Gerbépal

Gerbépal ([ʒeʁbepal], en vosgien de la montagne [ʒɛʁbɛpo]) est une commune du Nord-Est de la France, dans le département des Vosges et le canton de Corcieux, en région Grand Est.

Gerbépal

Panorama en direction de Corcieux.

Blason
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Vosges
Arrondissement Saint-Dié-des-Vosges
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Saint-Dié-des-Vosges
Maire
Mandat
Bernard Thomas
2020-2026
Code postal 88430
Code commune 88198
Démographie
Gentilé Forfelets, Forfelaises
Population
municipale
595 hab. (2018 )
Densité 31 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 09′ 03″ nord, 6° 55′ 22″ est
Altitude 630 m
Min. 583 m
Max. 1 083 m
Superficie 19,18 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Gérardmer
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gérardmer
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Gerbépal
Géolocalisation sur la carte : Vosges
Gerbépal
Géolocalisation sur la carte : France
Gerbépal
Géolocalisation sur la carte : France
Gerbépal
Liens
Site web www.ville-gerbepal.fr

    Géographie

    Le village s'étend sur km le long du CD8, à 12 km de Gérardmer et 17 de Saint-Dié-des-Vosges, entre le col du Plafond (620 m) et le col de Martimpré (798 m). Son relief global est incliné vers le nord - nord-ouest, allant de 1 083 m à la Croix Hanzo à 583 m lorsque le Neuné, affluent de la Vologne, rejoint Corcieux.

    Les glaciers de calotte qui ont façonné les hautes vallées par leur masse et les basses vallées surtout par leurs volumineuses eaux de fonte saisonnières ont laissé quelques dépressions plus ou moins aplanies, parfois occupées par des tourbières et deux petits étangs au lieudit Martimpré.

    C'est une des 188 communes[1] du parc naturel régional des Ballons des Vosges.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Gerbépal est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gérardmer, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 13 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[5],[6].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (60,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (60,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (58,4 %), prairies (23,4 %), zones agricoles hétérogènes (12,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,3 %), terres arables (1,8 %), zones urbanisées (1,5 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Girbespath en 1152, Gerbepals en 1378, Gerbelpaul au XVIe siècle[9].

    Il s'agit d’un type de formation toponymique médiévale fréquente dans la région et dans le Nord de la France, composée d’un anthroponyme (le plus souvent d’origine germanique) + un appellatif toponymique roman ou germanique romanisé. Ainsi trouve-t-on dans la région Martimpré, Gérardmer, Habeaurupt, etc.

    Le premier élément Girbes-, Gerbe- s’analyse comme le nom d’homme germanique Gerbertus[10] qui a donné le prénom et le nom de famille Gerbert. La nature du second élément -path, -pals est plus complexe. Ernest Nègre suppose une cacographie pour -pach (T et C étant par ailleurs souvent confondu dans la documentation ancienne), variante de Bach « ruisseau » de *bakiz, par ailleurs très bien représenté dans la toponymie de la France du nord (cf. -bet, -baix, -bais, -bez, etc.)[11]. Le L final est dû à l'adjonction du suffixe diminutif germanique -le, variante de -lein cf. allemand Bächlein « ru, petit ruisseau », d'où *-pachle, francisé en -pasle > -pals > -pal.

    Même phénomène pour Rehaupal qui n'est attesté qu’au XIVe siècle sous la forme Raihaupaulz qui pourrait représenter un anthroponyme germanique en -bald pris absolument. Il est possible qu’une influence réciproque explique l'analogie des deux terminaisons -pal.

    Le gentilé de Forfelet est partagé par les habitants de Corcieux, les limites de communes ayant été très mouvantes au fil des siècles.

    Histoire

    Gerbépal dépendait anciennement des mairies de Corcieux et de Vichibure et faisait partie de la seigneurie de Martimprey. Il est parlé de la seigneurie de Gerbepaux dans un titre de 1663. Par une sentence du , l'official de Toul désunit Gerbépal de Corcieux, et l'érigea en titre de cure et de bénéfice perpétuel. D'après un ancien titre, l'église de Gerbépal existait déjà comme chapelle vers le milieu du XVIe siècle. C'est sur le territoire de cette commune qu'était situé le château de Martinpré qui appartenait à la famille du En En 1790, le territoire actuel était partagé entre les municipalités de Vichibure et de Martimpré. En 1792, le hameau de Vichibure fut inclus dans la commune de Corcieux et la commune de Gerbépal fut créée, englobant Martimpré[12].

