Générargues
Générargues est une commune française située dans le département du Gard, en région Occitanie.
Générargues | |||||
![]() Bambouseraie - Village laotien. | |||||
![]() Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | ![]() |
||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Gard | ||||
Arrondissement | Alès | ||||
Intercommunalité | Alès Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Thierry Jacot 2020-2026 |
||||
Code postal | 30140 | ||||
Code commune | 30129 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Générargais | ||||
Population municipale |
694 hab. (2018 ![]() |
||||
Densité | 68 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 04′ 58″ nord, 3° 59′ 03″ est | ||||
Altitude | Min. 128 m Max. 420 m |
||||
Superficie | 10,24 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Alès (banlieue) |
||||
Aire d'attraction | Alès (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Alès-1 | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Gard
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
| |||||
Géographie
Localisation
Générargues est localisée dans les Cévennes, à 4 km au nord-ouest d'Anduze. Le village est situé dans la vallée de l'Amous, en amont de sa confluence avec le Gardon d'Anduze, à quelque 200 m d'altitude.
Communes limitrophes
Hydrographie

le Gardon d'Anduze à sa jonction avec
le Gardon de Mialet et le Gardon de Saint-Jean.
Le système hydrographique de Générargues se compose pour l'essentiel de la rivière du Gardon et de deux ruisseaux principaux :
- ruisseau des Gypières, long de 5,7 km[1] et qui traverse également les communes de Anduze, Bagard, Boisset-et-Gaujac, Saint-Jean-du-Pin et Saint-Sébastien-d'Aigrefeuille.
Géologie et relief
La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[4].
Climat
|
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[6].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[7]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[5].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1949 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 0,3 | 0,5 | 3,2 | 5,9 | 9,5 | 12,9 | 15,4 | 15,3 | 11,9 | 9,1 | 4,1 | 1,1 | 7,5 |
Température moyenne (°C) | 5,3 | 6,1 | 9,4 | 12,1 | 16,2 | 20,1 | 23,1 | 22,8 | 18,6 | 14,3 | 9,1 | 5,9 | 13,6 |
Température maximale moyenne (°C) | 10,3 | 11,8 | 15,6 | 18,4 | 22,8 | 27,3 | 30,7 | 30,3 | 25,2 | 19,5 | 14,1 | 10,6 | 19,8 |
Record de froid (°C) date du record |
−14 11.01.1985 |
−17 04.02.1963 |
−10,4 02.03.05 |
−4 08.04.1956 |
−1 06.05.1979 |
3 10.06.1956 |
7 01.07.1991 |
7 30.08.1986 |
1 21.09.1977 |
−3 31.10.1997 |
−9,5 30.11.1978 |
−13 27.12.1962 |
−17 1963 |
Record de chaleur (°C) date du record |
21,6 30.01.13 |
24,5 24.02.20 |
28,3 31.03.12 |
30,5 14.04.15 |
37 26.05.1953 |
43,3 28.06.19 |
41 06.07.1982 |
42,1 12.08.03 |
37,2 04.09.16 |
32,9 04.10.11 |
26 03.11.1970 |
21 12.12.1961 |
43,3 2019 |
Ensoleillement (h) | 142,9 | 168,1 | 220,9 | 227 | 263,9 | 312,4 | 339,7 | 298 | 241,5 | 168,6 | 148,8 | 136,5 | 2 668,2 |
Précipitations (mm) | 95,7 | 76,5 | 68 | 95 | 101,3 | 54,6 | 39,5 | 55,4 | 145,1 | 182,5 | 136,6 | 126,2 | 1 176,4 |
Urbanisme
Typologie
Générargues est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[10],[11],[12]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Alès, une agglomération intra-départementale regroupant 22 communes[13] et 95 704 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[14],[15].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Alès, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 64 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16],[17].
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (79 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (77 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (24,8 %), zones urbanisées (9,3 %), zones agricoles hétérogènes (7 %), prairies (4,7 %)[18].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Logement
En 2013, le nombre total de logements dans la commune était de 454.
Parmi ces logements, 72,5 % étaient des résidences principales, 22,2 % des résidences secondaires et 5,3 % des logements vacants.
La part des ménages propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 64,4 %[19].
Toponymie
Occitan Generargues, du bas latin Genayranicæ, Gereyranicæ, Generanicæ[20].
Ses habitants sont appelés les Générargais.
