Camelin

Camelin est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Camelin (homonymie).

Camelin

Vue sur l'église de Camelin.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Aisne
Arrondissement Laon
Intercommunalité Communauté de communes Picardie des Châteaux
Maire
Mandat
Francis Borgne
2020-2026
Code postal 02300
Code commune 02140
Démographie
Gentilé Camelicois
Population
municipale
453 hab. (2018 )
Densité 50 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 31′ 32″ nord, 3° 08′ 06″ est
Altitude 73 m
Min. 52 m
Max. 162 m
Superficie 9,15 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Vic-sur-Aisne
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Camelin
Géolocalisation sur la carte : Aisne
Camelin
Géolocalisation sur la carte : France
Camelin
Géolocalisation sur la carte : France
Camelin

    Géographie

    Localisation

    Le village de Camelin est situé du côté axonais de la frontière entre l'Aisne et l'Oise, à 1 km du bourg de Blérancourt (en direction de Soissons) et 3 km du village de Cuts (en direction de Noyon). Il est bâti sur une petite éminence naturelle, dont le sommet a été rehaussé pour y accueillir l'église. La distance moyenne du village avec la capitale régionale, Amiens, est d'environ 80 km, et d'environ 110 km avec Paris.

    Le terrain sur lequel est bâti le village est essentiellement constitué d'argile, avec un sous-sol riche en calcaire.

    Un seul cours d'eau, le ruisseau du Ponceau, affluent de l'Ailette (rivière), passe à proximité du village et en formait la limite, au Moyen Âge.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 721 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chauny », sur la commune de Chauny, mise en service en 1988[7] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de précipitations de 724,4 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, mise en service en 1933 et à 32 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,3 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Camelin est une commune rurale[Note 5],[14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (75,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (62,9 %), forêts (19,7 %), prairies (8 %), zones urbanisées (5,5 %), zones agricoles hétérogènes (3,9 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le village a connu différents noms à travers les époques :

    • Camellum, pendant l'époque romaine ;
    • Camelecus, en 870 ;
    • Cameliacum, en 907 ;
    • Camelium Castrum, en 917 (témoignant de la présence d'une forteresse) ;
    • Campus Lini, aux alentours de l'an 1000 (le nom, signifiant « champ de lin » indique un développement agricole sur le territoire) ;
    • Cameli, en 1205 ;
    • Camelin, au début du XIVe siècle.

    Source : Pierre le Merre, Recueil des actes, titres et mémoires concernant le clergé de France, 1705.

    Histoire

    Origines du village

    L'histoire de Camelin remonte à l'Antiquité puisqu'il serait probable que le village tienne son nom de Camulos, le dieu de la guerre chez les Gaulois.

    À l'époque gallo-romaine, Camelin est un vicus, c'est-à-dire un petit village d'origine gauloise qui a été romanisé et qui sert de relais entre les deux grandes agglomérations de l'époque, Noyon et Soissons.

    Au Moyen Âge, Camelin devient une petite seigneurie dépendante de l'abbaye Saint-Médard de Soissons.

    Le 15 juin 1791, le village de Camelin fusionne avec le hameau nommé le Fresne pour devenir Camelin-et-le-Fresne, puis simplement Camelin. Le 1er juillet 1971, Camelin fusionne avec le hameau de Marivaux et le village de Lombray pour former le village actuel de Camelin, qui regroupe ainsi quatre agglomérations.

    Source : Georges Samson, Le vicus gallo-romain de Camelin, in La revue archéologique de l'Oise n°25, 1981.

    Seigneurs de Camelin

    Le village fut une seigneurie au Moyen Âge.

    Parmi les seigneurs de Camelin, on trouve :

    • Robert de Camelin, seigneur en 1160 ;
    • Eudes de Camelin, seigneur en 1189 ;
    • Pierre de Camelin, seigneur en 1205 ;
    • Nicolas de Camelin, seigneur aux alentours de 1220 ;
    • Simon de Camelin, seigneur en 1241.

    Puis, à la fin du XVIe siècle, la seigneurie passe aux mains des seigneurs de Genlis jusqu'au milieu du XVIIIe siècle. Parmi ceux-ci, on peut citer :

    • Philippe, duc d'Halluin, seigneur en 1543 ;
    • Charles Brûlart de Genlis, seigneur le 25 août 1597.

    À partir de la seconde moitié du XVIIIe siècle, la seigneurie appartient brièvement aux seigneurs de Blérancourt, avant de devenir une commune indépendante, au moment de la Révolution Française.

    En outre, la seigneurie était divisée en deux fiefs distincts :

    • le fief du Voisin, appartenant à la famille du Clozel ;
    • le fief du Fresne, appartenant à la famille du Fût.

    Au début du XVIIe siècle, un procès-verbal témoigne d'un contentieux entre les deux familles pour savoir qui aurait le droit préséance dans l'église et dans toutes les processions du village.

    De multiples rixes opposèrent les deux familles, jusqu'à ce qu'un des fils du seigneur Charles du Clozel soit tué en duel par le fils de Jean du Fût, en 1620.

    Le contentieux fut tranché par le Parlement qui reconnut aux Clozel le droit de préséance, puisqu'étant seigneurs sur le territoire d'origine du village, tandis que la famille du Fût ne régnait que sur le hameau du Fresne.

    Pour entériner la paix, une union entre les deux familles fut consacrée peu après, et une fête dite du Raccommodage fut célébrée. Elle existe toujours aujourd'hui, en tant que fête du village, le weekend suivant l'Ascension.

    Source : Mellevile, Dictionnaire historique généalogique et géographique du département de l'Aisne, 1857.

    Source : Pierre le Merre, Recueil des actes, titres et mémoires concernant le clergé de France, 1705.

