Castineta

Castineta est une commune française située dans la circonscription départementale de la Haute-Corse et le territoire de la collectivité de Corse. Elle appartient à l'ancienne piève de Rostino, en Castagniccia.

Castineta

Vue sur Castineta.
Administration
Pays France
Collectivité territoriale unique Corse
Circonscription départementale Haute-Corse
Arrondissement Corte
Intercommunalité Communauté de communes Pasquale Paoli
Maire
Mandat
Jean Marc Giamarchi
2020-2026
Code postal 20218
Code commune 2B082
Démographie
Population
municipale
40 hab. (2018 )
Densité 4,4 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 25′ 24″ nord, 9° 17′ 59″ est
Altitude 800 m
Min. 255 m
Max. 1 563 m
Superficie 9,15 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Corte
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Golo-Morosaglia
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Corse
Castineta
Géolocalisation sur la carte : Corse
Castineta
Géolocalisation sur la carte : France
Castineta
Géolocalisation sur la carte : France
Castineta

    Géographie

    Situation

    Castineta est une commune dominant la moyenne vallée de la Casaluna, au cœur de la Castagniccia. Elle est située dans l'ancienne piève de Rostino.

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Vue sur les vallées du Prunitaccio, de la Casaluna et du Golo et des Aiguilles de Popolasca.

    Castineta est une commune de moyenne montagne, sans façade littorale. Elle se situe dans la Corse schisteuse au nord-est de l'île[Note 1], dans le prolongement de l'arête schisteuse du Cap Corse ou massif de la Serra, qui se poursuit avec le massif du San Petrone et se termine au sud de la Castagniccia.

    Le territoire de la commune est une longue bande de terre représentée en grande partie par le vallon du ruisseau de Prunitaccio, au nord-ouest du San Petrone.

    • À l'est il s'appuie sur environ 1,5 km, sur la dorsale de l'« en deçà des monts », celle de la Corse schisteuse au nord-est de l'île, qui comprend le San Petrone sommet culminant de la Castagniccia situé à un kilomètre plus au sud.
    • À l'ouest il s'élargit en déclinant vers la vallée du Golo. Depuis le hameau de Canavaggia (Gavignano) sur la route D 13 jusqu'au hameau de Salgi (Gavignano), ses limites longent le cours de la Casaluna, la traversent puis longent sa rive gauche jusqu'à l'ouest de Rusumini et Vaccaccio où, entre deux collines (344 m et 361 m), est situé un site préhistorique[1].
    • Au nord il est limité par une ligne de crête dominant la Casaluna, passant par Pedani, sommet de 910 m de haut, suivant ensuite le flanc de la montagne à une altitude moyenne de 600 m jusqu'au nord du village, enfin s'élevant en se dirigeant jusqu'à Punta di Chiarasgioli (1 211 m).
    • Au sud depuis Canavaggia, ses limites sont marquées par une ligne longeant le flanc de collines, traversant deux petits cours d'eau (ruisseaux de Ripe Rosse et de Venato) avant d'atteindre le ruisseau de Prunitaccio et suivre son cours sur près d'un kilomètre. La ligne repart à l'est en direction de Punta di Timozzallo (1 185 m) en s'élevant sur le flanc des collines, jusqu'à atteindre la dorsale de la Castagniccia, 500 m au nord du Monte Goio (1 650 m).

    Hydrographie

    Malgré la possession en limite de territoire des deux rives de la rivière Casaluna sur près d'un kilomètre, le principal cours d'eau de la commune est le ruisseau de Prunitaccio[2]. Avant de traverser la commune, il s'appelle le ruisseau de Conca (dans la commune de Morosaglia) ou encore ruisseau de Funtana Maio ; le Prunitaccio reçoit les eaux des ruisseaux de Senichello[3] et de Panicale[4] jusqu'en amont de sa confluence avec le ruisseau de Gavignaninco[5] au lieu-dit « Ponte ». C'est à Ponte qu'il quitte la commune après l'avoir arrosée.

    Climat et végétation

    De climat moins humide que le versant oriental de la chaîne du San Petrone, la commune est néanmoins très verte, comme toute la Castagniccia en général, couverte d'un manteau végétal épais de forêt d'essences diverses, moins homogène et morcelée en différentes unités : chênes verts, chênes blancs, pins maritimes, châtaigniers, frênes, etc. La partie orientale de la commune est une partie de la forêt indivise de San Pietro d'Accia (nord), une remarquable hêtraie.

    Les châtaigneraies moins omniprésentes qu'en petite Castagniccia, constituent un élément marquant dans le paysage.

    Accès routiers

    Le village est traversé par la route D 639, une départementale qui relie Morosaglia à San-Lorenzo.

    À l'approche de la vallée du Golo, la route D3 9 qui longe la Casaluna, emprunte par deux fois le territoire de Castineta.

    Transports

    Castineta est éloigné des métropoles régionales. La gare de Chemins de fer de la Corse la plus proche est la gare de Ponte-Leccia, distante de 20 km.
    L'aéroport le plus proche est celui de Bastia distant de 43 km. Le port de commerce de L'Île-Rousse est distant de 50 km. Quant au port de commerce de Bastia, il se trouve à 57 km.

