Enchastrayes

Enchastrayes est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Enchastrayes

Le sommet du Chapeau de Gendarme, vu du sud.
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-de-Haute-Provence
Arrondissement Barcelonnette
Intercommunalité Communauté de communes Vallée de l'Ubaye Serre-Ponçon
Maire
Mandat
Albert Marien Olivero
2020-2026
Code postal 04400
Code commune 04073
Démographie
Gentilé Enchastrayens
Population
municipale
392 hab. (2018 )
Densité 8,9 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 22′ 06″ nord, 6° 41′ 45″ est
Altitude Min. 1 151 m
Max. 2 775 m
Superficie 44,19 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Barcelonnette
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Barcelonnette
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Enchastrayes
Géolocalisation sur la carte : Alpes-de-Haute-Provence
Enchastrayes
Géolocalisation sur la carte : France
Enchastrayes
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Enchastrayes

    Le nom de ses habitants est Enchastrayens[1], en valéian lous Enchastraiencs[2],[3].

    Géographie

    Enchastrayes et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

    Le village d’Enchastrayes est situé à 1 450 m d’altitude[4].

    Les communes limitrophes d’Enchastrayes sont Faucon-de-Barcelonnette, Jausiers, Uvernet-Fours et Barcelonnette.

    Géologie

    Lors des deux dernières grandes glaciations, la glaciation de Riss et la glaciation de Würm, la vallée de l’Ubaye est envahie par le glacier de l’Ubaye et ses glaciers affluents. Les sommets des crêtes n’ont jamais été recouverts[5].

    Relief

    • Le Chapeau de Gendarme 2 682 m,
    • Le Brec Premier à 2 560 m et le Brec Second à 2 596 m.
    • Sommet de l’Alpe
    • Lac des Terres-Plaines (à 2 408 m) et col des Terres-Plaines (2 775 m)

    Environnement

    La commune compte 734 ha de bois et forêts, soit 16,6 % de sa superficie[1].

    Hameaux

    La commune comporte plusieurs hameaux :

    • Le Sauze 1 400 m, village principal
    • Le Super Sauze 1 700 m, station haute
    • Enchastrayes 1 500 m, entre le Sauze et la Rente
    • La Chaup 1 160 m, quartier résidentiel au pied du Sauze
    • Le Villard 1 200 m, sur la route de Jausiers
    • La Conche 1 450 m, en face le Sauze
    • La Conchette 1 450 m, constitué de petit chalet en bois, en face le Sauze
    • La Rente 1 600 m, petite station intermédiaire entre Sauze et Super Sauze

    Risques naturels et technologiques

    Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Barcelonnette auquel appartient Enchastrayes est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[6], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[7]. La liste des tremblements de terre ressentis d’une intensité macro-sismique ressentie supérieure à V sur l’échelle MSK (dormeurs réveillés, chutes d’objets) suivent (les intensités indiquées sont celles ressenties dans la commune, l’intensité peut être plus forte à l’épicentre)[8] :

    • le séisme du 19 mars 1935, d’une intensité ressentie à Enchastrayes de V et demi et dont l’épicentre était situé à Saint-Clément-sur-Durance[9] ;
    • le séisme du 18 juillet 1938, avec une intensité macro-sismique de IV et demi et dont l’épicentre était situé à Queyras[10] ;
    • le séisme du 23 février 1941, d’une intensité ressentie à Enchastrayes de IV et demi et dont l’épicentre était situé dans le Piémont italien[11] ;
    • le séisme du 15 mars 1942, d’une intensité ressentie à Enchastrayes de IV et dont l’épicentre était situé aux Orres[12] ;
    • le séisme du 31 octobre 1997, d’une intensité ressentie à Enchastrayes de IV et dont l’épicentre était situé à Prads-Haute-Bléone[13].

    La commune d’Enchastrayes est également exposée à quatre autres risques naturels[7] :

    La commune d’Enchastrayes n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[14]. Le plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) de la commune a été approuvé en 2000 pour les risques d’inondation, de mouvement de terrain et d’avalanche[14] et le Dicrim n’existe pas non plus[15].

    Toponymie

    L'origine du nom serait provençale ; "enchastre" veut dire mettre les raquettes (à neige), puisque la commune se trouve au pied du col de Fours enneigé en hiver, et qui était emprunté à l'époque par les colporteurs pour passer de la vallée de l’Ubaye à celle du Bachelard.[réf. nécessaire] Selon une autre étymologie, son nom, Incastratus serait dû à sa position entre des rochers[4] ; Ernest Nègre propose, toujours en nord-occitan, le sens de village au milieu d’un cirque de montagnes[16].

