Fismes

Fismes [fim] est une commune française située dans le département de la Marne en région Grand Est.

Fismes

La place de la mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Marne
Arrondissement Reims
Intercommunalité Grand Reims
Maire
Mandat
Charles Gossard
2020-2026
Code postal 51170
Code commune 51250
Démographie
Gentilé Fismois
Population
municipale
5 560 hab. (2018 )
Densité 332 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 18′ 28″ nord, 3° 40′ 53″ est
Altitude Min. 57 m
Max. 179 m
Superficie 16,75 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Fismes
(ville isolée)
Aire d'attraction Reims
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fismes-Montagne de Reims
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Fismes
Géolocalisation sur la carte : Marne
Fismes
Géolocalisation sur la carte : France
Fismes
Géolocalisation sur la carte : France
Fismes

    Géographie

    Situation

    Fismes est arrosée par la Vesle et plusieurs de ses affluents : l'Ardre rejoint la Vesle sur sa rive gauche en aval de la ville, tandis que le ruisseau du Moulin et d'autres ruisseaux (provenant des Septvallons et Baslieux) s'y jettent en rive droite[1].

    Transports et voies de communication

    Fismes était autrefois desservie par les chemins de fer de la Banlieue de Reims. Aujourd'hui la gare de Fismes se trouve sur la ligne de Soissons à Givet via Reims.

    La commune est traversée par la route nationale 31 entre Reims et Soissons.

    Urbanisme

    Typologie

    Fismes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Fismes, une unité urbaine monocommunale[5] de 5 487 habitants en 2017, constituant une ville isolée[6],[7].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Reims, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 295 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[8],[9].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (67,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (55,4 %), forêts (20,7 %), zones urbanisées (11,8 %), zones agricoles hétérogènes (9,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[10].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].

    Histoire

    Antiquité

    Fismes, sur la rive droite de la Vesle, est une antique cité gauloise, appelée, à l'époque gallo-romaine, Ad Fines Suessionium (Limite du territoire des Suessions) ou Ad Fines Remorum (Limite du territoire des Rèmes). Elle tire son nom des tribus gauloises Suessions et Rèmes, se trouvant en effet placée à la limite de ces deux tribus. Elle figure sous le nom Ad Fines sur la table de Peutinger[12]

    Comme l'indique[13] Charles Rostaing, le nom latin Fines est une traduction du toponyme gaulois *equoranda, dont la signification fondamentale est limite, et dont la dérivation française la plus fréquente est Ingrandes.

    Moyen Âge

    L'ancien hôtel de ville et l'hôtel dieu avec sa chapelle.

    Durant l'époque carolingienne, entre Troyes en 878 et Mayence en 888, c'est à Fismes en 881 que se tient un concile. C'est la période où Fismes est plusieurs fois détruite, par les Normands, puis par les Hongrois, ce qui pousse l’agglomération à rejoindre les hauteurs de la rive gauche.

    En 1205, le pape Innocent III rappelle par une bulle que les comtes de Champagne sont les vassaux de l'archevêque de Reims, pour Épernay, Fismes, Châtillon-sur-Marne, Vertus, et Vitry-en-Perthois

    En 1226, Thibault IV le Chansonnier récompense Fismes, après une guerre qu'il menait, en lui offrant le statut de ville libre. Ainsi apparait le sceau, emblème de la ville, et une charte de commune qui place la ville sous l'égide d’un maire et de deux échevins, et Fismes devient autonome. Elle développe son artisanat, son commerce, ses foires et ses marchés, construit son église en pierre ainsi qu'un château (édifié à la place de la Poste actuelle), et plus tard un hôtel de ville (à son emplacement actuel). La guerre de Cent Ans ruine la ville.

    La ville possédait un hôtel-Dieu qui est déjà attesté en 1419, il regroupait les léproseries de Ventelay, de Jonchery-sur-Vesle et de Fismes et se situait sur la place devant la mairie. Il possédait aussi une chapelle dédié à la Sainte-Croix[14].

    Époque moderne

    La mairie détruite pendant la Première Guerre mondiale.
    Soldats allemands avec un lance flammes tombés lors des combats dans la ville, N.A.R.A..

    De Louis XIII à Charles X, presque tous les futurs rois de France qui vont se faire sacrer à Reims passeront par Fismes, dernière étape du voyage.

    En 1646, le Grand Condé acquis les droits seigneuriaux de Fismes et en gratifia César de Costentin de Tourville pour ses bons services. En 1647, le comté passe au fils ainé de César, François-César.

    La Fronde, les remparts et le château sont complètement détruits.