Histoire
Moyen Âge
L'Église est mentionnée en 1276, Ecclesia de Generanicis dans le cartulaire du chapitre de Notre-Dame de Bonheur et la paroisse en 1345 dans le cartulaire de la seigneurie d'Alais[21].
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[23].
En 2018, la commune comptait 694 habitants[Note 4], en diminution de 1,84 % par rapport à 2013 (Gard : +1,67 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Économie
Revenus de la population et fiscalité
Le nombre de ménages fiscaux en 2013 était de 312 et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 18 366 €.
Emploi
En 2013, le nombre total d’emploi au lieu de travail était de 139. Entre 2008 et 2013, la variation de l'emploi total (taux annuel moyen ) a été de + 2,2 %. En 2013, le taux d’activité de la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 70,8 % contre un taux de chômage de 19,1 %[19].
Entreprises et commerces
En 2015, le nombre d’établissements actifs était de soixante sept dont six dans l’agriculture-sylviculture-pêche, deux dans l'industrie, neuf dans la construction, quarante-cinq dans le commerce-transports-services divers et cinq étaient relatifs au secteur administratif.
Cette même année, trois entreprises ont été créées dont deux par des Auto-entrepreneurs[19].
Culture locale et patrimoine
Domaine de la Bambouseraie de Prafrance

La Bambouseraie de Prafrance se situe dans le hameau de Prafrance, à 1 km du centre de Générargues. Elle est inscrite Monument historique depuis le [26].
Moulin à farine, filature et moulinerie de soie Savin, puis Garnier
Le moulin se situe sur la route d'Anduze, au lieu-dit La Roque, sur la berge de la rivière Amous. C'était un moulin à farine au début du XIXe siècle. En 1853, son propriétaire Paul Savin construisit une petite filature par-dessus. À partir de 1860, sa surface fut agrandie ; une moulinerie s'y établit en 1864. Celle-ci cessera toute activité vers 1880. Le moulin est repris à l'Inventaire général du patrimoine culturel de la Région Languedoc-Roussillon[27].
Moulin à blé, moulin à foulon, puis filature de déchets de soie du Roucan
Le moulin se situe au lieu-dit Le Roucan, au bord de la rivière Gardon de Mialet, affluent du Gardon d'Anduze. En 1559 c'était un moulin à blé et drapier, qui changera plusieurs fois de propriétaires. Au milieu du XIXe siècle, il est transformé en papèterie. En 1872, il subit des transformations et devient atelier de filature de soie et atelier pour le traitement de frisons de cocons. En 1886, il est la peignerie de déchets de soie Martin et Larguier, et en 1892, la carderie de soie Martin Léon. Cette dernière ferma peu après. Le « moulin à blé, moulin à foulon puis filature » est repris à l'Inventaire général du patrimoine culturel de la Région Languedoc-Roussillon[28].
Filature de soie Bonifas
La filature qui porte le nom de son propriétaire Auguste Bonifas, a été créée en 1837. Elle se trouve au lieu-dit Coudoulous sur la route d'Anduze, au bord du Gardon d'Anduze. Elle est agrandie en 1837 et cesse de fonctionner en 1860. La filature est reprise à l'Inventaire général du patrimoine culturel de la Région Languedoc-Roussillon[29].
Ferme et filature de soie Boisset
C'est une ancienne bergerie qui se situe « Mas de Bel Air », au lieu-dit Montsauve. César Boisset, son propriétaire, la transforme en filature entre 1846 et 1849. Elle cesse toute activité en 1860. Elle sera ensuite utilisée en grange. Le bâtiment est repris à l'Inventaire général du patrimoine culturel de la Région Languedoc-Roussillon[30].
Filature de soie Thérond
La filature se trouve au lieu-dit Montsauve. Elle a été installée par S. Thérond entre 1811 et 1821. Elle cesse de fonctionner vers 1840. Elle est devenue une remise depuis. La filature est reprise à l'Inventaire général du patrimoine culturel de la Région Languedoc-Roussillon[31].
Filature de soie Eugène Campredon
L'atelier de filature se trouve au lieu-dit La Coste. Il appartenait à Eugène Campredon en 1821. Agrandi en 1837, l'atelier est abandonné vers 1890. C'est depuis un hangar. Le bâtiment est repris à l'Inventaire général du patrimoine culturel de la Région Languedoc-Roussillon[32].
Édifices religieux
- Ancienne église catholique de Générargues, ruinée, devenue une forge[33].
- Église catholique de Générargues, de la paroisse d'Anduze[34] et Saint-Jean-du-Gard. Elle date des XVIIe et XVIIIe siècles.
