Breuvery-sur-Coole

Breuvery-sur-Coole /bʁœvʁisyʁkɔl/ est une commune française, située dans le département de la Marne en région Grand Est.

Breuvery-sur-Coole

Le cimetière et l'église.
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Marne
Arrondissement Châlons-en-Champagne
Intercommunalité Communauté de communes de la Moivre à la Coole
Maire
Mandat
Maurice Pierre
2020-2026
Code postal 51240
Code commune 51087
Démographie
Gentilé Breuvetiot
Population
municipale
217 hab. (2018 )
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 51′ 41″ nord, 4° 18′ 49″ est
Altitude Min. 92 m
Max. 144 m
Superficie 10,06 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Châlons-en-Champagne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Châlons-en-Champagne-3
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Breuvery-sur-Coole
Géolocalisation sur la carte : Marne
Breuvery-sur-Coole
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Breuvery-sur-Coole
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Breuvery-sur-Coole

    Ses habitants s’appellent les Breuvetiots.

    Géographie

    La commune est située, comme son nom l’indique, sur la rivière Coole, à quelques kilomètres au sud de Châlons.

    Urbanisme

    Typologie

    Breuvery-sur-Coole est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Châlons-en-Champagne dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[4],[5].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (91,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,1 %), zones urbanisées (2,4 %), forêts (2,2 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].

    Histoire

    Torque de bronze trouvé à Breuvery actuellement au Musée d'archéologie nationale.

    Antiquité

    L’implantation humaine est attestée par la découverte de céramiques dans une nécropole au lieu-dit la Potence, datant des années -500 à -300 (période de la Tène ancienne)[8]. Des fouilles ont été réalisées sur la commune et l'on a découvert un trésor carolingien[9] .

    Les Breuvetiots et le Pont de Marne à Châlons (1107)

    La seigneurie du Pont de Marne appartenait au chapitre dès une haute ancienneté. Il est certain qu’il la possédait en 1107. Cette seigneurie consistait « en ce que chascun char, chargé de quelque marchandise que ce soit, passant par-dessus ledit pont de Porte Marne, doibt deux deniers, et chascune charette ung denier (…). Sont francs et exempts dudict droict, les habitants de (pour la vallée de la Coole) : Escury-sur-Coole, Nuisement, Breuvery-sur-Coole, Saint-Quentin, Cernon, Vaugencien, Coupetz, Vésigneulx, Fontaine et La Chapelle-sur-Coole (…) lesquelles villes, chascun mesnage doibt ung moicton d’avoine. » [10]

    La seigneurie aux XIIe et XIIIe siècles

    Barthélemy et Grignon notent ceci :

    « Hugues de Breveriis, chevalier, vivait en 1165, et la même année, je trouve la mention d’un curé du même nom[11]. »

    Église Saint-Alpin, collatéral sud, devant la sacristie, pierre de tonnerre, porte en bordure l’inscription ci-après : « Ci gist maître Ravous de Berverei qui trespassa en l’an de grâce mil deux cent et soixante et douze au mois de joing. Priez pour son asme[12]. »

    Les Breuvetiots et les fortifications de Châlons (1416)

    « Une ordonnance du , du bailli de Vitry, commissaire des fortifications, et une ordonnance du roi du 2 décembre 1420, obligent les habitants des villages qui se retirent à Châlons en temps de guerre, à contribuer à la réparation des murs des remparts et au curage des fossés, et à donner chacun, deux ou trois journées de travail par an. (…) Voici les noms des villages qui contribuaient en hommes et en journées de travail (…) à l’entretien des fortifications (pour la vallée de la Coole) : Coolus, 3 hommes ; Ecury, Nuisement, 4 hommes ; Breuvery, Saint-Quentin, 2 hommes ; Cernon, Coupetz, La Chapelle sur Coole, 3 hommes »[13].

    Jeanne d'Arc à Breuvery (1429)

    « Le cortège historique du 14 juillet 1429.
    (…) Le 14 juillet au matin, l’armée royale est partie de Lettrée, vraisemblablement par le chemin naguère appelé chemin de Jeanne d'Arc, que les armées suivirent plus d’une fois, et qui aboutissait, entre Saint-Quentin et Cernon, au château de Vaugency. De là, il n’est pas impossible que l’on soit passé par Breuvery, Nuisement, Ecury, surtout s’il s’y trouvait quelques châteaux à réduire. Mais le plus court était, en direction de Mairy et sans aller jusque là, de prendre la voie romaine et de la suivre jusqu’à Coolus. De Coolus, par Compertrix, on arriva au Mont Saint-Michel (à Châlons)[14] »
    .

