Contes (Alpes-Maritimes)

Contes est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ses habitants sont appelés les Contois.

Pour les articles homonymes, voir Contes.

Contes

Contes, vue d'ensemble depuis la route de Châteauneuf.

Blason
Administration
Pays France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-Maritimes
Arrondissement Nice
Intercommunalité Communauté de communes du pays des Paillons
(siège)
Maire
Mandat
Francis Tujague
2020-2026
Code postal 06390
Code commune 06048
Démographie
Gentilé Contois
Population
municipale
7 429 hab. (2018 )
Densité 382 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 48′ 46″ nord, 7° 18′ 52″ est
Altitude Min. 123 m
Max. 642 m
Superficie 19,47 km2
Unité urbaine Nice
(banlieue)
Aire d'attraction Nice
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Contes
(bureau centralisateur)
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Contes
Géolocalisation sur la carte : Alpes-Maritimes
Contes
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Contes
Géolocalisation sur la carte : France
Contes
Liens
Site web ville-contes.fr

    À cause de l'homophonie avec le mot comte, la commune prit le nom de Pointe-Libre durant la période révolutionnaire.

    Jusqu'en 1860, le nom officiel en italien était "Conti".

    Géographie

    La commune de Contes s'étend sur près de 2 000 hectares, entre 130 m d'altitude pour la Pointe et 480 m pour Sclos. Bien que possédant une importante zone d'activité, la nature est dominante, deux tiers d'espaces naturels et de cultures (pin, mimosa et olivier) dominés au sud par le mont Macaron (800 m) et au nord par le mont Férion (1 400 m). Plus de 7 100 habitants se répartissent sur le village et ses trois hameaux : Sclos, la Vernéa, et la Pointe.

    La commune est environnée par les communes de Châteauneuf-Villevieille et, au-delà, le col de Châteauneuf à l'ouest, Cantaron et Blausasc au sud, Berre-les-Alpes à l'est et Bendejun puis Coaraze et le col Saint-Roch au nord.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Contes est une commune urbaine[Note 1],[1]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nice, une agglomération intra-départementale regroupant 51 communes[4] et 942 886 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Nice est la septième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse et Bordeaux[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[7],[8].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (53,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (58,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (36,1 %), zones urbanisées (33,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (12,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,3 %), zones agricoles hétérogènes (3,2 %), cultures permanentes (2,7 %), mines, décharges et chantiers (2,3 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Toponymie

    Attestée sous la forme Contenes en 1057.

    Peut-être d'un nom propre romain Comiten ou d'un gaulois *Contio.

    Les habitants étaient les Cuntini au Ier siècle.

    Histoire

    Le bourg fut desservi, au début du XXe siècle, par une des lignes du Tramway de Nice et du Littoral.

    Geoffroy Torcati, juge de Vintimille (1323-24 et 1327), originaire de Nice, fut co-seigneur de Contes[11]. Il épousa Aicarda, fille de Pierre de Châteauneuf, sa part de seigneurie pourrait lui venir de ce mariage[12].

    Politique et administration

    Liste des maires

    La mairie de Contes.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1945 1951 François Demattéis app. PCF  
    1951 1965 Albert Ollivier PCF Décédé en cours de mandat
    1965 1975 Marius Pencenat   Directeur d'école
    mars 1977 mars 1996 Roger Carles PCF Conseiller général du canton de Contes (1970-1996),
    Décédé en cours de mandat[13]
    mai 1996[14] En cours Francis Tujague PCF Retraité
    Conseiller général puis départemental du canton de Contes (1996-2021)[13]
    Président de la communauté de communes du Pays des Paillons (2001-2014)