- Temple protestant de l'association cultuelle de l'Église Réformée Évangélique de Générargues[35]. Il date du XIXe siècle.
Espaces protégés et gérés
- Parc national des Cévennes, aire d'adhésion[36].
- Réserve de biosphère des Cévennes, zone de transition[37].
Corniche de Peyremale et écaille du Mas Pestel
La zone, située à l'est du département du Gard, englobe trois massifs calcaires de part et d'autre du Gardon. Elle a une superficie de base de 787 ha. Elle recèle quatre espèces déterminantes (trois rapaces : Bubo bubo (Linnaeus, 1758), Circaetus gallicus (Gmelin, 1788) et Falco peregrinus (Tunstall, 1771), ainsi qu'une plante : Picris pauciflora (Willdenow, 1803)[38].
- Bubo bubo (Linnaeus, 1758) - Hibou grand-duc - Grand-duc d'Europe
- Circaetus gallicus (Gmelin, 1788) - Circaète Jean-le-Blanc
- Falco peregrinus (Tunstall, 1771) - Faucon pèlerin
Hautes vallées des Gardons
La zone a une superficie de base de 73 898 ha. Son intérêt concerne les 66 espèces déterminantes qui y ont été relevées[39].
Personnalités liées à la commune
- Joseph Zobel, romancier et poète martiniquais, s'est installé à Générargues dans les années 1950 et y a vécu sa retraite à partir de 1974.
- Raymond Castans, journaliste, ancien directeur de Paris Match et ancien directeur des programmes de la station de radio française RTL, y vécut sa retraite depuis le début des années 1980 jusqu'aux derniers jours de sa vie, en .
- Eugène Mazel, botaniste à l'origine de la bambouseraie de Prafrance.
- Dominique André, sportif de haut niveau, athlétisme handisport, médaillé aux jeux Paralympiques de Sydney 2000 et Athènes 2004.
- Florent ARNAUD artiste peintre, écrivain. Spécialiste de Nostradamus, il écrivit "Il est passé par Générargues" faisant allusion au prophète Nostradamus qui serait passé par le village de Générargues.
Héraldique
![]() |
Blason | D'azur, à une fasce d'argent chargée de trois lions de sable[21]. |
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- « Générargues sur le site de l'Institut géographique national », sur wikiwix.com (consulté le )
- « Insee - Chiffres clés : Générargues », sur www.insee.fr (consulté le )
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau des Gypières (V7140520) » (consulté le ).
- Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau des Granaux (V7140560) » (consulté le ).
- « Site Annuaire-Mairie », sur www.annuaire-mairie.fr (consulté le ).
- « Plan séisme consulté le 28 août 2016 ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Alès », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Statistiques officielles de l’INSEE (version nov 2016).
- (oc + fr) Frédéric Mistral et Jules Ronjat, Lou Trésor dou Félibrige ou Dictionnaire provençal-français : embrassant les divers dialectes de la langue d'oc moderne..., Raphèle-lès-Arles, M. Petit, , 1179 p., 2 vol. ; 25 cm (ISBN 84-499-0563-X, notice BnF no FRBNF37258238), p. 45, t. 2
- Eugène Germer-Durand, Ministère de l'instruction publique (Éditeur scientifique) et Comité des travaux historiques et scientifiques (dir.), Dictionnaire topographique du département du Gard : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Impr. impériale, , XXXVI-298 p., in-4 (notice BnF no FRBNF30500934), p. 99
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Notice no PA30000074, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA00128315, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA00128317, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA00128313, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA00128312, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA00128318, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no IA00128314, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Histoire et patrimoine – Générargues » (consulté le )
- « Ensemble paroissial d’Anduze – Diocèse de Nîmes » (consulté le )
- « Histoire et patrimoine – Générargues » (consulté le )
- « Fiche et cartographie Natura 2000 - FR3400004 : Parc national des Cévennes, aire d'adhésion », sur inpn.mnhn.fr (consulté le )
- « Fiche et cartographie Natura 2000 - FR6500005 : Réserve de biosphère des Cévennes, zone de transition », sur inpn.mnhn.fr (consulté le )
- « Fiche ZNIEFF - 910011824 : Corniche de Peyremale et écaille du Mas Pestel », sur inpn.mnhn.fr (consulté le )
- « Fiche ZNIEFF - 910014075 : Hautes vallées des Gardons », sur inpn.mnhn.fr (consulté le )
- Portail des communes de France
- Portail du Massif central
- Portail du Gard