    Urbanisme

    Typologie

    Castineta est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[6],[7],[8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Corte, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9],[10].

    Le village a été construit sur une arête de montagne, séparée au nord de Morosaglia par le vallon du ruisseau de Conca, et au sud le vallon du ruisseau de Panicale qui le sépare de Gavingano.

    Il est partagé en deux parties : Castineta Sottana (U Suttanu) « le Bas », et Castineta (U Supranu), le village même, « le Haut ». C'est un village typique du centre de la Corse avec ses toits en lauzes. Le vieux hameau de La Mazza est situé en contrebas, en bordure du ruisseau de Prunitaccio, dans les châtaigniers. Ruiné, il a été presque entièrement restauré et est maintenant habité.

    La mairie est installée à Castineta Sottana. L'église paroissiale San Bastianu se situe au cœur du village, et le cimetière au nord.

    Le village a obtenu en 2007 la distinction de village fleuri (3 fleurs).

    Un réservoir d'eau se trouve à l'est du village.

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (91,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (41,3 %), zones agricoles hétérogènes (8,1 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].

    Histoire

    Préhistoire

    Il existe un site préhistorique sur le flanc nord d'une petite colline au lieu-dit Rusimini. Une fouille programmée a été effectuée sur ce site de 1983 à 1985. Le sommet (344 m) de la colline de Rusumini « porte une enceinte et des structures diverses (fondations d'une tour sommitale, terrasses occupées par des restes d'habitations) à proximité d'un point d'eau. L'étude des structures qui s'étendent sur une superficie de l'ordre de un hectare et le mobilier découvert permettent de dater le début de l'occupation du site à l'Âge du Bronze. C'est à cette époque que l'on peut attribuer la construction de l'enceinte, de la tour sommitale et d'autres éléments dont l'ensemble peut être comparé aux monuments torréens du Sud de la Corse. Le site a été de nouveau occupé à l'Âge du Fer, époque à laquelle il semble avoir subi des réaménagements assez importants »[13].

    Antiquité

    Monte San Petrone (Saint-Pierre) autrefois appelé mont Nigheuno (Nigeuno en latin), était au centre des domaines pontificaux de Cella Cupia (Cellas Cupias appellatur en latin).

    Temps modernes

    La pieve de Rostino comptait environ 3 250 habitants vers 1520. À l'époque, les lieux habités étaient Saliceto, Vicinato, lo Borgo, Chiamachie, Gavignani, la Petragrossa, Castineta, Sevasi, la Terchina, la Fogatella, la Brocca, Casa Pitti, Tarlagia, lo Collo, Grate, la Valle, Frasso, Pastorechia, le Balleciasce, Piano, Caniolo, Petralata, lo Vignale, Mileto, Bisinchi, Lesca[14].

    La pieve de Rostino deviendra en 1789, le canton de Morosaglia.

    Époque contemporaine

    En 1954, le canton de Morosaglia comprenait les communes de Castineta, Bisinchi, Castello-di-Rostino, Gavignano, Morosaglia, Saliceto et Valle-di-Rostino.

    1971-1973 : le canton de Castifao-Morosaglia est créé avec la fusion imposée des anciens cantons de Castifao et Morosaglia.

    Le 6 septembre 2010 la petite commune de Castineta était à l'honneur dans le quotidien Corse-Matin avec la parution du succès à l'élection de Miss Corse 2010, de Jade Morel, étudiante à Corte vivant au village. Fort de ce succès, l'élue a défendu les couleurs de la Corse le 4 décembre 2010 à l'élection de Miss France 2011, obtenant la dixième place.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    Août 1976 En cours Jean Marc Gianmarchi PRG Agriculteur retraité

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[16].

    En 2018, la commune comptait 40 habitants[Note 4], en diminution de 20 % par rapport à 2013 (Haute-Corse : +5,69 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
    378285261307300290247219250
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    257267257239239216223260225
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    2672481731771692321088974
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2018
    634537315353554140
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[18].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Il n'y a pas d'école à Castineta. L'établissement le plus proche est l’école primaire publique Pascal-Paoli à Morosaglia (1,57 km). Le collège le plus proche se trouve être celui de Moltifao à environ 17 km. Le lycée le plus proche est le lycée Pascal-Paoli de Corte à 34 km. De plus, Corte est une ville universitaire.

    Santé

    Les plus proches hôpitaux sont :

    • le Centre hospitalier intercommunal Corte Tattone à 20 km.
    • le Centre hospitalier de Bastia à environ 50 km,

    Les cabinets des médecins les plus proches sont situés à Ponte-Leccia et à Corte, à une vingtaine de kilomètres. Les ambulanciers les plus proches se trouvent également à Corte, de même que les masseurs kinésithérapeutes qu'on trouve également à Ponte-Leccia. Des infirmiers sont présents à Morosaglia (19 km).

    Culte

    Il n'existe qu'un lieu de culte, catholique, à Castineta. L'église paroissiale de (San Bastianu) relève du diocèse d'Ajaccio.

