Crucey-Villages

Crucey-Villages est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Crucey-Villages

L'ancien moulin de Crucey.
Administration
Pays France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Dreux
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Dreux
Maire
Mandat
Jean-Claude Lamour
2020-2026
Code postal 28270
Code commune 28120
Démographie
Population
municipale
462 hab. (2018 )
Densité 11 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 40′ 04″ nord, 1° 04′ 43″ est
Altitude 172 m
Min. 154 m
Max. 195 m
Superficie 43,97 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Lubin-des-Joncherets
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Crucey-Villages
Géolocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
Crucey-Villages
Géolocalisation sur la carte : France
Crucey-Villages
Géolocalisation sur la carte : France
Crucey-Villages

    Géographie

    Situation

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 651 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rueil », sur la commune de Rueil-la-Gadelière, mise en service en 1948[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,5 °C et la hauteur de précipitations de 663,9 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Chartres », sur la commune de Champhol, mise en service en 1923 et à 38 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 11 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Crucey-Villages est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (86,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (83,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (7,8 %), forêts (5,3 %), zones agricoles hétérogènes (3,4 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous la forme Cruciaci Villa en 1061.

    Les Villages sont : Crucey, Mainterne et Vitray-sous-Brézolles.

    Histoire

    XIXe siècle

    Le 23 novembre 1870, le 13e régiment de dragons et le 70 de cuirassiers de l'armée allemande ont réquisitionné et reçu de la commune de Crucey, en passant sans s'arrêter, 1 600 kilogrammes d'avoine, 500 bottes de paille et 500 bottes de foin[réf. nécessaire].

    XXe siècle

    Par arrêté préfectoral du 7 décembre 1972, les communes de Crucey, Mainterne et Vitray-sous-Brézolles sont réunies dans une commune unique qui prend le nom de Crucey-Villages.

    Politique et administration

    Liste des maires

    La mairie de Crucey-Villages.
    Liste des maires à partir de 1945
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1995 2001 Jean Grillard    
    2001 2008 Marie-Antoinette Mauban    
    2008 2014 Patrick Peyrot des Gachons    
    2014 2020 Jean-Paul Amelot SE Retraité
    2020 En cours Jean-Claude Lamour    

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[22].

    En 2018, la commune comptait 462 habitants[Note 6], en diminution de 1,28 % par rapport à 2013 (Eure-et-Loir : −0,22 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    294404429368405416405412387
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    362370367352351337382386384
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    356327312307347363325365432
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    378301410377440460502475471
    2018 - - - - - - - -
    462--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Église Saint-Aignan de Crucey

    Bois sculpté. Hauteur : 4,20 m. 2 colonnes torses à chapiteaux corinthiens soutiennent la corniche qui se déforme pour former un fronton au sommet duquel s’allongent deux anges parmi des pots à feu. Fronton orné d'un chérubin en bas-relief d'où partent 2 morceaux de tissus pour former une chute de fruits. Colonnes sculptées, ornées de grappes de raisin et d’oiseaux. Le retable est classé au titre de monument historique[25].
    • Dalle funéraire :
    Dalle d'Eustache de Viole, de sa femme Anne de Sabrevois et de leur fils Charles. Pierre taillée rectangulaire verticale. Longueur : 1,85 m. Largeur : 97 cm. Épitaphe gravée partiellement illisible. Lisible :
    « Eustache de Viole décédé le 30 septembre 1665, sa femme Anne de Sabrevois décédée le 12 juillet 1662, leur fils Charles décédé le 15 décembre 1690 ».
    La dalle funéraire est classée monument historique[26].
    • Cloche en bronze de 1704, classée monument historique[27].

    Église Saint-Laurent de Mainterne

    Église Saint-Laurent de Mainterne.
    Statue en pierre, peinte en bleu, rouge et doré. Hauteur : 1,60 m. La Vierge debout, couronnée et portant un bracelet au poignet droit, tient l'Enfant Jésus qui pose la main droite sur le cœur de sa mère. La statue est classée monument historique[28] ;
    Bois taillé, peint en gris. Tabernacle architecturé : saint Sébastien martyr et Jésus Christ surmonté de deux têtes d'angelots et d’un décor de guirlandes. Le tabernacle est classé monument historique[29].

    Église Saint-Sulpice de Vitray-sous-Brezolles

    Église Saint-Sulpice de Vitray-sous-Brezolles.
    Deux tables d’appui, grande et petite consoles, en bois taillé, chantourné, doré, recouverte d’un plateau de marbre. Décor de coquilles et guirlandes de fleurs. Les 2 tables sont classées monuments historiques[30].
    Statue en pierre, peinte en blanc et en doré. Hauteur : 129 cm. Largeur : 50 cm. Profondeur : 27 cm. Vierge à l'Enfant debout, couronnée. L'Enfant Jésus tient un oiseau dans la main droite ; son bras gauche est cassé. La statue est classée monument historique[31].
    Statue en bois taillé. Dans une robe à grandes manches, debout près de sainte Anne, la Vierge porte les cheveux très longs serrés par un bandeau. La statue est classée monument historique[32].