    Vie politique

    Roger Carles fait partie des personnalités politiques marquantes de la « vallée rouge » du Paillon et du monde de la terre en Pays niçois pour la période de l'après-seconde guerre mondiale. Né le 25 février 1925 à Contes, il adhère au communisme en 1946, dans les années où le PCF se veut la force agissante de la reconstruction de la France après avoir été celle de sa libération à travers les combats de la Résistance. Élu conseiller municipal de Contes en 1953 sur la liste d'Albert Ollivier (SFIO), il occupe le poste d'adjoint à partir de 1965. Il emporte la mairie pour le compte de son Parti, au sommet de la grande vague de l'Union de la Gauche en 1977, et la dirige jusqu'à sa mort. Pendant 25 ans il représente son canton au conseil général des Alpes-Maritimes. Mais c'est surtout au mouvement paysan et associatif rural que Roger Carles consacre l'essentiel de son activité et de son énergie militante. Après avoir fait ses premières armes à l'Union Paysanne aux côtés de Jean Laurenti et d'Honoré Grinda, il joue un rôle de premier plan dans les instances départementales du Centre National des jeunes agriculteurs (CNJA) et de la FDSEA, le syndicat des exploitants agricoles ainsi qu'à la Chambre d'Agriculture de Nice. L'homme fut de tous les combats avec « Ceux de la Terre », des jours de colère du grand hiver de 1956 qui décima les cultures d'oliviers jusqu'aux années 1980-90 pour la défense et le maintien des activités rurales du moyen pays . Il permit le maintien d'exploitations agricoles locales en prenant la présidence de la caisse locale du Crédit Agricole de Contes.

    Roger Carles est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de Georges Marchais (PCF) à l’élection présidentielle de 1981[15]. Il disparaît le 9 mars 1996, terrassé par une crise cardiaque.

    Une élection municipale partielle eut lieu en 1996 à la suite du décès de Roger Carles, amenant à l'entrée en fonction de Francis Tujague comme nouveau maire. Celui-ci est élu peu après conseiller général des Alpes-Maritimes dans le canton de Contes.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[17].

    En 2018, la commune comptait 7 429 habitants[Note 3], en augmentation de 2,06 % par rapport à 2013 (Alpes-Maritimes : +0,5 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1822 1831 1838 1841 1848 1851
    1 4421 4741 4261 8382931 8613091 904287
    1858 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 9301 7071 7481 5601 5881 6811 6551 6341 688
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 6531 7161 9112 0132 5242 7522 7172 0032 366
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    2 8763 4584 1234 9415 8676 5516 8286 8686 909
    2013 2018 - - - - - - -
    7 2797 429-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[19].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    concerne évolution population: chiffres pour les années 1831, 1841,1851 bien étranges!

    Sports

    • Un club de softball : les Cobras du BC Contois, dont l'équipe masculine devient championne de France en 2019.

    Économie

    Oléiculture

    La culture de l'olivier (commune à l'ensemble de l'arc méditerranéen) est une activité traditionnelle de la commune. Celle-ci fait partie du territoire concerné par l'appellation d'origine contrôlée « Olive de Nice ».

    L'industrie de la chaux et du ciment

    La cimenterie Lafarge à Contes

    L'extraction de pierre et la fabrication du ciment sont les principales activités industrielles de Contes. Une usine du cimentier Lafarge s'y est installée et prospère depuis de nombreuses années.

    Cette activité industrielle est ancienne. Le sol de la commune étant riche en marne (roche argilo-calcaire), les Contois avaient coutume de fabriquer leur chaux, utilisée dans la construction des maisons et des bergeries. Des fours de campagne (« fournas ») se trouvaient dans différents quartiers. La véritable exploitation industrielle des pierres à chaux de Contes démarra dans la deuxième moitié du XIXe siècle. En 1867, une Société des chaux et ciments installa une usine de traitement des terres sur un grand terrain du quartier Pincalvin. Cette unité de production se développa sous des noms successifs : Usine des carrières à chaux hydraulique des Mouchettes, puis Société anonyme des chaux et ciments de Contes-les-Pins[20]. Son expansion s'accompagna du développement des moyens de transport, notamment de l'ouverture d'une ligne de tramway Nice-Contes au début du XXe siècle[21].

    En 1884, l'usine employait plus de 200 ouvriers. Elle comprenait deux fours à chaux verticaux de 8 mètres de hauteur. L'énergie était fournie par une machine à vapeur, remplacée en 1900 par l'énergie électrique. En 1904, l'usine fut rachetée par l'entreprise de chaux et ciments des frères Pavin de Lafarge. En 1906, elle était équipée de 15 fours. Elle en comptait 25 en 1908 : 19 pour la chaux et 6 pour le ciment Portland. Ces derniers étaient passés à 14 à la veille de la Première Guerre mondiale[22]. En 1914, l'usine employait 300 salariés environ[23].