    En valéian, le nom de la commune est Enchastraia[17][réf. incomplète],[3][réf. incomplète]).

    Urbanisme

    Typologie

    Enchastrayes est une commune rurale[Note 1],[18]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[19],[20].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Barcelonnette, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[21],[22].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (90,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (82,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (32,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (30,5 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (26,8 %), prairies (6,2 %), zones agricoles hétérogènes (3,7 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].

    Économie

    Aperçu général

    En 2009, la population active s’élevait à 222 personnes, dont 14 chômeurs[25] (12 fin 2011[26]). Ces travailleurs sont majoritairement salariés (68 %)[27] et travaillent à une courte majorité hors de la commune (53 % des actifs)[27].

    Une station de ski se trouve sur la commune, Le Sauze-Super Sauze, créée en 1934 par M. Couttolenc alors propriétaire foncier qui aménagea ses terrains en piste de ski et sa ferme en hôtel.[réf. nécessaire] C’est là que se trouve la principale source d’activité de la commune.

    Agriculture

    Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait 20 établissements actifs au sens de l’Insee (exploitants non professionnels inclus) et aucun emploi salarié[28].

    Le nombre d’exploitations professionnelles, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture, est de onze en 2010. Il était de neuf en 2000[29], de 22 en 1988[30]. Actuellement, ces exploitants sont essentiellement tournés vers l’élevage, notamment ovin (six exploitations)[29]. De 1988 à 2000, la surface agricole utilisée (SAU) a fortement augmenté, de 557 ha à 644 ha, ce qui représente un triplement de la surface des exploitations en dix ans[30]. La SAU a légèrement diminué lors de la dernière décennie, à 594 ha[29].

    Industrie

    Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) comptait quatre établissements, sans aucun emploi salarié[28].

    Activités de service

    Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services) comptait 71 établissements (avec 218 emplois salariés), auxquels s’ajoutent les 30 établissements du secteur administratif (regroupé avec le secteur sanitaire et social et l’enseignement), salariant 22 personnes[28].

    D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est très importante pour la commune, avec plus de cinq touristes accueillis par habitant[31], l’essentiel de la capacité d'hébergement étant marchande[32]. Les structures d’hébergement à finalité touristique d’Enchastrayes se répartissent entre :

    • six hôtels en 2012 (contre neuf en 2007)[33] (un hôtel classé tourisme[34], un hôtel classé une étoile[35], 2 classés deux étoiles en 2012 (contre 3 en 2008 et 5 en 2007)[36],[37], et deux hôtels classés trois-étoiles[38]). Au total, la capacité hôtelière est de 75 chambres (contre 96 en 2008)[37] ;
    • un camping deux étoiles[39] avec une capacité de 66 emplacements[40] ;
    • plusieurs meublés labellisés[41] ou non (2 500 lits sont fournis par les meublés non labellisés à Enchastrayes, la plus grosse capacité du département[42]) ;
    • des chambres d’hôtes[43] ;
    • des hébergements collectifs dont un village vacances[44].

    Les résidences secondaires apportent un complément important à la capacité d’accueil[45] : au nombre de 1 878, elles représentent 90 % des logements. Parmi les résidences secondaires, 1 660 possèdent plus d’un logement[40],[37].

    Histoire

    Enchastrayes faisait partie de la communauté de Barcelonnette jusqu’à la Révolution française[46].

    La commune est détachée de Barcelonnette en 1790[46], mais dépendait de Faucon-de-Barcelonnette pour le spirituel[46]. Trois paroisses sont créées au début du XIXe siècle à Enchastrayes, à l’Aupillon et à la Conche[46].

    Comme de nombreuses communes du département, Enchastrayes se dote d’écoles bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle compte déjà quatre écoles dispensant une instruction primaire aux garçons (au Sauze, à Enchastrayes, au Villard-de-Faucon, à l’Aupillon)[47]. Les filles ne vont pas à l’école dans la commune : la loi Falloux (1851) n’impose l’ouverture d’une école de filles que dans les communes de plus de 800 habitants. La première loi Duruy (1867) abaisse ce seuil à 500 habitants[48], mais elle n’est pas appliquée[49] et ce n’est qu’avec les lois Ferry que les petites filles d’Enchastrayes vont à l’école.