    La commune était plus peuplée qu'aujourd'hui, dépassant le millier d'habitants au cours du XIXe siècle.

    La commune a été décorée, le , de la Croix de guerre 1939-1945[13].

    Le , une tornade de type EF2 a sévi sur la commune[14].

    Le fief de Martimprey

    Territoire de la prévôté de Bruyères dans le duché de Lorraine.
    Localisation de la commune de Gerbépal et de l'ancienne seigneurie de Martimprey.
    Ferme fortifiée, dit château de Romécourt, résidence de la branche de Martimprey de Romécourt.

    La seigneurie de Martimprey remonte au XVe siècle[15]. Le territoire de la seigneurie de Martimprey est situé dans une région de moyenne montagne très boisée. Il s’étend du col du Plafond (620 m) au nord au col de Martimpré (798 m) au sud, du col d’Osseux (829 m) à l’est au Mont Plaisir (725 m) à l’ouest. Son point culminant est la croix Hanzo à 1 086 m d’altitude. Les chaumes d’origine anthropique sont situées sur le flanc oriental du vallon resserré et elles servent de pâturages et d’estives pour les innombrables écarts et fermes acensées de la seigneurie : le Haut des Frêts (901 m), le pré Petit Jean (924 m) et les Grandes Gouttes (773 m).

    Gerbépal (636 m) est le chef-lieu communal dont dépendent de multiples hameaux et écarts. Parmi les hameaux, on compte celui de Martimpré décomposée en trois parties : Martimpré-la-Plaine, Martimpré-la-Basse et Martimpré-le-Haut. Le château, la fonderie, la chapelle seigneuriale et les dépendances des seigneurs de Martimprey se trouvaient à Martimpré-le-Haut juste en dessous du col. Le minerai de la fonderie située au sommet de la montagne qui sépare Gerbépal de Gérardmer était extrait en face au Haut des Frets et aux abords du lac de Longemer[16].

    La seigneurie est traversée par de nombreux petits cours d’eau qui alimentaient de nombreuses scieries, notamment pendant les hautes eaux. Le Narouël, le ruisseau de Lenvergoutte et le Ravrand sont des affluents de la Goutte qui se jette dans le Neuné. Topographiquement, la seigneurie est tournée vers Corcieux et Bruyères par la vallée du Neuné. En descendant les cols , l’accès se fait vers Saint-Dié-des-Vosges via la vallée de la Meurthe ou vers Xonrupt-Longemer en rejoignant le Saut des Cuves de la Vologne. La seigneurie se situait dans la prévôté, puis le bailliage de Bruyères.

    Au spirituel, Gerbépal dépendait de la cure de Corcieux et de la Principauté ecclésiastique de l'insigne église collégiale de Saint-Pierre[17]. Par la suite, Gerbépal reçut l’autorisation de se désunir de la cure de Corcieux le [18], mais le chapitre des chanoinesses de Remiremont conserva son droit de collation à la cure de Gerbépal[17]. Les cures de Corcieux et Gerbépal dépendaient de l’évêché de Toul [18] qui relevait de l’archevêque métropolitain de Trèves, aujourd’hui en Allemagne.

    Le hameau de Martimpré caractérisé par une forte dispersion en trois écarts distincts, dont celui où fut érigé le château seigneurial, appartient aujourd’hui encore à la commune de Gerbépal dont le blason communal a repris les armes des Martimprey en l'accompagnant en chef d’une gerbe de blé d’or.