    La zone d'activité économique, alors une zone industrielle balbutiante est créée par M. Lisandro Ceragioli, menuisier bien connu du hameau de la Pointe de Contes qui était sous-traitant de l'usine de la chaux et du ciment. Il y construit plusieurs bâtiments industriels. Loués tour à tour à des industriels en devenir, il fait des émules et dès les années 1960 son exemple est suivi. Son fils Benoit Ceragioli dès 1972 crée une menuiserie industrielle qui deviendra la plus grande du département. Président de la zone industrielle, il transmettra le flambeau à Jacques Perrin (http://www.ville-contes.fr/video/Guide%20des%20associations.pdf) industriel du verre.

    En 2006, une exposition a commémoré un siècle d'histoire commune entre Contes et Lafarge[24].

    Développement actuel de la commune

    Avec l'ouverture de la pénétrante du Paillon, la commune de Contes est aujourd'hui à 15–20 minutes du centre de Nice et voit arriver toujours plus d'habitants.


    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'église Sainte-Marie-Madeleine est inscrite sur l'Inventaire supplémentaire des Monuments historiques en 1943[25]. L'église possède un orgue installé dans l'église au printemps 1873 par le facteur d'orgue Frederico Valoncini. Il a été restauré entre 2008 et 2010[26]
    • Jouxtant l'église Sainte-Marie-Madeleine, une fontaine Renaissance pourvoit de l'eau place de la République depuis le XVIe siècle. Ne possédant alors que deux citernes alimentées par l'eau de pluie, l'assemblée des chefs de feux avait décidé en 1466 de faire venir de l'eau dans le castrum. La source de la Maïre de Riodan située à 2 500 m, est achetée mais les difficultés pour acheter les terrains nécessaires au passage du canal d'alimentation vont être longues à régler. C'est finalement en 1572 que l'eau arrive dans le village, et en 1587 que cette fontaine a pu être construite. Elle a été classée monument historique en 1906[27]. Elle est ornée d'un blason sculpté représentant un tronc avec des feuilles d'olivier ; il pourrait s'agir du premier blason de la commune[28],[29].
    • La chapelle Saint-Joseph des Pénitents du XVIe siècle.
    • La chapelle Saint-Roch datant du XVIe siècle, a été restaurée en 1953.
    • La chapelle Saint-Martin, ancienne chapelle des Pénitents Noirs.
    • La chapelle Sainte-Hélène, au hameau de Sclos.
    • Le moulin à fer, appelé aussi le martinet, classé Monument Historique en 1979[30]. Elle est la seule à avoir encore sa forge d'origine. Elle reste un témoin précieux des techniques du Moyen Âge. Cette technique apparaît au XIIe siècle. Ce moulin a fonctionné jusqu'en 1965.
    • Le moulin à huile de la Laouza. Des textes mentionnent un moulin à huile fonctionnant avec la force motrice de l'eau à Contes en 1108. D'autres moulins sont construits plus tard aux lieux-dits Pairans et Saint-Roch. En 1841, les marchands niçois surnomment les Contois les «Tremp'oli», les mouilleurs d'huile.
    • La rue du Fraou avec ses passages voûtés et les ruelles, rues Penchienatti, du Castel..., autour de l'ancien castel, le fortum, donnent une idée du vieux village. La plus ancienne porte date de 1556. Plusieurs linteaux de porte sont ornés du monogramme du Christ, ou chrisme. La décoration des maisons change au XIXe siècle. À la fin du XIXe siècle, les propriétaires les plus riches les font décorer de frises en tête des murs par des artistes venus du Piémont.
    • De l'ancien castel, il reste une pierre gravée découverte dans un mur en 1972 et scellée dans l'entrée principale.
    • Musée de la vigne et du vin, rue Scudéri.

    Héraldique

    D'azur au grenadier fruité de cinq pièces d'or, terrassé de sinople.

