Chissey-lès-Mâcon

Chissey-lès-Mâcon est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire en région Bourgogne-Franche-Comté.

Pour les articles homonymes, voir Chissey et Macon.

Chissey-lès-Mâcon

Le clocher de l'église.

Blason
Administration
Pays France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Saône-et-Loire
Arrondissement Mâcon
Intercommunalité Communauté de communes du Clunisois
Maire
Mandat
Sylvain Chopin
2020-2026
Code postal 71460
Code commune 71130
Démographie
Gentilé Chissayons
Population
municipale
233 hab. (2018 )
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 31′ 34″ nord, 4° 44′ 33″ est
Altitude Min. 212 m
Max. 551 m
Superficie 15,28 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Mâcon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cluny
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Chissey-lès-Mâcon
Géolocalisation sur la carte : Saône-et-Loire
Chissey-lès-Mâcon
Géolocalisation sur la carte : France
Chissey-lès-Mâcon
Géolocalisation sur la carte : France
Chissey-lès-Mâcon

    Géographie

    Géologie et relief

    Sur le territoire de la commune, qui appartient au Tournugeois, à la lisière du Haut-Mâconnais et du Clunisois, est partiellement implantée une forêt domaniale : la forêt des Grisons (contenance totale : 557,23 ha), mêlant feuillus et conifères[1].

    Villages, hameaux, lieux-dits, écarts

    Parmi les hameaux et lieux-dits dépendant de Chissey-lès-Mâcon figurent :

    • Lys ;
    • Culey ;
    • Chazeux ;
    • Prayes ;
    • Nazilly ;
    • Cours-des-Bois (autrefois La Cour-Desbois, hameau dépendant dans sa quasi-totalité de la commune voisine de Bray, l'appellation venant à la base de deux familles qui habitaient ce lieu: les Lacour d'un côté de la rue, les Desbois de l'autre côté) ;
    • Moulin-aux-Grues ou Moulin Augrue (selon les diverses sources de cartographies).

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Chissey-lès-Mâcon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Macon dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 105 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[5],[6].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (53,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46,3 %), prairies (37,8 %), zones agricoles hétérogènes (15,2 %), cultures permanentes (0,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].

    Histoire

    Antiquité

    «Dans le Clunisois, Chissey-lès-Mâcon est presque entièrement bâti sur des fondations gallo-romaines»[9].

    En 1933, la commune fait exécuter des travaux qui ont amené la découverte d'importants vestiges gallo-romains. Il s'agit des fondations d'une villa romaine possédant un chauffage central à air chaud, des colonnades, des pavages et des revêtements de marbre de Carare. Plusieurs pièces semblaient avoir été revêtues de stucs supportant des peintures à fresques dont l'une de couleur rouge[10].

    • «Les travaux ont également permis la découverte d'un grand nombre de canalisations paraissant appartenir à l'installation d'hypocauste (chauffage central), ainsi que de poteries rouges et grises, de tuiles (tegula et imbrices), de débris d'amphores à vin, de cornes de cerf, etc. Une colonne de vingt-huit centimètres de diamètre, élevée sur une vaste base en pierre de taille blanche, a également été découverte. Tous ces objets seront déposés à la mairie de Chissey-lès-Mâcon»[10].
    • «Ces découvertes rappellent celles qu'a faites, dans les mêmes parages vers 1843, M. Teillard, alors maire de Chissey, et vers 1865, lors de la construction du chemin d'intérêt commun de Prayes à Cormatin. Elles consistent dans les fondations d'une importante villa romaine des premiers siècles de notre ère qui possédait le chauffage central à air chaud (système à tubulus), des colonnades, des pavages et des revêtements de marbre blanc»[11].

    En 1937, c'est une voie romaine qui est découverte à Chissey-lès-Mâcon : «Elle a été repérée sur un kilomètre et demi. Elle est composée de pierres, posées en hérisson, ayant 20 à 25 centimètres de profondeur. Encadrée par deux bordures de pierres plus volumineuses, 30 à 35 centimètres, la chaussée de pierre mesure 4 mètres de largeur. Elle est en parfait état de conservation»[12].

    Moyen Âge

    Chissey-lès-Mâcon, hameau de Lys.

    Le finage de Lys était autrefois une seigneurie dont la maison forte fut possédée par le chancelier Nicolas Rolin.

    Les Hospitaliers

    Au lieu-dit Acier dit aussi « L'Hôpital d'Acier » entre Chazelle et Lys, une ancienne annexe de la commanderie hospitalière de Mâcon au sein du grand prieuré d'Auvergne[13],[14]. Les Hospitaliers s'en séparèrent en 1725 au profit de la seigneurie du Lys[15].

