François Lamore

François Lamore, né en 1952 à Washington DC, est un artiste franco-américain. Il a grandi entre l'Europe et les États-Unis. Il vit entre Paris et Beyrouth. Ses peintures, sculptures, et installations sont exposées dans de nombreuses galeries, musées, et collections privées organisés en expositions personnelles ou collectives, en France, au Liban, en Allemagne, en Italie et au Japon.

Biographie

François Lamore est né en 1952 à Washington[1]. Il a un frère jumeau, Jean[1],[2]. Sa mère est française et son père est américain. Enfant, il a vécu dans un environnement familial partagé entre l’Europe et l’Amérique, où littérature et histoire naturelle rythmaient le quotidien. La maison de famille à Washington D.C. était un laboratoire vivant pour les sciences et l’étude de la condition humaine. Sa mère, diplômée en biométrie de la Sorbonne, l’introduit au monde caché de l’infiniment petit. Son père, diplômé de Cornell University, en arachnologie et ornithologie, entretenait une vaste ménagerie d’aquariums de veuves noires et de mygales, et soignait les rapaces blessés qu’il logeait à la maison. Sa tante, qui avait connu Jackson Pollock et avait introduit Marc Tobey en France, initie François Lamore dès son plus jeune âge, à une synthèse d’art classique et ancien, jusqu’au plus contemporain. Écolier, il passa chaque instant de liberté, allongé sur le sol, à peindre, sculpter, dessiner, avec son frère jumeau, Jean Lamore.

En 1962, la famille passa du temps à Seattle où Lamore étudia la peinture orientale sous le tutorat de maitres japonais et chinois. Il fut également introduit au Bouddhisme et initié à l’histoire de l’art japonais et chinois. Deux ans plus tard, son père commence à écrire sa thèse sur Jean-Henri Fabre et la famille passe un temps important à l’Harmas de Sérignan dans le Vaucluse. François a 12 ans et se fascine pour les surfaces réflectives telles que les bassins et les étangs. Cette fascination le guidera vers sa série de peintures et d’installations méditatives, « Le Bassin de la Fortune » et une référence à la poésie chinoise ancienne « Comment saisir les étoiles, et par leur Lumière ».

Entre 1967 et 1968, il vit entre Paris et le sud de la France. Adolescent, Lamore observe avec un grand intérêt les évènements de « Mai 68 » et la prise de la Sorbonne par les étudiants. Il a pu mesurer l’importance des artistes politiquement engagés. C’est en explorant la carrière abandonnée de Bibémus, proche d’Aix-en-Provence, que Lamore développa l’idée que les artistes sont influencés par les paysages qui les englobent. Ainsi les artistes chinois anciens ont été inspirés par la topographie tourmentée de leurs montagnes, et Cézanne fut formé par le paysage cubiste taillé dans la pierre de la carrière de Bibémus.

Entre 1972 et 1973, il passe une année à étudier la littérature, poésie et philosophie européenne et russe à la Faculté de Lettres, et à l’Association internationale des universités d’Aix-en-Provence, ainsi qu’à la Sorbonne. Trois ans plus tard, Lamore étudie la photographie, le procédé lithographique, la cinématographie, ainsi que la céramique au « Kansas City Art Institute ». Cette même année (1975), il créa une installation composée de fil de fer barbelé, d’animaux morts retrouvés sur la route, et de drapeaux américains. Il s’intéresse aux artistes californiens, du « land-art », et du « threat-art ». François Lamore développe sa capacité créatrice tout en essayant de nouvelles techniques. Il s’essaie à différents métiers, bar-man, chasseur de crotales pour les laboratoires[réf. nécessaire], ouvrier sur les grandes routes, pour subvenir à ses besoins de matériaux, ainsi que pour voyager en Europe.