    À Camelin se trouvait le château Voisin (rue du Voisin) ainsi que le château Mégret (près de l'église, en face du monument aux morts). Le « château » actuel (rue du château) est en fait une « cense » (grosse ferme).

    Histoire récente

    Durant la Première Guerre mondiale, le village fut occupé par l'armée allemande (présence des troupes allemandes dans la mairie, ainsi que dans plusieurs maisons, transformées en dortoirs et en bains collectifs pour l'occasion). Le village fut bombardé et sévèrement détruit durant le conflit, notamment l'église qui, perchée sur un promontoire, offre un large point de vue sur les alentours. Le village a reçu la Croix de guerre 1914-1918.

    Durant la Seconde Guerre mondiale, un blockhaus fut construit par les troupes allemandes (démantelé dans les années 1980) sur le point le plus haut du territoire (sur les hauteurs de Lombray) afin d'avoir un point de vue panoramique sur toute la région.

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune de Camelin est membre de la communauté de communes Picardie des Châteaux, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Pinon. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[21].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Laon, au département de l'Aisne et à la région Hauts-de-France[22]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Vic-sur-Aisne pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[22], et de la quatrième circonscription de l'Aisne pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[23].

    Administration municipale

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1877 après 1879 Azoeuf ou Azeuf[24]   maire de Lombray
    mars 2001 mars 2014 Pascal Trolard[25]   Chef d'entreprise
    mars 2014[26] En cours
    (au 12 juillet 2020)
    Francis Borgne SE Employé
    Réélu pour le mandat 2020-2026

    Démographie

    Évolution

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[28].

    En 2018, la commune comptait 453 habitants[Note 6], en stagnation par rapport à 2013 (Aisne : −1,25 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    387632620657722680709700659
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    597576585525501440408417405
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    372353356301328308325347287
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    298297389402401424438439446
    2017 2018 - - - - - - -
    454453-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Camelin-et-le-Fresne

    Évolution démographique de Camelin-le-Fresne
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    552632620657722680709700659
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    597576585525501440408417405
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    372353356301328308325347287
    1962 1968 - - - - - - -
    298297-------
    À partir de 1793 : Habitants; À partir de 1962 : Population sans doubles comptes.
    (Sources : INSEE et Cassini)

    Histogramme[32]
    (élaboration graphique par Wikipédia)

    Lombray

    Avant 1971, Lombray a été une commune indépendante avec sa propre démographique.

    Évolution démographique de Lombray
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    454354786268727873
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    555758555154525041
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    383745252837282418
    1962 1968 - - - - - - -
    2837-------
    À partir de 1793 : Habitants; À partir de 1962 : Population sans doubles comptes.
    (Sources : INSEE et Cassini[33])

    Histogramme[34]
    (élaboration graphique par Wikipédia)

    Lieux et monuments

    La croix aux Héros de Camelin.
    • Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Camelin du XIe siècle, classée Monument historique en 1921.
    • Chapelle Saint-Roch (située sur la route de Blérancourdelle, à la sortie du village).
    • Église de Lombray (très petite, elle est considérée comme une église à cause de sa sacristie, ce qui fait d'elle la plus petite église de France).
    • Nombreux calvaires (plus d'une dizaine dont la croix Saint-Pierre : la plus éloignée du village).
    • La croix aux Héros (d'époque inconnue mais près d'un camp Cerbin datant au moins de l'époque carolingienne, où des sarcophages en pierre ont été retrouvés). La croix (sorte de mégalithe gravé) se trouve dans le nouveau cimetière. Cette pierre est ornée de quatre têtes sur le haut du monument avec, sur toute la hauteur de la pierre, des dessins sorte de lacets ou de liens, entre-croisés. Elle est percée sur le haut (emplacement d'une croix en bois pour christianiser cette pierre). Elle est classée aux Monuments Historiques depuis 1925.
    • Nombreuses maisons en pierre de taille dont certaines avec, sur les toitures, des « pas de moineaux ».
    • Nombreuses fermes avec pigeonnier carré.
    • Présence d'un cimetière militaire allemand, dans un petit terrain jouxtant l'église, aujourd'hui disparu.
    • Présence d'anciennes carrières de pierre (carrière de Camelin, carrière de Lombray, carrière de la Bucaille, carrière Nonette, carrière dite de Jacques Rendu), transformées en champignonnières, aujourd'hui désaffectées.
    • Présence de deux menuiseries dans le village, ainsi que d'une ancienne usine de fabrication de lampadaires, aujourd'hui désaffectée.

    Particularités

    Le 17 février 1756 à 7 h 45 du matin, le village a été victime d'un tremblement de terre d'une durée de cinq minutes trente environ. L'événement a été relaté à la fin du registre d'état civil cette année-là par le curé du village (source : Archives départementales de l'Aisne).

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Chauny - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Camelin et Chauny », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Chauny - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Camelin et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    15. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le )
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le )
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le )
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. « communauté de communes Picardie des Châteaux - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur https://www.banatic.interieur.gouv.fr/ (consulté le )
    22. « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Camelin », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    23. « Découpage électoral de l'Aisne (avant et après la réforme de 2010) », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
    24. Almanach historique administratif et commercial de la Marne de l'Aisne et des Ardennes, Matot-Braine, Reims, 1879, p223.
    25. Préfecture de l'Aisne consulté le 7 juillet 2008
    26. « Liste des maires de l'Aisne » [xls], Préfecture de l'Aisne, (consulté le )
    27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Le Fresne », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    32. Démographie de Camelin-le-Fresne avant sa fusion avec Lombray
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Lombray », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    34. Démographie de Lombray avant sa fusion avec Camelin

    Liens externes

    • Portail de l’Aisne
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.