Gentilés de Syrie

Cet article est destiné à rassembler l’ensemble des gentilés de la Syrie.

Syrie (la) : Syrien, Syrienne ; adjectif correspondant : syriens, syrienne ; adjectif en composition : syro-

  • Des historiographes utilisent l’expression Pax Syriana

Villes :

  • Damas : Damascène, Damascènes, Damascène, Damascènes (invariant au féminin)
  • Alep : Alépin, Alépins, Alépine, Alépines[1],[2] ; Alepin, Alepins, Alepine, Alepines[3] ; Aleppin, Aleppins, Aleppine, Aleppines
  • Apamée (Antiquité)
  • Ebla (Antiquité) : glottonyme : éblaïte
  • Hama : Hamien, Hamiens, Hamienne, Hamiennes ; Hamiote, Hamiotes, Hamiote, Hamiotes[4] (invariant au féminin)
    • Épiphanie (Antiquité)
  • Homs : Homsien, Homsiens, Homsienne, Homsiennes ; Homsi, Homsis, Homsie, Homsies[5] ; Homsiote, Homsiotes, Homsiote, Homsiotes[6] (invariant au féminin)
    • Émèse (Antiquité) : Émésien, Émésiens, Émésienne, Émésiennes
  • Kobané
  • Kuneitra
  • Lattaquié : Lattaquois, Lattaquois, Lattaquoise, Lattaquoises ; Lattaquiote, Lattaquiotes, Lattaquiote, Lattaquiote (invariant au féminin)[7]
  • Maaloula
  • Mari (Syrie) (Antiquité) : adjectif correspondant : mariote, mariotes, mariote, mariotes (invariant au féminin)
  • Ougarit (Antiquité) : glottonyme : ougaritique
  • Palmyre (Antiquité) : Palmyrénien, Palmyréniens, Palmyrénienne, Palmyréniennes
  • Tartous : Tortosan, Tortosans, Tortosane, Tortosanes
  • Yarmouk : Yarmoukien, Yarmoukiens, Yarmoukienne, Yarmoukiennes

Références

  1. Le Petit Larousse 2016, 2015 (ISBN 978-2-03-590125-5) 2044 pages, 24 cm, 29,90 € : Alépin cité sub verbo « Alep ».
  2. Pierre Larousse, Grand Dictionnaire universel du XIXe siècle, tome 1 (lettre A), 1860, page 190, colonne 1, entrée « ALÉPIN ». Page 190 procurée en ligne par Gallica : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k50723k/f191.image .
  3. Claude Augé, Petit Larousse illustré 1905, réédition en fac-similé vers 2004 (ISBN 2-03-530849-6) : Alepin cité sub verbo « Alep ».
  4. « Le tell étant partout entouré de maisons et des splendides jardins de l’Oronte, orgueil des Hamiotes, il était nécessaire de transporter les déblais des fouilles à dos d’âne à travers la ville jusqu’aux emplacements désignés pour la décharge. » Revue archéologique de juillet 1934, rubrique « Nouvelles et Correspondance » : Claude F.-A. Schaeffer, « Les Fouilles de Hama », page 185. Gallica fournit un facsimilé de la page en ligne : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k415612c/f218.image.r=Hamiotes .
  5. Le Monde n° 20875 daté du vendredi 2 mars 2012 (support papier), page 3 : Benjamin Barthe, « Comment la tranquille ville mosaïque est devenue la place forte des révolutionnaires », colonne 1 : « les Homsis » et colonne 3 : « les enfants de la bonne société homsie ».
  6. « « C’est la roulette russe, dit Hani, un autre Homsiote, taillé comme une armoire à glace, qui était professeur de musculation. Tu évites le premier check-point, le deuxième, et tu te fais arrêter au troisième. Je ne supportais plus cette angoisse. » » in Benjamin Barthe, « Tripoli, porte de l’exil pour les Syriens qui refusent de servir Assad » in le Monde sur papier daté du mercredi 4 novembre 2015, page 4, colonne 3. En ligne : https://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2015/11/03/tripoli-porte-de-l-exil-pour-les-syriens-qui-refusent-de-servir-assad_4802238_3218.html ; existence du lien vérifiée le 5 novembre 2015 ; accès payant.
  7. Voir l’entrée « Lattaquiote » dans le dictionnaire en ligne Wiktionnaire : wikt:fr:Lattaquiote.

Liens externes

Voir aussi

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