Boutx

Boutx [bus] est une commune française située dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie. Autrefois, la commune se nommait Bouts. C'est un ancien village gallo-romain.

Pour les articles homonymes, voir Bouts.

Boutx

Boutx vue depuis les sommets.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Saint-Gaudens
Intercommunalité Communauté de communes Pyrénées Haut Garonnaises
Maire
Mandat
André Melazzini
2020-2026
Code postal 31160 et 31440
Code commune 31085
Démographie
Gentilé Boutxois
Population
municipale
246 hab. (2018 )
Densité 5,2 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 55′ 07″ nord, 0° 42′ 59″ est
Altitude Min. 560 m
Max. 1 850 m
Superficie 47,28 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Bagnères-de-Luchon
Législatives Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Boutx
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Boutx
Géolocalisation sur la carte : France
Boutx
Géolocalisation sur la carte : France
Boutx

    Ses habitants sont appelés les Boutxois et les Boutxoises.

    Géographie

    Commune située dans les Pyrénées en Comminges à 36 km au sud de Saint-Gaudens, elle abrite la station de ski du Mourtis. Elle est limitrophe du département de l'Ariège.

    Hydrographie

    La commune est arrosée par le Ger, un affluent de la Garonne.

    Géologie et relief

    La superficie de la commune est de 4 728 hectares ce qui en fait la septième plus grande superficie de la Haute-Garonne, son altitude varie de 560 à 1 850 mètres[1].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 6,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 5,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 229 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mauléon-Barousse », sur la commune de Mauléon-Barousse, mise en service en 1995[7] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[8],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 1 121,4 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Senconac, dans le département de l'Ariège, mise en service en 1949 et à 34 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,3 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[13].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3].

    Un site Natura 2000 est défini sur la commune tant au titre de la directive oiseaux, que de la directive habitats, la « haute vallée de la Garonne »[15]. Occupant une superficie de 11 134 ha, il s'agit d'une vallée profonde, marquée par l'érosion glaciaire, avec une végétation essentiellement acidiphile caractérisée par des landes à Callune, une forte étendue du manteau boisé , une présence ponctuelle de formations alpines et la présence d'Ours liée à une réintroduction expérimentale[16]. Ce site héberge une avifaune de montagne bien représentée avec bon nombre d'espèces de l'annexe I qui s'y reproduisent, parmi lesquelles sept espèces inféodées aux milieux forestiers[17].

    Un autre site relève de la directive habitats[15] : les « Zones rupestres xérothermiques du bassin de Marignac, Saint-Béat, pic du Gar, montagne de Rié ». Occupant une superficie de 7 680 ha, cet espace présente une grande richesse floristique et faunistique du fait de la diversité et de la complémentarité des habitats présents (pelouses, landes, forêts, parois rocheuses, ravins, torrents encaissés). Des ours sont présents suite à leur réintroduction[18].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Cinq ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[19] :

    • le « cœur du massif de Gar-Cagire » (6 194 ha), couvrant 15 communes du département[20] ;
    • les « massifs d'Arbas, Paloumère et Cornudère » (3 918 ha), couvrant 11 communes dont deux dans l'Ariège et neuf dans la Haute-Garonne[21] ;
    • le « réseau hydrographique du Ger, partie médiane » (93 ha), couvrant 5 communes du département[22] ;
    • le « Sud de la vallée de la Bellongue » (6 156 ha), couvrant 16 communes dont 13 dans l'Ariège et trois dans la Haute-Garonne[23] ;
    • le « versant nord du massif du Crabère et massifs annexes de Saint-Béat à Saint-Lary » (8 787 ha), couvrant 8 communes dont deux dans l'Ariège et six dans la Haute-Garonne[24] ;

    et trois ZNIEFF de type 2[Note 5],[19] :

    • l'« ensemble du massif de Gar-Cagire et bassin de Juzet-d'Izaut » (9 679 ha), couvrant 18 communes du département[25] ;
    • le « massif de l'Arbas » (27 233 ha), couvrant 45 communes dont 24 dans l'Ariège et 21 dans la Haute-Garonne[26] ;
    • les « montagnes entre la haute vallée de la Garonne et la haute vallée du Lez » (28 414 ha), couvrant 21 communes dont 15 dans l'Ariège et six dans la Haute-Garonne[27].