    Napoléon signe à Fismes deux importants décrets, et 30 000 Prussiens mettent la ville à sac.

    Le XIXe siècle voit Fismes s'industrialiser : sucreries (betterave sucrière), porcelaine de Fismes (de grande qualité), fonderie, chemin de fer, chapellerie, tanneries, moulins.

    La ville est touchée de plein fouet par la Première Guerre mondiale, puisque les Allemands qui l'avaient envahie avant de se retirer sur le chemin des Dames, en viennent à la raser totalement en 1918. L'historien militaire allemand George Soldan a écrit:

    «L'infanterie avançant groupée, devant Fismes à hauteur de/ à la Vesle (entre Reims et Soissons). Dans la nuit du 26 au 27 mai, à la grande surprise des Anglais et Français, débutaient les tirs aux gaz de l'artillerie allemande, présente en grand nombre, contre les positions au sud de l'Ailette. A l'aube, l'infanterie attaqua. L'après-midi, on traversa l'Aisne et le soir, la 7e armée se trouva devant Braisne-Fismes. […] L'attaque représente un des plus brillants faits d'armes de la Grande Guerre. L'ennemi ne perdait pas seulement environ 15.000 prisonniers, mais, lors d'une seule journée, aussi un territoire, profond de 20 km.»[15]

    À partir du 3 août de cette même année, la cité, sa périphérie, son pont, ses marécages et le château du Diable sont l'enjeu de combats de rue acharnés et uniques de la Première Guerre mondiale. Les hommes de la 28e division d'infanterie Keystone [16] perdent et reprennent à cinq reprises le quartier de Fismette au corps à corps, à la baïonnette et à la grenade. Le dernier acte de cette bataille se joue le . Fismes et Fismette subissent un violent bombardement suivi de l'assaut des Sturmtruppen et de lance-flammes. Ce jour-là, seulement sept survivants traverseront le pont sur la Vesle (la bataille de Fismes et Fismette). Véritable ligne de vie entre la ville de Fismes et sa périphérie Fismette, le pont fut reconstruit par l'état de Pennsylvanie en 1928 et deviendra le mémorial symbolique des combats[17].

    Fismes se reconstruit lentement, mais au cours de la Seconde Guerre mondiale, du fait de la nature ferroviaire de la ville (entre Soissons et Reims), 14 Fismois meurent dans les camps de concentration pour faits de Résistance, dont son maire d'alors, le docteur Génillon. Les trains de déportés, envoyés en Allemagne, passent par Fismes.

    Politique et administration

    Situation administrative

    La commune est le chef-lieu du canton de Fismes depuis sa création, pendant la Révolution française. Elle appartient à l'arrondissement de Reims (district de Reims jusqu'en 1801)[18]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du Canton de Fismes-Montagne de Reims.

    Intercommunalité

    La commune, antérieurement membre de la communauté de communes des Deux Vallées du Canton de Fismes, est membre, depuis le 1er janvier 2014, de la communauté de communes Fismes Ardre et Vesle.

    En effet, conformément au schéma départemental de coopération intercommunale de la Marne du 15 décembre 2011[19], les anciennes communautés de communes CC des Deux Vallées du Canton de Fismes (9 communes) et CC Ardre et Vesle (11 communes) ont fusionné par arrêté préfectoral du 23 mai 2013, afin de former à compter du 1er janvier 2014 la nouvelle communauté de communes Fismes Ardre et Vesle[20].

    Le 1er janvier 2017, la commune et toute l'intercommunalité sont rattachées officiellement à la communauté urbaine du Grand Reims.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    an XII an XII Pierre Edme Barbey    
    an XII 1810 Henri Servant    
    1810 1811 Barbey de Chambrecy    
    1811 1814 Heurtevin Louis    
    Juin 1814 Août 1814 Pillois    
    1814 1815 Antoine Clément    
    1815 1822 Gérard Billet    
    1822 1829 Barbey de Chambrecy    
    1829 1836 Jean-Philippe Bruley    
    1836 1871 Pierre-Louis Regnault    
    1871 1890 Jacques Félix Sarazin (1824-1899)   Conseiller général, président du département, notaire
    1890 1919 Constantin Couvreur    
    Juin 1919 Décembre 1919 Henri Goumant    
    1919 1929 Edgard Maquerlot    
    1929 1932 Lucien Laplanche    
    1932 1934 Paul Bouché    
    1934 1936 Fernand Génillon   Médecin
    1936 1937 Louis Cauchois    
    1937 1944 Fernand Génillon   Arrêté dans l'exercice de ses fonctions,
    Mort pour la France à Buchenwald en 1944.
    1944 1945 Ernest Guyomar'ch    
    1946 1947 Henri Bertho    
    1947 1948 Edmond Lauroy    
    1948 mars 1971 Marc Olivier DVD Pharmacien
    Conseiller général du canton de Fismes (1949 → 1976)
    mars 1971 mars 1977 Aimé Bouchez    
    mars 1977 mars 2001 Paul Caffe PS Enseignant
    mars 2001 23 mai 2020 Jean-Pierre Pinon PS puis DVG Artisan-menuisier retraité
    Conseiller général du canton de Fismes (2008 → 2015) et Conseiller Régional ( 2004- 2008)
    Réélu pour le mandat 2014-2020[21],[22]
    mai 2020   Charles Gossard DVG  
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24].

