Durtal
Durtal est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.
Pour l’article homonyme, voir Jean Durtal.
Durtal | |||||
Le centre-bourg de Durtal avec en arrière-plan, le château. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Maine-et-Loire | ||||
Arrondissement | Angers | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Anjou Loir et Sarthe | ||||
Maire Mandat |
Pascal Farion 2020-2026 |
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Code postal | 49430 | ||||
Code commune | 49127 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
3 372 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 56 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 40′ 22″ nord, 0° 14′ 24″ ouest | ||||
Altitude | 34 m Min. 21 m Max. 94 m |
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Superficie | 60,58 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Durtal (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Durtal (commune-centre) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Tiercé | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | Ville de Durtal | ||||
Géographie
Localisation
Commune angevine du Baugeois, Durtal se situe au nord-ouest des Rairies, sur les routes D 59, D859 et D 323 (N 23)[1]. Le Loir traverse la partie sud de son territoire.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Marcé », sur la commune de Marcé, mise en service en 1999[9] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,1 °C et la hauteur de précipitations de 703,2 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Le Mans », sur la commune du Mans, dans le département de la Sarthe, mise en service en 1944 et à 49 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[13], à 12 °C pour 1981-2010[14], puis à 12,5 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Durtal est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[16],[17],[18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Durtal, une unité urbaine monocommunale[19] de 3 387 habitants en 2017, constituant une ville isolée[20],[21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Durtal, dont elle est la commune-centre[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 2 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[22],[23].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (66,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (30,5 %), prairies (27,3 %), zones agricoles hétérogènes (18,4 %), terres arables (15,4 %), zones urbanisées (3,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,8 %), cultures permanentes (1,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,6 %), mines, décharges et chantiers (0,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,5 %)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes latinisées (Castrum) Duristalli en 1030[26], Duristallum (sans date)[27].
Il s'agit d'un des rares composés germaniques dans cette partie de la France, témoignage d'un établissement des Francs ou des Saxons. Il est issu du germanique stall « écurie » ou « auberge »[26] ou encore « établissement »[27], précédé d'un élément indéterminé[26].
Homonymie avec Durstel (Bas-Rhin)[26],[27] et même élément dans Herstal (Belgique, Haristallio VIIIe siècle)[27].
Histoire
Préhistoire et Antiquité
Plusieurs découvertes font état d'une occupation préhistorique et celtique du territoire de la commune: plusieurs haches en pierre polie, des haches en bronze à douilles, à talons et à ailerons, des fragments de haches, d'épées et d'une pointe de lance, un bracelet et un cerf en bronze de la période de La Tène III. Le lieu-dit la Grande Pierre pourrait désigner un ancien site mégalithique. L'occupation ancienne du lieu aurait pu être en lien avec un point de passage sur le Loir[28].
Moyen Âge
La création de la commune est en lien avec la fondation de la forteresse de Durtal en 1040 par le comte d'Anjou Foulques Nerra.
Au Moyen Âge, Durtal dépendait de la sénéchaussée de Baugé. La seigneurie (baronnie) fut très longtemps associée à celle de Matheflon.
Ancien régime
Sous l'Ancien Régime et jusqu'à la Révolution française, Durtal dépendait du Pays d'élection de La Flèche.
Époque contemporaine
Entre 1790 et 1794, Durtal fusionne avec les communes voisines de Gouis et de Saint-Léonard-de-Durtal[29].
Politique et administration
Administration municipale
Intercommunalité
La commune est membre de la communauté de communes Anjou Loir et Sarthe, elle-même membre du syndicat mixte Pays des Vallées d'Anjou.
Autres circonscriptions
Jusqu'en 2014, Durtal fait partie du canton de Durtal, dont elle est le chef-lieu, et de l'arrondissement d'Angers[34]. C'est l'un des quarante et un cantons que compte le département ; circonscriptions électorales servant à l'élection des conseillers généraux, membres du conseil général du département. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du . La commune est alors rattachée au canton de Tiercé, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[35].
Jumelages
La ville de Durtal est jumelée[36] avec :
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Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[38].
En 2018, la commune comptait 3 372 habitants[Note 6], en diminution de 0,3 % par rapport à 2013 (Maine-et-Loire : +1,96 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (28,7 %) est en effet supérieur au taux national (25,5 %) et au taux départemental (25,3 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2017, la suivante :
- 49 % d’hommes (0 à 14 ans = 20,7 %, 15 à 29 ans = 13,0 %, 30 à 44 ans = 20,2 %, 45 à 59 ans = 20,1 %, plus de 60 ans = 26 %) ;
- 51 % de femmes (0 à 14 ans = 19,9 %, 15 à 29 ans = 13,5 %, 30 à 44 ans = 18,4 %, 45 à 59 ans = 16,9 %, plus de 60 ans = 31,3 %).
