Escandolières

Escandolières est une commune française située dans le département de l'Aveyron en région Occitanie.

Escandolières
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Aveyron
Arrondissement Villefranche-de-Rouergue
Intercommunalité Communauté de communes du Pays Rignacois
Maire
Mandat
Christian Palayret
2020-2026
Code postal 12390
Code commune 12095
Démographie
Gentilé Escandoliérois(e)
Population
municipale
238 hab. (2018 )
Densité 18 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 28′ 11″ nord, 2° 20′ 25″ est
Altitude Min. 294 m
Max. 638 m
Superficie 13,5 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Rodez
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Enne et Alzou
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Escandolières
Géolocalisation sur la carte : Aveyron
Escandolières
Géolocalisation sur la carte : France
Escandolières
Géolocalisation sur la carte : France
Escandolières
Liens
Site web ttp://www.escandolieres.fr/

    Géographie

    Localisation

    Auzits
    Bournazel N Saint-Christophe-Vallon
    O    Escandolières    E
    S
    Goutrens

    Réseau hydrographique

    Réseaux hydrographique et routier d'Escandolières.

    La commune est drainée par le Riou Viou, le Riou Mort, le Ruisseau de la Bindouyre, le Riou Nègre, le ruisseau de Glassac et par divers petits cours d'eau[1].

    Le Riou Viou, d'une longueur totale de 25,4 km, prend sa source dans la commune d'Escandolières et se jette dans le Riou Mort à Viviez, après avoir arrosé 9 communes[2].

    Le Riou Mort, d'une longueur totale de 23,1 km, prend sa source dans la commune de Escandolières et se jette dans le Lot à Boisse-Penchot, après avoir arrosé 8 communes[3].

    Le Ruisseau de la Bindouyre, d'une longueur totale de 11,1 km, prend sa source dans la commune d'Escandolières et se jette dans le Dourdou de Conques à Nauviale, après avoir arrosé 3 communes[4].

    Le Riou Nègre, d'une longueur totale de 13,3 km, prend sa source dans la commune de Boussac et se jette dans l'Aveyron à Colombiès, après avoir arrosé 2 communes[5].

    Gestion des cours d'eau

    La gestion des cours d’eau situés dans le bassin de l’Aveyron est assurée par l’établissement public d'aménagement et de gestion des eaux (EPAGE) Aveyron amont, créé le , en remplacement du syndicat mixte du bassin versant Aveyron amont[6],[7],[8].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1970-2000
    • Moyenne annuelle de température : 11,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 077 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,9 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique altéré », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type, qui concerne la moitié ouest du département de l'Aveyron, constitue une transition entre le climat océanique franc et le climat océanique dégradé. La température moyenne annuelle est assez élevée (12,5 °C) avec un nombre de jours froids faible (entre 4 et 8 par an)[9].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[10]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[9]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[11]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Rodez-Marcillac, qui se trouve à 22 km à vol d'oiseau de la commune[12], où la température moyenne annuelle évolue de 10,7 °C pour la période 1971-2000[13], à 10,7 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[15].

    Milieux naturels et biodiversité

    Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[16],[17],[18].

    Urbanisme

    Typologie

    Escandolières est une commune rurale[Note 2],[19]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[20],[21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rodez, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 68 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[22],[23].

    Infrastructures et occupation des sols de la commune d'Escandolières.

    Occupation des sols


    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (80,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (55,6 %), prairies (26,3 %), forêts (18,1 %)[24].

    Planification

    La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document essentiel d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCoT du Centre Ouest Aveyron approuvé en février 2020. La structure porteuse est le Pôle d'équilibre territorial et rural Centre Ouest Aveyron, qui associe neuf EPCI, notamment la communauté de communes du Pays Rignacois, dont la commune est membre[25].

    La commune disposait en 2017 d'une carte communale approuvée[26].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune d'Escandolières est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier, le risque radon[27],[28].

    Risques naturels

    Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité faible[29].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une canalisation de transport de gaz et une infrastructure ferroviaire. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[30].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon le dossier départemental des risques majeurs du département établi en 2013, la commune d'Escandolières est classée à risque moyen à élevé[31]. Un décret du a modifié la terminologie du zonage définie dans le code de la santé publique[32] et a été complété par un arrêté du portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français. La commune est désormais en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[33].

    Toponymie

    L'étymologie d'Escandolières serait liée à un terme occitan : escandola, du latin scandula qui désigne une variété d'orge ; d'où Las scandolièiras : des terres à orge.[réf. nécessaire]

    Histoire

    Une légende voudrait qu'il y eut une abbaye (à La Badie) avec des annexes spécialisées :

    • Fabrègue : dans les travaux de fer et forge.
    • L'Aussellerie : dans l'élevage des oiseaux.
    • La Bombarderie : dans l'armurerie et les munitions.
    • La Pourcellerie : dans l'élevage des porcs.
    • Escandolières : dans l'élevage des abeilles et la fabrique des chandelles.