    Les seigneurs de Martimprey possédaient également en tant que coseigneurs le village de Cornimont et son annexe Xoulces, quelques fermes et granges dans la commune de Gérardmer et la moitié du lac de Retournemer[17]. Initialement, les localités lorraines actuelles du Val d'Ajol, de Cornimont et de Xoulces appartenaient à la seigneurie de Fougerolles dans la baronnie de Faucogney et donc au comté de Bourgogne. Elles sont des terres de surséance entre la Lorraine et la Bourgogne[19],[20]. Les Martimprey en sont devenus copropriétaires. Au Xe siècle, Cornimont appartenait en effet à Hugues de Faucogney, fils cadet du vicomte de Vesoul, Gislebert de Faucogney, relevant de la seigneurie de Fougerolles. Puis elle passa à la maison d’Inteville, qui en partageait la propriété avec les seigneurs de Fontaine et Fougerolles jusqu’en 1580. Après cette date, Xoulces et Cornimont tombèrent sous la vassalité des seigneurs de Martimprey pour la part que possédait le seigneur d’Inteville. En 1792, la localité appartenait encore à la princesse Lislebonne, descendante de Martimprey, qui payait encore redevance aux seigneurs de Fontaine, Fougerolles et de Château-Lambert[21].

    Le château fut détruit pendant la guerre de Trente Ans en 1635[17] par les troupes protestantes, dites suédoises, alliées du royaume de France contre les troupes impériales catholiques. Un nouveau château fut reconstruit après la fin des conflits ; il subsiste jusqu’en 1835. Il change de propriétaire en l’an II[17].

    La chapelle Sainte-Anne de Martimpré fut construite en 1606 aux abords du château. Le , l'évêché de tutelle autorise les baptêmes dans la chapelle Sainte-Anne; auparavant, les cérémonies de baptême, mariage et d'enterrement avaient lieu quelques kilomètres plus bas en l'église paroissiale de Gerbépal[22]. Elle existe encore aujourd’hui et elle dépend de la paroisse Notre-Dame-de-Corcieux [23] ; un pèlerinage s'y tient chaque année fin juillet[24].

    Politique et administration

    Budget et fiscalité 2015

    En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi[25] :

    • total des produits de fonctionnement : 435 000 , soit 742  par habitant ;
    • total des charges de fonctionnement : 331 000 , soit 564  par habitant ;
    • total des ressources d’investissement : 187 000 , soit 318  par habitant ;
    • total des emplois d’investissement : 194 000 , soit 330  par habitant ;
    • endettement : 275 000 , soit 470  par habitant.

    Avec les taux de fiscalité suivants :

    • taxe d’habitation : 20,32 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés bâties : 13,36 % ;
    • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 23,00 % ;
    • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 38,75 % ;
    • cotisation foncière des entreprises : 19,10 %.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1953 1967 André Gros    
    1967 1977 Pierre Thomas    
    1977 1983 Pierre Hestin    
    1983 1989 Bernard Bertrand    
    mars 1989 2004 Philippe Simonet (1925-2007)   Ancien proviseur
    Démissionnaire pour raisons de santé
    2004 En cours
    (au 18 février 2015)
    Bernard Thomas   Responsable d'atelier

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[27].

    En 2018, la commune comptait 595 habitants[Note 3], en augmentation de 3,3 % par rapport à 2013 (Vosges : −2,43 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1856
    8187559471 1191 3541 3701 4151 3771 361
    1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
    1 3891 4201 4341 3701 3031 1941 0681 006963
    1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
    910814718695651547547467449
    1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2018 -
    380436483503537567586595-
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Un circuit de karting y est installé (Manacha Kart[30]).

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Chapelle Sainte-Anne à Martimpré, construite en 1606[31], inscrite au titre des Monuments historiques par arrêté du [32].
    • Église Saint-Jean-Baptiste, fin XVIIe, remaniée.
    • Chapelle Saint-Marc.
    • La Croix de Bémont[33].
    • Monuments commémoratifs[34],[35]. Il est décoré avec la statue du Poilu victorieux, un des motifs les plus répandus.
    • Patrimoine rural. Le patrimoine rural de la commune a fait l’objet d’une enquête thématique régionale (architecture rurale des Hautes-Vosges) par le service régional de l’inventaire[36],[37].
    • Scieries hydrauliques à cadre[38].