    Époque contemporaine

    1793 : Lys, hameau de Chissey-lès-Mâcon, à l'instar de plusieurs autres hameaux de Saône-et-Loire, change de nom et devient Trois-Fontaines[16].

    En 1825, la commune a absorbé les communes voisines de Lys et de Praye[17] ; la première a porté provisoirement, sous la Révolution française, le nom de Trois-Fontaines[18].

    En 1908, afin de dégager un carrefour, a été démolie l'église du hameau de Prayes (jadis paroisse), dans laquelle subsistaient quantité d'éléments de l'époque carolingienne. L'édifice, fort ancien (maçonnerie montée en opus spicatum), était à chevet plat et sa nef n'était pas voûtée. On y accédait par une porte qui datait du XVIe siècle[19].

    Le 29 juillet 1941, le conseil municipal - comme des centaines d'autres en France - est dissous par le ministre de l'Intérieur, Pierre Pucheu. Le motif est toujours le même : «hostilité à l'œuvre de rénovation nationale». Une «délégation spéciale» est mise en place, composée de : Raymond Boisseau (président), Michel Vermos, Michel Vallet et Élie Larret[20].

    Politique et administration

    Maires de la commune

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
      1840 Eugène Treillard    
    1840   Jean Bernard    
        Raymond Boisseau    
        Chanet    
    avant 1988 1992 Jean Voituret    
    1992 mars 2008 Gérard Mayeux    
    mars 2008 en cours Sylvain Chopin    
    Les données manquantes sont à compléter.

    École, instituteurs

    [21]Liste des maîtres et maîtresses de l'école
    Période Maître des garçons ou de la 1ère classe Maîtresse des filles ou de la 2nde classe
    28 nivose an 8

    1801

    Au conseil municipal apparait la nécessité de nommer un maître d'école. Le projet est ajourné par manque de fonds. 29 ans après, le projet est à nouveau rejeté malgré l'ordonnance royale concernant les écoles primaires.
    10/05/1830
    08/11/1832 Pierre Bost
    04/11/1837 François Valentin Magin
    24/12/1845 Eugène Boyeu
    01/11/1846 M. Charcosset Mme Charcosset (école particulière de filles)
    27/10/1852 M. Després Mme Després (école privée)
    30/10/1857 Joseph Fathier Mme Berthier (10/02/1860)

    Françoise Cornus (09/11/1863)

    Claudine Michon (01/02/1868)

    01/02/1873 Pierre Chapuis (suppléant)
    09/06/1873 André Douin
    27/10/1874 Louis Lafoy Jeanne Lafoy
    16/10/1878 Pierre Létourneau Eulalie Létourneau
    03/01/1883 Antoine Bonnet Marie Thérèse Bonnet
    01/10/1894 M. Thomas
    09/10/1899 François Diot Marie Diot
    01/10/1923 François Maupas Andrée Maupas
    01/10/1926 Maurice Passerat Julie Passerat
    01/10/1937 Omer Revret Yvonne Revret
    05/10/1942 Charles Lacroze Mme Lacroze
    01/10/1945 Laurent Fourcade Mme Fourcade

    Mlle Lapré (06/09/1965)

    22/08/1966 M. Vermorel Mme Vermorel
    16/09/1968 Bernard Charleux Mme Charleux
    30/06/1979 Henri Lacombre
    12/09/1979 Gilles Dury (suppression de la 2nde classe)

    1832 : Le conseil municipal nomme un instituteur qui enseigne aux élèves dans la chambre commune. Il ne touche pas de salaire ni de logement.

    1834 : L'instituteur gagne un petit salaire ainsi qu'une indemnité de logement. Sur 175 enfants, 41 sont indigents et sont reçus gratuitement. Pour les autres, les parents payent le chauffage et en plus pour chaque écolier :

    • 75 centimes pour les commençants ;
    • 1,25 (sou) pour les commençants à l'écriture ;
    • 1,75 (sou) pour la lecture, l'écriture et le calcul ;
    • 2,25 (sous) pour le haut degré ;

    1850 : La commune n'ayant pas suffisamment de fonds, c'est une école privée de filles qui se créée afin de respecter la loi qui impose la séparation des garçons et des filles.

    1858 : Rassemblement des deux sexes car il n'y a plus d'institutrice.

    1863 : Création de l'école communale de filles.

