l'objet d'explorations spéléologiques.

    • Le versant ouest du synclinal de Lamarre dont la faible pente lui a permis de constituer le terroir agricole du hameau du Chanelet.
    • Les versants Nord et Nord-Ouest de la Chalentine (636 m), partie du premier pli du Revermont
    • La colline de Chatel, promontoire en avant de la Chalentine, et de ce fait, dès l'Antiquité, position stratégique dominant la Bresse.
    Gizia : Fond de la Doye

    Communes limitrophes

    Cuisia
    Cousance N Rosay
    O    Gizia    E
    S
    Digna Chevreaux

    Urbanisme

    Typologie

    Gizia est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lons-le-Saunier, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 139 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[4],[5].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (54,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (55 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54,1 %), prairies (17,8 %), terres arables (14,9 %), zones agricoles hétérogènes (12,8 %), zones urbanisées (0,4 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].

    Histoire

    Le dictionnaire étymologique de Dauzat indique le nom d’homme germanique de Giso, accolé au suffixe –acum comme étant à l’origine de la forme ancienne du nom : Giziacum, ce qui suggère une origine contemporaine des migrations puis invasions qui accompagnèrent le délitement de l’empire romain. Aussi les habitants sont-ils des Giziaciens. La véritable origine de Gizia se trouve toutefois sur la colline de Chatel, d’abord Castrum gallo-romain, et peut être auparavant oppidum celte: autour de la vallée de Gizia, de la Chalentine au Sud, à la Côte d’Ageon au Nord, diverses traces de constructions laissent supposer une importante occupation humaine dès l’Âge du Fer. La colline surplombe en effet deux itinéraires clés du monde gaulois puis romain : la voie Rhône-Rhin, la voie Lutèce-Genêve. Tandis que la colline jumelle de Chevreau conservait une occupation militaire puis féodale Chatel vit s’ériger (IIIe siècle ?) une des premières églises de l’est de la Gaule, dédiée à saint Étienne comme ses sœurs de Coldres et de Besançon.

    « Si l’on en croyait la tradition, elle remonterait aux premiers siècles du christianisme. […] Elle aurait été détruite de fond en comble, en l’année 408, lors de l’irruption des Vandales dans les Gaules. […] Elle aurait été la seule dans ces premiers temps, entre la chaîne inférieure des montagnes du Jura et la Saône. L’usage aurait été d’allumer un grand feu, lorsqu’on célébrait à Châtel le saint sacrifice, pour servir de fanal aux populations de la plaine et les inviter à s’unir d’intention aux prières du prêtre. […] Enfin, la tradition prétend aussi que cette même église de Châtel a été fondée ou plutôt reconstruite en l’année 810. » (Bernard Gaspard in "Histoire de Gigny et de sa noble et royale abbaye", 1843, citée par Fabien Michel).

    C’est sur ce territoire que se produisit en 302 un évènement qui changea le cours de l’histoire : l’apparition de la Croix du Christ à Constantin, préliminaire à sa conversion, en un lieu qui s’appelle maintenant, très logiquement, Sainte-Croix-en-Bresse.

    Le morcellement féodal du royaume de Bourgogne place Gizia dans les possessions de descendants des rois de Bourgogne : les Coligny, puis les comtes de Damas, seigneurs de Chevreau. Une donation faite par Manassès III de Coligny en 974 permet à Chatel de devenir un prieuré bénédictin lié à Gigny, une des fondatrices, avec Baume, de Cluny. Gizia subit les tragédies qui marquent la fin du Moyen Âge : l’épidémie de peste de 1349, les dévastations des grandes compagnies. Comme tout le sud de la Franche-Comté actuelle, Gizia se trouve alors dans le diocèse de Lyon, donc peu tournée vers la Franche-Comté, formée sur le territoire du diocèse de Besançon. Les différentes dynasties de comtes de Bourgogne parviennent à établir leur ordre dans la région face à l’anarchie féodale facilité par le morcellement du relief. De ce fait, Gizia se trouve pleinement impliqué dans les conflits répétés entre la France et l’ensemble austro-espagnol. Cette situation lui vaut destruction et dépeuplement lors de l’intervention française de 1636-1638, puis, dit-on, d’être le théâtre d’un des ultimes combats de Lacuzon pour l’indépendance comtoise, en 1674, près du site de l’oratoire, à la limite de Digna et Gizia.

    GIZIA-DIGNA Oratoire

    Sur le terrain ou sur la carte de Cassini (18e s.) on trouve les traces de propriétés viticoles des seigneuries et abbayes voisine : pressoir de Cressia, pressoir de Rosay et surtout grange de l’abbaye du Miroir, sur la butte de Monferrand, qui sert malheureusement de carrière de pierre au début du 20e S. Toutefois, des fouilles exécutées par la DRAC, ont débuté en 2007 sous la direction de Nathalie Bonvalot, avec le soutien du propriétaire des lieux, Alain Monnet, permettant de préciser les dimensions du cellier.