    Urbanisme

    Typologie

    Boutx est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[28],[29],[30]. La commune est en outre hors attraction des villes[31],[32].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (95 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (96,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (72,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (20,7 %), zones agricoles hétérogènes (3,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,2 %), prairies (1,9 %)[33].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Voies de communication et transports

    Accès par l'autoroute A64 sortie no 17 puis la route nationale 125 et avec le réseau Arc-en-ciel ainsi qu'en gare de Gourdan-Polignan sur la ligne Toulouse - Bayonne.

    Toponymie

    L'étymologie[34] de Boutx, d'après la tradition orale locale, remonterait au buis. Une autre piste évoquée est celle du pré-latin "Buk", qui désigne un creux entre deux montagnes.

    Histoire

    Les découvertes archéologiques[35] suggèrent que le lieu était habité à l'époque romaine. Boutx est signalé dès l'an 1140[34],[36] pour sa contribution à la dîme collectée par le prieuré de Saint-Béat. Les archives départementales de Haute-Garonne font état, en 1336, du rattachement administratif de Boutx à la châtellenie de Frontignes[36].

    Au début du XVIe siècle, le Comte de Comminges Odet d'Aydie aurait concédé à Boutx les forêts et montagnes environnant le consulat, en signe de gratitude pour l'accueil qui lui était fait lors de ses chasses[37].

    En 1974, Boutx a fusionné avec Couledoux et Argut-Dessus. Le territoire de cette dernière faisait partie d'une des enclaves languedociennes du « diocèse civil du Petit-Comminges » (avec une partie de Saint-Béat et Melles), l'un des 24 diocèses civils du Languedoc. La commune de Boutx, quant à elle, faisait partie du Comminges, une des régions de la Gascogne (voir cartes de Cassini).

    Village d'Argut-Dessus, vu depuis l'ouest.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze[38],[39].

    Rattachements administratifs et électoraux

    Commune faisant partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes Cagire-Garonne-Salat et du canton de Bagnères-de-Luchon (avant le redécoupage départemental de 2014, Boutx faisait partie de l'ex-canton de Saint-Béat) et avant le elle faisait partie de la communauté de communes du canton de Saint-Béat.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1961 1993 Henri Dinguirard PS puis DVG Conseiller général (1974-1994)
    1993 En cours André Mélazzini PS Retraité

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[41]. En 2018, la commune comptait 246 habitants[Note 7], en augmentation de 2,07 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +6,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    778293880935928946897965965
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    897958932890860904839795752
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    692666632565543503383378328
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    250251304362324259269269270
    2013 2018 - - - - - - -
    241246-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[44] 1975[44] 1982[44] 1990[44] 1999[44] 2006[45] 2009[46] 2013[47]
    Rang de la commune dans le département 271 208 214 249 300 319 326 357
    Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

    Économie

    Enseignement

    Boutx fait partie de l'académie de Toulouse.

    Activités sportives

    Randonnée pédestre, VTT sur neige, trail, ski, ski de fond,

    Protection environnementale

    La zone Natura 2000 de la Haute vallée de la Garonne d'une superficie de 11 134 hectares est classé[48],[49]:

    En zone spéciale de conservation (en référence à la Directive Habitats) depuis 2008.

    En zone de protection spéciale (en référence à la Directive Oiseaux) depuis 2006.

    Elle s'étend sur une partie de la commune de Boutx.