    Breuvery au XIXe siècle

    « Breuvery (de brevis ripa, bordage étroit) sur la Coole, avec deux moulins à eau et un moulin à vent. (…) C’est une petite commune environnée d’anciens souterrains ou de caves interdites. (…) Ses 15 laboureurs cultivent un territoire long de plus de six kilomètres sur une largeur de plus de deux kilomètres, traversé par la Coole. Il contient 1008 hectares[15] ».

    La Première Guerre mondiale à Breuvery

    « Le 9 septembre 1914, la 22e D.I. suit le mouvement de la 18e D.I. en direction de Montépreux. La 44e brigade (19e et 118e R.I.) occupe le secteur de Haussimont, Sommesous où elle livre des combats avec l’arrière-garde de l’armée allemande. Le 10 septembre, la 22e D.I. se porte à Breuvery-sur-Coole et Nuisement-sur-Coole »[16].

    Le monument aux morts place des Tilleuls.

    À la mi-septembre 1914, le village vit le passage et le séjour pour une nuit de soldats allemands emmenant des prisonniers civils originaires de Sompuis, dont l’abbé Oudin, qui fut particulièrement maltraité[17].

    Le 13 septembre 1915, la 29e compagnie (4e escadron du Train des Equipages Militaires) se rend dans la Marne et à dater du 25 septembre 1915 occupe les cantonnements de Coolus et de Breuvery. Le 23 octobre la compagnie quitte Breuvery, pour aller cantonner à Écury-le-Repos et fournit deux détachements importants, l'un au 63e régiment territorial à Haussimont pour l'exploitation forestière, l'autre au dépôt de chevaux de Sézanne [18].

    Les sobriquets collectifs des villages de la vallée de la Coole

    « Au cours des années s’échelonnant de 1960 à 1971, nous[Qui ?] avons noté un certain nombre de sobriquets collectifs s’appliquant aux habitants de villages ou villes du département de la Marne. Ces sobriquets étant souvent péjoratifs, a-t-il été nécessaire pour les connaître lors de l’enquête, d’interroger non point ceux qu’ils désignent, mais bien au contraire les habitants des villages voisins. »

    Pour la vallée de la Coole : Coolus : les Carquers ; Ecury-sur-Coole: les Choutiers ; Nuisement-sur-Coole : les Loups ; Breuvery-sur-Coole : les Bêtes ; Saint-Quentin-sur-Coole : les Pauvres gens ; Cernon-sur-Coole : les Messieurs ; Coupetz-sur-Coole : les Grandes salières ; Fontaine-sur-Coole : les Buveurs de goutte ; Faux-sur-Coole : les Almanachs"[19].

    Politique et administration

    Intercommunalité

    La commune, antérieurement membre de la Communauté de communes de la Vallée de la Coole, est membre, depuis le 1er janvier 2014, de la communauté de communes de la Moivre à la Coole.

    En effet, conformément au schéma départemental de coopération intercommunale de la Marne du 15 décembre 2011[20], cette communauté de communes de la Moivre à la Coole est issue de la fusion, au 1er janvier 2014, de la communauté de communes de la Vallée de la Coole, de la Communauté de communes de la Guenelle, de la communauté de communes du Mont de Noix et de la communauté de communes de la Vallée de la Craie[21].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1876 après 1877 Lefèvre[22]    
      1995 Albert Bruant    
    1995 2008 Michel Lebonvallet PS[23]  
    2008[24] 2014 Bernard Millon    
    2014[25] En cours
    (au 4 juillet 2014)
    Maurice Pierre    

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].

    En 2018, la commune comptait 217 habitants[Note 3], en augmentation de 0,93 % par rapport à 2013 (Marne : −0,45 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    97115106133119114136131127
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    127126119148143124138131120
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    12311212710398961019190
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    1068776150188200204205205
    2013 2018 - - - - - - -
    215217-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    La commune a le label « Village fleuri » avec trois fleurs.