Vie locale
La ville de Durtal développe de nombreuses activités culturelles et sportives. On y trouve plusieurs clubs de sports : football, volley-ball, cyclisme, handball, tennis, tennis de table.
La société des courses de Durtal est représentée sur l'hippodrome de la Carrière, situé sur la commune des Rairies, distante de quelques kilomètres.
Économie
Sur 295 établissements présents sur la commune à fin 2010, 18 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 11 % du secteur de l'industrie, 6 % du secteur de la construction, 52 % de celui du commerce et des services et 14 % du secteur de l'administration et de la santé[42].
Culture locale et patrimoine
Monuments et lieux touristiques
Durtal a été récompensée de trois fleurs au Concours des villes et villages fleuris (palmarès 2011)[43].
- Chapelle Saint-Léonard, bâtie en 1096 par les moines de Saint-Serge d'Angers.
- Château Bosset, des XVe et XVIIe siècles[44].
- Château de Chambiers, reconstruit au début du XVIIIe siècle et agrandi au XIXe siècle.
- Château de Durtal, des XIe, XVe et XVIIe siècles.
- Château de la Motte-Grollier.
- Église Saint-Julien de Gouis du XIIe siècle.
- Église Notre-Dame (bâtie entre 1047 et 1060) : dédiée à Notre-Dame, l'édifice est en premier lieu la chapelle du château, puis devient l'église communale au XIXe siècle.
- Manoir d'Auvers.
- Manoir de Serrain.
- Porte Verron.
- Le château de Durtal vu depuis le pont.
- Porte Verron.
- Le Loir.
- Ancien lavoir.
Personnalités liées à la commune
- Jean du Mas, baron de Durtal et de Matheflon, doyen de l’église d’Angers, nommé évêque de Dol, mort à Angers en 1557.
- François de Scépeaux (1509-1571), gouverneur, diplomate, ambassadeur, conseiller du roi et maréchal de France du roi François Ier, seigneur de Durtal et Mathef(e)lon.
- Henri de Schomberg (1575-1632), surintendant des finances, maréchal de France du roi Louis XIII, baron de Durtal et Matheflon.
- Émile Oudri (1843-1919), général.
- Claude Bernard-Aubert, (1930-2018), scénariste et réalisateur français y est né et est mort au Mans[45].
- Michel Rocard (1930-2016), possédait une propriété sur la commune[46].
Héraldique
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Les armes de Durtal se blasonnent ainsi : Écartelé, au premier et au quatrième de gueules au pal d'or, au deuxième et au troisième d'azur à la barre d'argent. |
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Voir aussi
Bibliographie
- Célestin Port, Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : D-M, t. 2, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (notice BnF no FRBNF34649310, lire en ligne)
- Dr. Émile Poirier, Histoire de Durtal de l'an 1000 à nos jours, Le livre d'histoire/Lorisse (Paris), 1999.
- Abbé J. Grosbois, Durtal et ses environs, Rassorts Lorisse (Paris), 2006.
Articles connexes
Notes et références
Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- IGN et BRGM, Géoportail Durtal (49), consulté le 2 septembre 2012.
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Marcé - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Durtal et Marcé », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Marcé - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Durtal et Le Mans », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Le Mans - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Le Mans - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Le Mans - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Durtal », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 256b.
- François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150).
- Port 1978, p. 90.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- [PDF] 19 hommes et 1 femme comme premier magistrat, L'info n°90, été 2014, p. 4
- « Un nouveau maire à Durtal : Jean Tardif, radical de gauche », Ouest-France, .
- Mairie de Durtal, Corinne Bobet, nouveau maire de Durtal, consulté le 7 avril 2014.
- « Durtal. Élections municipales. Pour Corinne Bobet : « Aucun élu ici présent est légitime » », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
- Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Durtal, consultée le 28 février 2015.
- Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
- « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des affaires étrangères et européennes (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Population par sexe et âge en 2017 - Commune de Durtal (49127) », sur Insee, (consulté le ).
- « Population par sexe et âge en 2017 - Département de Maine-et-Loire (49) », sur Insee, (consulté le ).
- Insee, Statistiques locales du territoire de Durtal (49), consultées le 31 mars 2013.
- « Journal municipal L'infos n°80 », sur le site de la ville de Durtal (consulté le ).
- « Château-Bosset ou château Bocé », notice no PA00109091, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Hommage à Claude Bernard Aubert, sur Établissement de communication et de production audiovisuelle de la Défense (ECPAD).
- Hommage. Durtal se souvient avec émotion de Michel Rocard, 7 juillet 2016, sur Le Courrier de l'Ouest.
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