Fine Structure Constant 1996

En 1976, il passe plusieurs mois en « road-trip » avec son frère à travers l’Ouest et le Sud Ouest Américain, campant, peignant, et écrivant dans les régions les plus isolées et sauvages. Point fort du voyage, la visite de « Spiral Jetty » du land-artist Robert Smithson à Utah, et de « Roden Crater » ou James Turrell avait commencé son travail en Arizona. Aux deux endroits il fut inspiré par la connexion entre le ciel, l’homme, et la terre. François Lamore s’installa ensuite, en 1977, dans le sud de la France où il établit un atelier au Tholonet puis à Marseille. Il y enseignera la peinture aux étudiants de la « Institute for American Universities » et « Institut Franco-Scandinave ». Il rencontre André Masson au Tholonet. Il passera à ses côtés des après-midis à parler de poésie et de littérature. À Paris il rencontre Diégo Giacometti et Jean Hélion qui l’inviteront souvent chez eux.

En 1979, à la suite d’une période de réclusion prolongée, durant laquelle François Lamore vécut en privation de contact avec le monde extérieur, et même de lumière et de nourriture, il eut la révélation des couleurs et de leurs connexions au rythme qui anime le monde perçu et de l’univers de l’inconnu. Entre 1980 et 1987 Lamore installa son atelier avec son frère au Pont de Sèvres (région parisienne), dans un vaste entrepôt abandonné de spiritueux. « Mes amis de cette époque étaient pour la plupart des musiciens, compositeurs, écrivains, acteurs, » Le cinéaste Éric Rohmer, et la soprano Jessye Norman étaient de fréquents visiteurs. Deux ans plus tard, Lamore crée avec son frère une peinture murale, rue de la Glacière, à Paris. Ils réalisent la scénographie et les costumes pour Petrouchka de Stravinsky, et La Symphonie fantastique de Berlioz, pour le Ballet national de Rennes.

Sa rencontre avec Jessye Norman, en 1981, mena à leur collaboration pour son exposition au Cloitre Saint Louis d’Aix, conjointement au récital de la cantatrice. Leur amitié fut l’amorce de nombreux portraits de l’artiste. « L’énergie émanant des yeux a toujours été un point de fascination pour moi. Cela ne peut être saisi que par de séances de pose directe. Un échange se développe entre artiste et modèle, qui n’existe pas ailleurs, sauf peut-être au cinéma. » Lamore expose un groupe de petites sculptures, peintures, dessins, et textes à la « Galerie Michel Allenson » à Paris. Des assemblages d’environnement en petites boites évoquent les œuvres de Joseph Cornell.

Fine Structure Constant 2004

François créé, en 1983, deux toiles monumentales pour « A Mid-Summer Night’s Dream » de Benjamin Britten présentées à « l’Opéra de Lyon ». L'année d'après, Lamore crée une fresque murale à Frasso Telesino, proche de Naples. Il devint le premier lauréat du prix « Ronald Parker » pour peindre dans l’atelier de Renoir à Essoyes, France. À la « Galerie Trans/Form » de Paris et Milan, François Lamore expose une série de toiles équilibrées entre abstraction et figuration en 1985. Elle jouera le rôle de précurseur dans le développement du thème « Fine Structure Constant ». À Paris également, la « Galerie Nikki Marquart » présente ses grandes œuvres de thèmes similaires, ainsi que la « Galerie du Jour ».

Lamore fut invité à exposer à la « Biennale de Venise » de 1986, dans l’Aperto, où ses grandes sculptures en cire étaient en dialogue avec les toiles de son frère. Au musée de « La Villa d’ Arson » de Nice, il exposa ses œuvres en compagnie de Jean Dégottex, Hans Hartung, Yves Klein, Pierre Klossowski, Martial Raysse, dans l’exposition « 25 Années d’Art en France ». Au musée du « Palais Royal » de Milan, dans l’exposition « Arte in Francia » ses peintures sont exposée avec celles de Jean Hélion, Pablo Picasso, André Masson, et Jean Dubuffet. Il participe à l’exposition milanaise « À Propos de Dessin », de 1987, de la « Galerie Maeght ». Y participent, Cucchi, Gasiorowski, Kounellis, Mario Merz, Chillida, et Malcolm Morley. À Turin il a été invité par l’éditeur « Il Quadrante » pour une exposition de ses œuvres sur papier et de petites installations de ses photos et sculptures.

