Marcé
Marcé est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire, à proximité de la ville de Seiches-sur-le-Loir.
Pour les articles homonymes, voir Marcé (homonymie).
Marcé | |||||
![]() Le bourg depuis la peupleraie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Maine-et-Loire | ||||
Arrondissement | Angers | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Anjou Loir et Sarthe | ||||
Maire Mandat |
Patrice Daviau 2020-2026 |
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Code postal | 49140 | ||||
Code commune | 49188 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Marcéen | ||||
Population municipale |
840 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 40 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 34′ 51″ nord, 0° 19′ 30″ ouest | ||||
Altitude | 33 m Min. 32 m Max. 97 m |
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Superficie | 21,09 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Angers (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Angers-6 | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Géographie
Localisation
Commune angevine du Baugeois, Marcé se situe à l'est de Seiches-sur-le-Loir, sur la route D 109, Cheviré le Rouge - Seiches sur le Loir[1].
Communes voisines : Seiches-sur-le-Loir 3 km, Corzé 6 km , Jarzé Villages 9 km, La Chapelle-Saint-Laud 6 km, Huillé-Lézigné 11 km, Rives-du-Loir-en-Anjou 9 km, Verrières-en-Anjou 13 km, Baugé-en-Anjou 17 km, Durtal 13 km,Angers 19 km.[réf. nécessaire]
Topographie, relief et géologie
Son territoire se trouve sur l'unité paysagère du Plateau du Baugeois[2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1999 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,9 | 2,1 | 3,7 | 5,7 | 9,3 | 12,4 | 13,7 | 13,5 | 10,7 | 8,7 | 4,7 | 1,7 | 7,4 |
Température moyenne (°C) | 5 | 6 | 8,3 | 11,1 | 14,6 | 18,3 | 19,6 | 19,4 | 16,5 | 13 | 8,2 | 4,9 | 12,1 |
Température maximale moyenne (°C) | 8 | 9,8 | 12,9 | 16,4 | 19,9 | 24,2 | 25,5 | 25,2 | 22,3 | 17,3 | 11,7 | 8,1 | 16,8 |
Record de froid (°C) date du record |
−10,3 07.01.09 |
−13,8 12.02.12 |
−11,3 01.03.05 |
−4,8 06.04.21 |
−1,5 06.05.19 |
2,3 01.06.06 |
5,5 10.07.04 |
4,6 21.08.14 |
1,3 29.09.07 |
−3,2 26.10.10 |
−6,8 30.11.10 |
−9,5 17.12.09 |
−13,8 2012 |
Record de chaleur (°C) date du record |
16,2 24.01.16 |
21,8 27.02.19 |
25 30.03.21 |
29 30.04.05 |
32 27.05.05 |
39,4 29.06.19 |
41,1 23.07.19 |
39,5 10.08.03 |
35,4 14.09.20 |
30,3 02.10.11 |
22 07.11.15 |
18,5 07.12.00 |
41,1 2019 |
Précipitations (mm) | 64,5 | 48,4 | 58,4 | 53,7 | 53,2 | 36,4 | 65,4 | 47,3 | 49,2 | 79,7 | 72,4 | 74,6 | 703,2 |
Urbanisme
Typologie
Marcé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[9],[10],[11].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angers, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].
Morphologie urbaine : le village s'inscrit dans un territoire essentiellement rural.
En 2013 on trouvait 341 logements sur la commune de Marcé, dont 89 % étaient des résidences principales, pour une moyenne sur le département de 90 %, et dont 84 % des ménages en étaient propriétaires[14].
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (82,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (32,8 %), prairies (22,4 %), zones agricoles hétérogènes (20,9 %), forêts (12,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8,6 %), zones urbanisées (1,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,1 %)[15].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[16].
Toponymie
On entend parler de la Parochia (paroisse) de Marcé en 1142, et de Marceium en 1269[17].
Histoire
Préhistoire et Antiquité
On signale comme cromlech celtique l’entassement d’une douzaine de grosses pierres près de la métairie de Rocherieux ; mais nul dolmen n’existe sur le territoire, malgré toute indication contraire. Existence inexpliquée d’antiques retranchements aux Blés et aux Fossés (remparts de terre, dénommés Fossés des Romains)[17].
Origine de Marcé
Le fief paraît avoir fait partie au XVIIIe siècle et depuis de longues années du comté de Durtal. On voit résider sur la paroisse, dès les premières années du XVIIe siècle de nombreuses familles de potiers, celles des Taveau, des Roger, des Nouchet, des Chevaliers et des Godin.
Église
L’église dédiée à saint Martin de Tours : la nef est lambrissée, le cœur seulement voûté en pierre (XIVe siècle), avec deux chapelles de la Vierge et de saint Gilles (XVIe siècle). Cette dernière est parée de ses croix de consécration. On y consacre les statues de saint Sébastien et de la Vierge, provenant de l’abbaye de Chaloché (situé derrière l’aéroport sur la commune de Chaumont), ainsi que les reliques de saint André, qui en furent apportées avec leur châsse d’argent, par arrêté du département du , malgré les réclamations des paroissiens de Chaumont d’Anjou. Il s’agissait surtout de s’approprier la foire importante qui s’y tenait à l’abbaye le jour de la fête.
