Gasville-Oisème

Gasville-Oisème [ɡavil wazɛm] est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Gasville-Oisème

La Roguenette sous le viaduc d'Oisème.

Blason
Administration
Pays France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Chartres
Intercommunalité Communauté d'agglomération Chartres Métropole
Maire
Mandat
Romain Rouault
2020-2026
Code postal 28300
Code commune 28173
Démographie
Population
municipale
1 487 hab. (2018 )
Densité 164 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 28′ 10″ nord, 1° 32′ 14″ est
Altitude Min. 117 m
Max. 151 m
Superficie 9,09 km2
Type Commune urbaine
Aire d'attraction Chartres
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chartres-1
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Gasville-Oisème
Géolocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
Gasville-Oisème
Géolocalisation sur la carte : France
Gasville-Oisème
Géolocalisation sur la carte : France
Gasville-Oisème
Liens
Site web https://www.gasville-oiseme.fr/

    Géographie

    Situation

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 640 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chartres », sur la commune de Champhol, mise en service en 1923[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[9] à 11 °C pour 1981-2010[10], puis à 11,4 °C pour 1991-2020[11].

    Urbanisme

    Typologie

    Gasville-Oisème est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[12],[13],[14].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chartres, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 117 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[15],[16].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (67,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (65,2 %), forêts (24,2 %), zones urbanisées (10,6 %)[17].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[18].

    Toponymie

    Gasville est attesté sous les formes : Gaesvilla, 1170[19] ; Gasvilla, 1208[20]  ; Gaiavilla, 1209[21] ; Unum modium avene in tensamento Gaesville, [22] ; Gaevilla, 1224[23] ; Item apud Gaesvillam, vers 1272[24] ; Gayvilla, 1282[25] ; Gaeville, 1283[26] ; Gaiville, 1293[27] ; Gayville, 1358[28] ; Goyville, [29] ; Gayville lès Chartres, [30] ; Gasville, vieux chemin de Chartres à Paris, 1740[31] ; Gâville, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Terre en la paroisse de Gâville, [32] ; Terre en la paroisse de Gasville, [33]  ; Gasville, 1808 (Cadastre).

    Oisème est mentionné sous les formes : Oysesma, 1133[34] ; Oysesmus, vers 1140[35] ; Osemia, 1148[36] ; Oiselma, 1203 ; Osemium, 1261[37] ; Oysème, [38] ; Terram in territorio de Oyseme, inter dictum Oyseme et Gaivillam, 1476[39] ; Oizème, [40] ; Oysesme, 1539[41] ; Oisème, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Oisème, 1808 (Cadastre) ; Oisème, 1956 (Cadastre).

    Le nom est issu du gaulois uxama = hauteur. Proparoxyton attesté dans les documents de l’antiquité. Serait le superlatif en -ama de uxs, uxisama c'est-à-dire « très haute ».

    Ce lieudit se situe dans le vallon du ruisseau d’Oisème ou de Sours, affluent de la rivière de l’Eure, en contrebas du plateau, au pied de la hauteur qui lui donne son nom et sur laquelle le village primitif devait s’élever ; cette localité dut se déplacer, peut-être dès l’époque gallo-romaine, et devait occuper primitivement et sous l’occupation gauloise, l’un des éperons qui commandent la vallée, comme à Saint-Patrice, Indre-et-Loire. Ce lieudit donna son nouveau à la commune, car il portait l’école communale et la mairie.

    La fusion Gasville-Oisème est officialisée par le décret du [réf. nécessaire].

    Histoire

    En 1740, le village doit faire face à plusieurs attaques de loups, trois habitants sont tués. Le 26 janvier 1740, André Le Loup, laboureur à Gasville, prend la tête d'une délégation pour rencontrer le maire de Chartres et lui demander son aide[42].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
     ? Septembre 1941 Marcel Cintrat   Maire de Gasville
    révoqué par le Gouvernement de Vichy[43]
    Mars 1983 Mars 2008 François Catel[44] Rad.[45] Scael
    Conseiller général du canton de Chartres-Nord-Est (1992-1998)
    Mars 2008 Juillet 2020 William Belhomme UMP-LR[46] Agriculteur retraité
    Juillet 2020 En cours Romain Rouault    

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[48].

