Croutelle

Croutelle est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans la banlieue sud-ouest de Poitiers, dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Croutelle

Logo
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Poitiers
Intercommunalité Communauté urbaine du Grand Poitiers
Maire
Mandat
Arnaud Rousseau
2020-2026
Code postal 86240
Code commune 86088
Démographie
Gentilé Croutellois
Population
municipale
864 hab. (2018 )
Densité 584 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 32′ 15″ nord, 0° 17′ 21″ est
Altitude Min. 100 m
Max. 147 m
Superficie 1,48 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Fontaine-le-Comte
(banlieue)
Aire d'attraction Poitiers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Poitiers-1
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Croutelle
Géolocalisation sur la carte : Vienne
Croutelle
Géolocalisation sur la carte : France
Croutelle
Géolocalisation sur la carte : France
Croutelle
Liens
Site web https://www.croutelle.fr/

    Ses habitants sont appelés les Croutellois[1].

    Géographie

    Localisation

    Croutelle est entourée des communes de Ligugé, Fontaine-le-Comte, Vouneuil-sous-Biard ainsi que de la ville de Poitiers. Elle est traversée par la route nationale 10.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Croutelle
    Poitiers
    Fontaine-le-Comte
    Ligugé

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 11,4 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 727 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Poitiers-Biard », sur la commune de Biard, mise en service en 1921[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[10] à 11,7 °C pour 1981-2010[11], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Croutelle est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[13],[14],[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Fontaine-le-Comte, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[16] et 4 704 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poitiers dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (58,3 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (36 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (44,3 %), terres arables (20,2 %), forêts (18,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (14 %), prairies (2,2 %), zones agricoles hétérogènes (1,2 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le nom du village dériverait du mot cruptellae qui désigne une crypte ou un habitat troglodytique[22].

    Histoire

    Sur la route romaine de Poitiers à Saintes, la première étape, attestée par les cartulaires médiévaux, est Croutelle, blottie dans son vallon au bord de la Feuillante. Un habitat troglodyte à l'époque gallo-romaine lui vaut sans doute son nom de Cruptellae qu'elle conservera jusque vers 1130.

    On lui connaît au IIIe siècle une église paroissiale sous le vocable de Saint-Barthélemy, qui sera un jour élevée en prieuré, et au début du XIVe siècle une fondation caritative, accueillant indigents et malades, l'Aumônerie dont dépend un Hôtel-Dieu, où l'on soigne les « lépreux blancs » ou « faux lépreux », tandis que les vrais lépreux étaient en traitement à Mezeaux.

    Alentour s'y développent des ateliers de tourneurs sur bois, dont les finesses et les tournures se répandent bien au-delà du Poitou, jusqu'aux extrémités du royaume. Les menuisiers ingénieux, ciselant le buis et le fusain, multiplient quenouilles et fuseaux, quilles et boules, flûtes, pipeaux, haut-bois, cornemuses, flageolets et sifflets, pour le plaisir des paysans comme pour celui des princes, les branles de village et les fêtes de cour. Un jour lointain encore, la reine Catherine de Médicis accueillera en son palais toute une collection de ces menus objets, dont les noms des rues Vincent-Pya et André-Pineau perpétuent aujourd'hui le souvenir.

    Le XVe siècle voit la colline de la Mothe se doter d'un château, dû à Simon Mourraut, commissaire de la recette et de l'emploi des deniers communs de la ville de Poitiers. Après quatre-vingts ans, le domaine passe dans la maison du Puy du Fou, vieille famille poitevine, titulaire d'importantes magistratures, pour échoir au début du XVIIe siècle à Godefroy Poussineau, trésorier de France à Poitiers, qui agrandira le château et dont la descendance en maintiendra l'éclat jusqu'en 1850, date à laquelle la terre de la Mothe entre dans la famille Paulze d'Ivoy, avant de passer à la famille Laveissière. Un Paulze d'Ivoy fut le premier maire élu de Croutelle.

    La création en 1431 de l'université de Poitiers, par le roi Charles VIII, donne un nouveau souffle aux abbayes voisines de Ligugé et de Fontaine le Comte qui attirent les humanistes.

    Venant de Moillezais, François Rabelais élit domicile chez ses frères de Saint-Martin, d'où il se rend fréquemment à Fontaine, pour y visiter son ami helléniste l'abbé Ardillon. Chemin faisant, il dit s'arrêter à Croutelle, pour y boire à la « fontaine caballine », selon la tradition des étudiants de Poitiers, qui allaient, à chaque rentrée universitaire, y puiser l'intelligence des belles-lettres. Ainsi Croutelle entre-t-elle dans la légende ou plutôt dans l'histoire fantastique de la jeunesse de Gargantua.

    Si l'humanisme fut fervent dans la contrée, la Réforme fut active à Croutelle. Calvin s'y cache en une grotte, trois nuits de suite, avant de filer vers Genève, non sans laisser derrière lui de nombreux adeptes. C'est dire que les guerres de religion seront rudes pour Croutelle : on cite plusieurs rencontres sanglantes pendant les combats de la Ligue, mais c'est la révocation de l'édit de Nantes qui portera le coup le plus dur à la prospérité du bourg en entraînant la fermeture des ateliers et la dispersion des artisans. Le lieu-dit Champ de Bataille, situé à la sortie sud de Croutelle, n'évoque cependant qu'une rixe sanglante, le 16 janvier 1669, entre deux hobereaux en colère et leur suite.