    La zone Natura 2000 des Zones rupestres xérothermiques du bassin de Marignac, Saint-Béat, pic du Gar, montagne de Rié est classé en zone spéciale de conservation (en référence à la Directive Habitats) depuis 2007, avec une superficie de 7 680 hectares, elle s'étend sur une partie de la commune de Boutx[50].

    Culture locale et patrimoine

    Culture locale et patrimoine

    Spécialité culinaire

    La croustade, dessert local traditionnel du jour de la fête du village, très dissemblable entre Boutx et Ger-de-Boutx.

    Personnalités liées à la commune

    • L'abbé-poète Paul Mothe[34] (1765-1855) est né à Ger-de-Boutx. Il enseigne la théologie. Prêtre réfractaire, il se réfugie un temps en Espagne. En 1809, le Cardinal de Clermont-Tonnerre lui propose un doyenné mais il préfère se retirer parmi les siens, à Ger-de-Boutx où il est connu sous le nom de eth vielh curè de Hilhina. C'est de cette année que datent ses premières œuvres en vers, parmi lesquelles une "Épître à Philis" qu'il présente aux jeux floraux[56].
    • L'ourse slovène Mellba, introduite à Melles en 1997, hiberne dans une tanière située sur la commune durant l'hiver 1996-1997. Elle donne naissance à trois oursons, dont Caramelles et Boutxy, dont le nom est issu de celui de la commune[57],[58].

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[14].
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Mauléon-Barousse - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Boutx et Mauléon-Barousse », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Mauléon-Barousse - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Boutx et Senconac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Girons - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    15. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Boutx », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « site Natura 2000 FR7300883 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « site Natura 2000 FR7312005 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « site Natura 2000 FR7300884 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    19. « Liste des ZNIEFF de la commune de Boutx », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    22. « ZNIEFF le « réseau hydrographique du Ger, partie médiane » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « ZNIEFF le « Sud de la vallée de la Bellongue » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    24. « ZNIEFF le « versant nord du massif du Crabère et massifs annexes de Saint-Béat à Saint-Lary » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    34. Dinguirard, Jean-Claude, Ethnolinguistique de la haute vallée du Ger, , 544 p. (lire en ligne), page 74.
    35. Raymond Lizop, Le Comminges et le Couserans avant la domination romaine. Thèse complémentaire présentée à la Faculté des lettres de l'Université de Paris pour le doctorat ès lettres Reliure inconnue – 1 janvier 1931, , 552 p., page 206.
    36. Charles Higounet, Le comté de Comminges, de ses origines à son annexion à la couronne, Montréjeau, L'Adret, , 745 p. (ISBN 978-2-904458-05-7 et 2-904458-05-0), p. 52 ; p. 220 note 205 ; p. 333.
    37. Bertrand Abadie, « Une monographie inédite de Boutx », La revue de Comminges, , p. 44-46 (lire en ligne).
    38. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    39. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
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    42. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    43. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    44. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    45. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
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    47. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    48. « INPN - FSD Natura 2000 - FR7300883 - Haute vallée de la Garonne - Description », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
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    50. « INPN - FSD Natura 2000 - FR7300884 - Zones rupestres xérothermiques du bassin de Marignac, Saint-Béat, pic du Gar, montagne de Rié - Description », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
    51. Chapelle Notre-Dame-du-Lac
    52. Église de la Nativité-de-la-Sainte-Vierge (Ger de Boutx)
    53. Église Saint-Georges
    54. Église de Coulédoux
    55. Église d'Argut-dessus
    56. Raymond CAHISA, « L'abbé Paul Mothe (1765-1855), poète Commingeois de Ger-de-Boutx », Le Petit Commingeois, (lire en ligne).
    57. Frédéric Potet, « Boutxy, 9 ans, 200 kg, mangeur de brebis », sur lemonde.fr, .
    58. Pierre-Yves Quenette, Bilan scientifique et technique de la réintroduction de l'Ours brun en Pyrénées centrales : Synthèse des données 1996-2000, DIREN Midi-Pyrénées, , p. 52.
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