    En 2018, la commune comptait 1 487 habitants[Note 6], en augmentation de 10,97 % par rapport à 2013 (Eure-et-Loir : −0,22 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    798904892895871900881865889
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    865888867814805779774741682
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    683602618520575536505509548
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    5116068348751 0221 1361 1761 1801 326
    2017 2018 - - - - - - -
    1 4481 487-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[49] puis Insee à partir de 2006[50].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    École primaire Gasville-Oisème.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Personnalités liées à la commune

    • Jean-Dominique Cassini (1748-1845), astronome, propriétaire de la Folie à Oisème (sans rapport avec le domaine de la Folie). Acquise le de Jacques Vincent Thorin, écuyer, seigneur de Brazais, mousquetaire de la garde du Roy[51], il la revendit le à Louise Mélanie Beaulieu, veuve de Charles Gabriel Lécureau de Massalain[52].
    • François-André Isambert (1792-1857), jurisconsulte, avocat, conseiller à la Cour de cassation, directeur du Bulletin des Lois, député d'Eure-et-Loir et de la Vendée, membre du conseil général d'Eure-et-Loir, représentant de l'Eure-et-Loir à l'Assemblée constituante de 1848, corédacteur du décret-loi instituant le suffrage universel en France, fondateur de la Société Française pour l'Abolition de l'Esclavage (1834), co-fondateur et vice-président de la Société de Géographie, dont le père était propriétaire du domaine de « La Folie » également appelé « La Folie-Bouvet » à Oisème, acquis en 1803, ayant appartenu auparavant pendant plusieurs générations à la famille Bouvet de Bronville. Ce domaine n'existe plus.
    • Gustave Braccini (1805-1876), militaire de carrière, maire de Gasville. En 1852, il possède plus de 80 esclaves qu'il revend la même année[53].
    • Camille Marcille (1816-1875), artiste peintre, collectionneur d'œuvres d'art et conservateur de musée français. Résida au château du Goulet à Oisème.
    • Eugène Boudin (1824-1898), peintre, qui, reçu par le collectionneur d'art Camille Marcille, a peint trois paysages représentant Oisème.
    • Jules de Goncourt (1830-1870) y effectua de nombreux séjours, relatés dans le Journal des frères Goncourt, chez le collectionneur d'art Camille Marcille.
    • Alexandre Torcheux, aveugle qui construisit et exploita seul un moulin à Oisème, appelé le « Moulin de l'Aveugle » vers 1850-60[54].
    • Louis Ombrédanne (1871-1956), un des fondateurs de la chirurgie pédiatrique et inventeur de nombreuses techniques opératoires ainsi que du masque d'anesthésie qui porte son nom, résida à Oisème[55]. Il repose dans le caveau familial du cimetière de Gasville[56].
    • Robert Alphonse Collard dit Lortac (1884-1973), écrivain, illustrateur, portraitiste, critique d'art, scénariste français, considéré comme pionnier du dessin animé, en particulier publicitaire. Entre autres, scénariste prolifique pour Les Pieds Nickelés de René Pellos et Bibi Fricotin de Pierre Lacroix (pour les illustrés Jeunesse joyeuse). Résida à Oisème de 1921 à 1925[55].
    • Victor Denain (1880-1952), général et homme politique français, entre autres à l'origine de la création de l'École de l'air de Salon-de-Provence, ainsi que de l'essor de l'aéronautique militaire. Résida à Oisème de 1930 à 1933[55].
    • Chaïm Soutine (1893-1943) a peint trois tableaux à Oisème : Jeune fille avec un chien maison et contrefort vers 1930 et La maison à Oisème en 1934, dont il fera deux versions.