    Église Notre-Dame

    Antépendium classé.

    L’église était une annexe de la paroisse de Saint-Quentin-sur-Coole (juste en amont, au sud-est), dont le curé percevait, en 1698, toutes les dîmes par cession ; mais en 1747, il n’en avait plus qu’un sixième, les seigneurs décimant le surplus[30].

    L’édifice a un chœur ordinaire du XIIIe siècle et abrite un panneau peint du XVIIIe siècle. Il représente une colombe (symbole du Saint-Esprit) et des rinceaux, et fut classé le 12 janvier 1977 au titre des Monuments historiques[31].

    Moulins

    Les grands moulins à cylindres[32] des frères Brisson, sis sur la Coole à km vers Nuisement, occupent, vers 1930-1935, les premiers rangs dans le domaine de la meunerie marnaise[33].

    En 1845, Chalette indique : deux moulins à eau dont un dit "à l'anglaise, et un moulin à vent. En 1848, une enquête effectuée par la gendarmerie dénombre trois moulins à eau :

    Le premier moulin est à deux tournures, il possède cinq paires de meules et cinq chevaux. Il emploie quatre ouvriers au salaire journalier de 2,50 fr.

    Le deuxième moulin est à une tournure, il possède deux paires de meules et un cheval. Il emploie un ouvrier au salaire journalier de 1,60 fr.

    Le troisième moulin est à deux tournures, il possède quatre paires de meules et trois chevaux. Il emploie un ouvrier au salaire journalier de 1,60 fr. nourri.

    Au , il n’existe plus qu’un seul moulin à Breuvery-sur-Coole. Il appartient aux sieurs Brisson frères, de Châlons-sur-Marne. Ce moulin est actionné par la force hydraulique et un moteur à gaz pauvre. Sept ouvriers, dont le meunier, y sont employés.

    Cimetière

    Les tombes de deux aviateurs alliés, tombés à Breuvery dans la nuit du 3 au 4 mai 1944, y sont visibles par la présence de deux stèles dressées côte-à-côte[34].

    Deux corps seulement furent retrouvés dans les débris de la carlingue d’un bombardier ayant vraisemblablement explosé en vol : le pilote (le lieutenant anglais David Stuart Jackson, titulaire de la Distinguished Flying Cross, 21 ans) et le mitrailleur de queue (le sous-lieutenant canadien Ross Edward MacFarlane) sont inhumés dans le cimetière de Breuvery[35],[36].

    Personnalités liées à la commune

    Anciennes familles notables

    Propriétaires ruraux châlonnais

    Les Châlonnais propriétaires ruraux à Breuvery-sur-Coole appartiennent pour la plupart au milieu professionnel des officiers du roi, dans l’administration des finances (Élu, trésorier de France, receveur du taillon) et de la justice (président du Présidial, avocat, greffier).

    Châlons, centre administratif de la Champagne, est aussi ville épiscopale et le comte évêque de Châlons possède également de nombreuses propriétés rurales qui remontent à l’époque féodale. En ce qui concerne la vallée de la Coole, il est seigneur d’Ecury-sur-Coole, de l’église de Coupetz, suzerain du seigneur de Nuisement-sur-Coole, et le baron de Cernon-sur-Coole est maréchal de la Cour épiscopale. L’abbaye bénédictine de Saint-Pierre-au-Mont, le chapitre de la cathédrale Saint-Étienne possèdent également de nombreux biens dans tout le Châlonnais. On peut considérer que les biens ecclésiastiques l’emportent de beaucoup sur les biens laïcs.

    À Breuvery, on sait peu de choses sur les propriétés ecclésiastiques. On sait simplement que la paroisse était une annexe de Saint-Quentin-sur-Coole. Mais on est assez bien renseigné sur les propriétaires laïcs, dits seigneurs de Breuvery.

    Ce qui les caractérise principalement, c’est leur nombre : plus d’une quinzaine pour un territoire de 1000 hectares. Autre caractéristique : le faible revenu qu’ils retiraient de ces propriétés. Lors d’une visite épiscopale à Cernon-sur-Coole en 1747, le rédacteur de l’évêché écrit : "On ne connaît point d’autre vice qu’un trop grand attachement à la terre, causé par la stérilité du terroir qui ne produit qu’avec beaucoup de travail et en très petite quantité, joint à la misère des temps".