    En 2018, la commune comptait 5 560 habitants[Note 3], en augmentation de 2,62 % par rapport à 2013 (Marne : −0,45 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 0252 1292 1391 9382 1102 1202 3662 4222 371
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 5052 7052 8402 7173 2183 2753 2383 3033 343
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 3553 4113 3302 3383 1863 1513 1113 0293 222
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    3 4903 6344 2334 6745 2865 3135 3515 4045 493
    2018 - - - - - - - -
    5 560--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Un train chemins de fer de la Banlieue de Reims à la gare, avant la Première Guerre mondiale, à côté de la Sucrerie.
    L' hôpital local, successeur de l'hôtel dieu.

    L'économie locale a été dominée par la présence d'une sucrerie, qui a cessé son activité en 1978. L'activité de petite métallurgie est également présente depuis longtemps.

    Depuis 2008, la commune de Fismes est intégrée dans la zone de production des vins de Champagne. Les parcelles autorisées pour la plantation de la vigne ne sont pas encore connues.

    Les principales entreprises sont Campa (fabrication de convecteurs électriques haut de gamme), Finaxo (procédés de traitement de l'eau et des déchets), Profinox, Fimaluplast (Menuiserie Alu et PVC) et Experton-Revollier (grillage métallique et surfaces criblantes), groupe familial successeur récent de l'entreprise Gantois.

    Culture et patrimoine

    Fismes est le lieu d'une pièce de théâtre, Le petit postillon de Fismes, ou deux fêtes pour une écrite par Jacquelin, Coupart et Varez, présentée à L'Ambigu-comique de Paris le 4 novembre 1825.

    Lieux et monuments

    • L'hôtel de ville ;
    • L'église de Fismes est dédiée à sainte Macre. Elle date du XIIe siècle et a été remaniée aux XVe, XVIe et XVIIe siècles. Elle est classée monument historique depuis 1919[26] ;
    • Les remparts ;
    • Le pilier de la porte Saint-Gilles ;
    • Les bornes royales sur la route de Soissons, la voie des sacres ;
    • La maison dite « Heurtevin » : les rois de France y ont souvent passé leur dernière nuit de prince ;
    • Le manoir, au lieu-dit Villette sur la route de Reims, corps de logis avec tourelle et bouche à feu ainsi qu'une fenêtre et colonnettes cannelées en délis oratoir Renaissance ;
    • Le pont mémorial américain, en l'honneur de la 28e division d'infanterie de Pennsylvanie[27] ;
    • Le musée du pain ;
    • Le monument aux morts de la Première Guerre mondiale est sculpté par François Mourgues, avec l'aide de l'architecte Édouard Véïs et du marbier M. Renaud[28] ;
    • La Spirale. Salle de spectacle.

    Mémorial de Fismes de la Guerre mondiale 1914-1918

    Plaque commémorative.
    Les soldats américains à Fismes en ruines, National Archives and Records Administration.

    Le mémorial de Fismes est situé le long de la Vesle, à côté du pont mémorial qui a été construit avec l'aide de l’État de Pennsylvanie[29].

    La bataille de Fismes et Fismette qui s'est déroulée durant la Première Guerre mondiale et a suscité une amitié durable entre la ville de Fismes et les États-Unis, en particulier avec l'État de Pennsylvanie. Cette bataille sanglante eut lieu du au , et ce fut la dernière attaque majeure de la part des Allemands durant la Première Guerre mondiale. La 32e division américaine perdit 2 000 hommes pendant sa première tentative de traverser la Vesle et d'attaquer les Allemands. La 28e division d'infanterie américaine était constituée majoritairement de soldats de Pennsylvanie, elle a remplacé l'ancienne division, elle a forcé les Allemands à se retirer et à libérer Fismes.

