Ercuis

Ercuis est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Ercuis

La mairie et l'église.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Senlis
Intercommunalité Communauté de communes Thelloise
Maire
Mandat
Jean-Marie Nigay
2020-2026
Code postal 60530
Code commune 60212
Démographie
Gentilé Ercuisiens, Ercuisiennes
Population
municipale
1 607 hab. (2018 )
Densité 367 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 14′ 11″ nord, 2° 18′ 30″ est
Altitude Min. 84 m
Max. 157 m
Superficie 4,38 km2
Type Commune urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Méru
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Ercuis
Géolocalisation sur la carte : Oise
Ercuis
Géolocalisation sur la carte : France
Ercuis
Géolocalisation sur la carte : France
Ercuis

    Géographie

    Vue aérienne d'Ercuis et Neuilly-en-Thelle.

    Située au sud du département, dans le pays de Thelle, Ercuis est proche de Neuilly-en-Thelle et distant de Paris d'environ 55 km. Situé en zone rurale mais proche de l'aire urbaine de la capitale, Ercuis est accessible par la route, via la nationale 1 ou l’autoroute A 16, et n'est pas très éloignée de l’aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 735 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Senlis », sur la commune de Senlis, mise en service en 1959[7] et qui se trouve à 21 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de précipitations de 724,6 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 29 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,6 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Ercuis est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (83,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76,8 %), zones urbanisées (17,6 %), zones agricoles hétérogènes (5,6 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Les formes anciennes du nom de la localité sont Ercetum, Erquetum (vers 1259), puis Arcuys (1310)[21]. Ce nom provient de la forme celtique d'un des vieux noms indo-européens du chêne : *perkwus, qui a donné le latin quercus, « chêne », et ici *ercu, avec la perte du p initial caractéristique du celtique[22],[23]. Le radical *ercu est complété du suffixe -etum à valeur locative et collective. Le nom signifie donc « bois de chênes » et peut renvoyer au bois qui aurait été défriché pour la première installation.

    Histoire

    Carte postale de la gare vers 1910.

    Ercuis, village de l’Oise, a le privilège d’avoir un nom mondialement connu. Porté depuis sa création par la 1re grande entreprise d’orfèvrerie implantée au village, il est devenu synonyme pour certains de savoir-faire et de qualité dans le domaine des arts de la table.

    Histoire décousue que celle de ce bourg, que la légende fait naître en 1080 Suger de Saint-Denis, futur ministre des rois Louis VI et Louis VII, mais qui s’affirme à partir du règne de Guillaume d’Ercuis, percepteur du roi Philippe le Bel. Ce dernier fit construire en 1292 une chapelle dédiée à la Vierge, dont le service fut d’abord confié aux moines de l’abbaye de Sainte-Geneviève de Paris. L’église fut par la suite embellie, et se distingue des autres monuments religieux de la région par les ornements qui garnissent le gros œuvre. Elle possède également des vitraux de grande valeur historique.

    D’autres pièces architecturales témoignent encore aujourd’hui du passé du village : un pigeonnier, vestige d’une très grande ferme, une gare, réaménagée en bibliothèque municipale, plusieurs calvaires. La mairie, restaurée, a conservé ses murs d’origine.

    Sous le règne de Louis XVI s’est implantée l’industrie du poil de chèvre et celle de la soie, fructueuse sur le plan commercial.

    En 1794, un poste de télégraphe Chappe est installé au sommet du clocher de l’église. En 1867, le jeune curé d’Ercuis, l’abbé Pillon de Thury crée une entreprise de pantographie voltaïque devenue l’orfèvrerie produisant argenterie et couverts de table, aujourd’hui au Comité Colbert des Arts de la Table.

    De 1879 à 1959, le bourg était desservi par un chemin de fer secondaire, le chemin de fer de Hermes à Beaumont.

    Horaire de 2014 de la ligne de chemin de fer.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Senlis du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Neuilly-en-Thelle[24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Méru.

    Intercommunalité

    L'ancienne communauté de communes du pays de Thelle dans le département de l'Oise.

    La commune faisait partie de la communauté de communes du pays de Thelle, créée en 1996.

    Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[25], le préfet de l'Oise a publié en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités, et en particulier de la communauté de communes du Pays de Thelle et de la communauté de communes la Ruraloise, formant ainsi une intercommunalité de 42 communes et de 59 626 habitants[26],[27].

    C'est ainsi qu'est créée par un arrêté préfectoral du qui a pris effet le la communauté de communes Thelloise[28], dont est désormais membre la commune.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1971 1983[29] Sylvain Brochard    
    1983[30] janvier 2018[31] Daniel Tessier   Vice-président de la CC du Pays de Thelle et Ruraloise (2017 → 2018)
    Mort en fonction
    Les données manquantes sont à compléter.
    2020 En cours Jean-Marie Nigay    

    Politique environnementale

    Les eaux usées du village sont traitées depuis 2011 par la station d’épuration intercommunale du Syndicat intercommunal d'assainissement du Plateau du Thelle, située au Mesnil-en-Thelle. Le syndicat regroupe Neuilly-en-Thelle, Ercuis, Crouy-en-Thelle, Morangles, Fresnoy-en-Thelle et Mesnil-en-Thelle et a délégué la gestion de l'installation à Suez Eau France[32] (anciennement Lyonnaise des eaux).