    De sorte que ces petits propriétaires fonciers de Breuvery possédaient d’autres biens "sis sur d’autres terroirs" du Châlonnais. Ils étaient, selon l’expression fréquemment présente dans les actes notariés, seigneurs de Breuvery "et d’autres lieux".

    Contrairement à Breuvery, les deux villages voisins de Saint-Quentin-sur-Coole et de Nuisement-sur-Coole avaient, depuis l’époque féodale, une maison forte et un seul seigneur. Le terre et seigneurie de Cernon était la seule terre titrée de la vallée : cette baronnie et son château abritaient le maréchal de la Cour épiscopale. Après Cernon, Vaugency (à Saint-Quentin) et Nuisement, la 4e maison forte de la vallée de la Coole se situait à Coolus, là où la Coole se jette dans la Marne, en amont de Châlons.

    Ces maisons fortes ont été remplacées par des « châteaux de plaisance » au XVIIIe siècle. Il en reste peu de chose. Le très beau château de Cernon a brûlé il y a quelques années. Celui de Vaugency a disparu, mais une gravure de Claude Chastillon permet de se représenter nettement l’aspect de la maison forte d’origine. celui de Nuisement a brûlé vers 1870 (du fait de la guerre, semble-t-il) et celui de Coolus a été détruit en 2009 par la communauté d’agglomération de Châlons.

    Familles de notables propriétaires à Breuvery

    Les états successifs des fiefs par bailliage entre 1597 et 1693, indiquent les patronymes des 18 notables de Châlons qui se partageaient la terre et seigneurie de Breuvery à l’époque moderne (à part Hugues de Breuvery en 1165 et Ravous de Breuvery en 1272, les époques féodale et médiévale restent inconnues). Dans l’ordre chronologique des pièces justificatives : Daoust (ou d’Aoust) en 1597 ; Godet (2 fois), Horguelin, Langault, Papillon, Pinteville, sur le rôle de 1635 ; Fagnier, Laguille, Lescarnelot, Loisson, Grossetête, Saguez, sur l’état de 1693.