    En remerciement de l'aide reçue pendant la guerre, la ville a décidé de construire un mémorial pour rendre hommage aux soldats de la 28e division d'infanterie américaine. Les principales intentions de ce mémorial sont de commémorer le sacrifice de ces soldats et de renforcer les liens existants entre Fismes et les États-Unis. Le mémorial est constitué de quatre panneaux extérieurs visibles au public, implantés sur le site du square de la Vesle mis en valeur par un ensemble de sculptures de l’artiste Christian Lapie. Chaque panneau montre une représentation différente de Fismes pendant la Première Guerre mondiale ou de sa libération par les soldats américains de la 28e division d'infanterie. Le mémorial est officiellement inauguré le .

    Manifestations

    • Fête du Livre (tous les deux ans les années impaires en mai)
    • Convention annuelle Rock N' Metal (chaque 1er dimanche du mois de mars à la Salle des Fêtes)
    • British Steel Night Festival (en octobre à la Salle des Fêtes)
    • La descente du Menhir (tous les ans, fin juin ou début juillet)
    • Africa Fismes (tous les deux ans les années paires en septembre)
    • Fête des Fleurs (troisième dimanche de mai)
    • Retraite aux flambeaux et feu d'artifice le 14 juillet en soirée
    • Fête patronale le dernier WE de juillet, avec grand concert gratuit à 16 h 00 le dimanche
    • Foire St Eloi (Premier samedi de décembre)
    • Cérémonies du souvenir annuelles (rassemblement à 10 h 45 devant l'hôtel de ville) : journée des déportés (dernier dimanche d'avril), 8 mai, 14 juillet, 11 novembre
    • Héraldique
    • Hard Rock Legends (tous les ans à la Spirale)

    Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

    écartelé : au premier et au quatrième de gueules au dextrochère armé d'argent tenant une épée du même, surmonté d'un casque d'azur taré de profil, au deuxième et au troisième burelé d'argent et d'azur de dix pièces aux trois chevrons de gueules brochant, le premier écimé ; sur le tout d'azur aux trois personnages armés d'or, à dextre d'une lance, au centre d'une épée et à senestre d'une hallebarde, à la bordure d'argent chargée de la légende SIGILL. MAIORIS ET IURATORIUN COMMUNIE DE FIMES, en lettres capitales de sable.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Carte IGN de Fismes » sur Géoportail (consulté le 12 mai 2013)..
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Unité urbaine 2020 de Fismes », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    11. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    12. Blaise Picon, Carte archéologique de la Gaule - l'Aisne (02), éditions de la MSH, , 508 p. (ISBN 978-2-8775-4081-0, lire en ligne), p. 80.
    13. Les noms de lieux, PUF, coll. Que sais-je ?, Paris, 1969
    14. Laurence Sirguey in Champagne généalogie, septembre 2012.
    15. George Soldan : Der Weltkrieg im Bild (La Grande Guerre en images). Berlin 1930. Page 167 et suites.
    16. 28th Infantry Division
    17. Cyrille DELOZANNE, À Fismes en 1918, j'étais là avec les Yanks, tome 1 (ISBN 978-1-304-36393-0).
    18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    19. « Schéma départemental de coopération intercommunale de la marne » [PDF], Tout savoir sur votre SDCI, Association nationale des Pôles d'équilibre territoriaux et ruraux et des Pays (ANPP), (consulté le ), p. 2.
    20. « Arrêté préfectoral du 23 mai 2013 portant création du nouvel Établissement public de coopération intercommunale issu de la fusion de la Communauté de communes des Deux Vallées du canton de Fismes et de la Communauté de communes Ardre et Vesle », Bulletin d'information et recueil des actes administratifs de la préfecture de la Marne, no 5 ter, , p. 5 (lire en ligne [PDF]).
    21. Liste des maires au 1er août 2008, site de la préfecture de la Marne, consulté le 22 décembre 2008
    22. « Liste des maires du département de la Marne » [PDF], Renouvellement des exécutifs locaux, Préfecture de la Marne, (consulté le ).
    23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    26. Notice no PA00078711, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 12 mai 2013.
    27. Le pont mémorial de Fismes sur le journal L'Union
    28. Alexandre Niess, Enquête départementale sur les monuments aux morts de la guerre 1914-1918. Notice no IA51000558, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 12 mai 2013.
    29. « Le souvenir de la 1ère GM en Champagne-Ardenne - Le Pont de Fismette présenté par Jean-Pierre Husson », sur www.cndp.fr (consulté le ).
    • Portail de la Marne
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.