Cormeilles (Eure)

Cormeilles est une commune française située dans le département de l'Eure en région Normandie.

Pour les articles homonymes, voir Cormeilles.

Cormeilles

Vue d'ensemble du village.

Blason
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Bernay
Intercommunalité Communauté de communes Lieuvin Pays d'Auge
Maire
Mandat
Pascal Cauche
2020-2026
Code postal 27260
Code commune 27170
Démographie
Gentilé Cormeillais
Population
municipale
1 164 hab. (2018 )
Densité 382 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 14′ 55″ nord, 0° 22′ 43″ est
Altitude Min. 59 m
Max. 151 m
Superficie 3,05 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Beuzeville
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Cormeilles
Géolocalisation sur la carte : Eure
Cormeilles
Géolocalisation sur la carte : France
Cormeilles
Géolocalisation sur la carte : France
Cormeilles
Liens
Site web cormeillesenauge.com

    Ses habitants sont appelés les Cormeillais.

    Géographie

    Localisation

    Cormeilles est une commune située dans l'Ouest du département de l'Eure et limitrophe de celui du Calvados. Selon l'atlas des paysages de Haute-Normandie, elle appartient à l'unité paysagère de la vallée de la Calonne[1]. Toutefois, l'Agreste, le service de la statistique et de la prospective du ministère de l'Agriculture, de l'Agroalimentaire et de la Forêt, la classe au sein du pays d'Auge (en tant que région agricole)[2]. Elle est à 68 km au nord-ouest d'Évreux, à 19 km au nord-est de Lisieux, à 17 km au sud-est de Pont-l'Évêque et à 17 km au sud-ouest de Pont-Audemer.

    Hydrographie

    La commune de Cormeilles est traversée par la Calonne[5], rivière qui se jette dans la Touques (de ce fait, la région de Cormeilles est la seule, dans le département, qui ne fait pas partie du bassin versant de la Seine). Elle est également traversée par le douet Tourtelle[6].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[8].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[9]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[7]

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 872 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lieurey », sur la commune de Lieurey, mise en service en 2000[13] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[14],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de précipitations de 879,1 mm pour la période 1981-2010[15]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Deauville », sur la commune de Deauville, mise en service en 1973 et à 25 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 10,3 °C pour la période 1971-2000[17] à 10,7 °C pour 1981-2010[18], puis à 11 °C pour 1991-2020[19].

    Urbanisme

    Typologie

    Cormeilles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[20],[21],[22]. La commune est en outre hors attraction des villes[23],[24].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (79,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (72,5 %), zones urbanisées (24 %), forêts (3,2 %), zones agricoles hétérogènes (0,3 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[26].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes, Cormelioe[réf. nécessaire], Cormelias en 1105[27].

    Le toponyme Cormeilles est issu de l'ancien français cormeille « cormier », pluriel de l'oïl cormeille « sorte de fruit », qui a dû signifier « sorbier, ensemble de sorbiers » et qui est un dérivé de l'oïl corme, d'origine gauloise[28] : du latin populaire corma, du gaulois curmi « cervoise » (cf. irlandais coirm, gallois cwrwf, breton korev), en raison de l'ancien cidre de cormes.

    Histoire

    Bourg compris dans le domaine ducal normand et donné au XIIe siècle à Raoul, comte d'Ivry et de Bayeux. Guillaume Fitz Osbern y fonda au milieu du XIe siècle l'abbaye Notre-Dame qui se trouve actuellement sur le territoire de Saint-Pierre-de-Cormeilles. Celle-ci complètement détruite a sa réplique dans une petite ville anglaise, Shirehampton.[réf. nécessaire]

    "Les Cormeilles" : ce qui impliquait l'existence de plusieurs localités réunies en une seule et formant un bourg. Plusieurs paroisses le constituaient : Saint-Pierre, Saint-Sylvestre et Sainte-Croix que la Révolution française a scindé en trois communes bien distinctes : Saint-Pierre-de-Cormeilles, Saint-Sylvestre-de-Cormeilles et Cormeilles. Cormeilles était très réputée pour le travail du lin et au XVIIIe siècle, pour le commerce important de peaux. En effet, le village a compté jusqu'à trente tanneries et six mégisseries[29]. C'était alors le deuxième centre commercial après Pont-Audemer pour le travail des peaux.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1965 1971 Raymond Legendre    
    avant 1987 avant mars 1989 François Thiron DVD Notaire, conseiller général (1967-1972 et 1979-1992)
    mars 1989 mars 1995 Marcel Passavant    
    mars 1995 mars 2001 M. Drumare    
    mars 2001 mars 2008 Max Bertauld    
    mars 2008 En cours Pascal Cauche DVD Administrateur de sociétés
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    Plaque de rue, témoin du jumelage.

