Convention internationale relative aux stupéfiants de 1925
La convention internationale relative aux stupéfiants de 1925 fait suite à la Convention internationale de l'opium de 1912 signée à La Haye constatant que la contrebande de substances illicites se poursuit sur une grande échelle malgré des progrès significatifs[1].
Historique
La convention fut conclue à Genève le . Elle fut approuvée le par l'Assemblée fédérale. La ratification fut déposée le et elle entra en vigueur pour la Suisse le de la même année. Le texte a été modifié dans ses grandes lignes pour faire place à la convention unique sur les stupéfiants de 1961 et à la convention sur les substances psychotropes de 1971[1],[2].
Le texte de la convention se décline en 39 articles regroupés en sept chapitres[1] :
- Chapitre I Définitions
- Chapitre II Contrôle intérieur de l'opium brut et des feuilles de coca
- Chapitre III Contrôle intérieur des drogues manufacturées
- Chapitre IV Chanvre indien
- Chapitre V Contrôle du commerce international
- Chapitre VI Comité central permanent
- Chapitre VII Dispositions générales
Pays signataires de la convention
- Albanie
- Allemagne
- Autriche
- Belgique
- Brésil
- Empire britannique
- Canada
- Australie
- Union d'Afrique du Sud
- Nouvelle-Zélande
- Irlande
- Inde
- Bulgarie
- Chili
- Cuba
- Danemark
- Espagne
- France
- Grèce
- Hongrie
- Japon
- Lettonie
- Luxembourg
- Nicaragua
- Pays-Bas
- Iran
- Pologne
- Portugal
- Royaume des Serbes, Croates et Slovènes
- Siam
- Soudan
- Suisse
- Tchécoslovaquie
- Uruguay
Notes et références
- Convention internationale relative aux stupéfiants, Conseil fédéral, portail du Gouvernement suisse, mise à jour 9 septembre 2017
- Convention internationale relative aux stupéfiants, Conseil fédéral, portail du Gouvernement suisse, mise à jour 9 septembre 2017
Articles connexes
Liens externes
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