    GIZIA Pressoir dit de de Cressia
    GIZIA Ancienne grange de Monferrand

    Gizia présente la particularité d'avoir reçu, dans la seconde moitié du XIVe siècle, une charte de franchise de la part de Guido de Vienne, seigneur de Chevreau. On ne la connait que par une copie incomplète.

    On sait qu'au XVIIIe siècle, la Communauté de Gizia est administrée par deux échevins assistés de deux commis, élus chaque année par des représentants des familles, à charge pour eux d'entretenir les chemins, de gérer les bien fonciers de la communauté: pâturages, bois et de recourir à des hommes de loi lors de litiges entre la communauté et d'autres communautés ou personnes.

    Un mémoire conservé aux Archives Départementales du Jura nous en donne les noms sur 19 années.

    Année Echevin Echevin Commis Commis
    1757 Jean Pommier Pierre Antoine Lamy Bernard Pachoz Claude Brazier
    1758 Claude Gauthier Benoist Rayderet François Nicolet Pierre Clerc
    1759 François Féaut Benoist Nicolet Claude Jacottin Juste Flamier
    1760 Joseph Féaut fils de Bernard Benoist Brazier Pierre Ponard Pierre Brazier
    1761 Jacques Barthet Claude Landroz Jacques Daniel Jean Pommier
    1762 Claude Clerc Jacques Féaut Claude Guay Claude Guyard
    1763 Pierre Nicolet Joseph Féaut fils de Benoist Henry Nicolet Jean-Baptiste Gautheron
    1764 Pierre Ponard Pierre Brazier Joachim Perron Jacques Gautheron
    1765 François Bonot Claude Jorré Benoist Clerc Louïs Nicolet
    1766 Claude Pachoz fils de Bernard Claude Brazier Pierre Féaut Bernard Bonot
    1767 Claude Jacottin Jean Pommier l'Aîné Claude Jorré François Bonot
    1768 Pierre Clerc Jean-Baptiste Viret François Féaut Joseph Proby
    1769 Juste Flamier Pierre Romand Jean Pommier le jeune Claude Gauthier
    1770 Philibert Brunet Claude Gay Jacques Féaut Benoist Rayderet
    1771 Claude Guyard Jacques Daniel Claude Clerc Claude Féaut
    1772 Henry Nicolet Jean-Baptiste Gautheron Joseph Féaut fils de Bernard Benoist Brazier
    1773 Jacques Gautheron Joachim Perron Benoist Nicolet Claude Landroz
    1774 Benoist Clerc Louïs Nicolet Pierre Nicolet Joseph Féaut
    1775 Pierre Féaut Bernard Bonot Pierre Romand Henry Beynier

    La Révolution fragmente la terre de Chevreau en de nombreuses communes, dont La Chanelet, les Bretonneaux et Gizia, regroupées ensuite sous le nom de Gizia. La période de la Restauration voit la construction de la jolie église néoclassique de Gizia, qui reçoit une partie du mobilier liturgique de Chatel. Châtel se réduit à un hameau. En mauvais état la vieille église est restaurée grâce à un don d’Adrien de Thoisy en 1838. Surtout, en 1850, la congrégation des sœurs de la Présentation de Marie, fondée en 1829 par l’abbé Perrey, à Arinthod, transfère sa maison mère à Chatel et construit le couvent actuel[8]. Cette congrégation se consacre à des œuvres d’enseignement et de soins. À noter qu’une grande partie du contenu du présent article provient d’une brochure qu’elles ont éditée. C’est également au cours du XIXe siècle que le château de Gizia, acquis par la famille de Thoisy prend son aspect actuel.

    Le morcellement extrême de la propriété paysanne rend de plus en plus difficile une véritable activité viticole et en particulier la lutte contre les maladies de la vigne : dès 1845, l’oïdium, dès 1863 le phylloxera, dès 1878 le mildiou. La fin du XIXe siècle et le début du XXe voient encore le maintien d’une population nombreuse mais peu prospère grâce à une polyculture de subsistance, comme en témoigne une fréquentation scolaire importante.
    L’absence des hommes valides pendant la Grande Guerre et la mort de onze d’entre eux précipitent le déclin agricole puis démographique de Gizia qui perd 60 % de sa population au cours du siècle dernier malgré l'arrivée de quelques nouvelles familles. Les friches et les bois remplacent les vignes, puis, à partir des années 1960, les champs et des prés trop en pente ou insuffisamment accessibles pour recevoir le matériel agricole actuel.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
      1996 Gérard Guillemin    
    1996 2008 Patrick Caniotti    
    2008 2014 René Cadot[9]    
    2014 En cours Michel Nicod SE Retraité

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[10]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[11].

