DeepL

DeepL est un service de traduction automatique en ligne de la société DeepL GmbH, qui a été lancé le par l'équipe de Linguee. Le service permet de traduire vingt-six langues formant 650 combinaisons de langue à langue (allemand, anglais, français, néerlandais, polonais, russe, italien, espagnol, portugais, japonais, chinois simplifié, bulgare, tchèque, danois, estonien, finnois, grec, hongrois, lituanien, polonais, roumain, slovaque, slovène, suédois).

DeepL

Adresse deepl.com
Description Service de traduction
Publicité  Non
Langue Multilingue
Inscription Facultative
Propriétaire DeepL GmbH
Créé par Linguee
Lancement [1]
Classement Alexa 160 (Global, 06/2021)

75 (Allemagne, 06/2021)

État actuel  En activité

Fonctionnement

Ce service utilise des réseaux de neurones convolutifs[2] constitués sur la base de données Linguee[3],[4]. À l’en croire, au moment de la publication, DeepL dépasserait ses concurrents dans des tests à l’aveugle, entre autres Google Traduction, Microsoft Traduction et Facebook[5],[6]. Il serait aussi plus précis et plus nuancé pour une rapidité égale à ses concurrents[7].

Depuis , les traductions vers le russe et le portugais sont également disponibles[8]. Le , les traductions en chinois simplifié et en japonais ont été ajoutées[9]. Le 17 mars 2021, 13 langues européennes sont ajoutées dont le grec ou le suédois.[10]

Son principe se fonde sur un robot d'indexation de collecte de traductions déjà existantes sur les sites internet.

Popularité

En , la barre des 20 millions d'utilisateurs est franchie. Au , 21,8 % du trafic vient d'Allemagne, 17,4 % de France, 10 % d'Espagne, 7,9 % de Suisse et 4,1 % de Pologne[11].

Ses principaux concurrents sont Google Traduction, Microsoft Traduction, Reverso et Yandex Translate.

En , 86 millions de personnes sont allées sur DeepL. 20 % des utilisateurs étaient Allemands, 13 % Japonais et 10 % Français[12].

Linguee GmbH

Dans ce contexte, la société Linguee GmbH, basée à Cologne, a récemment changé de nom pour devenir DeepL GmbH[13],[14].

Liens externes

Notes et références

  1. « https://www.heise.de/newsticker/meldung/Maschinelle-Uebersetzer-DeepL-macht-Google-Translate-Konkurrenz-3813882.html »
  2. (en-US) « DeepL schools other online translators with clever machine learning – TechCrunch », sur techcrunch.com (consulté le )
  3. Didier Sanz, « Des traductions en ligne plus intelligentes », Le Figaro,
  4. (en) Raoul Blin, « Neural machine translation, corpus and frugality », CoRR, CNRS-CRLAO, (arXiv 2101.10650).
  5. Heise online, « Maschinelle Übersetzer: DeepL macht Google Translate Konkurrenz »,
  6. Online-Übersetzer im Vergleich "Ich will den Hals langsam atmen" 2017
  7. (en) Devin Coldewey, « DeepL schools other online translators with clever machine learning », TechCrunch, (lire en ligne, consulté le )
  8. (en-GB) « DeepL: Cologne-based startup outperforms Google Translate | DW | 05.12.2018 », sur Deutsche Welle,
  9. https://www.deepl.com/blog/20200319.html
  10. « DeepL Traducteur propose 13 nouvelles langues européennes », sur www.deepl.com, (consulté le )
  11. « Deepl.com Traffic, Demographics and Competitors - Alexa », sur web.archive.org, (consulté le )
  12. « deepl.com Traffic Statistics », sur SimilarWeb (consulté le )
  13. Unternehmensregister Bundesanzeiger Verlag, paru le 7 septembre 2017
  14. « Mentions légales », sur deepl.com (consulté le ).
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