Francis Wolff (philosophe)

Francis Wolff, né en 1950 à Ivry-sur-Seine, est un philosophe français. Il est professeur émérite à l'École normale supérieure de la rue d'Ulm, Paris.

Pour les articles homonymes, voir Wolff et Francis Wolff.

Parcours

Francis Wolff fait ses études au lycée de Saint-Cloud puis au lycée Louis-le-Grand (Paris). En 1971, il entre à l’École normale supérieure (ENS) de la rue d'Ulm et y obtient l'agrégation de philosophie en 1974. À la demande de Louis Althusser, il bénéficie d’une cinquième année d'ENS, pendant laquelle il est chargé de cours d’agrégation. À sa sortie de l’ENS, il enseigne la philosophie à l’école normale d’instituteurs de Laon (1977-1980) ; puis il est élu à l’université de São Paulo (Brésil) de 1980 à 1984 ; il occupe, succédant à Gilles Gaston Granger et à Gérard Lebrun, la dernière « chaire permanente » de l’université française du département de philosophie. Il y enseigne la philosophie ancienne et mène ses recherches sous la direction de Pierre Aubenque.

À son retour, il enseigne comme professeur agrégé aux lycées d’Hénin-Beaumont (1985) puis de Plaisir (1985-87), tout en étant chargé de cours à l’université d’Aix-en-Provence, à celles de Paris-I Panthéon-Sorbonne et de Lille III. Après un rapide passage comme professeur de première supérieure (khâgne) à Versailles (1988-89), il est nommé maître de conférences de philosophie à l’université de Reims Champagne-Ardenne (1989-1992), puis à l’École normale supérieure (1992-1999).

Habilité à diriger des recherches en philosophie en 1998, il est nommé professeur des universités (chaire de philosophie ancienne), à l’université Paris-X Nanterre en 1999, où il dirige le Centre Festugière d’Histoire de la Pensée Ancienne. Revenu en mai 2001 à l’École normale supérieure, pour y exercer les fonctions de directeur adjoint (lettres et sciences humaines), il a été nommé professeur des universités de cette institution, en 2004, au département de philosophie, dont il a exercé la direction[1] pendant trois ans (2004-2007). Il est membre du conseil scientifique du Centre européen de musique[2].

Il compte parmi les défenseurs de la tauromachie, et plus particulièrement de la corrida[3] sur laquelle il a publié deux ouvrages, un grand nombre d'articles de presse et participé à de nombreuses conférences[4]. Il a aussi collaboré à la rédaction du document qui a permis d'inscrire la corrida à l'inventaire général du patrimoine culturel[5].

Philosophie

Spécialiste de philosophie antique, membre du centre Léon-Robin, il a publié des travaux sur la sophistique[6],[7],[8], sur Socrate[9] et le socratisme[10], sur Platon[11],[12], sur l’épicurisme[13],[14]et surtout sur Aristote. Il a aussi travaillé sur l’histoire de la « dialectique » ancienne[15] ou sur l’histoire de l’axiomatique » ancienne (comparaison Aristote/ Euclide)[16]. Concernant Aristote, il a publié sur la physique[17], l’éthique[18],[19], la poétique[20] et surtout sur la Métaphysique[21],[22],[23],[24],[25], et la Politique sur laquelle il a écrit un ouvrage d'analyse qui compte comme une introduction critique de référence. Sa méthode de lecture des textes anciens privilégie le repérage des « problèmes », lesquels donnent un sens philosophique général à des textes pourtant indissociables de leur contexte historique ; elle s’appuie sur la notion de « figure de la pensée »[26],[27].

Son engagement en faveur du renouvellement de la « philosophie générale » l’a conduit à ériger la simplicité des idées et la force des arguments en une méthode philosophique mise en œuvre dans son séminaire « Positions et arguments » à l'ENS de la rue d'Ulm, devenu depuis 2004 « Les lundis de la philosophie »: les positions philosophiques y sont exposées et discutées pour elles-mêmes, indépendamment de toute exégèse historique, de tout thème préétabli et de toute école constituée. Francis Wolff est alors leur répondant[28].