    Château de la Choltière

    Il fut occupé par les familles de Viole et de la Rivière pendant plusieurs siècles.

    Eustache de Viole acquiert la Choltière d'André de Racines le 24 janvier 1654, pour la somme de 13 000 Livres. En 1743, le mariage de Marguerite de Viole (1723-1752) avec Théodore Augustin de la Rivière (1700-1750) fait entrer le château dans la famille de la Rivière. En 1863, Marie Claire de la Rivière épouse le préfet Jules Tarbe des Sablons, dont la fille Henriette épouse René de Place en 1891.

    Château de Marcouville

    Situé dans l'ancienne commune de Vitray-sous-Brezolles, il est au XIXe siècle la propriété de Léon Vingtain, agronome et député d'Eure-et-Loir.

    Base aérienne de Dreux-Louvilliers

    Le site de l'ancienne base aérienne de l'OTAN, Dreux-Louvilliers Air Base, qui s'étend sur le territoire de la commune, est choisi en février 2011 par le conseil général d'Eure-et-Loir pour accueillir un important projet photovoltaïque[33] dont l'opérateur est EDF Renouvelables pour une durée de 28 ans. Le projet couvre 245 des 500 ha de l'ancienne base militaire. Sa construction s'achève fin mai 2012 au terme de 10 mois de travaux mobilisant 150 personnes[34]. 741 500 panneaux photovoltaïques sont déployés sur 150 ha. Entré en service en septembre 2012, il est le plus grand parc photovoltaïque de France à cette date avec une puissance installée de 60 MW, soit l'équivalent de 25 éoliennes[35].

    La base était connue jusqu'ici pour avoir alimenté l'actualité régionale et nationale avec la possibilité d'implantation du troisième aéroport d'Île-de-France entièrement consacré au fret et pour avoir accueilli à deux reprises des Teknivals, celui de mai 2008 ayant rassemblé près de 25 000 personnes[36]

    Personnalités liées à la commune

    Le 25 novembre 1750, ce vaillant soldat au service du roi pendant vingt ans, s'écroula brusquement aux pieds du souverain. On ne sait si Théodore décéda à Versailles ou au château de Bellevue, puisque le roi prenait possession, ce même jour, de ce château construit pour Madame de Pompadour à Meudon, sur le bord du plateau dominant la Seine. L'ensemble de l'entourage de la cour avait été sous pression pour que la fête soit prête en temps et en heure[37]. Le roi, à titre de reconnaissance, pensionnera ses enfants[38].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Rueil - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Crucey-Villages et Rueil-la-Gadelière », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Rueil - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Crucey-Villages et Champhol », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Chartres - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    25. « Retable de la Vierge », notice no PM28000919, base Palissy, ministère français de la Culture.
    26. « Dalle funéraire d'Eustache de Viole, de sa femme Anne de Sabrevois et de leur fils Charles », notice no PM28000268, base Palissy, ministère français de la Culture.
    27. « Cloche de clocher », notice no PM28000269, base Palissy, ministère français de la Culture.
    28. « Groupe sculpté : Vierge à l'Enfant », notice no PM28000934, base Palissy, ministère français de la Culture.
    29. « Tabernacle : le saint Sébastien, Christ », notice no PM28000270, base Palissy, ministère français de la Culture.
    30. « 2 tables », notice no PM28000272, base Palissy, ministère français de la Culture.
    31. « Groupe sculpté : Vierge à l'Enfant », notice no PM28000933, base Palissy, ministère français de la Culture.
    32. « Groupe sculpté : l’Éducation de la Vierge », notice no PM28000271, base Palissy, ministère français de la Culture.
    33. Consulter l'article « parc photovoltaique de crucey, l'opérateur est choisi » dans les archives de l'actualité du site Internet du Conseil général
    34. Radio Intensité, 31 mai 2012, http://www.intensite.net/2009/actu/crucey-villages-le-parc-photovolta%C3%AFque-bient%C3%B4t-sous-tension
    35. « Une des plus puissantes centrales solaires d'Europe inaugurée en Eure-et-Loir », Le Monde 28 septembre 2012
    36. « 25 000 "teufeurs" sont passés en Eure-et-Loir », La République du Centre, édition Orléans, 5 mai 2008, p. 4
    37. Chronique de la Régence et du Règne de Louis XV (1718-1763), ou Journal de Barbier. Par Edmond Jean François Barbier
    38. Généalogie de la famille de La Rivière. Sur Geneanet : http://gw4.geneanet.org/danieldlr_w
    39. "Ferme et château moderne bâti près de l’ancien. Cette ancienne seigneurie, mentionnée dès le XIe siècle porte dans les chartes les noms de : Marcuter Villa, Marcuti Villa, Marcuvilla, Marcouvilla. Ce n’était qu’un manoir près duquel on bâtit ensuite un fort qui fut détruit en 1151 par les Anglo-Normands. Les vieilles chroniques de Normandie l’appellent Marcuteri Villa (marce turris villa, le manoir de la haute tour)". Société généalogique de l'Eure-et-Loir.
    40. « Laigneau Fernand, Laigneau Lucie », sur https://yadvashem-france.org (consulté en ).
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