    Économie

    Des mines de cuivre étaient autrefois exploitées à Orzella, au nord-ouest de Castineta Sottana, sous le nom de Mines de Casaluna. Il s'agit de gisements de sulfures encaissés dans des roches ultrabasiques qui avaient été exploités artisanalement[19].

    Durant la seconde moitié du XIXe siècle, le comte Auguste Marie Le Coat de Kerveguen avait obtenu la concession d'exploitation des mines dite de Linguizetta (Inventaire général du Patrimoine culturel[20]), était intéressé également par les gisements de Castineta et de l'Argentella.

    Culture locale et patrimoine

    Église Saint-Sébastien

    L'église Saint-Sébastien (San Bastianu). Sur le linteau au-dessus de la porte d'entrée est gravé « 1726 RENOTA ».

    Architecture civile

    • Fontaine à U Supranu.
    • Monument aux morts.

    ZNIEFF

    La commune est concernée par deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique de 2e génération :

    Hêtraies du massif du San Petrone

    La forêt de San Pietro d'Accia est divisée en deux massifs, l'un au nord, concernant Castinetta, qui s'étend du col de Prato (985 mètres) jusqu'au sommet du San Petrone (1 767 mètres), point culminant de la Castagniccia, et l'autre au sud qui comprend les crêtes et les versants boisés entre le Monte Calleruccio (1 484 mètres) et la Punta di Caldane (1 724 mètres). Cette forêt communale, soumise au régime forestier, est exploitée localement pour le bois de chauffage. La zone fait l'objet de la fiche ZNIEFF 940004200 - Hêtraies du massif du San Petrone, 2e génération[21]

    Châtaigneraies et bois des versants sud et ouest du massif du San Petrone

    La zone comprend les formations boisées de la Castagniccia occidentale et du Bozio. Elle s'étend du nord au sud sur les bassins versants des affluents du Golo, de la Casaluna, de la Bravone et du Corsigliese qui se jette dans le Tavignano[22].

    Personnalités liées à la commune

    • Ange Tomasi, né en 1883 à Corte, il meurt en 1950 à Ajaccio[23]. Issu d'une famille de bergers, à l’âge de 13 ans, il rencontre le photographe Jean-Baptiste Moretti qui l’engage comme tireur, retoucheur, puis portraitiste dans son atelier de Corte. Très vite, il veut sortir de l’atelier et explorer les possibilités de ce nouveau support artistique, parallèlement à sa passion pour la peinture. Il n’a pas 20 ans quand il s’installe à Bastia comme photographe. Mobilisé en 1914, il s’établit ensuite à Ajaccio comme portraitiste et éditeur d’art à la fin de la guerre. À cette époque, il se lie d’amitié avec un photographe allemand qui lui laisse 400 plaques de verre réalisées en Corse de 1880 à 1900. Au cours de sa vie, Ange Tomasi réalise plus de 40 000 clichés sur plaque en verre de toute la Corse. Il s’intéresse à toutes les innovations techniques et utilise les premiers appareils Rolleiflex et Leica. Il s’intéresse également au cinéma et rencontre Auguste Melies, qui décède à Ajaccio en 1915. Il travaille avec des opérateurs tels que Jacques Catani qui assure le suivi de son studio. La plupart des clichés utilisés sont imprimés sur cartes postales, éditées par lui et imprimées sur le continent. Il est un des principaux photographes de la Corse de l’entre-deux guerres, et considéré par le milieu de la photographie comme un pionnier de cet art.

    Il est le beau-père d'André Léotard, maire de Fréjus, et le grand-père du ministre François Léotard et de l'acteur Philippe Léotard dit Léotard-Tomasi et de Dominique Léotard.

    • Ambrosi Alexandre (Castineta 1798 - décédé en 1842). Poète improvisateur.
    • Paul-François Morucci (Castineta 1868 - Château-Arnoux, Basses-Alpes 1935). Médecin (dit "le médecin des pauvres"). Député de Marseille (1919). Poète[14].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. par opposition au « delà des monts » (Pumonte) ou Corse granitique au sud-ouest
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Site préhistorique mentionné sur les cartes IGN
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de Prunitaccio (Y7020580) » (consulté le ).
    3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de Senichello (Y7022060) » (consulté le ).
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de Panicale (Y7021960) » (consulté le ).
    5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de Gavignaninco (Y7022140) » (consulté le ).
    6. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pleyben - Châteaulin », sur insee.fr (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    13. Persée Gallia Préhistoire, Tome 29, 1986, 2, p. 337
    14. Éléments pour un dictionnaire des noms propres Corse A-D. Monti
    15. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    16. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    18. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    19. Fiche gîte du BRGM : Casaluna (FRA-00440)
    20. Notice no IA2B000464, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    21. ZNIEFF 940004200 - Hêtraies du massif du San Petrone sur le site de l’INPN..
    22. ZNIEFF 940004202 - Châtaigneraies et bois des versants sud et ouest du massif du San Petrone sur le site de l’INPN..
    23. Répertoire des personnages de Corse
    • Portail de la Corse
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.