Cette position de principe, au-delà de toute fracture entre « philosophie continentale » et « philosophie analytique », se trouve illustrée par son ouvrage Dire le monde, dont les thèses principales sont reprises et complétées dans la plupart de ses travaux ultérieurs (sur l’humanité, sur le mal, le temps[29], la musique, etc[30].).

Il distingue trois « langage-mondes » : le nôtre est prédicatif (on y distingue ce dont on parle, des choses, et ce qu’on en dit, des prédicats[31]), et il est enserré entre deux autres, imaginaires, mais nécessaires à fonder le nôtre : celui, immuable, des « choses pures » et associées à des noms, et celui, infiniment mobile, des « événements purs » associés à des verbes. Une ontologie descriptive et immanente permet en effet de distinguer entre des choses (réglées par le principe de contradiction), des événements (réglés par le principe de causalité), et des personnes (définies comme des « choses » qui sont causes d’événements, appelés ainsi des actes)[32]. Aux personnes est donc associé un autre type de rapport au monde, irréductible aux trois « langages-mondes », la « parole-monde »[33], lequel implique des déictiques (notamment le « je ») et un concept propre d’action, irréductible à l’essence des choses et à la relation de causalité entre événements. C’est là le fondement de toute éthique, dont la formule première (antérieure à l’impératif catégorique) est l’interrogatif éthique[34] :

« Est-ce que, en ce moment, je n’agis pas ? »

Cette thèse le mène à défendre un humanisme critique, articulé à une définition néo-aristotélicienne de l’homme, comme « animal doué de logos » (pris au double sens de langage et de rationalité). L’universalité vers laquelle tend ce logos est théorisée comme « troisième pli de la pensée »[35], qu’elle soit théorique ou pratique.

Une troisième édition de Dire le monde paraît en format de poche en 2020. Elle est complétée par des discussions avec six philosophes. Avec Luiz Henrique Lopes dos Santos (« Le langage est un monde ») qui resitue le projet de Dire le monde dans l’histoire de la philosophie contemporaine, et notamment de la métaphysique, la discussion porte sur la cohérence entre une description solipsiste du monde et une éthique du rapport à autrui. Avec Carlos Ulises Moulines (« Un monde contradictoire est-il possible ? »), elle porte sur le statut des théories scientifiques, et donc sur la distinction entre le « monde » (ordre total et commun), objet du « dire », et la « réalité », objet de la connaissance.  Jim Gabaret interroge le relativisme linguistique de Dire le monde pour le distinguer de celui de Benjamin Lee Whorf, ce qui permet à Francis Wolff de proposer une typologie des relativismes selon qu’ils portent sur les langues ou le langage, et selon qu’ils s’inscrivent dans un projet déconstructif ou reconstructif de la métaphysique. Élise Marrou (« Dire sous condition(s) ») reconstitue l’ensemble des thèses métaphysiques de l’auteur, y compris sa réfutation de l’idéalisme, à partir de son interprétation de la démonstration aristotélicienne du principe de contradiction et de ce qu’elle nomme la « clause d’indissociabilité » du langage et du monde. La discussion avec Étienne Bimbenet (« Les Grands Arguments d’Aristote et de Descartes, de Dire le monde à Notre humanité) est l’occasion d’interroger la cohérence doctrinale et méthodologique des thèses métaphysiques et des thèses anthropologiques de l’auteur. Celle avec Bernard Sève (« La méthode de symétrie  chez Francis Wolff ») porte sur l’usage des notions de « figures » et de « configuration » dans l’ensemble des travaux de l’auteur, y compris ceux qui se présentent comme relevant de l’histoire de la philosophie.

Pourquoi la musique ? se présente à la fois comme un travail autonome et comme le volet esthétique d’un diptyque dont Dire le monde formait le volet logique. Ce livre prolonge aussi l’investigation anthropologique de Notre humanité puisqu’il se demande pourquoi la musique (et, secondairement, les images et les récits[36]) est consubstantielle à l’humanité. Partant de la musique comme « art des sons », l’auteur est conduit à sa définition comme « représentation d’un monde idéal d’événements purs » qui lui permet de reprendre la question des universaux musicaux, celle des effets de la musique sur le corps, de la nature et de la source des émotions musicales et des rapports sémantiques de la musique et du monde. Il retrouve finalement l’ontologie triadique de Dire le monde (choses, événements, personnes) dans le triangle des arts : arts de l’image – représentations de choses sans événements —, arts musicaux – représentations des événements sans  choses, arts du récit – représentations de personnes agissantes[37].