    Personnalités liées à la commune

    • Roger Carles, maire et conseiller général de Contes. Élu conseiller municipal en 1953, adjoint en 1965, conseiller général en 1971, maire en 1977 jusqu’à son décès en 1996.
    • Maurice Delserre (né à Contes en 1881 et mort à Nice 1936), architecte.
    • Célestin Freinet prit son premier poste d'instituteur (comme remplaçant) à Contes, du 17 janvier 1919 au 17 février 1919. Il logeait à "l'hôtel Sélect pension de famille"
    • Pierre Giannotti (1910-1986), ténor à l'Opéra et l'Opéra-Comique, est né dans cette commune.
    • Paul d'Ortoli, percepteur à Contes de 1939 à 1943, né à Sartène, en 1894. Il est arrêté à Contes par la Gestapo pour faits de résistance, le 10 octobre 1943. Déporté, il est assassiné à Lubenec, le 30 avril 1945[31]. Son nom a été donné à la rue allant de la mairie de Contes à la place de la République.
    • Humbert Ricolfi
    • Annie Vernay, actrice française des années 30. Née à Genève en 1921, décédée en 1940 à Buenos Aires (Argentine). Sa famille achète une propriété à Sclos en 1932, et elle devient en enfant du pays. Remarquée par Maurice Chevalier au cours d’un évènement à Juan-les-Pins, elle se lance dans le cinéma. Elle tournera 7 films en France, les 2 plus importants étant « La Princesse Tarakanova » en 1937 et « Le Roman de Werther » en 1938. Munie d’un contrat avec Hollywood, elle s’embarque pour la Californie en faisant un détour par l’Amérique du sud. La tragédie frappe à son arrivée à Buenos Aires où elle est atteinte de la typhoïde et du typhus. Elle meurt en Argentine à l’âge de 20 ans, au seuil d’une carrière cinématographique plus que prometteuse. Après sa mort, elle est surnommée « L’Étoile filante du cinéma français ».
    • Les 2 Justes parmi les nations[32] :
    • Joseph Gallo,
    • Ludovina.

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Nice », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    7. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Venturini, Evolution, t.II, p.LII
    12. Ibid, t.I, p.167
    13. Philippe Jérôme, « La victoire d’un rassembleur », L'Humanité, 7 mai 1996, consulté le 15 juillet 2010
    14. Site de la préfecture des Alpes-ACMaritimes, consulté le 20 juin 2008
    15. Conseil constitutionnel, liste des élus ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République, Journal officiel de la République française du 15 avril 1981, page 1063, disponible en ligne, consulté le 29 juillet 2010
    16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    20. Georges Delserre Tabaraud, Histoire des Contois, Collection Les Régionales, Éditions Serre, 1968, p. 94-96 : « De la caucina à l'usine Lafarge ».
    21. site officiel du tramway de Nice pour la communauté urbaine Nice Côte d'Azur, Historique, § L'âge d'or du « tram ».
    22. Georges Delserre Tabaraud, Histoire des Contois, op. cit.
    23. Site officiel de la ville de Contes, Histoire de Contes, § Le rattachement à la France
    24. Site du musée de la ville de Contes, Collections du musée, § Exposition « Contes et Lafarge : 100 ans d'histoire commune »
    25. « Église Sainte-Marie-Madeleine », notice no PA00080710, base Mérimée, ministère français de la Culture
    26. Site de l'association des Amis du musée de Contes : L'orgue
    27. Notice no PA00080713, base Mérimée, ministère français de la Culture
    28. « Contes - Monuments », sur site officiel de la ville de Contes (consulté le )
    29. Panneau d'information à côté de la fontaine
    30. Site de l'association des Amis du musée de Contes : Le moulin à fer et le moulin à huile
    31. Plaque commémorative sur la place de la République
    32. Justes parmi les nations de Contes

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Yves Bernard, L'annuaire Touristique et Culturel des Alpes-Maritimes et de Monaco, p. 284-291, Éditions Campanile, 1997 (ISBN 2912366-003)
    • Georges Delserre-Tabaraud, Histoire des Contois. Dei Tremp'oli ai superbi, Serre éditeur (collection Les régionales), Nice, 2007 (ISBN 978-2-86410-074-4) ; p. 176

    Articles connexes

    Liens externes

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