1988, Lamore créera trois coupoles pour une tour avec l’architecte italien Paolo Portoghesi. L’installation fut exposée dans les arènes de Vérone avec une œuvre de Mario Schifano, puis exposée également à Milan. Ses collages abstraits « Fine Structure Constant » furent exposés à la « Chicago Art Fair » par la « Galerie Maeght ». L'année d'après, Lamore fut invité à exposer au « Musée Pablo Gargallo » d’Espagne avec les artistes Mario Schifano et Marco Del Re…. En 1990, François Lamore a été invité à l’exposition « Parigi » au « Palais de la Civilisation Italienne », à Rome, avec d’autres artistes et architectes ; Daniel Buren, Bertrand Lavier, Christian de Portzamparc, Jean Nouvel, Ieoh Ming Pei…. La « Galerie Charles Sablon » présenta une importante installation des toiles de François Lamore et des sculptures monumentales de son frère. Par la suite, Charles Sablon présenta d’autres œuvres de Lamore avec ceux de l’artiste Brésilien, Franz Krajberg, sur un thème environnemental. La « Galerie Hasumi » de Tokyo et Paris présenta l’œuvre de François Lamore « Le Bassin de la fortune », une série de bassins méditatifs, et de canaux acheminant l’eau à travers la galerie. Prologue du thème futur de l’artiste « Knowledge Stream ».

L’artiste est invité, en 1991, par la galerie « Alpha-Cubic » à Tokyo pour une importante exposition de ses œuvres, céramiques, bronzes, et peintures. Par la suite il voyage dans le pays et renoue ses liens avec la culture orientale. Un an plus tard, à la « Galerie Lavignes-Bastille », Paris, François Lamore et son frère ont créé un environnement de bandes de sable et de terre en contexte avec des pièces suspendus au plafond, évoquant l’injustice sociale. Ses œuvres gravées seront exposées à « La Foire de Bales », par l’URDLA. Lamore est invité comme membre du jury pour le festival du film sur l’environnement et de la biodiversité de l’UNESCO en 1993. Ses œuvres seront exposées avec une série d’expositions en Amérique du Sud dans les villes de Bahia Blanca, Santa Fe, Cordoba, Mendoza, sur le thème des Cafés Littéraires, avec d’autres artistes et architectes : Paolo Portoghesi, Garouste et Bonetti, Foujita, Otto Dix

De plus en plus intrigué par la métamorphose et la tératologie, l’artiste continue à étudier l’anatomie par des dessins d’autopsies, dissections, et interventions chirurgicales. « Je n’exclus pas l’existence, à un moment du passé ou du futur, de centaures, minotaures, et êtres-hybrides…» La Princesse Zahra Aga Khan l’invite en résidence sur son domaine proche de Chantilly, pour observer de plus près ses chevaux en mouvement. « Templeflower » et Gerrit Schulz-Bennewitz, de Hambourg, ont présenté l’exposition de Lamore « Zurich Zaire » composée d’une soixantaine de peintures et de sculptures. Ce travail le mènera à son thème de grands paysages, « Beyond Simulation », où différentes périodes du temps co-habitent.

En 1995, le groupe Montblanc inaugure l’exposition « Time and Metamorphosis », 70 œuvres sur papier de François Lamore, seront gravées dans le « Montblanc Desk Diarium » de 1995. Les dessins seront exposés dans toutes les boutiques de Montblanc. Un an plus tard, la première édition de ses poèmes « Isotopes » a été éditée en anglais par Art&Fact de Paris. La galerie « Art-en-Tête » à Paris, expose « Paysages de Nuit », une série de toiles que Lamore peignit la nuit dans les rues de Paris. URDLA présenta son œuvre gravé à Villeurbanne avec d’autres artistes ; Penck, Immendorf, Paul Rebeyrolle… En 1997, le Musée des Beaux Arts de Caen invite Lamore à l’exposition autour du thème des peintres et des cafés, puis l'artiste voyagea pendant l'année 1998 au Proche-Orient, en Syrie et au Liban. Il sera commissionné pour réaliser une peinture murale privée à Beyrouth. Il retourne ensuite au Japon avec sa compagne, la photographe Pauline Jalil pour étudier le « Théâtre Noh » avec le maitre Noh, Naohiko Umewaka. Ensemble ils visitèrent le tombeau isolé de Fenollosa dans la forêt du Lac Biwa. À la demande de Umewaka Lamore écrivit une pièce de théâtre Noh moderne. Il collabora avec le poète libanais Salah Stetié sur leur livre « Les Doigts » dans la collection bibliophile « Duos » de la « Galerie Maeght ». Le livre de poésie de François Lamore, « Sky Fang » illustré par Oreste Zevola, a également été édité par la « Galerie Maeght ».