    L’exode rural touche la commune au XIXe siècle. Une grande part des migrants, comme dans le reste de la vallée de l’Ubaye, se tournent vers Lyon. Deux natifs de la commune ont même conquis une position sociale élevée, puisqu’ils s’associent à Henri Germain pour fonder le Crédit lyonnais en 1860[50].

    En 1944, la Wehrmacht détruit le hameau du Sauze[4].

    Politique et administration

    Municipalité

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mai 1945   Honoré Couttolenc[51]    
    mars 1980 mars 1987[réf. nécessaire] Honoré Couttolenc    
    mars 1989[52] En cours
    (au 21 octobre 2014)
    Albert Olivero[53],[52],[54] LR Retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    Enchastrayes fait partie:

    Enseignement

    La commune est dotée d’une école primaire[55].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[56]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[57].

    En 2018, la commune comptait 392 habitants[Note 3], en diminution de 1,01 % par rapport à 2013 (Alpes-de-Haute-Provence : +1,33 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    859777892854881793780749702
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    697635562528502539482389359
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    349355357319283260225201198
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    301322365437474504439429403
    2017 2018 - - - - - - -
    396392-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[58] puis Insee à partir de 2006[59].)

    L'histoire démographique d'Enchastrayes, après la saignée des XIVe et XVe siècles et le long mouvement de croissance jusqu'au début du XIXe siècle, est marquée par une période d'« étale » où la population reste stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1806 à 1846. L'exode rural provoque ensuite un mouvement de baisse rapide de la population, qui plus est un mouvement de longue durée. Dès 1891, la commune enregistre la perte de plus de la moitié de sa population (par rapport au maximum historique)[60]. Le mouvement de baisse s'interrompt dès les années 1950. Depuis, la population a doublé, dépassant les quatre cents habitants, soit la moitié de son maximum historique.

    Histogramme de l'évolution démographique

    La population augmente énormément dans la station de ski du Sauze-Super Sauze pendant les vacances scolaires de Noël et surtout de Février, et beaucoup moins en été.

    Lieux et monuments

    • Château d’Enchastrayes.
    • Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul (XIXe siècle), mitoyenne de la mairie du village. Elle abrite un tableau représentant Les âmes du Purgatoire avec saints Pierre et Paul, de 1717, classé monument historique au titre objet[61].
    • Chapelle Saint-Sébastien, église paroissiale de l’Aupillon à partir de 1806[62], agrandie au XIXe siècle ; chapelle Notre-Dame-des-Neiges à la Conche (paroisse à partir de 1816)[63],[46] ; chapelles Saint-Roch au Sauze, Saint-Barthelémy à la Conchette, au Villard-de-Faucon[46].
    • La croix de l’Alp situé sur la montagne du même nom à 2 600 m d'altitude, est le but d’un pèlerinage estival par le chemin de La Rente puis par le col bas.
    • La Roche aux Fées située un peu avant le lieu-dit « La Rente » ; on dit que de monter sur celle-ci en faisant un vœu réaliserait celui-ci[4].
    • La station de ski du Sauze-Super Sauze

    Un tableau conservé dans une église représente saint Jean l’Évangéliste dans un chaudron placé sur un feu[64].

    Personnalités liées à la commune

    • Wadeck Gorak, 5e du Freeride World Tour 2018-19
    • Carole Merle, championne de ski française
    • Christine Rossi, championne olympique
    • Jacques Martin, adjoint au maire et commerçant, ancien entraineur national de ski alpin
    • Joseph Bellon (Enchastrayes 1810-1888 Nice), négociant en soieries à Lyon, cofondateurs et vice-président du conseil d'administration du Crédit Lyonnais, chevalier de la Légion d'honneur.
    • Damien Bellon (Enchastrayes 1815-1882 Ecully), frère du précédent, négociant en soieries à Lyon.
    • Jean-Henri Jaubert, (dit Henry Jaubert) (Enchastrayes 1832-1901 Ecully), manufacturier, fabricant et négociant en soieries à Lyon à la suite de ses oncles Bellon, cofondateur du Crédit Lyonnais, chevalier de la Légion d'honneur.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Sources