    Population et société

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].

    En 2018, la commune comptait 1 607 habitants[Note 7], en augmentation de 9,62 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    705681699626596604616650685
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    6906986298151 015966694735788
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    742709739712741747742593632
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    6406647439851 2621 5661 4961 4071 495
    2018 - - - - - - - -
    1 607--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Pyramide des âges en 2007

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (14,4 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (51,8 % contre 48,4 % au niveau national et 49,3 % au niveau départemental).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 51,8 % d’hommes (0 à 14 ans = 21,5 %, 15 à 29 ans = 17,1 %, 30 à 44 ans = 23,9 %, 45 à 59 ans = 23,2 %, plus de 60 ans = 14,3 %) ;
    • 48,2 % de femmes (0 à 14 ans = 19,4 %, 15 à 29 ans = 17,6 %, 30 à 44 ans = 24,1 %, 45 à 59 ans = 24,3 %, plus de 60 ans = 14,5 %).
    Pyramide des âges à Ercuis en 2007 en pourcentage[36]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90  ans ou +
    0,1 
    4,2 
    75 à 89 ans
    5,2 
    10,1 
    60 à 74 ans
    9,2 
    23,2 
    45 à 59 ans
    24,3 
    23,9 
    30 à 44 ans
    24,1 
    17,1 
    15 à 29 ans
    17,6 
    21,5 
    0 à 14 ans
    19,4 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,8 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    11,5 
    21,1 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,0 
    30 à 44 ans
    21,6 
    20,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,9 

    Équipement et vie culturelle

    La mairie est située place Charles-de-Gaulle.

    Scolarité : Le groupe scolaire accueille tous les enfants de maternelle et primaire[29].

    Équipements sportifs et socioculturels : Salle multifonctions, stade, city stade, court de tennis, terrain de basket, bibliothèque. Un centre de loisirs sans hébergement, ouvert pendant les vacances d’avril et de juillet, accueille les enfants[29].

    Manifestations culturelles et festivités

    • Le 2e week-end du mois de mai est consacré à la fête du village.
    • Les feux de la Saint-Jean offrent chaque année une occasion d’animation.

    Économie

    Réclame de 1924 (L'Illustration).

    Aujourd’hui, Ercuis est connu grâce à sa fabrique d’orfèvrerie Ercuis d'articles des arts de la table en argenterie.

    Le village comprend une zone d’activité qui rassemble neuf entreprises, des commerces de distribution s'y trouvent également. La Poste et un commerce de proximité sont installés au centre du bourg.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Saint-Nicolas, extension de la chapelle initiale dédiée à la Vierge en 1292[29].
    • Le château, construit en 1837 pour l'abbé Pillon. Utilisé autrefois comme maison de retraite, il est racheté en 2009 par l'église évangélique coréenne pour en faire un centre de séminaires[38],[29]
    • La ferme du Thelle (tour et portail d'entrée)

    Personnalités liées à la commune

    Guillaume d'Ercuis, précepteur du roi Philippe le Bel.

    Héraldique

    Blason
    Taillé: au 1er d'or à trois bandes d'azur, au 2e d'azur à deux épis de blés d'or, tigés et feuillés posés en barre et les tiges passées en sautoir et brochant sur une coupe du même en pointe ; à la barre d'argent brochant sur la partition.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Senlis - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Ercuis et Senlis », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Senlis - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Ercuis et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Beauvais-Tillé - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, , 2e éd. (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 267.
    22. Pierre-Yves Lambert, La langue gauloise, éditions Errance, 2003, 248 pages, page 37.
    23. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise, éditions Errance, , 440 p. (ISBN 978-2-87772-237-7), p. 164.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
    26. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
    27. D. L., « Oise : six collectivités fusionnent », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
    28. « CC du Pays de Thelle et Ruraloise (N° SIREN : 200067973) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, .
    29. Philippe Delattre, « Ercuis : une orfèvrerie de renommée internationale », L'Observateur de Beauvais, no 965, , p. 26.
    30. « L’ordre national du Mérite pour Daniel Tessier : Maire depuis 1983, Daniel Tessier a été félicité pour son dévouement au service de la collectivité en étant fait Chevalier dans l’ordre national du Mérite jeudi dernier. », L’Écho du Thelle, no 536, , p. 17.
    31. « Maire d’Ercuis depuis 1983, Daniel Tessier, est décédé », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    32. Philippe Delattre, « Alexandre veille sur vos eaux usées : Responsable d’exploitation à la station d’épuration intercommunale du SIA du Plateau du Thelle, Alexandre Parisseaux nous explique son métier ô combien important », L’Écho du Thelle, no 640, , p. 17.
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    36. « Évolution et structure de la population à Ercuis en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    37. « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    38. « Les pasteurs coréens rachètent l'ex-maison de retraite », Ercuis, sur leparisien.fr, (consulté le ).
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