    Moyen Âge

    • 856 (septembre), don de la moitié de la villa de Fabrègues[34].
    • 1001, Les terres de Molières sont cédées à l'abbaye de Conques.
    • 1032-1060, Umbert de Belcastel donne à l'abbaye de Conques deux mas situés respectivement à Fabrègues et à l'Abadie. Leur cens est similaire (simile censum) : aux kalendes, deux sous, deux poules, deux setiers d'avoine, un mouton en mai, deux sous et un porc en août. Aujourd'hui les hameaux de Fabrègues et de l'Abadie sont à 1 500 m l'un de l'autre (Commune d'Escandolières)[34]
    • 1372, Hugues Bernardi de Belpech ou Belpuech est seigneur d'Escandolières.
    • 1534, la paroisse d'Escandolières est signalée dans le livre "L'épervier"

    Époque contemporaine

    • 1793, création de la commune d'« Escaudolières », le nom « Exaudoulières » est attesté aussi avant celui d'Escandolières[35].
    • À la Révolution, le presbytère d'Escandolières est vendu comme bien national et acheté par M. Franques de Molières 600 livres, qui souhaita le rendre à sa destination première. Racheté par M. Gastal curé d'Escandolières jusqu'en 1828, revendu par lui-même à la commune.
    • 1825, 30 juillet Fondation du premier conseil de fabrique d'Escandolières.
    • 1830, absorption partielle des anciennes communes de Glassac (partagée avec Saint-Christophe-Vallon) et La Capelle (partagée avec Cassagnes-Goutrens)[35].
    • 1831, création de la commune d'Escandolières à partir de la commune voisine d'Auzits[Passage contradictoire], réunit les deux anciennes paroisses de St Denis d'Escandolières dépendante de l'évêque de Rodez et St Géraud de La Capelle del Vern dépendante de la paroisse de Goutrens[36].
    • 1893, agrandissement de l'église.
    • 1890, mise en place d'une grande croix en bois (13 mètres de haut) à la suite d'une mission donnée par le père Dalquié au carrefour de la route départementale. Le Christ a été acheté un peu plus tard, dans la même année que la petite croix de Triboulan.
    • 1919, 21 décembre, fête des poilus. Une soixantaine de démobilisés fêtent solennellement leur retour dans les foyers.
    • 1929 : Arrivée de l'électricité dans quelques maisons de la commune. Les derniers villages furent desservis au début des années 1960.
    • 1930 : Arrivée de la première cabine téléphonique.
    • 1930, avril, arrivée de l'électricité à Escandolières.
    • 1932, Première voiture automobile (Peugeot 201) achetée par M. Lachet, instituteur, suivi par le curé Forestier et Palayret de Galadieu.
    • 1936, 4 février, rattachement de l'Aussellerie à la paroisse d'Escandolières.
    • 1936, 15 novembre, pose d'une plaque des morts de la guerre 14 -18 offerte par les anciens combattants. Mise en place d'une grille en fer forgé par M. CALMELS serrurier au GUA à la grande croix.
    • 1946, octobre, création du Syndicat Intercommunal d'adduction d'eau potable Montbazens - Rignac.
      • Escandolières est la vingt-septième commune à adhérer au syndicat.
      • 1962-63 1re desserte en eau potable « d'Aubrac » de quelques villages.
      • 1971 : deuxième tranche de travaux qui donnent l'eau courante à tous les villages de la commune.
    • 1950, 8 septembre, rattachement du village du Mas à la paroisse d'Escandolières.
    • 1985, 11 novembre, Inauguration du nouveau monument aux morts.
    • 2005, 9 septembre, passage du Tour de l'avenir cycliste à Escandolières.
    • 2006, 28 janvier importante chute de neige d'environ de 80 cm à 90 cm.
    • 2007 mars, plantation d'arbres sur la place de la mairie après suppression du terrain de tennis devenu impraticable.
    • 2007, 27 juin, départ vers un atelier spécialisé pour restauration du tableau de La Capelle del Vern représentant un moine Franciscain.
    • 2008, 12 février, Début des travaux de restauration de la route 253 entre Escandolières et Triboulan.

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune d'Escandolières est membre de la communauté de communes du Pays Rignacois[37], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Rignac. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[38].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Villefranche-de-Rouergue, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[37]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton d'Enne et Alzou pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[37], et de la deuxième circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[39].

    Élections de 2020

    Le conseil municipal d'Escandolières, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[40] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[41]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. La totalité des onze candidats en lice[42] est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 75,51 %[43]. Christian Palayret, maire sortant, est réélu pour un nouveau mandat le [44].

    Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[45]. Deux sièges sont attribués à la commune au sein de la communauté de communes du Pays Rignacois[46].

    Liste des maires

    Liste des maires depuis la Libération
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1971 Louis-Henri Marty    
    1971 1983 Roger Laporte    
    1983 2001 Jean-Pierre Marty    
    2001 2008 André Depuille    
    2008 2014 Jean-Pierre Marty    
    avril 2016 En cours Christian Palayret[47],[48]   Ancien artisan, commerçant ou chef d'entreprise

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[50].