En 2000, La « Galerie Maeght » montre la série de grandes peintures « Ideal Size » de François Lamore à leur galerie de Barcelone. Ce thème était relié à celui de « The Seven Equivalent Circles ». La « Galerie Mabel Semler » présenta son exposition de « Shakras » et « Fine Structure Constant » à Paris. Deux ans après, le livre de poésie « In Time Eat Nine » de François Lamore a été édité par « Mosaic Press » de New York. Un an plus tard, les « Éditions Geuthner » de Paris expose quarante cinq des peintures de l’artiste en relation avec ses voyages en Orient, ainsi que ses écrits. La « Galerie Maeght » exposa, en 2004 les livres des artistes et poètes édités dans leur collection « Duos » dans laquelle Lamore a deux livres, l’un en tant que poète, et l’autre en tant qu’artiste. Lamore retourna, en 2005, au Moyen-Orient où il continua des travaux de traduction en collaboration avec les poètes, Oonsi el Haj et Salah Stetié, et traduisit des poèmes de Mahmoud Darwish de Palestine, et de Badr Shakr al Sayyab d’Irak, pour la revue anglophone Franck International. Il créa plusieurs groupes de petites sculptures et bronzes avec des fonderies libanaises.

Pendant les années 2007 et 2008, Lamore continue de peindre, d’écrire et de sculpter entre l’Europe, le Proche-Orient, et Les États-Unis. Sa série de grandes peintures et sculptures « Commissioned Dream » et « Beyond simulation » nous achemine vers les pensées de l’artiste « Toute expérience est subjective, l’existence ne peut être confirmée », Lamore prône « Un univers participatoire ». En 2009, son thème « Type Seven Eco-System » est consolidé comme élément majeur menant à l’intégration avec son thème « Imago ». Il grava des sphères en cuivre creux incrustées de tous les symboles de l’homme dans le ciel. Celles-ci s’unissent à de grandes compositions suspendues aux plafonds et peintes sur du papier népalais. L'année d'après « Templeflower » de Hambourg, Gerrit Schulz-Bennewitz, et « Pier One » de Frankfort, ont invité Lamore à exposer 99 de ses œuvres chez « Pier One » à Francfort-sur-le-Main, en Allemagne. La transition de ses grandes peintures et sculptures abstraites « Abstract Advantage » vers les rythmes subjacents de ses paysages symboliques « Beyond Simulation », nous conduit vers son œuvre la plus récente « Imago », une série d’huiles sur velours. Lamore considère « l’Imago » comme le reflet du « moi » combiné avec la métamorphose parfaite, en biologie. L’Imago définit l’exposition entière.

François Lamore est invité par la « Galerie Maeght » à participer à l’exposition de groupe « Corps et nus», à Paris, en 2012. Le , Art Factum Gallery, Beyrouth, Liban, présente son exposition, "RANDOM SYNCHRONICITY"[3].