Notre humanité étudie quatre définitions de l’homme qui ont constitué un tournant épistémologique et moral majeur de l’histoire occidentale. Deux sont au fondement de la connaissance de la nature : la conception ancienne — plus particulièrement aristotélicienne : « l’animal rationnel » ; et la conception classique – notamment cartésienne : « l’étroite union d’une âme et d’un corps ». Les deux autres sont au fondement de la connaissance de l’homme : le « sujet assujetti » des sciences humaines et sociales des XIXe et XXe siècles; et « l’animal comme les autres » des neurosciences et du paradigme cognitiviste du XXIe siècle. Ces quatre réponses philosophiques à la question « qu’est-ce que l’homme ? » prennent appui sur des connaissances scientifiques et soutiennent en retour des normes morales ou sociales. Elles sont au croisement de savoirs positifs, qu’elles permettent de garantir, et de valeurs morales et politiques, qu’elles contribuent à fonder.

Dans Trois utopies contemporaines, il interroge l’imaginaire post-politique contemporain. La définition de l’homme est devenue problématique entre l’animalisme qui le réduit à un animal comme les autres et le transhumanisme qui nie son animalité pour en faire un dieu promis à l’immortalité. Face à ces deux négations opposées de l’humanisme, il en appelle à la seule utopie capable de renouveler l’idéal humaniste : l’utopie cosmopolitique.

Il a également pris position contre le concept de "droits des animaux" en général. Il distingue les devoirs que les hommes ont vis-à-vis des animaux selon le type de rapports noués avec eux et les "dettes" que ceux-ci impliquent: ne pas rompre les échanges affectifs avec les animaux de compagnie; ne pas rompre le pacte moral qu'implique la domestication des animaux "de rente" (utilisation contre protection et bien-traitance); respecter les équilibres écologiques et la biodiversité vis-vis des animaux sauvages [38].

Plaidoyer pour l’universel se présente comme le troisième volet d’un triptyque consacré à l’humanité aprèsNotre humanité et Trois utopies contemporaines. Ce livre revient sur le présupposé commun aux deux autres, l’éthique humaniste, définie par trois thèses : l’humanité est une communauté éthique ; elle a une valeur intrinsèque et elle est source de toute valeur ; tous les êtres humains ont une valeur égale. Selon l'auteur, ces idées sont aujourd'hui affaiblies, ce qui ouvre la voie aux différents relativismes ou au nihilisme, qu'il s’efforce de réfuter.  L’éthique humaniste ne pouvant plus se fonder sur un Dieu équanime ni sur une nature égalisatrice, ne tient plus désormais qu’à la raison humaine. Mais celle-ci, qu’elle soit conçue comme  instrumentale ou comme morale, s’avère impuissante. Seule sa redéfinition en « raison dialogique » permet de surmonter le relativisme des valeurs et des justifications. Cette aptitude à dialoguer et à argumenter permet de comprendre pourquoi et comment l’humanité est apte à viser un « monde vu de nulle part » (science) ou « un monde vu de toutes parts » (éthique).

