Cast (Finistère)
Cast [kast] est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France.
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Cast | |
L'église paroissiale Saint-Jérôme. | |
Administration | |
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Pays | France |
Région | Bretagne |
Département | Finistère |
Arrondissement | Châteaulin |
Intercommunalité | Communauté de communes Pleyben-Châteaulin-Porzay |
Maire Mandat |
Jacques Gouérou 2020-2026 |
Code postal | 29150 |
Code commune | 29025 |
Démographie | |
Gentilé | Castois |
Population municipale |
1 545 hab. (2018 ) |
Densité | 41 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 09′ 29″ nord, 4° 08′ 18″ ouest |
Altitude | Min. 44 m Max. 252 m |
Superficie | 37,66 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Pleyben - Châteaulin (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Crozon |
Législatives | Sixième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://www.mairie-cast.fr/ Site de la commune] |
Géographie
La commune fait partie traditionnellement du Pays Glazik.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Segal S A », sur la commune de Saint-Ségal, mise en service en 1985[7] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,6 °C et la hauteur de précipitations de 1 122,9 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Quimper », sur la commune de Pluguffan, mise en service en 1967 et à 20 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[11], à 11,8 °C pour 1981-2010[12], puis à 12 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Cast est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pleyben - Châteaulin, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 18 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (85,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (48,9 %), zones agricoles hétérogènes (30,4 %), prairies (6,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,7 %), forêts (4,1 %), zones urbanisées (2,7 %), mines, décharges et chantiers (1,5 %), zones humides intérieures (0,5 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Toponymie
Cast en 1327, Castr en 1451 et Castre en 1574.
Cast vient du mot latin castra (lieu fortifié).
Doit son nom à l’important Castrum romain (poste militaire), qui à l’époque gallo-romaine, surveillait les voies stratégiques menant vers Quimper, la Pointe du Van et la Presqu’île de Crozon.
Kast en Breton.
Histoire
Époque moderne
Yves Le Goff[21], un paysan de Cast qui mourut « en odeur de sainteté » âgé d'environ 60 ans vers 1659 raconta au prédicateur Julien Maunoir lors d'une mission organisée à Plonéour en 1656 avoir vu, un jour de l'Assomption alors qu'il revenait du pardon de Notre-Dame-de-Kergoat en Quéménéven, une apparition de la Vierge qui lui aurait donné l'ordre de « communier tous les dimanches et jours de fêtes ainsi que le lundi et le vendredi de chaque semaine » ; il aurait aussi vu d'autres apparitions de la Vierge[22].
Cette commune est connue pour des faits liés à la Révolte des Bonnets rouges en 1675.
En 1759, une ordonnance de Louis XV ordonne à la paroisse de Saint-Cast [en fait Cast] de fournir 30 hommes et de payer 196 livres pour « la dépense annuelle de la garde-côte de Bretagne »[23].
Révolution française
Par la loi du , la paroisse de Cast perd un hameau annexé par la paroisse de Châteaulin (Cornahoal). Par ailleurs tous les villages de la paroisse de Cast « situés en deçà du grand chemin qui conduit de Châteaulin à Quimper (...) feront partie de la paroisse de Saint-Coulitz, réunie comme succursale à Châteaulin »[24]. La loi du conserve à Cast son ancien territoire, « sauf les parties qui en sont distraites pour être réunies à Châteaulin et à Saint-Coulitz » et annexe « tous les villages situés en-deçà du ruisseau qui prend sa source à la fontaine de Kerhoc, distraits de la paroisse de Plomodiern ; les villages nommés Donarinon, Kerdern et Les Cosques, distraits de la paroisse de Ploeven, et auxquels est réunie comme succursale la paroisse de Dinéault »[25].
Le XIXe siècle
Sébastien Didailler, dit Yoan Vras, né à Cast le , tailleur d'habits, décédé à Kerlobret en Châteaulin le , fut un jeteur de sort célèbre [26].
En 1840 Pierre-Marie Guizouarn, recteur de Cast, demanda à l'évêque de Quimper la fermeture de la chapelle Saint-Génisse [ou Sainte-Génite] (on n'y célébrait plus de messes depuis 1835) dans laquelle était vénéré saint Tinidic (il était invoqué dans les cas de stérilité). Il demanda aussi la destruction du menhir de Lothinidic[27] « une pierre longue en schiste à laquelle des sots viennent tout nus et de nuit se frotter le dos et le ventre pour les maux d'entrailles [le recteur fait allusion en fait au sexe de ses paroissiens] ; le menhir existe toujours ; les deux statues de saint Tinidic se trouvent désormais dans l'église paroissiale[28].
Le le journal La Presse écrit que la dysenterie s'est déclarée, il y a environ quinze jours, dans les communes de Quéménéven, Cast, Dinéault et Ploéven. « Il y a eu malheureusement déjà une quarantaine de décès; et soixante-dix ou quatre-vingts personnes sont encore malades »[29].
Un rapport du Conseil général du Finistère indique en août 1880 que Cast fait partie des 27 communes de plus de 500 habitants du Finistère qui n'ont encore aucune école de filles[30].
La Belle Époque
La fermeture de l'école congrégationniste en vertu des décrets d'application de la loi sur les congrégations se produisit le : à Cast deux commissaires de police de Brest, assistés d'une brigade de gendarmerie opérèrent : « les sœurs se retirèrent acclamées par quatre cents personnes »[31].
Le trois religieuses de la Congrégation du Saint-Esprit furent condamnées à des peines d'amende par le tribunal de Châteaulin pour avoir maintenu ouvert des écoles congréganistes à Plomodiern, Cléden-Poher et Cast en dépit de la loi sur les congrégations[32].