    Le bourg subsiste au temps des diligences, premier relais après Poitiers sur la route de Niort : on change les chevaux avant la côte de la Mothe ; la ville dispose d'un maréchal-ferrant et deux hôtels, la Croix Blanche et le Saint Nicolas, offrent leurs commodités aux voyageurs. Un maître de poste actif, le sieur Bouchet, obtient en 1790 que Croutelle devienne chef-lieu d'un canton régnant sur Béruges, Biard, Fontaine, Iteuil, Ligugé et Vouneuil, tandis que la paroisse, tenue pendant plus de cinquante ans par l'abbé Pierre Pain, fédère les activités de toutes celles du canton.

    Quelques décennies plus tard, Croutelle perd ces avantages et tombe à moins de 300 âmes. Ce déclin devait être conjuré grâce aux initiatives prises par les nouveaux propriétaires de la Mothe. La famille Laveissière fait en effet l'acquisition du château au tout début du siècle[Quand ?] et en entreprend la rénovation, mettant à contribution tous les corps de métier de la commune (menuisier, maçon, plâtrier, ferronnier, jardinier…). Non content de stimuler l'activité artisanale, Jean-Jacques Laveissière, fils de Joseph, donne à la vie municipale associative un nouvel élan, quand il est maire, charge qu'il exerce durant trois mandats successifs.

    Cette continuité dans l'action municipale se retrouve dans les quatre mandats de Jean-Charles Boulanger, sous l'égide duquel la commune passe à 650 habitants, à la faveur du lotissement des Hauts-de-Croutelle, et ce malgré la fermeture de l'école primaire. Les enfants de la commune sont en majorité scolarisés sur la commune voisine de Fontaine-le-Comte.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[23]
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2001 mars 2014 Jean-Charles Boulanger    
    mars 2014 en cours Véronique Ley N/A  

    Instances judiciaires et administratives

    La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

    Services publics

    Les réformes successives de la Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[25].

    En 2018, la commune comptait 864 habitants[Note 6], en augmentation de 4,98 % par rapport à 2013 (Vienne : +1,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    84127151179183251309329273
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    280236220229231237234241196
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    197223216174188201222236251
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    313335336452448649678822812
    2018 - - - - - - - -
    864--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    En 2008, selon l’Insee, la densité de population de la commune était de 549 hab./km2 contre 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

    La commune appartient à la communauté d’agglomération de Poitiers qui connait un certain dynamisme démographique puisque sa population s’est accrue de 1,32 % par an en moyenne sur la période 1999 - 2006 (Ce taux est de 0,7 % pour le département). Ceci illustre le constat démographique suivant : des zones rurales qui perdent de plus en plus d’habitants au profit d’une zone périurbaine autour de Poitiers et de Châtellerault. Cette vaste zone concentre 70 % de la population du département (soit environ 300 000 personnes) et 25 % des moins de 20 ans. En outre, en supposant le maintien des tendances démographiques depuis 1990, entre 2006 et 2020, la population de l’aire urbaine de Poitiers devrait s’accroître de +16,5 % et celle de Châtellerault de +5,0 %[28]. La population de la commune devrait donc continuer à croitre.

    Cependant, la population du Grand Poitiers [29] n'a quasiment pas augmenté entre 2007 et 2012 (141 986 habitants en 2007 pour 142 751 habitants en 2012). Le dynamisme démographique concerne surtout les communes limitrophes de la capitale poitevine. Ainsi, Croutelle, qui est la plus petite commune du département de la Vienne et la plus petite de l'agglomération par la population connaît toujours une belle croissance démographique : 56 habitants en plus durant cette période soit une hausse de 7  % de sa population.

    Économie

    Croutelle est une commune urbaine qui n'a plus aucune activité agricole. Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la forêt de Poitou-Charentes[30], il n'y a plus d'exploitations agricoles en 2010, à la suite de la vente des dernières parcelles agricoles pour la construction d'un lotissement supplémentaire. Il en restait encore une en 2000.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Le bâtiment constituant l'immeuble Le Palais est inscrit comme monument historique depuis 1996. Les façades et les toitures du corps du logis principal, le mur de clôture et le pigeonnier sont inscrits depuis 1983.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 29 août 2008.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station météofrance Poitiers-Biard - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Croutelle et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Poitiers-Biard - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Unité urbaine 2020 de Fontaine-le-Comte », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    17. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    18. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Poitiers », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes – Édition FLOHIC – 2002 – (ISBN 2-84234-128-7).
    23. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    28. Étude de KPMG pour le Conseil Général de la Vienne : FuturS en Vienne – diagnostic – novembre 2009
    29. INSEE 2014 : les chiffres sont ceux des populations totales. C'est-à-dire celles retenues pour établir les subventions que l'État verse aux communes. Pour obtenir la population totale, l'Insee ajoute la population « comptée à part » à la population municipale. Cette population comprend les personnes qui ont conservé une résidence dans une autre commune que celle où ils sont recensés. Ce sont les lycéens ou étudiants qui habitent Poitiers en période scolaire et rentrent chez leurs parents le week-end et/ou pendant les vacances. Ce sont aussi les personnes hospitalisées ou en établissement de convalescence, les militaires, les religieux et les personnes sans domicile fixe
    30. Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
    • Portail de la Vienne
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.