Publications

Philosophie

  • Dire le monde (Réédition augmentée de PUF 1997, et de PUF coll. « Quadrige, Essais débats » 2004), Hachette, coll. « Pluriel », , 3e éd., 596 p. (ISBN 978-2-1305-4463-0, lire en ligne)
  • Francis Wolff (dir.), Philosophes en liberté : Positions & arguments 1, Ellipses, , 112 p. (ISBN 978-2-7298-0655-2)
  • Francis Wolff (dir.), Pourquoi y-a t-il quelque chose plutôt que rien ?, PUF, coll. « MétaphysiqueS », , 2e éd. (1re éd. 2007), 232 p. (ISBN 978-2-1306-2426-4, lire en ligne)
  • Francis Wolff et Henri-Jérôme Gagey, Le mal nie t-il l'existence de Dieu ?, Salvator, coll. « Controverses », , 396 p. (ISBN 978-2-7067-0562-5)
  • Notre humanité : D'Aristote aux neurosciences, Fayard, coll. « Histoire de la pensée », , 396 p. (ISBN 978-2-2136-5134-7, lire en ligne)
  • Francis Wolff (dir.), Revue de métaphysique et de morale n°4 : Temps physique et temps métaphysique, PUF, , 144 p. (ISBN 978-2-1305-8741-5)
  • Pourquoi la musique?, Fayard, coll. « Histoire de la pensée », (réimpr. Hachette coll. Pluriel, 2019, 646 p.), 458 p. (ISBN 978-2-2136-8580-9)
  • Il n'y a pas d'amour parfait (lycéen du livre de philosophie 2018 & Prix Bristol des Lumières 2016), Fayard, coll. « Histoire de la pensée », , 72 p. (ISBN 978-2-2137-0173-8)[39]
  • Trois Utopies Contemporaines (prix des Philosophiques d'Uriage 2018), Fayard, coll. « Histoire de la pensée », , 184 p. (ISBN 978-2-2137-0508-8, lire en ligne)
  • Plaidoyer pour l'universel : Fonder l'humanisme, Fayard, coll. « Histoire de la pensée », , 288 p. (ISBN 978-2-2137-1261-1, lire en ligne)[40]

Histoire de la philosophie

  • Logique de l’élément (Clinamen), Paris, PUF, coll. « Croisées », 1980
  • Socrates, o sorriso da razão, São-Paulo, éd. Brasiliense, 1re éd. 1981, 2e éd. 1983
  • Socrate, Paris, PUF, 1re éd. 1985, 2e éd. 1987, 3e éd., 1996, 4e éd. 2000
  • Aristote et la politique, Paris, PUF, 1re éd. 1991, 4e éd. 2008
  • Direction de « La Métaphysique d'Aristote », Revue internationale de philosophie, no 201, 1997
  • Codirection (avec J.-F. Balaudé) de Aristote et la pensée du temps, Presses de l’université Paris-X Nanterre, coll. « Le temps philosophique », 2005
  • Penser avec les anciens (Réédition de « L’Être, l’homme, le disciple », PUF coll. « Quadrige, Essais débats », 2000), Hachette, coll. « Pluriel », , 2e éd., 352 p. (ISBN 978-2-8185-0518-2, lire en ligne)

Sur la corrida

  • Codirection (avec P. Cordoba) de « Éthique et esthétique de la corrida », numéro spécial Critique, éd. de Minuit, 723-724, août-septembre 2007
  • 50 raisons de défendre la corrida, éd. Mille et une nuits, coll. « Les petits libres », no 74, Paris, 2010, 103 p. (ISBN 978-2-7555-0576-4)[41]
  • Philosophie de la corrida, éd. Fayard, coll. « Histoire de la pensée », 2007 ; rééd. avec une préface inédite, coll. « Hachette Pluriel », 2011
  • L'Appel de Séville. Discours de philosophie taurine à l'usage de tous, éd. Au Diable Vauvert, 2011