    En 2018, la commune comptait 235 habitants[Note 3], en augmentation de 16,92 % par rapport à 2013 (Jura : −0,29 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    579717672643654608593558552
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    512533547463527537500470427
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    406372369366342290324317296
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    289287294274223221221221202
    2017 2018 - - - - - - -
    236235-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[12] puis Insee à partir de 2006[13].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La colline de Chatel

    Intérieur de l'église de Chatel
    Église de Chatel (1973)

    Le sommet de la colline porte la vieille église.

    Précédée du clocher-porche du XIXe siècle, elle comprend une nef en berceau brisé datant de la reconstruction de 1148 lancée par le prieur de Gigny, Pierre de Montboissier, le futur abbé de Cluny, Pierre le Vénérable, conduisant à un chœur couvert de 2 croisées d’ogive, la clé de la première porte la croix de Bourgogne. Le mur du fond du chœur montre, à l’extérieur, les traces d’une baie en ogive qui a été non seulement murée, mais dont les pierres de taille ont été retirées. Le visiteur prêtera attention :

    • sur la droite, au pied de l’escalier de la tribune, à une pierre portant un poisson en bas-relief, symbole chrétien antique. Ictus est l’acronyme grec de Jésus-Christ, Fils de Dieu Sauveur.
    • sur la droite, toujours, dans la niche du chœur, les reliquaires de sainte Félicité, saint Prudent, saint Claudius.
    • sur la gauche, à l’entrée du chœur, en hauteur, à la date de 1023 gravée sur le pilastre.

    Autour de l’église s’étend le cimetière communal, en terrasse soutenue par un mur à l’appareillage spectaculaire par la taille de ses blocs.

    Une Association pour la Sauvegarde de Saint-Étienne-de-Chatel (ASSEC) est maintenant constituée en vue de rassembler des moyens financiers et humains pour la restauration de l'édifice. Les démarches entriprises ont abouti à l'inscription à l'Inventaire des Monuments historiques par arrêté du

    En 2015, l'architecte Fabien Michel a réalisé une étude et un diagnostic détaillés faisant apparaître les points suivants:

    Église de Gizia

    L’église de Gizia

    Achevée en 1828, elle a remplacé celle de Chatel comme église paroissiale. L'intérieur, bien restauré par la commune avec la participation de bénévoles dans les années 1990, contient du mobilier liturgique provenant de Chatel : maître-autel du XVIIIe siècle, fonts baptismaux, dont la vasque est médiévale, tout comme les bénitiers du porche. De nombreux tableaux ont été offerts au XIXe siècle par des paroissiens.

    Le château.

    On peut apercevoir de l’extérieur cette construction, remaniée à l’époque romantique, et qui englobe des éléments antérieurs, de la fin du Moyen Âge au 18e.

    GIZIA Le Chateau

    Le belvédère de la Croix

    Accessible depuis le Chanelet ou Chatel, le belvédère de la Croix offre une vue d’ensemble de la vallée et permet d’entrevoir à l’est, le début de la Petite Montagne.

    GIZIA Vue du belvédère

    Un réseau dense de chemins agricoles et de sentiers de traverse permet aux promeneurs de découvrir la commune dans le détail.

    Galerie photos

    Héraldique

    Blason
    Tiercé en pairle renversé : au 1er de sinople à la fleur de saxifrage [Saxifraga giziana] au naturel, au 2e d'or au hibou grand-duc de gueules, au 3e d'azur à la truite d'argent[14].
    Détails
    Le 1er représente la fleur de Saxifraga giziana, espèce endémique protégée, sur un champ de sinople représentant l’agriculture. Le 2e évoque la présence du hibou grand-duc sur la commune. Enfin, la truite représente la rivière Gizia, prenant sa source dans la commune.

    Armoiries composées par Jean-François Binon et adoptées le .

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    8. En mai 2003, la congrégation des Sœurs de la Présentation de Marie a fusionné avec six autres pour former une nouvelle congrégation nommée « Les Sœurs de l'Alliance » (fusion avec les Sœurs de la Compassion de Villersexel, de l'Immaculée-Conception de Chambéry, de Notre-Dame-du-Fief de Cassel, de Notre-Dame-Auxiliatrice de Montpellier, de la Sainte-Enfance de Marie de Nancy et de Saint-Roch de Viviers).
    9. Préfecture du Jura, Liste des maires élus en 2008, consultée le 2 mai 2010
    10. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    11. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    12. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    13. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    14. « 39255 Gizia (Jura) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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