    Bibliographie

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Roger Brunet, « Canton de Barcelonnette », Le Trésor des régions, consultée le 9 juin 2013
    2. François Arnaud et Gabriel Maurin, Le langage de la vallée de Barcelonnette, Paris, Champion,
    3. Jean-Rémy Fortoul, Ubaye, la mémoire de mon pays : les gens, les bêtes, les choses, le temps, Barcelonnette : Sabença de la Valeia (ISBN 2-908103-17-6), Mane : Alpes de Lumière (ISBN 2-906162-28-0), 1995. 247 p.
    4. Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non paginé) (ISBN 2-7399-5004-7)
    5. Maurice Jorda, Cécile Miramont, « Les Hautes Terres : une lecture géomorphologique du paysage et de ses évolutions », in Nicole Michel d’Annoville, Marc de Leeuw (directeurs) (photogr. Gérald Lucas, dessin. Michel Crespin), Les Hautes Terres de Provence : itinérances médiévales, Le Caire : Association Les hautes terres de Provence ; Saint-Michel-l'Observatoire : C'est-à-dire, 2008, 223 p. (ISBN 978-2-952756-43-3). p. 33.
    6. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p. 39
    7. Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 19 juillet 2012
    8. BRGM, « Épicentres de séismes lointains (supérieurs à 40 km) ressentis à Enchastrayes », Sisfrance, mis à jour le 1er janvier 2010, consulté le 19 juillet 2012
    9. BRGM, « fiche 50043 », Sisfrance, consulté le 19 juillet 2012
    10. BRGM, « fiche 50057 », Sisfrance, consulté le 19 juillet 2012
    11. BRGM, « fiche 1130104 », Sisfrance, consulté le 19 juillet 2012
    12. BRGM, « fiche 50066 », Sisfrance, consulté le 19 juillet 2012
    13. BRGM, « fiche 40203 », Sisfrance, consulté le 19 juillet 2012
    14. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 96
    15. Formulaire de recherche, base Dicrim, consultée le 19 juillet 2011
    16. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 2 : Formations non-romanes ; formations dialectales, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 194), , 676 p. (ISBN 978-2-600-00133-5, lire en ligne). § 21290, p. 1137.
    17. François Arnaud, Gabriel Maurin, Le langage de la vallée de Barcelonnette, Paris : Champion, 1920 - Réédité en 1973, Marseille : Laffitte Reprints.
    18. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    25. Insee, Dossier local - Commune : Enchastrayes, p. 5 (mis à jour le 28 juin 2012)
    26. Insee, Dossier local, p. 8
    27. Insee, Dossier local, p. 7
    28. Insee, Dossier local, p. 16
    29. Ministère de l'Agriculture, « Orientation technico-économique de l’exploitation », Recensements agricoles 2010 et 2000. (lien : attention, le fichier fait 4,4 Mio)
    30. Insee, « Exploitations agricoles en 1988 et 2000 », Insee, 2012 (fichier de 24,6 Mio)
    31. Observatoire départemental du tourisme, Atlas de l'hébergement touristique, décembre 2008, p. 6
    32. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 7
    33. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 11
    34. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 14
    35. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 15
    36. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 16
    37. Insee, « Hébergements touristiques des communes, 2008, 2009 et 2012 », Insee, 2012 (fichier de 20,8 Mio)
    38. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 17
    39. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 21, 23 et 25
    40. Insee, Dossier local, op. cit., p. 17
    41. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 32
    42. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 36
    43. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 38
    44. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 30
    45. Atlas de l'hébergement..., op. cit., p. 44
    46. Daniel Thiery, « Enchastrayes », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 19 décembre 2010, mis à jour le 21 décembre 2010, consulté le 19 juillet 2012
    47. Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p. 9.
    48. Labadie, op. cit., p. 16.
    49. Labadie, op. cit., p. 18.
    50. Abel Chatelain, « La formation de la population lyonnaise : l'apport d'origine montagnarde (XVIIIe-XXe siècles) », Revue de géographie de Lyon. Vol. 29 n°2, 1954. p. 108.
    51. [Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], « La Libération », Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 1er avril 2014.
    52. Sylvie Arnaud, « Albert Olivero candidat à un 5e mandat », La Provence, 8 février 2014, p. 11.
    53. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Cruis à Hospitalet(L’) (liste 3), consulté le 8 mars 2013
    54. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
    55. Inspection académique des Alpes-de-Haute-Provence, Liste des écoles de la circonscription de Sisteron, publiée le 27 avril 2010, consultée le 31 octobre 2010.
    56. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    57. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    58. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    59. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    60. Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle. », Provence historique, tome 21, no 85, 1971, p. 287.
    61. Arrêté du 30 décembre 1991, Notice no PM04000627, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 7 novembre 2008.
    62. Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (notice BnF no FRBNF35450017), p. 173.
    63. Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p., p 379.
    64. Raymond Collier, op. cit., p 482.
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