Politique et administration
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[35].
En 2018, la commune comptait 1 545 habitants[Note 6], en diminution de 5,56 % par rapport à 2013 (Finistère : +0,86 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Manifestations culturelles et festivités
- Cast en Scène : (Début juillet) Festival de Théâtre et de l'humour (https://www.castenscene.com/)
- les Vaches Folks : Les Vaches Folks organisent à Cast (29) depuis 2005, plusieurs concerts Folk par an, avec des artistes de renommée nationale et internationale. (http://les-vaches-folks.fr/)
Sites et patrimoine
- Chasse de Saint-Hubert
L'on s'accorde à dire que le commanditaire du beau monument en kersanton du XVIe siècle dédié à saint Hubert et situé près de l'église fut messire Jehan le Gentil, grand-bailli de Cornouaille en 1524. Il est représenté debout, en tenue de grand-bailli, tenant le cheval de saint-Hubert en prières. Jehan le Gentil, seigneur de Barvédel et de Pontlez, appartenait à une famille d'ancienne extraction d'ascendance chevaleresque de Cornouaille. Il était le fils de Yves et de Louise de Tréanna et détenait les manoirs nobles de Boulvern et de Quillavon, en Cast. Son frère Geoffroy, chanoine de saint Corentin, était recteur de Cast en 1517 et leur sœur Louise était dame d'honneur de la duchesse Anne de Bretagne, reine de France. Jehan le Gentil signa la tutelle des enfants mineurs de messire Jehan de Rosmadec et de Jehanne de La Chapelle. Il épousa Louise de Tyvarlen et présida la Montre de la noblesse tenue à Quimper en 1536. La famille le Gentil appartenait à la noblesse de Cornouaille et était fortement établie dans le Porzay.
- Chapelle de Quillidoaré
Cette jolie chapelle, dénommée également « Notre-Dame de Bonne-Nouvelle » (traduction française de Kelou e Doaré, expression bretonne signifiant « Bonne Nouvelle ») date du XVIe siècle/ XVIIe siècle. On remarque dans le tympan de beaux vitraux d'époque, classés monuments historiques, aux armes des familles le Gentil, Pontcroix, Pontlez, Tréanna, Tréouret, Tyvarlen[38].
Cette chapelle a été fondée le par Marie-Gabrielle de Lescu[Note 7]. La légende fait une confusion : en fait Marie-Gabrielle de Lescu a relevé une chapelle antérieure datant de 1520 et le seigneur évoqué dans la légende ne serait pas en réalité le marquis de Pontlez, mais un autre seigneur qui aurait commis ses exactions pendant les guerres de la Ligue[39], en réparation des crimes commis par son mari, le seigneur de Pontiez. « Il n'y avait pas, dans toutes les montagnes Noires, un homme qui fût aussi fâcheusement connu et aussi redouté que le sire du Breil, marquis de Pontlez. Sans cesse battant l'estrade, courant le plat pays, il arrêtait les pèlerins, rançonnait les voyageurs et opprimait durement ses vassaux »[40]. Le seigneur de Pontlez ne reconnaissait aucun supérieur. « Il ne relevait que de son épée ». Finalement il fut expulsé de son château, banni de Bretagne et condamné à pèleriner en Terre Sainte pour expier ses fautes. Il mourut en exil. Selon la légende, son fantôme erra longtemps la nuit entre Châteaulin et Cast à proximité d'un pont dont il interdisait le passage[41].
- Chapelle de Saint-Gildas
- Église paroissiale Saint-Jérôme
L'église et son calvaire sont classés au titre des monuments historiques par arrêté du 31 mars 1916[42].
L'église renferme une croix de procession du XVIIe siècle en argent, classée au titre objet des monuments historiques depuis le 7 septembre 1931[43].
Pour approfondir
Articles connexes
Notes et références
Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Marie-Gabrielle de Lescu, décédée en 1705, épousa successivement Louis de Kernezne, marquis de La Roche, puis Jean d'Acigné, marquis de Carnavalet
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Yves Le Goff, né vers 1595 à Cast, mort vers 1659
- Chanoine Paul Peyron, "Le culte de la très Sainte Vierge dans le diocèse de Quimper", 1914, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5814658q/f29.image.r=Lanvern
- "Ordonnance... portant imposition pour la dépense annuelle de la garde-côte de Bretagne", 1759, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k97412315/f7.image.r=Plovan?rk=21459;2
- "Archives parlementaires de 1787 à 1860 ; 34-51. Assemblée nationale législative", série 1, tome 46, 1890-1897, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k49561j/f589.image.r=Ch%C3%A2teaulin
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- Fanch Guillemin, "Magie blanche en Armorique", Skol Vreizh, numéro 53, 2003.
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- Bernard Rio, Le cul bénit. Amour sacré et passions profanes, Coop Breizh, (ISBN 978-2-84346-582-6)
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- « La chapelle de Quillidoaré », sur mairie-cast.com (consulté le ).
- jean-yves cordier, « Vierges allaitantes III : Quillidoaré, la légende du Marquis de Pontlez et l'histoire. », sur Aile.com, Le blog de jean-yves cordier, (consulté le ).
- François Cadic, "Contes et légendes de Bretagne. Les puissances inférieures", Maison du peuple breton, 1914.
- Bernard Rio, "Voyage dans l'au-delà. Les Bretons et la mort", éditions Ouest-France, 2013, (ISBN 978-2-7373-5809-8).
- Notice no PA00089866, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PM29000103, base Palissy, ministère français de la Culture.
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