    Gerbépal dans les arts

    Gerbépal est citée dans le poème d’Aragon, Le conscrit des cent villages, écrit comme acte de Résistance intellectuelle de manière clandestine au printemps 1943, pendant la Seconde Guerre mondiale[39].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blasonnement :
    D’azur à la fasce d’or chargée de trois étoiles de gueules, accompagnée, en chef, d’une gerbe de blé aussi d’or.
    Commentaires : ce sont les armes de la famille de Martimprey, seigneur du lieu, auxquelles on a ajouté une gerbe de blé, armes parlantes, pour rappeler le nom de la commune.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Liste des 188 communes adhérentes au parc naturel régional des ballons des Vosges, 3e Charte 2012 - 2024
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Gérardmer », sur insee.fr (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    9. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France (lire en ligne)
    10. Ernest Nègre, Op. cit.
    11. Ibidem.
    12. Charles Charton, Le département des Vosges: statistique historique et administrative, Volume 2, Peiffer, 1845, pages 239-240.
    13. Communes décorées de la Croix de guerre 1939 - 1945
    14. « Tornade EF2 à Gerbépal (Vosges) le 13 mai 2015 », Keraunos
    15. Jack Chollet (préf. Jean-Paul Rothiot), Ces bons Messieurs de Martimprey : Les francs-maçons de Bruyères de 1768 à la Révolution, Haroué, Gérard louis, , 201 p. (ISBN 978-2-35763-127-4), « Nicolas Joseph de Martimprey, emblème de sa famille : « Le franc-maçon philosophe » », p. 40.
    16. Chollet 2018, p. 51.
    17. Léon Louis et Paul Chevreux, Département des Vosges : Dictionnaire des communes, hameaux, écarts, fermes, t. I, Res Universis, coll. « Monographies des villes et villages de France », (réimpr. 2004), 884 p. (ISBN 2-87760-644-9 et 978-2877606448), p. 317-319.
    18. Benoit de Toul, Pouillé ecclésiastique et civil du diocèse de Toul, L. et E. Rolin, , p. 163, réimprimé par Henri Lepage, Publication de la société d'archéologie lorraine, Nancy, WIENER AINE, FILS, coll. « recueil de documents sur l'histoire de Lorraine », .
    19. Charles Charton, Le département des Vosges : statistique historique et administrative, Peiffer, (lire en ligne), p. 524.
    20. C. Huguenin, « Annales de la Société d'émulation du département des Vosges », Annales de SEDV, Société d'émulation du département des Vosges, vol. 34-35, , p. 70.
    21. Fédération des sociétés d'histoire et d'archéologie d'Alsace, Revue d’Alsace, vol. 23, (lire en ligne), p. 268.
    22. Chollet 2018, p. 39-58.
    23. « Chapelle Sainte Anne de Martimpré », sur Diocèse de Saint-Dié, .
    24. Vosges Matin, « Gerbépal Pèlerinage : Les fidèles honorent Sainte-Anne à Martimpré », Vosges Matin, .
    25. Les comptes de la commune « Copie archivée » (version du 19 avril 2019 sur l'Internet Archive).
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    30. « Karting au Manacha Kart à Gerbépal, Vosges. », sur Manacha Kart, parc de loisirs à Gerbépal (consulté le ).
    31. Chapelle Saint-Anne-de-Martimpré
    32. « Chapelle Sainte-Anne de Martimpré », notice no PA00107329, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    33. la Croix de Bémont
    34. Monument aux morts
    35. Monuments commémoratifs : Monument aux Morts 1914-1918, Monument aux Morts 1939-1945, Stèle ou plaque, église - Plaque commémorative 1914-1918
    36. « Ferme du 18e s. ? », notice no IA88000058, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    37. « Maison ; Ferme », notice no IA88000057, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. Les scieries hydrauliques à cadre du canton de Corcieux
    39. Louis Aragon, « Le Conscrit des cent villages », publié initialement dans La Diane française, consulté dans Pierre Seghers, La Résistance et ses poètes : France, 1940-1945, Paris : Seghers, 2004 (2e édition). (ISBN 2-232-12242-5), p. 373-375
    40. « Biographie de Eugène Barthélémy Joseph Morel, Semaine religieuse du diocèse de Saint-Dié », sur le site personnel de Bernard Visse (consulté le ).
    41. Gerbépal, la Croix de Bémont
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