    En 2018, la commune comptait 238 habitants[Note 4], en augmentation de 7,21 % par rapport à 2013 (Aveyron : +0,55 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1831 1836 1841 1846 1851 1856 1861
    354211741672707726738782759
    1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
    779798767753741649633626658
    1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
    676603561558504418411384324
    1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017 2018
    298272254224207205219234238
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[51].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • Point de vue : au-dessus d'Escandolières, sur la D189 en direction d'Auzits, superbe panorama jusqu'aux Monts d'Auvergne et à l'Aubrac, avec une très belle table d'orientation installée au bord, mais au-dessus de la route.
    • Église Saint-Denis d'Escandolières : gothique, des XVe et XVIe siècles.
    • Église Saint-Géraud de la Capelle del Vern.

    Bibliographie

    • Frédéric de Gournay, Le Rouergue au tournant de l'an mil : de l'ordre carolingien à l'ordre féodal, IXe-XIIe siècle, Toulouse, CNRS, Université de Toulouse-Le Mirail, coll. « Méridiennes », , 512 p., couv. ill. en coul. ; 24 cm (ISBN 2-912025-16-8, ISSN 1297-8531, notice BnF no FRBNF39266403)
    • (oc + fr) Christian-Pierre Bedel, Rinhac : Anglars, Ausits, Bèl Castèl, Bornasèl, Gotrens,Las Candolièiras, Mairanh / Christian-Pierre Bedel et los estatjants del Rinhagués, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 230 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-04-1, ISSN 1151-8375, notice BnF no FRBNF36652250)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Fiche communale d'Escandolières », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
    2. Sandre, « le Riou Viou »
    3. Sandre, « le Riou Mort »
    4. Sandre, « le ruisseau de la Bindouyre »
    5. Sandre, « le Riou Nègre »
    6. « EPAGE Aveyron amont », sur https://www.banatic.interieur.gouv.fr/ (consulté le )
    7. « Aveyron amont », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
    8. site officiel du SMB2
    9. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    10. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    11. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Escandolières et Rodez », sur https://fr.distance.to/ (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Rodez-Marcillac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Rodez-Marcillac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Rodez-Marcillac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Escandolières », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Escandolières », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « Liste des espaces protégés sur la commune d'Escandolières », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    21. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    25. « Le SCOT du Centre Ouest Aveyron - documents », sur http://scot-centre-ouest-aveyron.proscot-eau.fr/ (consulté le )
    26. « Etat par commune des POS, PLU et cartes communales », sur https://www.observatoire-des-territoires.gouv.fr/ (consulté le )
    27. [PDF]« Le Dossier Départemental des Risques Majeurs (DDRM) de l'Aveyron - Liste des risques par commune », sur http://www.aveyron.gouv.fr/ (consulté le )
    28. « Rapport présentant les risques affectant la commune », sur l'observatoire national des risques naturels, (consulté le )
    29. « Dossier départemental des risques majeurs de l’Aveyron - Le risque feu de forêt », sur le site de la préfecture départementale (consulté le )
    30. [PDF]« Le Dossier Départemental des Risques Majeurs (DDRM) de l'Aveyron - Transport de matières dangereuses », sur http://www.aveyron.gouv.fr/ (consulté le )
    31. [PDF]« Dossier départemental des risques majeurs de l'Aveyron - le risque radon », sur le site de la préfecture de l’Aveyron (consulté le )
    32. « Article R1333-29 du code de la Santé publique », sur https://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le )
    33. « Arrêté du 27 juin 2018 portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français », sur https://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le )
    34. Frédéric de Gournay, Le Rouergue au tournant de l'an mil, p 232-233
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Philippe Ducourant, Laure Fockembeghe et Christian Pfiser, Le patrimoine des communes de la Méridienne verte, Paris, Flohic, coll. « Le patrimoine des communes de France », , 1741 p., 2 vol. : ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 25 cm (ISBN 2-84234-101-5, ISSN 1272-4734, notice BnF no FRBNF37676402)
    37. « Code officiel géographique- Rattachements de la commune d'Escandolières », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    38. « communauté de communes du Pays Rignacois - fiche descriptive au 10 octobre 2020 », sur https://www.banatic.interieur.gouv.fr/ (consulté le )
    39. « Découpage électoral de l'Aveyron (avant et après la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
    40. Article L. 252 du Code électoral
    41. « Municipales : le mode de scrutin dans les communes de moins de 1000 habitants », sur https://www.vie-publique.fr/, (consulté le )
    42. « Candidatures au 1er tour pour Escandolières », sur site du ministère de l'Intérieur (consulté le ).
    43. « Résultats du 1er tour pour Escandolières », sur le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le )
    44. « Répertoire national des élus - version du 3 septembre 2020 », sur https://www.data.gouv.fr/ (consulté le )
    45. « Conseillers communautaires : les règles de l'élection », sur https://www.vie-publique.fr/ (consulté le )
    46. « Les élus de l'intercommunalité », sur http://www.pays-rignacois.fr/ (consulté le )
    47. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le )
    48. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le )
    49. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    50. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    51. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    • Portail des communes de France
    • Portail du Massif central
    • Portail de l’Aveyron et du Rouergue
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.