Expositions personnelles

  • 1982 : Galerie Michel Allenson, Paris[1].
  • 1983 : Exposition dans le Cloître Saint Louis, pour le récital de Jessye Norman, Aix-en-Provence France.
  • 1985 : Galerie Trans/form, Paris. & Galerie Nikki Marquardt, Paris.
  • 1986 : Galerie Dario Boccara, Paris.
  • 1987 : Exposition de dessins aux éditions "Il Quadrante", Turin[1].
  • 1990 : Galerie Charles Sablon, Paris. & Galerie Hasumi, Paris et Tokyo.
  • 1991 : Galerie Alpha-Cubic, Tokyo Art et Amour, Librairie du Centre Georges-Pompidou avec Jean Lamore, Paris.
  • 1992 : Galerie Lavigne, Bastille, Paris[1].
  • 1994 : Exposition Zürich-Zaïre, 60 peintures de François Lamore au Café Lindter Gallery Harsburg-Hamburg, Allemagne. Inauguration et première mondiale de l'exposition de 70 œuvres sur papier de Mont-Blanc de Hambourg Schulz-Bennewitz, Hambourg.
  • 1995 : Exposition de peintures et dessins "Time and Metamorphoses" dans les boutiques Mont-blanc de Paris, Tokyo, Berlin, New York, Rome, Hong Kong.
  • 1996 : Galerie Artentête, exhibition "Paysages de nuit".Paris.
  • 2000 : Galerie Maeght, Barcelone. & Galerie Mabel Semler, Paris.
  • 2003 : Exposition aux Éditions Geuthner, Paris.
  • 2010 : Workschau, Pier One, Francfort, Allemagne.
  • 2013 : Art Factum Gallery, Beyrouth, Liban, "Random Synchronicity"
  • 2017 : Exposition à la Galerie Maeght, "Sources"

Expositions collectives

  • 1984 : Confrérie Saint Luc, Galerie Trans/form, Paris.
  • 1985 : "Les cafés littéraires", Galerie du Jour, Paris. & "Faunes et Nymphes", Galerie du Jour, Paris. & "Les piliers de la Coupole", La Coupole, Paris.
  • 1986 : 25 ans d'art en France, Centre national d'art contemporain, Villa Arson, Nice France. Lamore est l’un des artistes qui representa la France à la Biennale de Venise, l'Arte in Francia, Venise. & Exposition au Palazzo reale, Milan.
  • 1987 : "À propos du dessin", Galerie Maeght, Paris et Milan.
  • 1988 : Abitare il tempo, Vérone Chicago.& Art Fair, Galerie Maeght, Paris.
  • 1989 : Saturne, Museo Pablo Gargallo; Saragosse Espagne.
  • 1990 : Exposition au Palais de la civilisation Italienne, Rome.
  • 1992 : Foire de Bâle pour URDLA, Bahia Bianca, Santa Fe, Cordoba, Mendoza/ Association Renoir, Essoyes.
  • 1978-1996 : "Une anthologie", URDLA, Villeurbanne France.
  • 1997 : Musée des Beaux Arts de Caen.
  • 1998 Théorie des Cafés, Musée d'Art Contemporain, Bogota, Colombie.
  • 2004 : Exposition DUOS à la Galerie Maeght, Pairs.
  • 2012 : Exposition le Corps, à la Galerie Maeght, Paris.
  • 2013 : Salah Stétiéh et les Peintres, Musée Paul Valery, Sète France.
  • 2013 : Dubai Design avec Art Factum Gallery de Beyrouth.
  • 2014 : Art Dubaï, Dubaï Group Show, Art Factum Gallery, Beyrouth.
  • 2015 : "Bronzes" à la Galerie Maeght.
  • 2017 : "Gravures" à la Galerie Maeght.
  • 2018 : "Œuvres sur papier" à la Galerie Maeght
  • 2018-2019 : "PEINTURE ET POÉSIE" Musée Paul Valery, Sète France.

Sélection de recueils de poèmes publiés

  • Isotopes, ed. Art 1 Fact, Paris 1996
  • Sky Fang, ed. Arte, Maeght, Paris, 1999
  • Les Doigts, ed. Arte, Maeght, Paris, 1999
  • In Time Eat/Nine, Mosaic Press, New York, Toronto, 2002.

Références

  1. « Lamore, François », sur ledelarge.fr.
  2. (en) « François Lamore », extrait de la notice dans le dictionnaire Bénézit, sur Oxford Art Online, (ISBN 9780199773787)
  3. (en) « FRANÇOIS LAMORE - ARTIST PAINTER SCULPTOR : Biography », sur www.francois-lamore.com/ (consulté le ).

Liens externes

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