Notes et références

  1. Présentation succincte de Francis Wolff sur le site de l'ENS.
  2. « Centre Européen de Musique - CEM - Organisation », sur Centre Européen de Musique (consulté le )
  3. Participation de Francis Wolff à l'émission Répliques sur France Culture.
  4. Francis Wolff : conférence sur l'éthique et l'esthétique de la corrida.
  5. Les rédacteurs du document pour l'inscription de la corrida à l'inventaire du patrimoine culturel.
  6. « « Du métier de sophiste à l’homme-mesure ” », Manuscrito , Campinas, Brésil, vol. 5, n°2,, , p. 7-36
  7. « Démocratie et vérité », Manuscrito, Campinas, Brésil,, vol. 6, n°2, 1983,, p. 151-171
  8. « Proposition, être et vérité : Aristote ou Antisthène (à propos de Métaphysique Δ, 29) », Théories de la phrase et de la proposition de Platon à Averroès, textes édités par P. Büttgen, S. Diebler et M. Rashed, presses de presses de l’École normale supérieure (paris), 1999., p.43-63 (lire en ligne)
  9. Socrate, PUF,
  10. « Être disciple de Socrate », Penser avec les Anciens, , chap. 7
  11. « Le chasseur chassé. Les définitions du sophiste “ Bibliopolis ”, 1991, p. 17-56 », Études sur le Sophiste de Platon, publiées sous la direction de Pierre Aubenque, textes recueillis par Michel Narcy, Napoli, , p. 17-56
  12. « Les deux destins de l’ontologie : la voie physique (Démocrite) et la voie logique (Platon) », Penser avec les Anciens, , chap. 1
  13. « Crainte de la mort et crainte des dieux dans l’épicurisme », Penser avec les Anciens, , chap. 6
  14. « Etre disciple d’Epicure », Penser avec les Anciens, , chap. 8
  15. « Pourquoi la dialectique ? », Logique et dialectique dans l’Antiquité, sous la dir. de Jean-Baptiste Gourinat et Juliette Lemaire, ed. Vrin,, , p. 21-41 (lire en ligne)
  16. « Les principes de la science selon Aristote et Euclide », Revue de Métaphysique et de morale, octobre 2000. (lire en ligne)
  17. « Aristote face aux contradictions du temps », Aristote et la pensée du temps, publié sous la direction de Jean-François Balaudé et Francis Wolff, Presses de l’université Paris-X Nanterre, collection « Le temps philosophique », n°11., (lire en ligne)
  18. « L’homme politique, entre dieu et bête », Penser avec les Anciens, , chap. 4
  19. « L’homme heureux a-t-il des amis ? », Penser avec les Anciens, , chap. 5
  20. « The three pleasures of mimesis according to Aristotle’s Poetics », The Artificial and the Natural: An Evolving Polarity, M.I.T. Press, Cambridge (MA – USA), , chap. 3 (lire en ligne)
  21. [La Métaphysique d’Aristote], Revue Internationale de Philosophie, n° 201,
  22. « La vérité dans la Métaphysique d’Aristote », Cahiers philosophiques de Strasbourg, tome 7, 1998,, p. 133-168 (lire en ligne)
  23. « Qu’est-ce que se demander ce qu’est la réalité ? (Perspectives sur le livre Zêta de la Métaphysique) », La Métaphysique d’Aristote : perspectives contemporaines, vrin, 2006 (lire en ligne)
  24. « Les deux voies de la métaphysique : le premier principe d’Aristote et celui de Descartes », Penser avec les Anciens, , chap. 2
  25. « Le langage et l’universel. Les fonctions ontologiques des catégories aristotéliciennes », Le philosophe et le langage. Études offertes à Jean-Claude Pariente, sous la dir. de Martine Pécharman et Philippe de Rouilhan, Vrin, coll. « Analyse et Philosophie »., , p. 43-73
  26. [Penser avec les ], Paris, Fayard, , p. Introduction: Penser par figures
  27. [Notre humanité. D'Aristote aux neurosciences], Paris, Fayard, , p. Introduction et p. 20
  28. On peut les écouter sur ce site. On peut aussi écouter F. Wolff développer ses propres travaux en cours sur la page de référencement de ses interventions.
  29. « Le temps comme concept hybride », Revue de Métaphysique et de morale, 4, 2011, p. 487-512. (lire en ligne)
  30. [Pourquoi la musique], Quatrième partie, "Pourquoi la musique et les autres arts"? en part. p. 354-398.
  31. [Dire le monde], Paris, PUF, , chap. 1 et 2
  32. [Dire le monde], Paris, PUF, , chap. 3 et 4
  33. [Dire le monde], Paris, PUF, , chap. 5
  34. [Dire le monde], Paris, PUF, , chap. 5, p. 212-223, et Annexe 1, "Je" et l'éthique
  35. Voir Notre humanité, notamment la « conclusion ».
  36. Voir Quatrième partie.
  37. [Pourquoi la musique?], Paris, Fayard, , Quatrième partie
  38. Wolff Francis, « Des conséquences juridiques et morales de l'inexistence de l'animal »Pouvoirs, 4/2009 (n° 131), p. 135-147. DOI : 10.3917/pouv.131.0135; et Trois utopies contemporaines, Fayard, 2017, p. 101-112.
  39. Voir sur prixphilo.org.
  40. Jean-Loup Amselle, « Contre le relativisme, l’humanisme », La Vie des idées, (lire en ligne, consulté le )
  41. (notice BnF no FRBNF42216828).

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