Aucun titre trouvé sur l’origine de la construction de l’église, qui datent sans doute du XIIe siècle[17].
Le presbytère occupe l’ancienne cure, reconstruite en 1778-1779, vendue nationalement le 14 messidor an IV () et rachetée par la commune en 1819[17].
Le cimetière, au centre et dans la principale rue du bourg (actuelle place Barbel), à l’angle du chemin de la Chapelle-Saint-Laud, jusqu’en 1812, a été transféré sur un terrain acquis le [17].
Mairie et écoles
Mairie avec école de garçons, dans la maison de la Suardière, acquise le . École de filles dans une maison acquise le [17].
Politique et administration
Administration municipale
Intercommunalité
La commune est membre de la communauté de communes Anjou Loir et Sarthe, elle-même membre du syndicat mixte Pôle métropolitain Loire Angers.
Population et société
Démographie avant la Révolution
- 217 feux, 980 habitants en 1720 (un feu = une famille) ;
- 260 feux en 1788 ;
- 1118 habitants en 1790 ;
- 1094 habitants en 1831 ;
- 1091 habitants en 1841 ;
- 1067 habitants en 1851 ;
- 1047 habitants en 1861 ;
- 1019 habitants en 1866 ;
- 937 habitants en 1872[17].
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[21].
En 2018, la commune comptait 840 habitants[Note 5], en diminution de 0,47 % par rapport à 2013 (Maine-et-Loire : +1,96 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (13,2 %) est en effet inférieur au taux national (21,8 %) et au taux départemental (21,4 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (49,9 % contre 48,7 % au niveau national et 48,9 % au niveau départemental).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2008, la suivante :
- 49,9 % d’hommes (0 à 14 ans = 27,2 %, 15 à 29 ans = 13,4 %, 30 à 44 ans = 26,8 %, 45 à 59 ans = 18,8 %, plus de 60 ans = 13,9 %) ;
- 50,1 % de femmes (0 à 14 ans = 24,8 %, 15 à 29 ans = 18,3 %, 30 à 44 ans = 26,2 %, 45 à 59 ans = 18 %, plus de 60 ans = 12,6 %).
Économie
Sur 72 établissements présents sur la commune à fin 2010, 31 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 6 % du secteur de l'industrie, 10 % du secteur de la construction, 46 % de celui du commerce et des services et 8 % du secteur de l'administration et de la santé[26]. Trois en plus tard, en 2013, sur 53 établissements, 25 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 12 % sur le département), 6 % du secteur de l'industrie, 9 % du secteur de la construction, 49 % de celui du commerce et des services et 11 % du secteur de l'administration et de la santé[14].
Lieux et monuments
Monuments historiques
- Église Saint-Martin-de-Tours, XIIe au XVIe siècle (MH)[27] ;
- Ensemble fortifié : rempart de terre datant de l’antiquité (fossés des Romains) (MH) ;
- Manoir de la Brideraie XVIe siècle (MH) ;
- Manoir du Bois-de-l'Humeau XVIIIe siècle (MH).
Autres bâtiments
- Chapelle saint Léonard ;
- Château et chapelle de Princé XVIe siècle ;
- Château de la Souchardière XIXe siècle ;
- Lavoirs XIXe siècle ;
- Maison de maître, la Gautraie XVIe siècle ;
- Vestiges du manoir de Singé XVe siècle ;
- Presbytère XVIIIe siècle ;
- Usine de chaux, le Fourneau (SC).
Autres lieux et monuments
- Musée régional de l'air d'Angers-Marcé ;
- Angers Loire Aéroport (précédemment Aéroport Angers-Marcé).
Galerie
- Etang rue de la Fontaine
- Manoir du Bois de l'Humeau
- Logis et dépendances sur la rue Principale
- Porte classique à œil de bœuf et volutes
- Lavoir de la rue de la Fontaine
- Maison particulière rue Principale
- Chapelle Saint-Léonard
- L'église
- L'église
- Retable baroque de l'église
- Vue générale intérieure de l'église
- Manoir de la Brideraie à Marcé depuis le jardin
- Manoir de la Brideraie, pigeonnier
- Musée régional de l'air
Voir aussi
Bibliographie
- Célestin Port, Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : D-M, t. 2, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (notice BnF no FRBNF34649310, lire en ligne)
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- IGN et BRGM, Géoportail Marcé (49), consulté le 17 septembre 2012.
- Département de Maine et Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine et Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Le Polygraphe, 2003, p. 58 — Données consultables sur WikiAnjou.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- Insee, Statistiques locales du territoire de Marcé (49188), consultées le 20 juillet 2016.
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Informations sur Marcé publiées entre 1874 et 1878 par Célestin Port (archiviste de Maine et Loire) dans son livre Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire.
- Réélection 2014 : « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la préfecture du département de Maine-et-Loire (consulté le ).
- « Marcé. Les conseillers ont élu le maire et les adjoints », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Évolution et structure de la population à Marcé en 2008 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Résultats du recensement de la population de Maine-et-Loire en 2008 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, Statistiques locales du territoire de Marcé (49), consultées le 20 avril 2013.
- « Eglise », notice no PA00109166, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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