    1865 : Création de cours pour adultes afin de permettre l'enseignement à ceux qui n'ont pas pu fréquenter l'école plus jeunes.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[23].

    En 2018, la commune comptait 233 habitants[Note 3], en diminution de 4,9 % par rapport à 2013 (Saône-et-Loire : −0,73 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    3053163783541 0821 1411 0561 1161 032
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 007911871837774764695626580
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    555528480444403360351321316
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    288284246250222226232251239
    2018 - - - - - - - -
    233--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église de Chissey.
    • La commune présente une particularité remarquable : celle de disposer de deux églises (trois à l’origine dont celle de Prayes, détruite au XIXe siècle):
    • La maison forte à Lys.
    • Le château de la Bruyère à Prayes (propriété privée)
    • Le château de Culey (propriété privée)
    • Les lavoirs de Lys, Prayes, Moulin-aux-Grues (faisant partie de la route des lavoirs du clunysois)

    Personnalités liées à la commune

    Parmi les personnalités liées à l'histoire de la commune figurent :

    Henri Guillemin en 1980.
    • Dom Claude Chovisse, ancien moine de l'abbaye de Cluny (d'abord à Cluny même puis, en tant que procureur, à la maison des Clunistes de Saint-Martin-des-Champs, à Paris, où il vit éclater la Révolution) décédé le 30 décembre 1829 à Chissey-lès-Mâcon, après avoir été successivement nommé maire d'Igé (fonctions qu'il occupa du 8 brumaire an X au 9 janvier 1807) et curé de la paroisse de Chissey-lès-Mâcon (de 1810 à sa mort)[27] ;
    • Henri Guillemin (1903-1992), critique littéraire et historien né à Mâcon, qui a résidé chaque été jusqu'à sa mort dans une maison (dénommée Le Terrier) du hameau de La Cour-des-Bois (hameau majoritairement implanté sur le territoire de la commune de Bray mais dont quelques maisons – dont Le Terrier – dépendent de Chissey-lès-Mâcon)[28] ;
    • Claude Lebois.

    Tournages

    La commune a fait l'objet du tournage du film Le Parisien du village sorti en 2000, permettant pour l'occasion de recréer temporairement le café épicerie du bourg du village.

    Héraldique

    Blason
    De gueules au cerf de sable bondissant à dextre au cor d'or enguiché du même à senestre du chef, le pavillon vers la pointe; au chevron d'or brochant sur le cerf; le tout enfermé dans une bordure réduite du même.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Source : « Les forêts domaniales », article rédigé en collaboration avec la direction départementale de l'Office national des forêts et paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 31 (novembre 1976), pp. 7-10.
    2. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mâcon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    9. Raymond Lantier, «Recherches archéologiques en Gaule en 1952 (suite)», Gallia, tome 12, fascicule 2, 1954, p. 543.
    10. Le Temps, 15 août 1933.
    11. Le Populaire, 21 août 1933.
    12. Le Journal, 31 décembre 1937.
    13. Jeanton 1924-1925, p. 358-360.
    14. Léon Laroche, « La commanderie de Mâcon au temps des chevaliers de Malte », Annales de l'académie de Mâcon, 3e série, t. XLVI, 1962-1963, p. 18, lire en ligne sur Gallica.
    15. Jeanton 1924-1925, p. 359.
    16. E. Lauxeur, Les changements de noms des communes de Saône-et-Loire pendant la Révolution, article paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 4 d'avril 1970, pages 9 à 13.
    17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Chissey-lès-Mâcon », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Lys », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    19. Démolition intervenue alors que la protection de cette église au titre des Monuments historiques était en cours d'instruction. « De quelques églises disparues » par Michel Bouillot, revue Images de Saône-et-Loire n° 89 (printemps 1992), p. 9 à 19.
    20. Journal officiel de la République française. Lois et décrets, 31 juillet 1941, p. 3204.
    21. Centenaire de l'école, archives de la commune
    22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    26. « Les chapiteaux de Chissey-lès-Mâcon », article de Colette Chanay paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 51 (automne 1982), page 3 à 6.
    27. Source : « Translation des ossements de dom Chovisse, religieux bénédictin de Cluny et curé de Chissey, de 1810 à 1829 », article paru dans la revue La Semaine religieuse d'Autun, Chalon et Mâcon datée du 22 janvier 1887.
    28. Frédéric Lafarge, Dans le petit cimetière de Bray repose un grand de l'Histoire de France, article paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 198 de juin 2019, pages 2 à 4.
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