    Héraldique

    Blason
    D'or au lion à la queue fourchue et passée en sautoir d'azur, armé d'argent et lampassé de gueules.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station météofrance Chartres - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Gasville-Oisème et Champhol », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    10. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    13. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    18. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    19. Bibliothèque nationale de France.-Ms Latin 9223 Cartulaire de Notre-Dame de Josaphat)
    20. B.N.- Ms Latin 11.063, Cartulaire Saint-Jean-en-Vallée de Chartres
    21. Archives départementales d'Eure-et-Loir-G, chapitre Notre-Dame de Chartres)
    22. Obituaires de Sens, t. 2, p.87)
    23. A.D. 28-G, chapitre Notre-Dame de Chartres
    24. Pouillé de Sens, p.107)
    25. Archives Départementales d'Eure-et-Loir -G, chapitre Notre-Dame de Chartres
    26. Archives Départementales d'Eure-et-Loir- G, chapitre Notre-Dame de Chartres
    27. Archives Départementales d'Eure-et-Loir -H, Abbaye Saint-Chéron
    28. Archives Départementales d'Eure-et-Loir -G 907
    29. Archives Nationales-JJ 113, no 114, fol. 49
    30. Archives Nationales.-JJ 121, no 33, fol. 19
    31. Bibliothèque Municipale d’Orléans, Manuscrit 995, fol. 84
    32. A.D. 28-1 Q 3, P.V. 68 no 532. Biens Nationaux)
    33. A.D. 28-1 Q 3, P.V. 68 no 533. Biens Nationaux)
    34. Cartulaire de Thiron, t. 1)
    35. Cartulaire de Thiron, t. 1
    36. Cartulaire du Grand-Beaulieu
    37. Cartulaire de Thiron, t. 2
    38. Archives Nationales-JJ 90, no 126, fol. 69 v°
    39. Archives Départementales d'Eure-et-Loir -H 2897
    40. Archives Nationales-JJ 226B, no 281, fol. 56
    41. Étude de la chambre épiscopale de Chartres
    42. Jean-Charles Leloup, Histoires de la Beauce et de l'Eure-et-Loir, de 1739 à 1905, pages 9-13, Publication indépendante, 2020
    43. « Journal officiel de la République française. Lois et décrets », sur Gallica, (consulté le ).
    44. Sébastien Couratin, « Nécrologie François Catel, ancien maire de Gasville-Oisème (1983-2008) est décédé », sur https://www.lechorepublicain.fr, .
    45. « Fédération d'Eure-et-Loir du Parti Radical, voir chapitre IV : histoire du parti radical en Eure-et-Loir », sur http://partiradical28.blogspot.com (consulté le ).
    46. « Résultats municipales 2020 à Gasville-Oisème », sur lemonde.fr (consulté le ).
    47. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    48. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    49. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    50. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    51. Acte d'acquisition reçu par Maître Crochart, substituant Maître Jean-Tite-Eloi Bouvet, notaire à Chartres, le 10 juin 1789. Archives départementales d'Eure-et-Loir, cote 2 E 51 683.
    52. Acte reçu par Maître Jean-Tite-Eloi Bouvet, notaire à Chartres, le 21 brumaire an V, cote Archives départementales d'Eure-et-Loir, cote 2 E 51 697.
    53. Jean-Charles Leloup, Histoires de la Beauce et de l'Eure-et-Loir, de 1739 à 1905, pages 215-220, Publication indépendante, 2020
    54. Procès-verbal de la Société archéologique d'Eure-et-Loir, tome I, séance du 1er mars 1860, pages 219 à 222, texte de M. de Boisvillette.
    55. Acte de vente reçu par Me J. Maintrieux, Notaire à Chartres d'une propriété vendue par M. le Gal Denain à Mlle Beuriot. Enregistré à Chartres (AC) Volume 1101 B, folio 31, n°259.
    56. Nécrologie de Louis Ombredanne par Marcel Fèvre. La Presse Médicale, 16 janvier 1957-65-n°5.
    • Portail d’Eure-et-Loir
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.