    La ville est jumelée avec :

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].

    En 2018, la commune comptait 1 164 habitants[Note 6], en augmentation de 1,13 % par rapport à 2013 (Eure : +0,83 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2141 1611 1411 3011 3311 3911 3731 4671 450
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4471 4261 3851 3201 2681 2471 2161 2401 214
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2081 2631 1591 1761 1601 0329911 0811 135
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 0771 1431 1401 1291 0691 1911 2011 2031 146
    2017 2018 - - - - - - -
    1 1611 164-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Maisons à colombages sur la place du Général-de-Gaulle.

    Bien que ce village soit méconnu du grand public, son charme attire quelques touristes français et étrangers. Des visites guidées du village sont proposées par l’office du tourisme et des promenades en charrettes tirées par des chevaux sont aussi proposées. Cormeilles bénéficie du label station verte[36].

    De nombreux commerçants sont présents à Cormeilles et l'activité commerciale y est très soutenue[37] tout au long de l'année. Pendant le deuxième confinement à l'automne 2020, à l'initiative de l'association des commerçants de Cormeilles, un ensemble de boutiques en ligne a été créé[38]. Nommé Cormeilles en drive et accessible à l'adresse https://cormeillesendrive.fr, il s'agit d'une vitrine des boutiques en ligne des commerçants de Cormeilles[39] afin de leur permettre de poursuivre leur activité à l'approche des fêtes de fin d'année et de proposer des services en cliqué-retiré et en livraison encore peu développés dans la région[40].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Cormeilles compte de nombreux monuments inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel :

    Maisons à colombages.
    Théâtre de Cormeilles.
    Bibliothèque de Cormeilles
    • L'église Sainte-Croix (XIIe et XIXe)[41]. Cette église, située au cœur du quartier du Mont-Mirel, présente la particularité unique en Normandie d'avoir le sol en pente (environ 9 %), mettant ainsi l'autel majeur au niveau des orgues[42] ; l’orgue[43] de 1841 de Georges Luce a été reconstruit en 1903 par C. Mutin[44], et relevé en 1983 par Philippe Hartmann (10 jeux, 2 claviers, pédalier) ; les vitraux, détruits en 1944, ont été remplacés par de nouveaux, exécutés par Guays-Merigot, maîtres verriers à Paris, en 1949 ;
    • L'abbaye Notre-Dame de Cormeilles ;
    • La mairie (XIXe)[45]. Elle se distingue par une façade avant en pierre tandis que celle de l'arrière est en brique[29] ;
    • Le marché (XIXe)[46] ;
    • La distillerie Busnel (XXe)[47]. Fondée en 1820 par Ernest Busnel, cette distillerie est à l'origine implantée à Pont-l'Évêque. C'est en 1910, sous l'impulsion d'Henri Leblanc, qu'elle s'installe à Cormeilles. Propriété du groupe La Martiniquaise, la distillerie produit environ 1 350 000 bouteilles chaque année. À côté du site de production, un musée dévoile l'ensemble du processus de fabrication du calvados[29] ;
    • Le presbytère (XVIIIe)[48] ;
    • Le monument aux morts (XXe)[49]. Il a été construit vers 1920 sur l'actuelle place Général-de- Gaulle ;
    • Le théâtre (XIXe)[50], de 360 places. Il a toujours servi pour des représentations théâtrales mais sert aussi de cinéma depuis les années 1950/60, et chaque été pour le festival des Musicales de Cormeilles[51] ;
    • Un hôtel du XVIIIe siècle[52];
    • De nombreuses maisons à colombages[53] datant des XVe, XVIIe et XVIIIe siècle[54],[55],[56],[57],[58],[59],[60],[61]

    Autres lieux et édifices :

    • Le Bonhomme Cormeilles est une sculpture de bois du XVIe siècle représentant la tête d'un homme fumant sa pipe.
    • L'ancien relais de poste datant du XVIe siècle. Il présente un balcon à l'italienne ainsi que des sculptures de chevaux[29] ou de loups rageurs.
    • Patrimoine hydraulique : un séchoir du XVe siècle équipé d'un système à claire-voie ; plusieurs lavoirs tels que le lavoir du centre-ville ou celui du Frédet[29].

    Natura 2000

    • Le haut bassin de la Calonne[62].