    Venus d’autres sources, on peut ajouter : Aubelin en 1583[39], Hennequin en 1630 (d’Hozier), Baugier en 1713[40], Brissier en 1727[41], Beschefer en 1778[42], et Deu, non daté[43].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    8. Hélène Delnef, « Un aspect de la céramique de la Tène ancienne », dans Bulletin de la Société archéologique champenoise, vol. 96 n°2A, Reims, (ISSN 1145-7295, lire en ligne), p. 17-49.
    9. voir https://www.persee.fr/doc/crai_0065-0536_1989_num_133_3_14799
    10. Grignon, Topographie historique de la ville de Châlons-sur-Marne, , p. 39.
    11. Diocèse ancien de Châlons, t. 2, , p. 48.
    12. Historique et description de l’église et paroisse de Saint-Alpin de Châlons, Châlons, , p. 112, n°21.
    13. L. Louis Barbat, Histoire de la ville de Châlons-sur-Marne et de ses monuments, , p. 162.
    14. E. Gauroy, Sainte Jeanne d’Arc à Châlons : Châlons en 1429, , p. 117.
    15. Chalette, Précis de la statistique générale du département de la Marne, , p. 70.
    16. Le 19e régiment d’infanterie 1914/1918.
    17. Recueil de témoignages concernant des civils maltraités en septembre 1914.
    18. René Gandilhon, Inspecteur Général des Archives de France, in : Mémoires de la SACSAM, 1973, page 151.
    19. « Schéma départemental de coopération intercommunale de la marne » [PDF], Tout savoir sur votre SDCI, Association nationale des Pôles d'équilibre territoriaux et ruraux et des Pays (ANPP), (consulté le ), p. 2.
    20. « Arrêté préfectoral du 29 mai 2013 portant création du nouvel Établissement public de coopération intercommunale issu de la fusion de la Communauté de communes de la Guenelle, de la Communauté de communes du Mont de Noix, de la Communauté de communes de la Vallée de la Coole et de la Communauté de communes de la Vallée de la Craie », Bulletin d'information et recueil des actes administratifs de la préfecture de la Marne, no 5 ter, , p. 21-24 (lire en ligne [PDF]).
    21. Almanach historique administratif et commercial de la Marne, de l'Aisne et des Ardennes, Matot-Braine, Reims 1877, p162.
    22. Annuaire des mairies de la Marne, EIP/ Les Editions Céline, coll. « Annuaire des mairies de France », 2006-2007 (ISBN 9782352581512), p. 42.
    23. Liste des maires de la Marne au 1er août 2008, site de la préfecture de la Marne, consulté le 22 décembre 2008
    24. « Liste des maires du département de la Marne » [PDF], Renouvellement des exécutifs locaux, Préfecture de la Marne, (consulté le ).
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    29. Barthélemy, Dictionnaire des communes, , p. 48.
    30. Base de données Patrimoine de France, Champagne-Ardenne, Breuvery-sur-Coole (51), Devant d’autel.
    31. Il existe au moins une vue (carte postale ancienne) du moulin, accessible par exemple ici.
    32. R. Nommé, « Châlons-en-Champagne et son arrondissement », 2004, tome 2, page 59.
    33. Site consacré aux pertes du Bomber Command dans le département de la Marne.
    34. Hervé Chabaud, Études marnaises, 2005, page 399
    35. Hervé Chabaud, Le bombardement du camp de Mailly, texte consultable sur le site du CRDP de Reims.
    36. Édition en ligne de l'École des Chartes.
    37. La vie rémoise.
    38. Bibliothèque nationale, D.B.35.
    39. Minutes Pérignon.
    40. Archives de Châlons/Notre-Dame.
    41. Archives de Châlons/Saint-Alpîn.
    42. Diocèse ancien.
    43. Barthélemy, "Recueil des pierres tombales…", page 147, pierre tombale de Jehanne Daoust, femme de Guillaume Lignage, 1595.
    44. Archives départementales de la Marne, E supplément, 4855.
    45. Rôle des gentilshommes de Châlons, 1597.
    46. Acte de mariage de 1625, Arch. Marne 4E 8175.
    47. L. Grignon, "Historique et description de l’église et paroisse St-Alpin", Châlons, 1878, page 86.
    48. Bibliothèque nationale, D.B. 360.
    49. Bibliothèque nationale, P.O. 1533.
    50. Caumartin, 1673.
    51. d’Hozier.
    52. Riocour, 1683.
    53. Riocour.
    54. Lhote.
    55. Armorial de Caumartin.
    56. Bibliothèque nationale, D.B. 35, note de Bertin du Rocheret.
    57. Archives départementales de la Marne, 4E 8450, minutes Guyot, 1662.
    58. Rôle des gentilshommes de Châlons, 1635.
    59. Barthélemy, Recueil des pierres tombales, St-Alpin, p. 129.
    60. Riocour, Saint-Nicaise n°270, p. 136.
    61. Louis Grignon, "Topographie historique (…)", p. 248.
    62. Riocour, Notre-Dame, p. 88.
    63. Barthélemy, "Histoire de la ville de Châlons-sur Marne", p. 463.
    64. Grignon, "Topographie historique (…)", rue Grande Etape, p. 289.
    65. Jean-Paul Barbier Des Châlonnais célèbres, illustres et mémorables, 2000.
    66. Rôle des gentilshommes de Châlons, 1622.
    67. Riocour p. 13.
    68. Riocour, Trinité, p. 221.
    69. Riocour, p. 301.
    70. De Courcelles, Dictionnaire universel de la noblesse de France, 1821.
    71. Geneanet.
    72. De Courcelles.
    73. Archives de Châlons Notre-Dame.
    74. Riocour
    75. Archives départementales de la Marne, liste des notaires.
    76. État des fiefs de 1693.
    77. Minutes Pierre Lefébure.
    78. d’Hozier, Armorial de Champagne, 1711, page 134.
    79. D’Hozier, « Recherche de la noblesse de France », édition 1884, registre 6, page 496.
    80. référence 14063 par Jean-François d’Hozier : "l’impôt de sang".
    81. Cabinet d’Hozier, cahier 10 Lorraine-Champagne.
    82. Lhote & Riocour.
    83. SACSAM, 1899-1900, tome 2, p. 59.
    84. Armorial d’Hozier.
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