    ZNIEFF de type 1

    • Les monts du bourg, le tour du pays d'Auge[63]. Il s'agit d'abord d'un alignement d'arbres traités en têtard qui accueille une avifaune cavernicole menacée dans la région (Chouette chevêche, Rougequeue à front blanc, Chiroptères, etc.). Ensuite, le talus sur lequel sont plantés ces arbres abrite des fougères telles que la très rare Capillaire noire et une autre peu commune, le Polystic à soie ;
    • La colonie de grand murin de Cormeilles[64]. Il s'agit de combles d'habitation d'un particulier abritant des grands murins, une espèce de chauve-souris.

    ZNIEFF de type 2

    • La haute vallée de la Calonne[65].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Ces armes peuvent se blasonner ainsi aujourd’hui :

    de gueules au cerf d'or[68].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[10].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « La vallée de la Calonne », sur Atlas des paysages de la Haute-Normandie (consulté le ).
    2. « Zonages », sur Agreste (consulté le ).
    3. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
    4. « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
    5. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Calonne (I03-0400) ».
    6. SANDRE, « Fiche ruisseau le douet tourtelle (I0379000) » (consulté le ).
    7. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    8. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    9. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    10. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    11. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    12. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    13. « Station Météo-France Lieurey - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    14. « Orthodromie entre Cormeilles et Lieurey », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station Météo-France Lieurey - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    16. « Orthodromie entre Cormeilles et Deauville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    17. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Station météorologique de Deauville - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    22. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    26. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    27. François de Beaurepaire - 1981 -Les noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure - Page 94.
    28. Ernest Nègre - 1990 - Toponymie générale de la France - Page 281 - (ISBN 2600028838).
    29. Virginie Michelland, « Cormeilles et Saint-Pierre-de-Cormeilles : deux étapes charmantes en Pays d'Auge », Patrimoine normand, vol. 105, (lire en ligne).
    30. Le jumelage, conclu avec Arnoldsweiler, se poursuit avec Düren, ville à laquelle Arnoldsweiler a été incorporée en 1972.
    31. http://www.lieuvinpaysdauge.fr/connaitre-la-collectivite/les-communes/cormeilles/
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    36. Cormeilles station verte
    37. « Cormeilles. Ouverture d'un service de dépôt-vente d’objets décoratifs, vintage et friperie », sur actu.fr (consulté le ).
    38. « Covid-19. À Cormeilles, quels sont les commerces ouverts ou fermés durant ce reconfinement ? », sur www.paris-normandie.fr (consulté le ).
    39. « Cormeilles : les commerçants lancent un site pour commander en ligne », sur actu.fr (consulté le ).
    40. « Cormeilles en drive - Consultez nos boutiques en ligne », sur Cormeilles en drive (consulté le ).
    41. « Église paroissiale Sainte-Croix », notice no IA00050066, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    42. Office de tourisme de Cormeilles
    43. http://www.orgues-normandie.com/orgue_normand/PDF/Orgue_Normand_19_3346.pdf
    44. https://web.archive.org/web/20180114184514/http://orgues-normandie.com/index.php?principal=fiche_orgue.php&id=195
    45. « Mairie », notice no IA00050067, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    46. « Marché », notice no IA00050070, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    47. « Distillerie », notice no IA00050071, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    48. « Presbytère », notice no IA00050072, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    49. « Monument aux morts », notice no IA00050069, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    50. « Théâtre », notice no IA00050068, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    51. Festival des Musicales de Cormeilles
    52. « Hôtel », notice no IA00050073, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    53. Page spécifique du site de l'office de tourisme.
    54. « Maison », notice no IA00050074, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    55. « Maison », notice no IA00050075, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    56. « Maison », notice no IA00050077, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    57. « Maison », notice no IA00050076, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    58. « Maison », notice no IA00050078, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    59. « Maison », notice no IA00050079, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    60. « Maison », notice no IA00050080, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    61. « Maison », notice no IA00050081, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    62. « Le haut bassin de la Calonne », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    63. « Les monts du bourg, le tour du pays d'Auge », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    64. « La colonie de grand murin de Cormeilles », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    65. « La haute vallée de la Calonne », sur Muséum national d'Histoire naturelle - Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    66. Jean-Didier Wagneur et Françoise Cestor, Les Bohèmes, 1840-1870, éditions Champ Vallon, 2012 (ISBN 9782876736337).
    67. « tableau : le Christ au Jardin des oliviers », notice no IM27016118, base Palissy, ministère français de la Culture, visible dans l'église de Saint-Just (Eure).
    68. Délibération du conseil municipal du 15 mai 1856, mentionnée par Alfred Canel, Armorial des villes et corporations de la Normandie, 1863, p. 115.
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